Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé)
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Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé)

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MessageSujet: Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) Icon_minitimeVen 24 Juil - 22:20


Ailean McIntyre
Dasha Sidorchuck



NOM : McIntyre PRÉNOM(S) : Ailean Kaileigh AGE : 20 ans  DATE DE NAISSANCE : 8 Avril 1995 LIEU DE NAISSANCE : Nantes. NATIONALITÉ : franco-américaine


PARTIE À REMPLIR SI VOUS JOUEZ UN SANG-MÊLÉ HORS COLONIE.
MÉTIER/ÉTUDES : étudiante en histoire NATIONALITÉ : franco-américainePARENT DIVIN : Thémis  ORIENTATION SEXUELLE : hétéro STATUT : célibataire PASSÉ(E) PAR LA COLONIE : depuis ses 13 ans, elle y a passé toutes ses vacances. Elle continue de revenir dès quelle peu AMBITION : Adepte du Carpe Diem : faire ce qu’il lui plaira, quand elle le voudra.  DÉFAUT FATAL : insoumissionPOUVOIRS : dès que sa main touche une autre personne, celle-ci est obligé de dire la vérité (pouvoir incontrôlé). De plus, elle peut découvrir le passée d’une personne en la regardant directement dans les yeux (et en se concentrant énormément)GROUPE : camp half-blood



•• Caractère.
souriante + manque de tact + franche + indiscipliné+ loyale, tient toujours ses promesses, raisons pour laquelle elle ne donne jamais sa parole à la légère + rêveuse + égoïste+ courageuse+ rancunière + un peu cynique sur les bords + joyeuse + peu douée avec les relations avec autrui + impulsive + se tape souvent des délires toute seule+ curieuse+ attachante + à tendance à sauvé sa peau en premier  (sauf si un de ses plus proche amis est en danger)+ intelligente + déteste l’injustice + orgueilleuse + imprévisible.


•• Anecdotes.
◊ 001.adore voyager et rêve de devenir archéologue pour pouvoir faire le tour du onde tout en creusant la terre à la recherche de trésors oublié◊ 002. dors avec un ours en peluche tout doux nommé Perceval car il a les même cheveux blanc que le Perceval de la série de Kaamelott d’Alexandre Astier (que Mellan lui avait fait découvrir juste avant son départ) ◊ 003. adore naviguer, surtout sur les bateaux à voile. Elle est très douée en catamaran et commence à se débrouiller en planche à voile ◊ 004. s’amuse à faire des grimaces à chaque fois qu’elle voit son portrait quelque part◊ 005. adore se déguiser et il n’est pas rare de la voir se promener en costume de différentes époque (avec le compte en banque de son père, elle peut bien se permettre cette petite folie) ◊ 006. S’intéresse beaucoup à la politique, notamment sur l’art de jouer avec les règles. Cependant, elle préfères les histoires passé, plutôt que la politique actuelle  ◊ 007. chante super faux◊ 008. adore danser, il n’est pas rare de la voir tourbillonner selon ses plaisirs (même si elle est en plein New-York, cela ne lui pose aucun problème) ◊ 009. Admire les personnes âgées, elle trouve qu’elles ont un charme particulier◊ 010. adore les comptines pour enfants (seules chansons qu’elle arrive, à peu près, à chanter juste)◊ 011. peut passer des après-midi à regarde des séries, un peu de glace ou de nutella entre ses bras◊ 012.Adore coiffer ses cheveux et porter des chapeaux ◊ 013.Rêverais d’apprendre le langage des fleurs (elle trouve ça trop classe)

PSEUDO : Gaby AGE : 18 ans. COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? google is my friend QUELQUE CHOSE À EN DIRE ? Ouuuuuuiiii un forum percy jackson qui m’attire !!!! CODE DU RÈGLEMENT : code validé par Grace UN DERNIER MOT ?  Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) 1518356770

.ipar haizea
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MessageSujet: Re: Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) Icon_minitimeVen 24 Juil - 22:33


Histoire



Step lightly on this narrow spot-
the broadest Land that grows
Is not so ample as the Heart
These Emerald seams enclose-
(Emily Dickinson)



Terre vallonnée, lieux magique où la nature sauvage merveilleuse est maîtresse : l’Ecosse. Ta terre natale. Ta patrie. Ton amour. Maintenant, elle n’est qu’un souvenir flou, l’endroit où, enfant, tu jouais. Ton jardin secret. Là où ton esprit s’égare lorsque tu as besoin de te retrouver en tête à tête avec toi même. Tu te revois, petite fille, courir sur cette étendue émeraude, seule, ne croisant, que de temps à autre quelques moutons. Ta mémoire n’a que peu d’information sur cette enfance écossaise. Seulement quelques faits marquant de ta vie. Tes inlassables excursions, accompagnée par ton fidèle chien, Litchi -qui était également le nom de ton aliment préféré- alors que tu t’imaginais être un chevalier de la table ronde, que tu t’amusais à poursuivre les chèvres dans les hautes collines, que tu essayais de pécher dans les grands lacs sauvages,… Ta rencontre avec Mellan. Ah, cette rencontre… Rencontre amusante de deux gamins. C’était une magnifique journée d’été, journée idéale pour aller te baigner dans les eaux fraîches d’Ecosse. Alors que tu courrais dans les immenses étendue d’herbes en chantonnant la dernière comptine que ton père t’avais apprise, tu ne pensais à rien d’autre qu’à la douce chaleur du soleil sur ta peau. « Incy Wincy spider went up the water spout ». Tu passa au dessus d’un petit muret en pierre, ton rire s’élevant alors que tu essayais de sauter le plus haut possible. « Down came the rain and washed the spider out ». Maintenant, tu dansais joyeusement, une danse enfantine faite de multiples petits sauts. « Out came the sun and dried up all the rain ». Toujours en dansant, ta voix perdait sa justesse, ton souffle irrégulier ne te permettant plus de poser aussi bien ta voix. « So Incy Winch Spider went up the spout again ». Tu venais d’arriver dans un petit bois, l’ombre apportant à ton corps une fraîcheur bienvenue. Alors que tu allais te mettre à chanter « the wheels on the bus », un caillou toucha ton ventre. Après une exclamation d’indignation -c’était vrai quoi, tu n’avais pas chanté si faux que ça- ton regard fit le tour du périmètre à la recherche du coupable. Tu le trouvas lorsque tes yeux croisèrent l’iris émeraude d’un garçon au sourire moqueur.

-Alors, poil de carotte, qu’est-ce que tu fais ici ? C’est ma cabane secrète.

« Poil de carotte » ? Tu ignorais ce que cela voulait dire. Un mot français, sans aucun doute. Et vu son accent et le fait que tu ne comprenais pas la moitié des mots, il devait sans aucun doute être étranger. Tout ce que tu savais, c’était qu’il semblait considérer cet endroit comme sa possession. Sérieusement. Et il osait de lancer une pierre. Qu’est-ce qu’il croyait avec son sourire goguenard ? Tu vis rouge. Lui lançant à ton tour une pierre, tu t’exclama :

-Et en quoi cet endroit t’appartient ? Ce n’est pas toi qui vas m’empêcher de monter dans ta prétendu cabane.

Non, ça c’était sûr. Et le regard de défis qu’il te lança suffit à te faire oublier ton envie de te baigner. Non, tu préféra prendre l’échelle en corde qui descendait de l’arbre. Cependant, tu n’eu rien le temps de faire que déjà, l’autre gamin était en face de toi. Qui te poussa gentiment.

-Tu crois ça, « poil de carotte » ? Essaye pour voir…

Il ne t’en fallut pas plus pour te lancer dans la bagarre. Conflit amical qui scella votre amitié. Depuis, Mellan devint ton meilleur ami. Français, ses parents étaient tombés amoureux de l’Ecosse et avaient décidé de s’installer sur ta terre natale. Ils n’habitaient pas très loin de chez toi, et bientôt vous êtes devenu inséparable. Tes jeux avec lui furent, depuis, tes seuls souvenirs.

Que dire de plus à propos de cette enfance flou en Ecosse. Tu ne te rappelle pratiquement que des jeux. Et de Mellan. Ton père, un brillant avocat, était souvent absent, mais à chaque fois qu’il venait, je peux t’assurer que ton sourire était éclatant. Exact réplique de celui de ton père. Il aimait son travail, mais il t’aimait, toi et l’Ecosse. Cependant, il ne pouvait empêcher le fait qu’il était obligé de séjourner pendant de longues journées à Edinburgh. Ce qui fait que tu passa énormément de temps chez Mellan. Ses parents étaient comme des oncles et des tantes pour toi. Et tu vécut ainsi jusqu’à ce que tu eux 10 ans, tu vécut comme ça, et tu trouvais que ta vie était merveilleuse. Et l’on pouvait te donner raison. Tu n’avais à te soucier de rien. La seule chose qui te rendait triste, c’était de ne pas pouvoir voir ton père autant de fois que tu le voudrais. Malgré cela, chaque moment passé avec lui était magnifique. Ton père était tout pour toi. Cette période de ta vie resta pour toujours en toi, rêve idéaliste que tu cherche toujours à atteindre. Etre heureuse. Et s’il est vrai que le bonheur et suggestif, ce que tu voulais le plus au monde, c’était de vivre sans peur du lendemain. Pourtant, personne ne peux dire que tu n’es pas quelqu’un qui vis au jour le jour. Malgré cela, arrivé dans l’âge adulte, les problèmes vous tombent dessus, sans que vous puissiez rien faire contre.




Les feuilles tombent
sur les feuilles-
La pluie tombe sur la pluie
(Katô Gyôdai)


Tristesse. Quelle tristesse tu as ressentit ce jour où ton père t’annonça votre départ. Comment osait-il changer ta vie comme ça ?! Et te prévenir du jour sur le lendemain. Car il était vrai que l’on pouvait dire qu’il avait attendu le dernier moment pour te faire part de ses projets. Pourquoi quittait-il l’Ecosse ? Il adorait cette terre. C’était à n’y plus rien comprendre. Les larmes aux yeux, tu couru, encore et encore. Tu couru à ne plus pouvoir respirer. Tu couru jusqu’à la cabane de Mellan, votre cabane. Le lieu de votre rencontre. Les larmes coulaient sur tes joues. Perles d’argent. Impulsion meurtrière. Rage incontrôlée. L’adolescence n’arrangea en rien tes sentiments. Il n’avait pas le droit de t’imposer ça. Non, il n’avait pas le droit. Hurlement de rage. Léger apaisement. Nouveau hurlement. Encore et encore. Tu savais que vous alliez partir en ville. Là-bas, tu ne pourras plus faire tout ce que tu voudras. Là-bas, tu ne seras plus libre. Tu seras enfermé et seule. Séparé pour la première fois depuis tant d’années de Mellan. Que feras-tu sans lui ? Sans sa famille, qui était depuis longtemps devenu ta famille. Que feras-tu ? Tes sanglots reprirent de plus belle. Jusqu’à ce qu’une voix bien connu s’élève pour chantonner ce qui était devenu votre hymne :

-Incy Wincy spider went up the water spout, down came the raine and washed the spider out, out came the sun and dried up all the rain, so Incy Wincy spider went up the spout again.

Mellan. Ce cher Mellan. L’être qui était le plus proche de toi. Excepté, peut-être, Litchi. Melun qui vint s’assoir à côté de toi, sans rien dire. Le soleil se couchait. Tu aurais dû rentré. Mais ce soir, tu ne jouerais pas à la petite fille sage. Ce soir, tu allais profiter de ces derniers instants auprès de Mellan, vos deux corps côtes à côtes dans un silence parfait, admirant la lumière rouge orangé du couché du soleil, accompagné par la douce mélodie des bruits de la nature. Tout ce que tu savais, c’était que demain, tu ferais tes cartons et que vous partirez le plus tôt possible. Pourquoi toute cette précipitation ? Tu n’y comprenait rien. Cependant, tu n’étais pas aveugle au point de ne pas voir la tristesse de ton père. Lui aussi était malheureux de quitter l’Ecosse. Et ta réaction l’avait blessé. Pourquoi ne la blesserait t-elle pas ? Tu avais réagis comme si c’était le pire monstre de l’univers. Or ce n’était pas du tout le cas. Bien au contraire.

Vous êtes donc parti pour aller aux Etats-Unis. Tu arrivas dans la plus grande ville que tu as jamais vu. New-York. Dès que tu posa le pied dans ce lieu bruyant et pollué, tu su que tu n’allais pas te plaire. Où allais-tu pouvoir grimper aux arbres, courir partout en chantant, comme tu le faisais avant ? Et ce monde… On ne pouvais pas dire que tu étais asociale, mais être au milieu de toute cette foule te stressait énormément. C’était impossible, tu n’allais pas pouvoir vivre ici. Cependant, tu avais deux choix. Soit rester à faire la tête et te morfondre, soit essayer, au moins, de paraître heureuse. Et le seul moyen que tu trouvas pour y parvenir fut de couler un sourire sur tes lèvres. Un sourire goguenard, un peu moqueur, mais un sourire qui paraissait joyeux. Malgré cela, tu n’aimais pas cette ville. Pour toi, elle t’avais volé ta liberté. Déjà, tu devais régler ton rythme sur celui des américains. Toi qui pratiquais grandement l’école buissonnière, tu allais être obligé de suivre les cours tous les jours. Ton père y tenait. Il voulait que tu te fasse de nouveaux amis. Cependant, aller à l’école, au collège, fut pour toi une épreuve terrible. Habitué des petites classes, vous n’étiez même pas par année, tu te retrouva dans une masse de jeune gens. Et pour eux, tu étais la nouvelle, avec un accent écossais à couper au couteau, celle qui galèrait à lire parce qu’elle était dyslexique. Et le fait que tu n’arrivais pas à perdre cette habitude de te mettre à danser et à chanter lorsque l’envie te prenait, cela suffit pour que l’on décide que tu faisais parti des « cassos ». Tu n’aurais pas pu supporter l’école ainsi, sans Cléo, de son vrai nom Cléopâtre. Si l’on te considérais comme une personne bizarre, que pouvait-on dire au sujet de Cléo ? Cette jeune fille brune, à la peau couleur café vivait également seule avec son père. Qui lui était un archéologue. Spécialisé dans les cultures de l’Antiquité, notamment celles de la Grèce antique. Pourquoi avoir appelé sa fille Cléôpatre ? Mais cette reine n’était-elle pas grecque ? En tout cas, je vous déconseille de poser cette question à Cléo, sauf si vous êtes prêt à écouter un cour d’histoire au sujet de Cléopâtre. Bref, alors que tu t’apprêtais à déguster ce premier repas au collège seule, une petite brune s’assit juste en face de toi. Ta tête à ce moment était à mourir de rire. On aurait dit un petit chien méfiant. Que venait-elle faire ici ? Et surtout, pourquoi faisait-elle comme si vous étiez les meilleures amies du monde ?

-Hello ! Ailean, c’est ça ? J’adore ton prénom. Tu sais qu’à l’origine, c’est un prénom d’homme ? En fait, tu es écossaise, c’est ça ? Alors c’est comment l’Ecosse ?

Haussant un sourcil, tu te demanda à quoi tout cela rimait. Assurément, elle était bizarre. Mais c’était la seule à t’accueillir à bras ouvert. Et ça, pour toi, c’était le principal. Eclatant de rire, tu répondis :

-Tu sais que tu es bizarre ? Oui, l’Ecosse… c’est la plus belle terre qu’il n’ai jamais exister. Essayer de la décrire serait long et bien en dessous de la vérité. Aussi, je t’assure que si tu veux réellement savoir à quel point cette terre est magnifique, tu devrais y aller.

Les souvenirs de ton pays t’assaillirent. Quel temps faisait-il ? Est-ce que Mellan était en train de s’ennuyer en cour ? Ou préférait-il courir dans les champs comme vous aviez l’habitude de faire. Ton regard s’attarda sur le paysage que tu pouvais apercevoir de la fenêtre, ce qui ne fit qu’aggraver ton mal du pays. Heureusement, Cléo ne te laissa pas le temps de te morfondre.

-En fait, moi c’est Cléo. Enfin, Cléopâtre, mais j’crois que tu comprend le fait que je préfère me faire appeler Cléo…

Nouvel éclat de rire. Pas moqueur, parce que vu la tête de Cléo, c’était impossible de se moquer d’elle. De plus, ce nom éveilla ton attention. Qui pouvais appeler sa fille comme Cléopâtre ? Surtout lorsque l’on connaissait sa fin…

-Cléopâtre ? Sérieux, qu’est-ce qui est passé par la tête de tes parents ?!

Cette réaction déclencha également un immense éclat de rire chez ma nouvelle amie. C’est à ce moment que tu décréta que tu l’aimais bien. Elle était bien plus sympa que la plupart des personnes ici. Des ados qui ne pensaient qu’à une seule chose, être les meilleurs. Que ce soit dans le domaine de la beauté, des notes, de la popularité, etc. Etre bien vu. Cela t’énervait. Mais Cléo devint rapidement la personne qui te permit de supporter tout cela. Elle aussi s’ennuyait, elle aussi était considéré comme bizarre. Mais vous étiez faites pour vous entendre. Et vous avez découvert vos pouvoirs en même temps. De quoi se rapprocher. Après tout, quand on se sent différend des autres, on fait tout pour trouver une personne sur qui s’appuyer. Ce fut toi qui découvrit ton premier pouvoir en premier. Tu étais en cours et, bien évidement, tu t’ennuyais. Tu aurais tellement aimer te retrouver avec Cléo en Ecosse. Tu t’imaginais lui faire découvrir cet endroit magique. Ou sinon en train de faire de la voile. C’était, encore une fois, Cléo qui t’avait fait découvrir ce plaisir. Et tul’en remerciera toute ta vie. Sur la mer, tu te sentais vraiment libre, rien ne comptait à part la voile, le vent, et tes pensées. Cependant, tu savais que si tu ne regardais pas la prof, elle allait te passer un savon, ce dont tu n’avais pas du tout envie. Alors tu la fixa droit dans les yeux, en lui souriant. Et là, tu eu un flash bizarre et… on ne peut plus gênant. Ta prof en plein moment intime avec le prof de sport. *Berk ! Et en plus j’ai droit à la scène en intégrale, arrêtez ça où je vais vomir* Et évidemment tu te fis punir pour ne pas avoir suivit le cour. Après plusieurs épisode comme celui-ci, tu en parlas avec Cléo. Et encore après d’autre utilisation de ton pouvoir, tu réussis à comprendre que tu pouvais voir le passé d’une personne. Mais ce pouvoir n’était rien à côté de ton second… Celui qui forçait les personnes à te dire la vérité. Pouvoir qui, malheureusement, ne se contrôlait pas. Dès que ta main touchait le corps d’une autre personne, elle n’avait d’autre choix de dire la vérité. Et vu que toutes vérité n’étaient pas bonnes à dire, après nombre de pleurs, de cris et de scènes de colère, tu pris la résolution de porter constamment des gants, même en plein été , ce qui te valu bien des regards intrigué.


Les grands voyages ont ceci de merveilleux
que leur enchantement commence avant le départ même.
On ouvre les atlas, on rêve sur les cartes.
On répète les noms magnifiques de villes inconnues…
(Joseph Kessel)



Tout changea lorsqu’un monstre décida de se ramener alors que vous étiez en train de visiter un des musées de la ville. Parce que ouais, je devais bien l’avouer, Cléo t’avait refilé la passion de l’histoire. *C’est clair, elle est tellement passionnée quand elle évoque ces vieux bibelots, impossible de ne pas s’y intéresser*. Vous étiez devant une fresque grec, lorsque le type à côté de vous se retourna en se léchant les babines. Tu eux un gros bug en croyant apercevoir qu’un seul oeil. *Nan, c’était pas possible, fallait pas déconner non plus. Pourtant, j’avais jamais pris de drop, j’pouvais pas avoir d’hallucinations* Ben ma chère, fallait croire que si, parce que sinon, ça voulait dire que c’était un vrai cyclope. Et là, t’étais vraiment mal. Evidement, il a fallut qu’il se retourne vers vous, vous renifle et marmonne :

-Miam miam, deux demi-déesse, filles d’Athèna et de Thémis… Pas mal… Venez voir mes petites que je vous mange toute crue…

*Ouah, la vache, j’étais pas la seule à être bizarre…* Franchement, tu crois pas que tu devrais penser à autre chose. Du style, comment tu pouvais te défendre face à un cyclope super fort ? Ouais, ça venait de faire tilt dans ta tête, et c’était pas trop tôt. Et Cléo et toi aviez eu la même merveilleuse idée de… partir en courant. Bah ouais, c’était sûr que c’étai la seule chose à faire. Jusqu’à ce qu’une dame vous force à vous arrêter et vous pose une énigme à la noix. *Ouais, d’ailleurs, j’ai pas compris la moitié de ce qu’elle racontait…* Peu importe, Cléo avait compris ce que sa mère, Athèna lui avait dit. Te prenant par la main, elle t’attira vers une autre section dédiée à l’antiquité grecque, devant plusieurs armes en bronze. Tu la regardais en prendre une les yeux écarquillés. *Trop cool, j’vois des cyclope et ma pote décide de devenir cleptomane. Et en plus, elle a décidé de faire son premier essai dans un musée sur-protégé. C’était vraiment pas ma journée…*

-Sérieux, ‘Lean, tu fais quoi, on a pas toute la journée…

Ahaha, on aurait dit que tes yeux allaient sortirent de ta tête tellement tu sais indigné. *C’est elle qui vole une épée, et c’est moi qui me fait engueuler, bah voyons…* Et c’est le moment qu’avait choisit le cyclope pour revenir à la charge. Bon, d’accord, là, peut-être que tu n’avais pas le choix. Mais c’était déjà trop tard, tu ne pu que t’écarter à temps pour éviter la mains du monstre qui avait voulu t’étriper. Et Cléo profita du fait que le cyclope était déséquilibré pour lui donner un coup en plein dans le ventre. Et pouf, le monstre disparut dans un tas de poussière. *Encore une fois, c’est quoi ce délire, merde à la fin !* Cependant, il fallait bien avouer que tu étais surprise de l’efficacité qu’avait eux Cléo avec son arme.

-J’savais pas que tu débrouillais aussi bien avec une épée…

-Normal, vu qu’elle est la fille d’Athéna…

D’un même mouvement, vous aviez tourné votre corps vers celui qui avait parlé, un homme portant une casquette jaune à poids rouge. *Ca existe des casquettes aussi moches ? * Fallait croire que oui. Alors que Cléo le menaçait de son épée -elle commençait à aimer cette arme- le type explique le plus vite possible qu’il était un satyre venu les protéger et qu’il n’y avait aucune raison que vous le menaciez, aussi aimerait-il que Cléo pose son arme, s’il-vous-plait-merci. Ce qu’elle fit avec une moue déçu. Alors qu’elle ajoutait qu’elle aurait bien aimé l’emmener avec elle et que tu essayais de lui expliquer le plus gentiment possible que sortir du musée avec une telle arme ne pouvait pas passer inaperçu, l’épée se transforma en un collier avec un attrape-rêve en pendentif.

-Trop cool !

Pour le coup vous aviez eu la même réaction. C’était trop génial ! Et votre joie ne fit que redoubler lorsque le satyre, Jeff, vous révéla l’existence des demi-dieux et de la colonie. Enfin un endroit sympa pour passer les vacances. Cependant, tu ne pouvais chasser de ton esprit que ton père t’avait menti depuis ta naissance. Et cela t’énerva encore plus lorsqu’il ne parut pas surpris quand tu lui annonça que tu partais à la colonie. *Sympa, ça fait plaisir de voir que l’on se faisait confiance…* Cependant, tu savais ce que ton père avait fait pour toi, tu savais qu’il avait quitté l’Ecosse parce qu’il t’aimait, et qu’il avait toujours essayé d’être le meilleur père qui soit. C’était pas sa faute s’il n’y arrivait pas tout le temps.

Et c’est ainsi que un jour plus tard, vous arriviez à la colonie. Les premières semaines passèrent tellement vite, tourbillon de bonheur et de sensations inconnue. Te faire reconnaître par ta mère, savoir que malgré tout, elle te considérait comme sa fille, cela te fit énormément plaisir. Découvrir les bungalow, assister aux première leçon de combats, aux soirées, aux jeux de capture l’étendard,… Oui, Cléo et toi nagiez dans le bonheur. Rapidement, vous êtes devenu des combattantes accomplit, Cléo, redoutable tigresse avec son épée et toi, toupie humaine qui donnait des coups avec ton hallebarde ( une longue tige de bronze céleste qui était munis, d’un côté d’une pointe de lance, et de l’autre d’une lame redoutable). Tu pouvais la lancer autant de fois que tu voulais, elle revenais presqu’instantanément dans ta main. Comme l’épée de Cléo, elle se transformait en collier avec un pendentif en forme de yin et yang. Avec toi, tu avais aussi un poignard en bronze céleste, qui n’était pas magique. Vous ne veniez que durant les vacances, durant le reste du temps, vous poursuiviez vos études. C’était le bonheur. Jusqu’à ce que Cléo disparaisse, du jour sur le lendemain. Etait-elle morte ? Pourquoi ne t’avait-elle pas prévenue de son départ, si elle était toujours vivante ? Ta peine était encore plus forte devant cette incompréhension. Durant une année, tu resta à la colonie, essayant de faire bonne figure, mais pleurant toujours la disparition de Cléo. Puis, petit à petit, le temps sécha tes larmes, et tu recommença à vivre ta vie, et non à faire semblant. Tu continua tes études et aujourd’hui, tu poursuit une fac d’histoire à New-York. Tu reviens autant de fois que tu peux à la colonie et tu essais de vivre ta vie le mieux possible….


.ipar haizea
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MessageSujet: Re: Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) Icon_minitimeVen 24 Juil - 22:42

Bienvenue ! Razz

Jolie personnage que tu as préparé là ! http://img11.hosting
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MessageSujet: Re: Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) Icon_minitimeVen 24 Juil - 22:48

Je suis bien d'accord avec Luke (pour une fois XD) Bienvenue !
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MessageSujet: Re: Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) Icon_minitimeVen 24 Juil - 23:27

Merci Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) 1307898440


Dernière édition par Ailean McIntyre le Sam 25 Juil - 9:31, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) Icon_minitimeVen 24 Juil - 23:53

Bienvenue ! Quelle prez ! :O
Le parent divin est original aussi, ça change :) Et ton perso est intéressant, donc va falloir qu'on parle "lien" tous les deux ! xD
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MessageSujet: Re: Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) Icon_minitimeSam 25 Juil - 0:06

Coucou et bienvenue parmi nous! Que dire à part que ta présentation déchire grave? Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) 1518356770
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Eléa A. Stiles

Eléa A. Stiles

MORTELLE

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MessageSujet: Re: Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) Icon_minitimeSam 25 Juil - 1:17

Bienvenue!! Et il nous faut un lien! XD
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MessageSujet: Re: Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) Icon_minitimeSam 25 Juil - 2:48

Bienvenue ♥️

J'aime beaucoup ta présentation et ton parent divin est très original et puis les pouvoirs de la demoiselle sont aussi très intéressants Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) 447504195

Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) 802312239
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MessageSujet: Re: Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) Icon_minitimeSam 25 Juil - 9:32

Merci tout le monde, je vous aime déjà Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) 1518356770

Ouiiiii des liens, je veux des liens What a Face
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MessageSujet: Re: Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) Icon_minitimeSam 25 Juil - 10:38

Une fille de Themis, j'adore I love you En plus l'avatar est super mimi. http://img11.hosting Bienvenue donc parmi nous, et si tu as des questions n'hésite pas ! Quand tu auras terminé ta fiche, n'oublie pas de la signaler ici pour qu'on ne t'oublie pas ♥️

(edit, je viens de voir dans ton titre que tu avais terminé, autant pour moi.)
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MessageSujet: Re: Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) Icon_minitimeSam 25 Juil - 10:41

Bienvenue par ici Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) 1278932214 J'aime aussi le choix de parent divin http://img11.hosting
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MessageSujet: Re: Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) Icon_minitimeSam 25 Juil - 11:40

Bienvenuuuuue ! :D
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MessageSujet: Re: Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) Icon_minitimeSam 25 Juil - 12:08

Bienvenue !! Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) 3347081632

J'aime beaucoup ton personnage ! Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) 690494228
Et pis, moi aussi, j'veux un lien !! Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) 2017931712
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MessageSujet: Re: Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) Icon_minitimeSam 25 Juil - 12:22

Dasha Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) 36445281 Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) 690494228
BIENVENUE PARMI NOUS (moi aussi je veux un lien d'enfer Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) 2017931712 )
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MessageSujet: Re: Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) Icon_minitimeSam 25 Juil - 14:59


Bienvenue Ailean

Sois la bienvenue sur Filiorum Ex Deorum, Ailean McIntyre ! Te voilà donc validée ! Ta fiche était super sympa, j'ai beaucoup aimé.  http://img11.hosting  J'ai beaucoup de mal en temps normal avec la rédaction des histoires/rps à la deuxième personne mais j'aime ton style, il est sympa comme tout ♥️ J'ai hâte de voir si tu fera Cléo en scénario (parce que son prénom moi je l'aime, il est original et historique à la fois **) Je te souhaite encore la bienvenue parmi nous, amuse toi bien !  I love you .

Maintenant que tu fais partie des nôtres, voici ce que tu en dois surtout pas oublier ♥️ Si ton personnage est un double compte, rendez vous juste ici. Ensuite n'oublie pas d'ouvrir ta fiche de liens à cet endroit et ta fiche de sujets juste . N'oublie pas de remplir ton profil, c'est toujours plus agréable pour les gens avec qui tu rp ♥️ Si tu veux obtenir un job au sein de la colonie ou hors colonie en fonction de ton personnage c'est ici que ça se passe.

Enfin, si t'as une question, une suggestion, une demande, une idée, bref, n'importe quoi, ou même si t'as juste envie de causer, n'hésite pas à t'adresser à Lucianna Jackson, Grace Turner, Neal Evans, Sonny Gaither ou Williams Peverell, tes administrateurs qui sont là pour toi !

Amuse-toi bien sur Filiorum Ex Deorum  Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé) 1615225656  

.ipar haizea
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Liberté, ô vertiges et tranquilles pieds nus (Paul Eduard) - Ailean (terminé)

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