"Hum... docteur Gibson... d'après ce site elle vient seulement de sortir de ses études et exerce depuis peu, pas étonnant: elle est vachement jeune.

Je fermai alors mon ordinateur et me dirigeai vers ma douche après avoir noté l'adresse du cabinet de la dite kiné. J'en avais besoin d'une nouvelle depuis que j'avais assassiné l'ancien, mais ne me jugez pas trop vite il l'avait mérité ! Après tout il avait refusé de coucher avec moi et à la fin de notre rendez vous sa femme est venu à son cabinet, étant à fleur de peau car Kelly venait de disparaître deux semaines plus tôt, j'ai tué les deux. Bref il l'avait mérité !
J'en avais donc besoin car depuis un moment j'avais des douleurs dans le dos, pas pratique pour combattre ou pour danser dans le club.
Une fois sorti de la douche je m'habillai d'un simple débardeur noir ainsi que d'un short en jean. J'essayai de ne pas trop penser à ma fille, je savais qu'elle pourrait s'en sortir et je ne doutais pas qu'elle soit encore en vie au moment où je pensais à cela mais elle restait ma fille alors je ne pouvais cesser de m'inquiéter pour elle.

Peu après m'être habillée je pris un des véhicules dont on dispose au QG et je pris la route vers New York. Arrivée à la dite adresse je montai les marches qui menaient au cabinet et tombai sur une secrétaire, je posai mes coudes sur le comptoir et le regardai en mâchant mon chewing-gum.


Je fis une bulle avec mon bonbon et la fit éclater avant de répondre.




Elle avait regardé une des portes quand elle m'avait parlé, c'était donc forcément là que la doc était, j'allais voir ma nouvelle kiné ! Arrivé devant la pièce je m’arrêtai et attendis finalement. La secrétaire vint peu après et je levai la main pour la faire taire avant même qu'elle ne parle.


J'étais donc devant la porte, attendant que cette dernière s'ouvre.

Depuis quelques semaines seulement, je me suis installée dans mon cabinet à New-York. Ce dernier me convenait vraiment. Il était situé dans un endroit plutôt tranquille dans des ruelles où le bruit de New-York était moins présent.

Je m'y suis donc rendue ce matin, comme quasiment tous les jours car occasionnellement, je vais à la colonie pour pouvoir me perfectionner et puis aussi parce que j'aime bien y passer du temps mais il fallait que je gagne ma vie.
Mais hormis la colonie, j'habite dans un petit studio non loin de mon cabinet qui est tout à fait charmand.

Je quittai donc mon studio pour rejoindre le cabinet où un patient m'attendait pour 8h30. J'y entrais donc 10 minutes avant, et m'occupait de mon patient qui faisait de la rééducation. Je jetais un coup d'oeil à mon agenda. Mon deuxième patient devait venir à 9h et ma journée était chargée. Cela était vraiment appréciable de trouver une clientèle si rapidement parce que c'est ce que je redoutais puisque je ne m'étais pas vraiment fais connaître avant de m'installer ici.
Après 20 minutes d'exercices pour mon patient, je lui ouvris la porte pour le laisser sortir et tous les deux, nous étions un peu surpris de trouver une femme devant la porte qui attendait...mais qui attendait quoi ? À vrai dire, je trouvais cela étrange. Je souhaita une bonne journée à mon patient et ce dernier partit.

Puis je regardai la femme devant moi, puis la secrétaire qui m'envoya un regard méfiant et en même temps elle sembla avoir peur car elle baissa la tête une seconde après l'avoir levée. Mais ce n'était pas le moment de se faire des idées. Cette femme était sûrement seulement venue à l'improviste pour vite avoir une kiné et avait aussi peut-être un peu de culot. Je lui tendis ma main et me présenta.
-Je suis madame Gibson. Vous désiriez me rencontrer ou avoir un renseignement ?

C'est alors que la porte s'ouvrit avec à sa sortie une jeune femme ainsi qu'un homme. La femme salua l'homme qui s'en alla avant de me tendre la main et de me dire:


Je lui tendis ma main en retour en lui souriant comme j'en avais l'habitude, déformation professionnelle faut pas m'en vouloir (ce sourire si grand qui parait si sincère avec mes clients mais qui pourtant ne l'est pas).


Bon certes son confrère, ou con de frère devrais-je dire... ne pas accepter une invitation avec moi, nan mais quelle idée ! bref donc ce gars nous avait certes quitté par ma faute mais ce n'était pas nécessaire de le préciser, quant à mon boulot c'était totalement vrai, mais je n'en avais pas qu'un et pour cet autre boulot j'avais encore plus besoin d'elle... si on considère qu'être officier dans la résistance est un véritable travail bien sûr.


Un homme se leva donc de la salle d'attente et vint en commençant à dire:


Il s'était d'abord adressé à moi avant de se tourner vers la kiné, je le jugeai du regard et mon visage froid et neutre revint en me tournant vers lui.


Je lui lançai un regard dans le genre: "nan vraiment mec je t'assure va te r'asseoir avant de finir en fauteuil roulant..." puis je me tournai à nouveau vers la kiné en souriant à nouveau.


De toute façon la plupart de ses cons de patients ne devaient pas être vraiment urgents, ils devaient simplement avoir un tout petit peu mal quelque part, part ci part là... pff pathétique... moi c'était un besoin quasi vitale !

Elle me tendit sa main en retour en souriant et se présenta.

Je dois dire que cette nouvelle m'enchantait plutôt car j'obtiendrai une nouvelle patiente. J'allais lui proposer un rendez-vous en fonction de nos disponibilités respectives quand elle renchérit:
D'après ce que j'avais regardé pendant la séance du premier client, le prochain était à 9h mais nous devions en être pas loin et une voix vînt confirmer ce fait. Un homme se leva d'une chaise de la salle d'attente pour s'adresser à madame Waller.
"Je...je crois que c'est moi le prochain patient madame"
Puis il se tourna vers moi
"Bonjour docteur"
Je lui répondis par un signe de tête. Cet homme était mon tout premier patient qui était venu dans mon cabinet. Il souffrait psychologiquement surtout car c'est un grand fan de course et il s'est cassé la cheville il y a un moment déjà. Malheureusement, la rééducation ne fait pas de miracle et cela ne va jamais assez vite pour lui. Néanmoins c'est un homme très gentil.

Je fus vite sortie de mes pensées en attendant madame Waller s'adresser à lui d'un ton qui ne me plaisait pas beaucoup mais je ne voulais pas m'attirer d'ennuis. En vérité, son ton était froid comme-ci elle voulait lui dire qu'elle ne se répéterai pas. Mmm...je crois qu'il ne fallait pas l'énerver.
Puis elle s'adressa à moi.
Je la regardai avec un haussement de sourcils. Elle était pas gênée celle-là ! Pressée, pressée ! Moi aussi j'ai une vie, je ne peux être au service de madame ! Le cabinet, ce n'est pas le supermarché, je ne pouvais pas lui proposer un rendez-vous dans la minute, d'autant plus que mon agenda est déjà bien chargé. Et je dois dire aussi que je n'avais pas envie de finir plus tard pour cette femme au tempérament étrange et désagréable.
J'essayai de retrouver mon calme puis je m'adressai à elle.
-Bon, je vous accorde ma pause déjeuner ce midi. Revenez pour midi et demi si cela vous convient bien sûr.

Puis je regardai mon second patient et lui fit signe de venir en souriant.
-C'est à vous je crois.
Puis je me tournai vers madame Waller
-Alors à ce midi.

Je rentrai dans mon bureau avec mon patient et fermai la porte juste devant cette femme, par pur plaisir.

Elle entra ensuite avec l'autre en fermant la porte devant moi, bon, au moins j'avais un rendez-vous dans la journée, je ne m'attendais pas à aussi tôt mais tant mieux.






Assis dans mon fauteuil préféré du club, je sirotais tranquillement un mojito bien frais en regardant les quelques nouvelles arrivantes s’entraîner à danser sur les barres. Je regardai alors l'heure et il était déjà midi, il fallait que je me remette en route. Je me levai donc et me dirigeai vers la voiture. En m'installant au volant je me recoiffai dans le rétroviseur et mis ma paire de lunette de soleil noir avant de démarrer. J'arrivai quelques minutes après devant le cabinet à nouveau et montai les marches, quand je passai devant la secrétaire je lui fis un clin d’œil.


Puis je riais doucement en tirant la langue tout en continuant ma route, j'adorais faire complexer les femmes à petites poitrines en leur montrant que moi je n'avais pas ce problème, c'était un moyen pour moi de me montrer encore une fois suppérieur. Rien ne sert d'être la meilleure si on ne le montre pas. C'est comme ces crétins de la Colo, lors de l'attaque j'avais pris un malin plaisir à leur montrer qu'être fille d'Hadès offrait des pouvoirs énormes et qu'en plus je savais me battre, les voir mourir et souffrir sous mes épées et mes ombres était tout aussi jouissif que de m'acharner sur cette pauvre secrétaire.
Je m'assis donc sur l'un des sièges et attendis que la kiné ait fini avec son rendez-vous d'avant. Elle sorti enfin de la salle et j'allais donc vers elle.


J'étais sincère dans mes paroles, je ne pensais pas avoir une visite si tôt, et puis prendre sur son temps de midi était tout de même très généreux de sa part, je devais bien avouer que je n'aurai pas fais pareil en ce qui me concerne.

Toutes les demi-heure, un nouveau patient arrivait. Certains se plaignaient, d'autres me racontaient leur vie mais je dois avouer que j'étais intriguée par la femme de ce matin. Comment s'appelait-elle déjà...? Ah oui ! Madame Waller...

A onze heure et demi, j'ai eu fini mes visites du matin et j'allais avoir une heure pour manger un peu sur le pouce mais cela restait convenable et puis j'avais le temps, mon prochain rendez-vous n'était qu'à quatorze heure. J'avais quand même la belle vie et j'en sourie mais après tout, je l'avais bien mérité. Maintenant, il est vrai que je ne pensais pas avoir cette histoire de demi-dieu sur les bras mais finalement, j'avais fini par l'accepter et puis cela avait un petit coté excitant !

Je suis donc sortie chercher un sandwich, ai mangé dehors sous un temps magnifique puis suis revenue à mon cabinet vers midi. J'ai un peu rangé mon bureau, ai classé les différents dossiers de mes différents patients puis j'ai ouvert un nouveau dossier sur mon ordinateur pour cette madame Waller. Ensuite, j’ai passé au désinfectant les différentes machines car je ne trouve jamais beaucoup de temps pour le faire.

J’ai regardé en vite fait ma montre et je ne pensais pas y lire midi vingt cinq alors je me dirigeai vers la porte menant à la salle d’attente et l’ouvrit.  Madame Waller était déjà là, elle se leva en me voyant.

Je lui souri et l'invitai à rentrer en ouvrant la porte pour qu'elle passe devant moi.
-Il n'y a pas d'quoi, c'est normal, je ne fais que mon travail.

Je fermai la porte derrière moi et me dirigea vers mon bureau où je m'y suis assise puis je lui montrai la chaise en face de mon bureau.
-Je vous en prie, asseyez-vous et dîtes moi ce qui vous amène si précipitamment.

Je voulais d'abord écouter les raisons de sa venue avant de m'occuper de tout le côté administratif qui, je dois bien l'avouer, m'ennuyait plus qu'autre chose. Et puis, le patient avant tout.

Je portai mon regard vers elle et attendit.

Je m'assis donc en face d'elle et croisai mes si belles jambes avant de lui répondre.


Et je lui souris. Je regardai son cabinet qui était sympa, pas immense mais suffisant dirons nous. Quant à elle elle était plus jeune que moi à première vue, pas de beaucoup non mais plus jeune tout de même. J’espérais qu'elle puisse dès ce jour commencer à me voir régulièrement et à me "réparer" le dos. Il me fallait cela pour à la fois me déhancher au club et combattre à la résistance. D'autant que j'y étais une entraîneuse. Pour ne pas perdre plus de temps d'ailleurs je me levai et retirai mon haut en me dirigeant vers la table de massage, je m'y assis et avec mon débardeur en main je parlai à nouveau, souriante et détendu.


Cela ne m’intéressais pas plus que cela mais au moins j'avais quelque chose à dire, car attendre sagement assise sur une table de massage en soutif sexy à froufrou du club n'était pas forcément de plus amusant. J’espérais que malgré le manque d’expérience elle serait assez douée pour me soulager le dos, certes il faudrait surement plusieurs séances régulières pour voir un gros résultat mais comme je l'avais dit j'étais pressée. Mais bon elle s'en sortirait surement bien: elle venait juste de sortir de l'école, tout était censé être encore frais dans sa tête.

Elle me raconta donc la raison de sa venue.

Ce qui est bien, c'est qu'elle ne se ventait pas du tout avec son "club de striptease le plus populaire de New-York" mais à vrai dire, cela me fit sourire car j'avais tendance à me vanter.
Bon, en tout cas sur ce qu'elle venait de me dire, il semblerait qu'il n'y ait rien de grave, elle devait avoir le dos pas mal bloqué mais je ne pense pas qu'il y ait un réel problème, sinon elle ne pourrait plus se déplacer mais il fallait quand même vérifier.
-Eh bien madame, je vous invite à vous installer sur la...
...table de massage. Mais en faite, je n'ai pas eu le temps de le lui dire qu'elle était déjà assise sur cette table, débardeur à la main avec sur elle un soutien-gorge à froufrou, probablement un accessoire pour le club de stiptease. D'accord... Je la regardai en riant un peu nerveusement. Elle se sentait un peu trop chez soi.

-Bon allongez-vous maintenant que je puisse regarder tout ça.


Au moins, elle entama une conversation pour ne pas que le silence s'installe certainement et cela m'arrangeait. Je m'approchai d'elle et commença à toucher ses vertèbres pour repérer si certaines étaient bloquées tout en lui répondant.
-Oui, c'est exact. Je viens de sortir de l'école de kiné. Et vous, quel est le nom de ce club dans lequel vous travaillez ? Je n'en connais pas.
Je trouvais un peu délicat de lui parler de son métier mais en même temps, je ne pense pas que ça la dérange de se dévoiler là-dessus.

Je retirai mes mains de son dos et resta à côté de la table de massage.
-Ecoutez, il n'y a rien de grave sur votre dos ou en tout cas je ne détecte rien de spécial à part quelques vertèbres à décoincer. Et ça je peux le faire maintenant. Cependant, votre colonne vertébrale m'a l'air un peu mal en point et je ne pense pas que l'on puisse avoir cela simplement en dansant. Je peux vous demander si vous faîtes autre chose en dehors de ce club ?

Mais je ne savais pas si elle voudrait répondre à ma question donc je dérivai un peu de sujet.

-Quoi qu'il en soit, il faudra que vous passiez faire une radio, juste pour que je sache ce que j'ai à faire travailler sur votre dos.

Je me redressai alors sur la table en l'écoutant parler.


Je riais alors doucement avant de poursuivre.


Et je lui fis un clin d’œil avant de me remettre allongé pour qu'elle puisse me décoincer comme elle l'avait dit. J'avais essayé de trouver une autre raison qui pouvait expliquer ce dos, donner Kelly et le karaté en excuse n'était pas faux mais très incomplet... il fallait bien admettre que les entraînements que je faisais à la résistance jouaient aussi beaucoup là dedans. Mais je ne pouvais décemment pas lui en parler, restons réaliste !
Toujours sur le ventre sur la table, prêt à avoir ses mains à nouveau sur mon dos, je lui dis.


Je me doutais que ce n'était pas un bon moyen de "l'acheter" et donc de ne pas payer mais au moins cela pouvait renforcer notre "lien". Car après tout elle pouvait très bien me détruire encore plus le dos ! Mais bon... après avoir fait ça si elle savait ce qui pourrait l'attendre...

Elle ria.
Elle se mise allongée et je compris qu'elle voulait donc que je lui décoince ses vertèbres maintenant. Puis elle ajouta:

Je l'avais écouté debout en m’apprêtant de faire mon travail.
-Bon ça va peut-être être un peu désagréable quand on a pas l'habitude.

En même temps que je m'occupais d'elle, ou plus spécialement, de son dos, je décidais donc de la distraire un peu.
-Le "Milles délices" non je ne connais pas mais c'est vrai que je ne sors pas énormément et que cela fait très peu de temps que je suis là donc c'est très gentil de me donner les bonnes adresses, j'y penserai très prochainement, merci !
Je souriais mais étant à plat ventre, elle ne pouvait pas le voir.

Je repensais au sport qu'elle faisait à part son métier dans ce club. Sacré forme physique ! Mais cela aurait pu endommager son dos. En revanche, pour sa fille, je ne pouvais pas savoir n'ayant pas d'enfant mais je peux bien comprendre que ce soit quelque peu...tonique !
-Ecoutez...Il faudrait peut-être penser à un peu moins forcer sur le karaté quelques temps, pour votre bien. Parce que vous avez déjà votre métier au sport qui fait travailler votre dos et aussi votre fille. Mais bon les enfants, ça grandit, n'est-ce pas ? Ce n'est que provisoire de courir après les enfants. D'ailleurs quel âge a-t-elle si ce n'est pas indiscret ?

Ma question se finit sur un dernier craquement du dos. J'avais replacé et décoincé toutes ses vertèbres, en tout cas jusqu'à la prochaine fois car avec tout ce que faisait cette femme dans sa vie, son dos suivrait son rythme de vie et en souffrirait et en plus je doute qu'elle suive mes conseils de calmer le jeu sur le karaté car quand quelqu'un a une passion, les conseils leur passent au-dessus mais après tout je ne peux pas les obliger à quoi que ce soit.

-Oui c'est moi le doc comme vous dîtes !
Je riais
-Vous pouvez vous rhabiller et après on peut reprendre plusieurs rendez-vous au rythme que vous voulez mais deux fois par semaine me paraît juste bien. Avant notre prochaine séance, faîtes une radio et ramenez-la moi avec le compte rendu, ce qui me permettra d'adapter mes exercices.
Je lui souriais franchement.

Elle commençait à me déplacer des vertèbres, je le sentais bien, mais je ne disais rien car j'avais l'habitude de souffrir, du moins je m'y étais entraînée en tout cas.


Moins forcer sur le karaté ? Cela voulait dire moins forcer sur les entrainements et les opérations... hum... cela ne me plaisait pas trop ça !


J'hésitais, j'avais appris qu'elle avait maintenant l'apparence d'une jeune fille de 16 ans au lieu de 6 comme elle devrait, mais son âge lui restait le même non ? Au fond elle avait toujours 6 ans ?


Et je riais doucement, le regard dans le vide, en effet elle n'avait pas idée à quel point elle avait pu grandir vite... ma petite Kelly me manquait énormément, vivre sans elle était très dur.


Je me rhabillais et me remis sur la chaise en face d'elle avant d'hocher la tête.


Et je commençai à fouiller dans mon sac à main pour en sortir mes cartes pour pouvoir régler la consultation.