Heyo! Je crois qu'il y a un petit problème avec ta fichette (mais je suis sûre qu'il sera réglé très vite ) Bienvenue parmi nous jeune Chasseresse!

Salut !
Bah, alors, là, je comprend pas. Je suis validée ou pas ? :D

En espérant que les chasseresse embêtent pas trop les gens...

Bref...BIENVENUUUUUE !

Hem, tu as posté ton histoire dans la partie validée en fait, 'fin c'est bizarre!

Coucou

Si j'peux me permettre un ou deux commentaires (quoi que je ne suis pas du staff alors ils sont peut-être erronés ) =O
1~ Tu as posté ton histoire au mauvais endroit. Voit avec un admin comment arranger cela?
2~ J'ai vu ta demander de métier. Tu veux que ton personnage, une fillette de 15 ans, gère un hôpital? J'sais pas, mais je trouve que c'est un peu beaucoup irréaliste x)

Sinon, bonne chance pour ta fiche, et bienvenue

Welcome miss :) bon courage pour ta fiche :)

Hey Bienvenue, déjà, ton histoire doit être posté dans un seul et même sujet et puis, tu as un peu tout cassé le code xD Mais bon, ce n'est pas trop grave. Ensuite, il te manque un avatar et tu n'as pas rempli toute ta fiche, le staff devrait passer bientôt et te donner de plus amples renseignements !

Bienvenue parmi les chasseresses !!!

Et voici mon histoire ! (Celle de Thalia, hein.)
Un oiseau passa par-là, regarda de droite à gauche et survola la tanière où, en cette froide matinée d’hiver où je devais naitre… Ma mère était allongée sur une banquette près de ma Marraine dont elle avait demandé sa présence et celle du docteur Asmogia… Mes Oncles et le restes de la famille n’étaient pas là mais je savais qu’ils apprendraient ma naissance rapidement et avec grand plaisir !

Ma mère allaitait avec force et vitesse, malgré contre ma volonté, je lui faisais mal… Ma marraine essayait de me faire sortir pendant que mon père restait à ses côtés, lui tenant la main et pensant au futur qui les attendait...

Le médecin, sérieux mais paniqué s’occupait de tout pour que rien ne soit fait au hasard et qu’un malheureux accident se déroule devant ses yeux avec à ses côté une autres humains qui lui tenait un os comme seul antidouleur…

Un de ses cris retentit, puis un deuxième, puis un troisième, ils résonnèrent dans la maison de Marraine. Puis un autre, et encore un, je sortais la tête et embrassais ce monde nouveau qui s’ouvrait désormais à moi. Mes cris se lièrent avec harmonie aux cris de ma chère mère qui s’estompèrent peu à peu…

Je grandis avec ma mère majoritairement jusqu’à l’âge de 8 ans et ma marraine pris le relais pour un problème qui m’avait été caché jusqu’à présent. Mon père s’occupait aussi de moi mais très occupé par son métier, il partait souvent hors de notre foyer pour s’aventurer on ne sait trop où… Puis je rencontrais ma sœur pour la première fois ma sœur ainée, que je trouvais très belles, grandes, et fort aimable ! Du moins avec moi…

Je continuais à grandir jonglant entre la forêt, la grotte et la maison mais il était maintenant temps que j’aille apprendre toutes sortes de choses dans ce monde ! Après que ma Marraine m’eut amené aux portes de la Colonie, je fis la connaissance de plusieurs personnes dont certains préfets que je trouve, malgré leurs absences à répétitions, très aimables… puis je découvris cette grande pièce où je venais souvent, je trouvais qu’elle était grande, belle spacieuse et propice à l’apprentissage…

Une montre à gousset était posée là, sur le coin de la table en ébène finement travaillée dans cette vaste pièce qui semblait être un auditorium vieux comme le monde. C’était une grande pièce, avec un plafond d’une bonne centaine de inches, embellie à l’aide des nombreuses dorures accrochées aux murs et au plafond qui nous transporterait presque dans un grand opéra, le rouges vif des assises faisait penser à une rose et les marches tapissées joliment de velours bordeaux faisaient le tour de la pièce et rejoignaient deux portes à grandes vitres devenues opaques par la saleté. En effet le rouge des sièges avait plus laissé place à une couleur semblable à du sang coagulé et la scène en planche de chêne ma foi bien construite était recouverte d’une couche impressionnante de poussière ; Il n’y avait apparemment eu personne dans cette vaste pièce depuis longtemps…

Les peintures murales qui commençaient à s’écailler représentaient les muses ou les allégories des notes de musiques, des instruments symphoniques représenté de manières extrêmement calculé avec toujours pour fond cette abondante verdure composée de myosotis d’argent et de grandes feuilles de vignes qui venaient cacher par-ci par-là le sexe de certaines représentions.

Le bureau se trouvait au milieu de la scène, un objet de décor très bien travaillé qui attirait sur lui tous les regards et toutes les admirations de ses ex-spectateurs… Un pied était légèrement entaillé par ce qui semblait être une lame de couteau ou nous pouvions, une fois assez proche, apercevoir les initiales de ce qui, je supposais, était le créateur de cette pièce.

La grande suivait sa cadette de près, indiquant sur la montre midi moins le quart, le tic-tac incessant de la montre résonnait dans l’auditorium comme un métronome infatigable. La trotteuse continuait sa course effrénée, on aurait dit qu’elle essayait de rattraper le temps qui, de son côté, n’avait aucun envie qu’elle le rattrape… un peu comme vous savez, ces fameuses histoires d’amour où une femme court après un homme et que, par le plus grands des malheurs, et par la grande surprise des lecteurs, se voit le cœur déchiré par cet individu qu’elle aimait, elle décide donc de façon puérile de mettre fin à ses jours en se jetant d’une falaise ou en se poignardant devant cet homme qu’elle aimait… mais soit, étant donné que cet homme ne l’avait jamais aimé, il pourrait même en rire, pour accentuer les souffrances de cette femme tiraillée par ce sentiment véritable qu’est l’amour…

D’un coup sec, je reculais la chaise en bois, elle aussi travaillé comme le bureau, pour que le semblant de saleté puisse tomber sur le sol et m’asseyais avec ampleur et fatigue sur ce siège centenaire devant se public fantôme qui me scrutait depuis mon arrivé. Je sortie un stylo et un bouquin à la couverture noir et habillé de quelques dessins enfantins dessinés par ma sœur aînée il y a de ça quelques années déjà et l’ouvris, me mettant à décrire la salle de façon la plus formelle possible, de telle sorte à ce que si quelqu’un reprenait mon ouvrage, il comprendrait, verrait et se situerait tout de suite dans le cadre actuelle.

La grande était désormais en parfait accord avec sa cadette et affichaient XII. Les cloches de l’église modeste du centre-ville se mirent à tinter une mélodie méconnue de tous, du moins qui était pour nous dénuée de sens étant donné que jamais personne ne nous en avait donné les paroles… beaucoup de paroliers et de chansonniers ont essayé d’habiller cet air avec des vers plein de beautés et sens mais rien n’y faisait.

Je devais désormais quitter cet endroit qui m’était cher et propice à la méditation des âmes et devais retourner dans la cours. Je regardais préalablement dans autour de moi de façon vive mais mécanique comme si je voulais trouver quelqu’un d’autre avec moi dans cette vaste pièce, mais seul un mugissement du vent qui était passé pas les portes battantes m’avait assuré le contraire ; Je me permis donc d’ammener avec moi la grande et sa cadette que je glissais soigneusement dans une de mes poches surjetées d’or.

Puis je mis une main devant l’autre, poussais les portes sale de la salle et m’exposais de nouveau aux rayons du soleil qui me caressèrent tout le long de mon corps et venaient chercher subtilement mon corps de femme caché sous ma tunique sombre plutôt raffiné. Désormais à l’extérieur, j’observais rapidement mais avec attention tout ce qui se passait.

De malheureux hommes essayaient vainement de s’inventer des histoires plus ou moins héroïque où régnaient terreur, sang et magie infantile… L’un sortait une dague, bien évidement en dépit du règlement en vigueur et l’autre simulait se la prendre dans le cœur, s’allongeant par la suite au sol sans bouger… soit comment décrédibiliser une scène plus rapidement que de mentionner sa décrédibilisassions… et pendant ce temps, d’autre préféraient chercher des ennuis dans le réfectoire ou trône un parloir en chêne positionné de telle sorte à ce qu’il soit exactement entre les deux tables, elle aussi en chêne massif que je trouvais, soit dit en passant, fort sale… Il est vrai que se plonger dans le mythe est bien trop inintéressant pour des profanes de la sortes. Par chance, ma mère Naryaa m’enseigna la vie en société et le bon comportement des femmes, ma marraine Scarcci m’enseignait les arts libéraux pendant que mon père Kwiz s’acharnait à m’apprendre les bases de la défense.


La grande et sa cadette décrivaient à lors un angle parfaitement verticale de pointant à leurs tours XII & VI, il était temps que je me dépêche pour aller en cours, les salles n’étaient pas à côté de ce somptueux jardin qui étais garnit de ses lilas et ses roses, avec ses nénuphars bercés par le rythme incessant de l’eau et par le chant du vent sifflant dans les branches par un si doux début d’après-midi.

Je me levais rapidement, et, je me rappelais. Plus jamais je ne ferais confiance aux... "Hommes". Je pensais qu'il me ferais confiance et que je pourrais leur rendre cette confiance... Mais non. Escrime. La lame douloureuse, aiguisée s'enfonce dans ma peau. Dans mon bras, plus précisément. Tout ça juste parce que j'ai fait perdre mon équipe à "Capture-l'étendard". La douleur si intense, si... J'étais à bout de toute force. Prenant ma seule force restante : l'espoir je me relevais et je marchais. Je m'enfui dans la foret, et... J'ai trouvé la Dame Artémis. Elle m'a acceptée comme Chasseresse ! Je continue donc ma vie auprès d'elles, les Chasseresses.

Voici mon récit, ma vie.
Celle de Thalia. Thalia Fegari.

Bienvenue  

Je vois d'après les réponses des autres membres que Artémis est très présente dans ton histoire^^ Je n'ai pas encore lu toute l'histoire faute de temps mais si tu as un problème ou une question à poser ma boîte à mp est grande ouverte (PS: je suis le DC d'Artémis)

En revanche je pense que tu dois reposter ton histoire en dessous de ta fiche de présentation avec le code de présentation^^

Bref, j'espère que tu vas te plaire ici et bonne chance pour ta fichette!

Bienvenue parmi nous ! Alors, pour être validé, il va falloir tout d'abord que tu mette le code du règlement qu'aucun admin n'a validé (c'est à nous de la valider ), un avatar, et que tu mette l'histoire là où il le faut ! Si tu as besoin d'aide, je suis là en cas de besoin

Désolée, à cause d'un bug (ou pas) du forum, je n'arrivais pas à me connecter sur le compte de Thalia. Ne vous inquiétez pas, c'est toujours la même personne qui joue Lola Van Stan. Donc, maintenant, Lola = Thalia (si possible) et, au fait. J'ai trouvé mon avatar mais je n'arrive pas à le mettre à la bonne taille. (célébrité : India Eisley)
Merci !
Thalia Fegari / Lola Van Stan

J'aimerais bien supprimer Thalia...
Sauf que je n'arrive pas à me connecter sur le compte de Thalia.

Nous te faisons ça, pas de soucis, ouvre un nouveau sujet pour ta fiche avec Lola ♥