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just let it be. + noa

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MessageSujet: just let it be. + noa just let it be. + noa Icon_minitimeJeu 20 Aoû - 17:24


so come on, let it go, just let it be. why don't you be you, and I'll be me ?
everything that's broke, leave it to the breeze. why don't you be you, and I'll be me ?



Les vacances d’été. Ce moment, où pratiquement tous les sangs mêlés sont réunis à la colonie. Cette période, où il y a le plus de jeux, d’activités, de bêtises, mais surtout, de blessés. Par attaque ou à cause de jeux idiots comme le capture l’étendard,  par exemple. Ces courses de char aussi. C’est totalement imbécile. Tu ne participais jamais à des jeux comme ça, tu trouvais que ça te faisait perdre du temps, et c’était fait pour les autres. Mais les blessés étaient aussi quelques fois dû à des monstres, et plus qu’il n’y paraissait ! C’était comme si, les monstres aussi, profitaient des vacances pour attaquer des héros. Du genre « le monstre qui en tue le plus. » ou encore « celui qui se fait désintégrer à perdu. ». Oui, en fait c’était totalement ça. Heureusement, ça arrivait surtout au début, en juin/juillet, par exemple. Faut dire, en août, les Héros les avaient pratiquement tous désintégrer alors y’en avait plus vraiment. Heureusement pour l’infirmerie, nous étions en août, et elle n’était donc pas blindée comme elle l’eut souvent été. L’infirmerie, c’est l’endroit où tu passais la plupart de ton temps. Non pas parce que tu aimais l’odeur acre des malade et des médicaments –sarcasme-, mais parce que tu la gérais depuis déjà quelques années. Tu ne sais d’ailleurs même plus la raison pour laquelle tu as décidée d’y travailler, mais ce qui est sûr, c’est que c’est ici qu’on pouvait te trouver, quand tu n’étais pas dans ton bungalow ou dans le sauna. Aujourd’hui, tu étais seule. Les autres profitaient du beau temps, mais tu venais de relayer ta dernière collègue, qui était partie, elle aussi, s’amuser. Ça ne te dérangeait pas. Être seule dans l’infirmerie t’était maintenant presque une habitude, enfin seule : il y avait toujours un ou deux patients pour te tenir compagnie. En fait, l’infirmerie, tu l’appréciais bien. Elle était reposante et comme tout le monde, tu avais besoin de moment reposant, autre que la nuit. Tu venais de rentrer dans le bungalow où était installée l’infirmerie ôtant ton chapeau Tribly en paille, enroulé d’un ruban ethnique sur tes cheveux actuellement d’un blond argenté. Tu t’occupais d’aller voir les quelques héros couchés sur les lits de l’infirmerie, changeant leur eau et leur mettant à manger sur leur table de nuit, leur compresse imbibées d’eau tiède pour certains, et une petite dose d’ambroisie pour ceux encore trop faibles. Une fois dans l’infirmerie, à t’occuper des malades, tu devenais quelqu’un d’autre. Tu n’étais plus cette jeune femme narcissique que tant de personne détestait à la colonie. Tu devenais compatissante, douce, voir même carrément attentionnée. C’était d’ailleurs assez surprenant, la manière dont tu pouvais t’occuper de certaines personnes qui te détestaient et que tu n’aimais pas non plus, avec une douceur telle qu’on pourrait croire que vous vous entendiez à merveille. Tu n’avais aucun don particulier pour la médecine ou la guérison, et pourtant tu occupais avant tout un poste d’infirmière à merveille. Tu avais souvent tenu compagnie à certains patients, nuit et jours, convalescents et seuls. C’était devenu une habitude. Mais il y avait ce héro, à qui tu avais tenu compagnie étrangement longtemps, alors que son état s’était largement améliorer au bout d’un ou deux jours. Noa. Le fils d’Héphaïstos. Oui-oui, c’est bien lui. Et dès que tu entends son prénom, tu ne peux t’empêcher de grimacer. Tu ne l’aime pas ? Ah non, ce n’est pas ça, pas ça du tout. Tu l’apprécie bien. Et peut-être un peu plus que tu ne voulais te l’avouer. Ah, j’ai tord ? Alors dis-moi pourquoi tu l’évite ? Pourquoi tu ne lui parle plus ? Pourquoi tu ne cherche pas à avoir de ses nouvelles, alors qu’il travaille à l’année à l’extérieur de la colonie, à la merci des monstres ? Ah-ah. Tu n’as plus rien à dire maintenant. Soudain, quelqu’un entra en trombe dans l’infirmerie, faisant cogner ses pieds sur le bois épais du sol. Tu te retournais vivement, surprise et manquant de faire tomber le pichet d’eau que tu tenais dans tes mains. Si le pichet avait été plus facile à casser, tu l’aurais sans doute éclaté entre tes mains, qui le serrait, de plus en plus fort. Le héro qui était entré dans l’infirmerie à une telle vitesse était l’uns des fils d’Héphaïstos. Et pas n’importe lequel, parce qu’il en avait une belle ribambelle, le dieu qu’on disait le plus laid de l’olympe. Allez, vous pouvez le deviner nan ? C’est Noa. Quelle coïncidence, on parlait justement de lui !
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MessageSujet: Re: just let it be. + noa just let it be. + noa Icon_minitimeJeu 20 Aoû - 18:21

Parfois, je me demandais comment je faisais pour être aussi génial. Nan mais vraiment, genre pas le mec génial qui plaît au fille juste avec ses abdos, mais plutôt l'ingénieur génial qui venait de créer un système de brumisateur sur un ventilo, pour une double dose de fraîcheur. C'est sûr qu'avec ça, j'allais faire fureur. J'pourrais peut-être même en vendre, qui sait ? En tout cas, j'avais bien l'intention d'installer ça à côté de mon lit, parce qu'il faut l'avouer, il fait vachement chaud au camp des Sangs-Mêlés. En même temps, avec autant de Soleil, fallait pas non plus s'attendre à de la neige. Et encore, on m'avait dit que le temps à l'intérieur du Camp était contrôlé par quelqu'un, sûrement Dyonisos ou un autre Dieu. Remarquez, je voyais mal Dyonisos au contrôle du temps, vu sa mine lugubre, y'aurait eu des orages tous les jours.

Fier de moi, je pris ma nouvelle invention que j'avais sobrement baptisé "Ventibrumisateur" avec la ferme intention de l'essayer dès maintenant. Parce que s'il faisait chaud dehors, il la température était encore plus élevée dans la forge. Du coup, mon t-shirt était trempé de sueur et me collait à la peau. Heureusement qu'il était couleur bleu sombre, parce que sinon tout le monde aurait pu voir ce qu'il y avait en dessous... Et j'avais horreur de ça. En fait, rien que de m'exhiber en public, habillé ou non, étais pour moi vraiment gênant. Le fait que tout les regards soient braqués sur moi me faisais rougir en moins de temps qu'il ne faut pour dire "Zeus". Sois disant ça faisait craquer les filles, mais moi j'y croyais pas trop. Puis bon, filles ou mecs, j'étais pas très regardant. Ca m'arrivait souvent d'avoir des papillons dans l'estomac en regardant quelqu'un. Bon, le physique était pas excessivement important, même si ça comptait un peu, mais c'était plutôt ce que faisait la personne, et son caractère. En général, les personnes qui agissaient pour le bien des autres me plaisaient bien.

Et il y avait une femme en particulier qui correspondait bien à cette description. Chaque fois que je la voyais, il se passait un truc bizarre, genre je rougissais alors que personne ne me regardait, ou j'avais des fourmillements de partout. C'était vraiment bizarre. Pis bon, c'est vrai qu'il fallait avouer qu'elle était pas mal, surtout pour une fille d'Aphrodite. En général, je trouvais que c'était des pimbêches hargneuses et dégradantes. Mais celle-ci, elle était particulière. Genre elle arrivait vraiment à toucher mon cœur. Du coup, ça me fait peur. J'ai l'impression qu'elle peut me contrôler juste par un regard. Alors j'évite de la croiser, pour le bien commun.

Sauf qu'en pensant à elle, j'avais pas remarqué que le ventibrumisateur s'était allumé. Ca, c'était à cause de l'un de mes pouvoirs, je peux activer des objets par le toucher. Et parfois, bah je ne le contrôle pas. Comme là en fait. Ce qui venait de me ramener à la réalité, ce fut lorsqu'une des pales du ventilo me trancha dans le bras. A cause de la douleur, j'en avais lâché mon invention qui s'écroula par terre et se brisa. Plus soucis de ma santé que de celle de l'objet, je l’enjambai, direction l'infirmerie pour me faire soigner ça. Les autres pensionnaires me regardaient traverser le camp, le bras en sang, mon autre main posée dessus. Certain avaient essayé de me question, mais je leur avais répondu par un grognement, pour leur dire que c'était pressant.

Une fois devant la bâtisse que je connaissais plutôt bien pour y être allé plusieurs fois, j'entrai dedans. Et là qu'elle ne fut pas ma surprise de voir Cassandre, une cruche dans les mains, et qui me fixait. J'en restai bouchée bée. Même étonnée, elle était craquante. Et puis j'en oubliais la douleur dans mon bras. Sauf que ça saignait encore, et que ça tachait le sol. Du coup, je balbutiai :

-Euh ... Je... Je peux re.. Repasser s'il faut. Je déglutis rapidement. Je reviendrai nettoyer plus tard. Et là, je fis un pas en arrière, près à repartir. Sauf que je trébuchai et m'étalai par terre en poussant un nouveau grognement, la douleur dans mon bras revenant au grand galop. Youpi, je m'étais ridiculisé devant la seule fille du camp capable de me faire sentir encore plus bizarre que je ne l'étais déjà.
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MessageSujet: Re: just let it be. + noa just let it be. + noa Icon_minitimeVen 21 Aoû - 21:56


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Nom de Zeus Cassandre ! Il avait le bras en sang et toi tu restes plantée là comme une crûche –il y a une ressemblance, non ?- avec justement une crûche dans les mains ! Et pourquoi tu allais pas le voir, lui demander de s’asseoir raisonnablement sur un lit, et t’occuper de soigner ce bras qui allait finir par le vider totalement de son sang ? Et bah ça, personne ne le savait. Ce qui était sûr, c’est qu’avec surprise te concernant, tu n’arrivais plus à prononcer le moindre mot. Ouais, y’avais plus rien qui sortais de ta bouche entrouverte. Pouf, disparu. T’as pu de voix, comme Ariel la p’tite sirène qui se la fait prendre par la grosse méchante. Ah nan, pas question, c’est pas moi la méchante qui t’a pris ta voix, c’ets juste le fait de voir Noah ! Oui oui, mais c’était sûr que pour toi, pas question de l’admettre. Même pas à toi-même. Oui, on allait rester sur ce sujet longtemps, et surtout si tu le laisses là, mourir devant tes yeux, alors que son sang perlait pour s’écraser sur le parquet de l’infirmerie. Ah mais ça, c’est pas grave, le parquet. C’est Noah qu’est grave, espèce d’imbécile heureuse ! « Euh ... Je... Je peux re.. Repasser s'il faut. » Non. Non il ne le fallait pas non. Il allait pas se soigner comme ça, tout seule, en utilisant un marteau ou je ne sais quoi d’autre que les Héphaïstos ont l’habitude d’utiliser. D’ailleurs, tu étais pratiquement sûre que c’était à cause de l’un de ces machins qu’il s’était blessé. Ouais, au fond de toi, n’empêche, au fond de toi, y’a moi, et c’est moi qui pense ça ! Mais c’est la même chose. Mais tu restes plantée là, encore. Y’a rien qui peut te faire te réveiller ? On aurait dit que Cronos lui-même avait arrêté ton temps, ou alors l’avait ralenti. Sauf que nan, tes paupières battaient à une allure normale. Rah, c’est pas possible d’être aussi bornée, des fois ! Je me demande ce que je fais comme conscience dans ta tête. Je devrais être dans la tête d’une Athéna, nan ? Elle, elle comprendrait du tac au tac au moins! Pas comme certaines… « Je reviendrai nettoyer plus tard. » Et lui, qu’il en rajoute pas ! Il avait intérêt à rester, ou alors vous gouterez à… Ouais, à rien, e fait. J’suis qu’une conscience… Le fils d’Héphaïstos super mignon se met à faire un pas en arrière, pour repartir aussi vite qu’il était arrivé, et sans avoir recouru à de quelconques soins, sauf que –Hallelujah, je sais, c’est méchant- il trébuche et tombe à la renverse, grognant de douleur. C’est là –ENFIN- que tu te réveille de ton rêve éveillé –mais était-ce bien un rêve ?-, complètement paniquée, en voyant le bras ensanglanté de Noa, et l’Héphaïstos par terre. Tu pose la cruche en hâte –nom de Zeus, tu as le temps de faire ça !- avant de courir à moitié vers Noa pour l’aider à se relever. « T’es complètement taré ! Tu restes ici, tu dois faire soigner ton bras. Qu’est-ce que t’as fais encore ? » ta voix sonnait "inquiétude" à pleine oreille. Tu soulève le bras encore en pleine santé de Noa tandis que tu l’amène à un lit disponible –de toutes manières, y’en avait pas mal de disponibles !- et le plus loin possible des quelques pensionnaires en convalescence, pour une raison totalement inconnue –enfin, toi tu sais pas, mais moi, j’ai ma p’tite idée sur le sujet !-. Tu te hâte d’aller chercher de quoi soigner le bras du jeune homme : de l’eau pour nettoyer le sang et la blessure, un désinfectant dans l’armoire à pharmacie, un fond d’ambroisie au cas où, des pansements et un grand bandage. Les bras chargés, tu revenais à peine une minute plus tard, en trombe. Tu t’en voulais de lui montrer que tu t’inquiétais à ce point, mais il valait mieux être efficace et s’occuper de l’entaille au plus vite plutôt que de penser à ce qu’il pouvait justement penser de toi. Et tu commenças à panser sa blessure, avec une telle douceur qu’il aurait été étonnant si tu lui avais fait mal. Le maudissant pourtant intérieurement, de s’être blessé à ce point.
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MessageSujet: Re: just let it be. + noa just let it be. + noa Icon_minitimeMar 3 Nov - 18:14

Bah moi du coup, je savais plus quoi faire. Déjà, Cassandre semblait super inquiète, du coup bah moi j'avais peur. Ca s'trouve, mon ventilo était pas propre, et du coup j'avais choppé une bactérie. Ouais, ça devait être ça. Je devais être tout vert et du coup ça faisait peur à Cass. Sauf que quand je regardai mon bras, il était plus rouge que vert. Mais peut-être que sous le rouge de mon sang, il était vert ! Fallait que je vérifie. Sauf que j'eus pas le temps parce que Cassy venait déjà me relever. Pff, elle voulait peut-être pas que je vois mon bras vert. Pourtant, j'étais sûr que cette couleur devait bien m'aller au teint.

Bien vite, je me retrouvai assis sur une lit. Il était pas très confortable. J'pense que ça doit venir de mon vert. Il a dû s'étendre jusqu'à mon postérieur et du coup ça bloquait mes nerfs. Oh p*tain, c'était peut-être ça en fait. Je n'ai plus de nerfs ! J'allais prévenir Cassandre mais elle était déjà occupée à me panser le bras. Elle était toute douce Cassandre. Genre on aurait dit du coton. Ca se trouve, Cassandre c'était du coton ! Mais un coton qui sent bon hein. Ouais, elle sentait bon Cassandre. Moi j'voulais lui faire un câlin pour voir si elle était vraiment en coton. Mais je pouvais pas, vu qu'elle avait mon bras dans ses mains. Pis bon, j'avais peur de lui transmettre mon vert. Quoi que, une Cassandre en vert, ça devait être mignon aussi.

Pis là, j'me rendis compte qu'elle entendait peut-être mes pensées, alors je me suis mis à rougir, genre rouge tabasco. Je devais être ridicule. Même si j'avais l'habitude, je voulais pas que Cassy me voit comme ça, du coup je tournai la tête. Comme ça elle ne pouvait plus me voir, un peu comme une autruche. En fait, c'était super intelligent une autruche ! Pis c'était pas c*n leur idée là de "si je te vois pas, tu me vois pas". Du coup j'espérais avoir disparu de devant la fille d'Aphrodite. Mais ça devait pas être aussi facile que ce que je pensais, parce qu'en fait j'me voyais encore dans le miroir. Puis Cass voyait toujours mon bras vu qu'elle venait de finir de le soigner.

D'ailleurs j'étais affreusement déçu parce que je me rendis compte que mon bras était toujours couleur chair. Ca voulait dire qu'elle m'avait aussi soigner mon vert ? C'était cool et ça ne l'était pas en même temps. Mais du coup, je lui dis quand même :

-Merci pour mon bras et mon vert... Le rouge qui m'avait si vite quitté me revint rapidement aux joues et je savais pas quoi dire d'autre. Du coup je balançais mes pieds d'avant en arrière. Voilà, détournement d'attention. Ouais bon, c'était pas grand chose en fait. Du coup je choppais l'ambroisie pis j'en mangeais un dés. Je sentais déjà mon bras s'alléger et aller mieux. Du coup je posais l'autre sur les épaules de Cassandre. J'savais pas pourquoi. Mon cerveau marchait plus. Par contre mon cœur, lui, il avait envie de s'exprimer... Et pas qu'un peu !
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