a Grèce berceau des civilisations et première puissace du monde antique, combien de poètes ou de philosophe on passait des jours ici, telle que Platon ou Homère... Les dieux y avait leurs temple chacun le sien. Je me rendis dans la ville d'Aphrodisia où se trouvait le sataire, le temple de la déesse qui avait une liaison avec mon père donnant naissance à un nouveau demi frère cupidon. Ce dernier devait certainement souffrir du syndrome de Peter Pan dans l'une des forme le plus grave en restant à l'état de bébé avec des anges, mais super arrogant, n'est il pas dangereux de laisser jouer un enfant avec un arc et des flèches? enfin j'étais pas là pour ça.

J'étais dans un état de grade fureur en pénétrant dans le temple, en règle général j'y met jamais les pieds, Aphrodite et moi sommes pas super potes depuis... toujours en faite deviez pourquoi. ne rentrant dans le temple aucun touristes tant mieux je pourrais hurler, après l’affreux on n'a un compte à régler lui et moi:

"CUPIDON! MONTRE TOI que je te défonce, CUPIDON!"

Et oui le petit mec se cachait dans le temple de maman, il se cachait dans les jupon, oi la tunique de sa mère. Au furieux je l'était, moi Killian West, jamais je n'avais était amoureux et c’était aussi bien , mais voilà que maintenant je suis raide d'une fille, la fille de Poséidon, je savais que mon demi adoré il y était pour quelques chose.

Je sentis alors une présence dans mon dos, il était enfin là, je suis retourné rapidement pour lui faire face, mais ce n'était Cupidon qui était là...

Une nouvelle journée commençait. Je me levai de mon somptueux lit en rabattant mes draps en soie blanche et or et m’approchai de la fenêtre. En levant un des pans du lourd rideau qui occultait la lumière, je fus éblouie par le soleil. Une belle journée se profilait devant moi. Peut-être le moment était propice pour faire un petit tour dans mon temple principal, en Grèce. Cela faisait longtemps que je n’y étais pas retournée. Le travail sur le terrain me manquait et l’envie de voir les beaux jeunes gens prier pour leur bonheur était de plus en plus insoutenable. Ah ! Quoi de mieux que de choisir sa prochaine cible sexuelle parmi un large panel défilant chaque jour dans mon temple ?

Cette idée était alléchante et je me précipitai alors dans mon dressing de rêve. J’en ressortie vêtue d’un slim moulant, d’une chemise blanche légère et d’une veste en jean. Me coiffer ne me pris que trois minutes puis je me dirigeai vers la porte de sortie. La plage s’étendait devant moi et lançait un doux appel. Mais j’avais d’autres préoccupations : les jeunes hommes n’attendaient pas ! J’ouvris une discrète porte cachée derrière un pan de mur décoré de plantes grimpantes et atterri comme par enchantement sur le haut balcon du temple de l’Amour.

La journée passa comme un éclair. J’avais déjà repéré plusieurs futurs prétendants quand un jeune homme pénétra dans le temple d’un pas décidé, l’air énervé. Cela m’intriguait. Personne n’était encore jamais venu ici de cette façon. Mon subconscient me disait que rien n’allait aller avec cet individu. D’un coup, il se mit à crier : « CUPIDON! MONTRE-TOI que je te défonce, CUPIDON! » Sa voie résonna distinctement dans la grande salle, répercutée par les murs en marbre blanc. Il tournait en rond conne un lion dans sa cage. Apparemment, mon fils lui avait fait quelque chose d’impardonnable.

Je descendis de l’étage par un escalier caché et m’approcha de lui discrètement. Il se retourna soudain, ayant perçu ma présence. Je me dressai fièrement devant lui. A côté de moi, paraissait plutôt petit. Il me fixa de ses yeux remplis de fureur contenue depuis plusieurs mois. Son regard paru me provoquer. Ma voie s’éleva alors. « Qu’as-tu as reprocher à mon fils ? Pourquoi dérange-tu la tranquillité de ce lieu ? » Je le regardai droit dans les yeux, essayant de déchiffrer ce qu’il pensait à mon encontre.

a déesse me défié du regard, car il s'agissait bien d'Aphrodite, la mère de ce pénible angelot qui joue avec les humains et les demi dieux semble t'il. Parmi toute les personnes que je détestais, Aphrodite tenait une place privilégier. Elle venait du perdre son trône de personnes détestable au profit de son fils sur qui je comptais lui refaire le portrait, après quoi le petit ange aurait des allure de démons. Je déteste la déesse, parce que à cause d'elle, j'avais perdu mon père, il nous avait abandonnée ma mère et moi pour elle, la relation qui existe entre Apollon et Aphrodite et connue, une femme marié qui plus est à un dieu:

" Tient Aphrodite! Ou est ton morveux? J'ai deux mots à lui dire"

Mes yeux et mon corps brûlait d'une fureur infinie, comment avait il osé me faire ça à moi, si seulement je pouvais lui tordre le coup:

"Dit moi où il est, ne te met en travers de mon chemin, je serais navrée d’abîmer ce jolie visage, quoi que non, tu serais en accord avec Héphaïstos tu te souviens ton mari. Celui que tu doit aimer, mais non il t'a pas suffit tu à visé Apollon mon cher papa, tu m'a pris mon père, je te prend ton fils, il est temps que je lui règle son compte, je n'ai que faire de toi ce que je veux c'est ton fils, CUPIDON!"

Un lion qui tourne en cage à côté de moi est très mignon, je fulminait, j'étais en colère comme jamais auparavant, si il se montre pas dans les secondes qui viennent, le temple de l'amour sera le temple de la destruction.