| Sujet: La vigne et son soleil Dim 25 Jan - 18:03 | |
| COUCOU !! :3 Alors déjà je ne savais pas où poster ça puisque dans la partie créations y a que du graphisme et que j'ai juste besoin d'avis pour savoir si je continue cette histoire que j'ai commencé à écrire il y a genre six ans mais que j'avais abandonné. Oui ça date.... donc merci de votre avis et cela explique aussi que mon style d'écriture soit sûrement bien plus enfantin que celui que vous lisez dans mes RPs ^^. Bonne lecture. - Spoiler:
Dionysos regarda avec mélancolie son lit king size dans chambre. Et dire qu’il y a quelques millénaires, Ariane y dormait avec lui. Oui, il ne s’était jamais vraiment remis de la mort de l’humaine. Mais, un jour, Thanatos avait frappé à leur porte et la belle humaine avait accepté de le suivre. Il s’était dit que s’il tombait amoureux à nouveau un jour, il ne referait plus jamais la même bêtise et il laisserait son aimée choisir entre la vie sur l’Olympe avec lui, ou bien la vie sur Terre avec sa famille et ses amis. Il ne fallait plus jamais qu’il refasse la même erreur. Il ne se le permettrait pas. Remplissant à nouveau son verre d’une ambroisie parmi les plus pures d’une pensée, le dieu ne pouvait s’empêcher de penser que ce jour-là, plus précisément dans quelques secondes, sa vie allait encore changer.
« Zeus a enfin ramené sur l’Olympe une de ses progénitures !! Youhou !! J’ai une sœur moi !! »
Le jeune homme reconnut la voix d’Hermès immédiatement. Il alla sortir directement de sa maison et se précipita dans le palais de son père pour voir une petite fille d’environ trois ans se cacher derrière ses jambes, par rapport sûrement à tout ce monde autour d’elle. Elle avait de longs cheveux blonds comme le blé et des yeux bleu océan, hérités de leur père.
« Je vous présente ma fille et votre nouvelle sœur, vous mes chers enfants. Elle s’appelle Juliette Gabriella Andréani. »
La petite commença à pleurer à l’entente de son nom de famille. Pris d’un soudain élan de fraternité, Dionysos alla prendre sa nouvelle petite sœur dans ses bras tandis que Zeus soupirait parce qu’il n’avait pas de succès de nouveau avec ses enfants. Il lui indiqua d’un coup de tête la chambre de la petite fille. Le jeune dieu y monta tandis que la jeune Juliette le regardait dans les yeux, totalement émerveillée. Quand il l’eut déposée sur son lit, elle lui dit quelque chose qui le surprit :
« Plus tard, je me marierai avec toi. La voyante de maman a dit que je me marierai avec un dieu. »
Il sourit, il trouvait cela mignon, bien qu’il n’y croie pas du tout. Comment une voyante pouvait-elle prédire cela ? Peut être qu’Apollon le pouvait mais pas une simple diseuse de bonne aventure. Il dit bonne nuit à sa petite sœur, car oui on était le soir, et s’en alla trouver son demi frère Apollon qu’il trouva dans la salle du conseil.
« Hey l’alcoolo ! »
« Mouais … salut … dis-moi, tu peux me dire si je vais me marier une deuxième fois ? »
« Oui ! Mais je te laisse découvrir avec qui. »
Dionysos regarda le dieu s’en aller et retourna chez lui pour aller se coucher. Il ne voulait pas retomber amoureux, oh ça non. Cela lui avait déjà fait assez de mal avec Ariane qui lui avait à peine rendu son amour. En même temps, il l’avait un peu forcé à l’épouser. Il était jeune, amoureux et fou. D’ailleurs, il était toujours fou. C’était une de ses principales caractéristiques. Il était d’ailleurs ce qu’il était et personne ne le changerait jamais. C’est sur cette douce pensée se portant sur sa nouvelle petite sœur que le dieu du vin s’endormit. Ses rêves furent plutôt agités. Il se voyait retourner aux Enfers pour retrouver une jeune fille ressemblant étrangement à Juliette en plus grande. Il lui annonçait son mariage avec Artémis et il voyait la fille éclater en larmes. Il se demandait pourquoi il rêvait de cela. Il voyait une autre fille brune le supplier ensuite de ne pas se marier avec sa marraine. Ce fut un sommeil assez agité qu’il eut et, après s’être réveillé vers cinq heures du matin, il ne réussit pas à se rendormir, toujours aussi perturbé parce le rêve, si on pouvait appeler cela comme ça, qu’il venait de faire.
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