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Sujet: De Retour à New-York. Pv Oswin. Dim 9 Mar - 13:22
De Retour à New-York
Deux moi après
Ryan sortant de l'arrière boutique du bar-café ne fut guère en mesure de revenir voir Oswin hélàs, bien sûr, il aurait préfèrer celà même si ce qu'il venait de ce passer ces deux mois-ci était super cool et bizarre à là fois. Difficile d'imaginé quand on est devenu du jour au l'endemain vraiment un Demi-dieu et fils de la déesse de la sagesse. C'était plutôt génial mais, pas en ce qui concernait ces mauvais rêve. Je vous épargne les détails! Ryan se retrouva au camps des sang-mêlé pendat un mois pour s'entrainé et avoir un minimum de choses qui pouvait l'aider, ce qui l'encourgea un peu, il avait trouvé une nouvelle famille! Assez étranges si ont puis dire ainsi...Les dieux existait vraiment et en plus, ils étaient à New-York coincidance ou non que Ryan et arrivé ici. Il préfèrait pas y penser. Loin de tous à Long Island et aucun moyen de contacter qui il voulait.
Le jeune Onneil rentra un mois dans son unité Chiron aillent trouvé des excuses valable en utilisant la brume sur ses supérieur. Il n'eu pas trop de mal à se remettre à son travaille. Très souvent en patrouille à longeuur de temps son unité se trouvait souvent cerné derrière les lignes énnemies, il pensait souvent Oswin quand il avait le temps de se reposer quelque peu. Sans avoir eu de mauvaisse rencontre de monstre depuis le Manticore et les Sbires de Luke. Ryan avait hâte de rentré à New-York ce qu'il fit après un mois, il revint chez lui blesser à l'épaule gauche par un tir de balle de kalashnikov qui avait traversé celle-ci de part en part, Ryan devait se remettre de cette blessure comme si était un humain "normale" pour éviter tous soupcons de son pouvoir de guérison, il arriva devant chez lui au volant d'une shelby gt 500 Eleonor de 1967 qu'il parka devant sa porte de garage de sont appart.
Il alla dans le coffre pour prendre ses affaires deux grands sacs qu'il posa devant la porte d'entré un après l'autre, et une malette contenant ses armes de service. Il portait un jeans bleu un tee shirt kaki à courte manche et une veste en cuire noir un peu plus fort qui y à deux mois et la barbe rasé, tenant sa main gauche contre son ventre pour éviter qu'il bouge trop son épaule. Il entra pour rentré ses affaires ce qui lui prit plus d'une heure la nuit tombait pendant ce temps-là le soleil devrait ce couché dans une vingtaine de minutes. il regardait à chaque fois dans le bar-café quand il venait cherché ces derniers sac.
Quand il entendit du bruit derrière lui de pas, il ne savait pas qui c'était mais, il en avait une petite idée. Ryan avait déposer une lettre a Oswin quand il était arrivé sous lae pas de la porte du bar-café.
Hors sujet:
Ps, j'arrive pas à remettre le nombre de mot par ligne qu'il y avait avant j'ai toujours un affichement trop petit par rapport à là vôtre bizarre. :roll:
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Sujet: Re: De Retour à New-York. Pv Oswin. Dim 16 Mar - 12:08
De retour à New-York
Ryan ONNEIL ☂ Oswin MCALISTER
Je sortais violemment de la maison familiale en claquant la porte d’entrée intentionnellement. Et pour être sûre qu’elle l’ait bien entendu : je pris le temps de rouvrir la porte et de la claquer à nouveau. J’étais bien plus qu’en avance, j’étais normalement de service tard : c’était d’ailleurs le sujet de notre dispute. Ma grand-mère regrettait le fait que je n’ai qu’un travail de barman, un travail qui pour elle n’était qu’un job étudiant. Moi j’avais décidé d’en faire plus qu’un job de passage : c’est mon job. Les études étaient finies pour moi : j’avais fait un de ces stages de perfectionnement qui vous apprenait à jongler avec les bouteilles et qui faisait un bourrage de crâne sur le nom et les ingrédients de tous les cocktails. Ma grand-mère elle, aurait préféré que je continue mes études pour terminer professeure. C’était une des lubies que j’avais eu lorsque j’étais gamine, et c’est comme si elle était restée fixer sur cette idée. Nos deux voix s’étaient élevées dans la maison, et j’avais décidé d’y mettre un terme en partant. J’avais appelé le gérant du bar/café pour lui demander de prendre mon service plus tôt : compréhensif il avait accepté, peut-être aussi parce que ça l’arrangeait, un de mes collègues était tombé malade. Je n’avais même pas pris la voiture pour me rendre au boulot : j’avais décidé d’y réfléchir en marchant. Le bas de ma robe rouge à pois blancs volait avec le vent : mes collants noirs, mes converses blanches et ma veste en cuir avaient du mal à combattre ce froid hivernal. La prochaine fois promis, je n’attacherai plus mes cheveux en une natte sur le côté : je mettrai même un bonnet s’il le faut ! Passant la porte, je fus heureuse de sentir la chaleur s’échappant de l’établissement qui au départ m’irrita le visage avant de le radoucir. Je pris rapidement mon service et quoi qu’on puisse dire bosser était en train de me vider la tête. Le soleil commençait à peine à décliner et entre les apéritifs et les cocktails, mes talents de barman étaient sollicités de tous les côtés. Je jonglais avec quelques bouteilles pour amuser les clients qui étaient assis au bar, ou ceux encore qui venaient directement passer commande et récupérer leurs verres, juste pour voir ce spectacle. Se réfugier dans le travail comme certains pourrait le dire : c’était ce que j’étais en train de faire.
Un des habitués du bar/café qui allait justement s’en aller revint vers moi avec une enveloppe contenant une lettre qui m’était adressé. Je le remerciais avant de l’examiner, ne l’ouvrant pas de suite. Je crus d’abord à une lettre de ma grand-mère s’excusant de son comportement : mais quelle fut ma surprise lorsque j’ouvrais cette dernière ! Elle n’était pas de ma grand-mère : loin de là. Cette lettre venait de Ryan. Ryan Onneil : le jeune homme que j’avais sauvé en ouvrant brusquement la porte de l’arrière-boutique. Le premier qui m’avait volé un baiser depuis très longtemps. Mais en ce moment, son cas n’était pas rangé du côté de l’affection. Oh non pas du tout : il était passé du mauvais côté de la ligne. En effet, ce fameux jour-là où je l’avais aidé, je lui avais donné rendez-vous après mon service mais il n’était jamais arrivé. En clair, il m’avait posé un très joli lapin. Chose que je déteste. Et malgré le fait que j’essayais de contenir mon surplus de rancune – exercice périlleux que je faisais en ce moment avec mon ancien ami Wesley, qui avait déjà réussi à gratter un peu de rancune – il y avait des choses qui avaient du mal à passer. Me poser un lapin en faisait partie. Dans cette lettre, il me disait qu’il était rentré à son appartement en face et qu’il voudrait bien me voir. Me mordant la lèvre inférieure, mon regard se fixait sur la porte d’entrée, seul obstacle qui pourrait me retenir. Je pesais le pour et le contre, cherchant désespérément la solution à mon problème. Être tiraillée entre deux sentiments ce n’est pas de tout repos. Je dus avoir un bon petit moment d’absence, car un de mes collègues dut passer sa main devant mon visage pour me sortir de ma rêverie. J’avais pris une décision, et j’allais la mettre en application dès la fin de mon service…
Il devait s’être écoulée plus d’une heure depuis l’arrivée de cette lettre, et j’étais dehors, devant la porte d’entrée de l’établissement, les bras croisés sur ma poitrine ; le regard perdu sur l’immeuble d’en face. Aucun moyen de savoir si ma décision était la bonne mais j’allais tout de même la prendre. Me mettait en marche, je traversais les quelques mètres qui me séparais de l’immeuble très rapidement. Entendant des bruits de pas venant sur ma droite, je les suivais en découvrant les garages et en tombant sur un homme de dos. Il ne me fallut pas beaucoup de temps pour le reconnaître. Lui aussi devait m’avoir remarqué car il cessa tout mouvement lorsque je m’étais approchée. Heureusement qu’il était de dos : il ne pouvait pas voir mon énorme fiasco, j’ouvrais la bouche sans qu’aucun son ne puisse en sortir. Comme si un sentiment essayait de retenir son contraire par tous les moyens. D’un côté j’étais heureuse de le revoir, car la dernière fois il était parti sans rien et étant du genre à me faire des scénarios catastrophes et inimaginables : le fait de le voir me rassurais. Mais d’un autre côté, le fait qu’il m’ait posé un lapin la dernière fois : ça je n’étais pas prête de l’oublier, et ce faux-pas au contraire tendait à tirer dans l’autre sens : celui où je devais à mon tour le laisser en plan. Seul ma respiration se faisait entendre, mais je réussis à trouver un compromis entre mes deux sentiments : « Tu as cinq minutes pour t’expliquer avant que je ne parte. Et n’essaye pas de broder toute une jolie tirade autour de plates excuses préfabriquées : elles ne serviront à rien, je suis fâchée et rancunière. Répare ça et je pourrais peut-être te pardonner : il te reste quatre minutes trente… » J’avais croisé les bras et détourné le regard, histoire de ne pas remarquer lorsqu’il se retournerait vers moi. Je détestais ce sentiment. J’avais l’impression d’être plus indécise que jamais : c’était bizarre et inhabituel pour moi. A croire que je ne m’y habituerai jamais et que je passerais toujours pour une imbécile…
Sujet: Re: De Retour à New-York. Pv Oswin. Mar 18 Mar - 15:49
Titre
Sous-titre.
Ryan était sûr d'une chose ce n'était point un monstre ou autres bestiole derrière une odeur nouvellement familière parcourue ses narines respirant un grand coup, il tituba alors se tenant à la porte de sa shelby. quelque seconde. Le cœur battant de plus en plus fort d'un coup, il avait presque sentit sortir de lui. Il sentait une petite odeur d'alcool également mais, rien d'impressionnant sachant qu'elle travaillait dans un c'était tout à fais normale.
Il retira sa veste de cuir qui lui faisait sentit s’alourdir d'un coup en retirant sa veste difficilement, Oswin pouvait voir une épaulière à la place de sa nouvelle blessure. Il était plus grand qu'il y à deux mois sa carrure accrue également, même si ses dernières semaine furent affaiblie par l'opération. Il se retourna visiblement elle était en colère ce qui ne surpris guère Ryan faisant la moue.
Il sourit très heureux de la revoir, il s’avança lâchant la carlingue de sa voiture rougissant en voyant Oswin entourant son bras droit valide autour du cou d'Oswin."Je suis content de te voir aussi."Il déposa un baiser sur sont front.
Il recula juste assez pour regarder les yeux d'oswin presque nez à nez, les yeux brillant se mordant légèrement la lèvres inférieur. Il regarda autour pour voir si personne était derrière à les espionné.
"J'aurais voulu venir Oswin mais, les monstres mon de nouveau attaqué plusieur fois j'ai faillit y resté ce qui m'avait fais tenir c'était...toi et ammené jusque long island, impossible de contacter qui que se soit làs-bas, où j'ai appris que j'étais le fils d'Athéna! Ok, je sais çà fais super bizarre! J'en avait une idée mais, je l'ignorais jusque là. Maintenant, je sais se que je suis, pas un mutant ou un monstre ou autres bizarrerie mais, un demi-dieu!
Je me suis entraîné pendant un mois à long island un endroit où seulement les enfants comme moi ont la chance de resté en vie. Hors de ce camps, je suis en permanence menacé, même si apparemment beaucoup de monstre ne peuvent me sentir. Après quoi je suis retourné au moyen orient ou je pouvais peux donné de nouvelle souvent dans des missions ou je ne peux divulguer d'adresse au risque que ces personnes soit attaqué par des monstre ou pire. "
Ryan recula pour reprendre son souffle, il regarda Oswin plus d'une minutes."-Je sais! Cà fais plus de cinq minutes."Fit-il en faisant un petit clin d’œil, il avait changé en deux mois, un peu plus sûr de lui même si avec les filles il était toujour pas très agile, et ne savait guère s'y prendre. Ryan ferma la porte de son garage qui grinça plusieurs fois avant qu'elle se ferme totalement, il ne restait très peu de temps en place bougeant ses pied en piétinant."-Si tu désire quand même resté rancunière, lit dans mes yeux tu y verras.... "Il laissa sa phrase en suspend sentant un petit haut le cœur lui venir, il ferma les yeux quelque secondes pour éviter de pleurer. En ré-ouvrant les yeux, il avança pour aller à son coffre. Oswin pouvait y voir plusieurs choses, un carquois et des flèches aligné parfaitement dans l'emplacement prévu pour de cuir noir aux cas où Ryan en aurait besoin la nuit ou quand il se trouvait dans des endroit lugubre. Un bouclier dans le style L'aegis de Luke mais, à la mode de Ryan avec le v inversé à la Spartiate et gravé haut dessus deux yeux gris d'une chouette et quelque étoiles que Ryan avait fabriquer dans la forge de la colonie. Une mallette où il était écrit p-90 et une rose, qu'il prit et la donna à Oswin, ainsi qu'une bouteille d'alcool qu'elle pouvait reconnaître.
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Sujet: Re: De Retour à New-York. Pv Oswin. Mar 25 Mar - 23:26
De retour à New-York
Ryan ONNEIL Oswin MCALISTER
Ayant détourné le regard, afin de ne pas fondre comme neige au soleil dirons-nous, je ne remarquais pas tout de suite qu’il s’approchait de moi et qu’il avait retiré sa veste. J’avais eu plus d’une fois envie de reposer mon regard sur lui, mais je me forçais à garder cette attitude ; le temps s’étirait comme du chewing-gum à l’infini. Ce n’est que lorsque j’aperçus et entendis des pas s’approcher de moi que je relevais la tête. C’est à ce moment que j’avais pu apercevoir très rapidement l’épaulière qu’il portait à son épaule, déduisant aussi rapidement que ça devait venir d’une blessure de guerre, au sens propre ou au sens figuré. Mais je n’eus pas le temps de faire autre chose que Ryan passa son bras autour de mon cou : « Je suis content de te voir aussi. » Il ponctua le tout en déposant un baiser sur mon front : je fermais les yeux à son contact. Je me sens encore plus petite que d’habitude, certes j’avais une taille moyenne, mais lui semblait avoir gagné en grandeur durant les deux mois où je ne l’avais pas vu. Rouvrant les yeux, Ryan s’était reculé juste assez histoire de me regarder dans les yeux, tout en étant toujours au plus près. Nous étions presque nez à nez et j’avais décidé de ne pas bouger ni de parler, car je lui avais laissé carte blanche durant cinq minutes pour essayer de rattraper sa gourde. Je me mordais tout de même l’intérieur de la joue, intimidée et embarrassée par la distance minime qui nous séparait. Comme si cette situation instaurait une tension et adviendra ce qu’il adviendra au premier qui décidera de la briser. Il semblait tout aussi troublé que moi, je le voyais se mordre la lèvre et regarder par-dessus mon épaule, vérifiant que personne n’était là ; certainement en prévision de sa future explication. « J'aurais voulu venir Oswin mais, les monstres mon de nouveau attaqué plusieur fois j'ai faillit y resté ce qui m'avait fais tenir c'était...toi et ammené jusque long island, impossible de contacter qui que se soit làs-bas, où j'ai appris que j'étais le fils d'Athéna! Ok, je sais çà fais super bizarre! J'en avait une idée mais, je l'ignorais jusque là. Maintenant, je sais se que je suis, pas un mutant ou un monstre ou autres bizarrerie mais, un demi-dieu! Je me suis entraîné pendant un mois à long island un endroit où seulement les enfants comme moi ont la chance de resté en vie. Hors de ce camps, je suis en permanence menacé, même si apparemment beaucoup de monstre ne peuvent me sentir. Après quoi je suis retourné au moyen orient ou je pouvais peux donné de nouvelle souvent dans des missions ou je ne peux divulguer d'adresse au risque que ces personnes soit attaqué par des monstre ou pire. »
D’accord : ça faisait beaucoup d’informations à emmagasiner. Fils d’Athéna, le fait que j’étais apparemment celle qu’il l’avait fait tenir, le Moyen-Orient ; j’avais mon regard toujours planté dans le sien et j’essayais de chercher au fond de son regard cherchant un lien logique dans tout ça. Pourquoi repartir là-bas s’il savait qu’il prenait encore plus de risques que normalement ? Se reculant alors, brisant la proximité il ajouta avec un petit clin d’œil : « Je sais! Cà fais plus de cinq minutes. » Lâchant un petit rire, il se dirigea vers la porte de son garage afin de la fermer et je sortais de mon silence, presque religieux : « Oui, ça fait même beaucoup plus que cinq minutes. » Terminais-je en laissant à nouveau échapper un petit rire nerveux. « Si tu désire quand même resté rancunière, lit dans mes yeux tu y verras... » Il s’arrêta net dans son élan, fermant également les yeux ; avant de les rouvrir et de se diriger vers le coffre de sa voiture. Mon cœur rata un battement face à sa phrase laissée en suspens, car j’avais eu l’impression qu’elle me concernait directement ; tel un message codé que j’aurais dû être capable de décrypter. Perdue dans mes pensées, je ne remarquais qu’après la vraie artillerie qu’il cachait dans son coffre. Je crois que c’est à ce moment que je me rendais compte à quel point mon monde était éloigné du sien. A quel point cela pouvait être incompatible, mais aussi si joliment compatible. Il me tendit une rose ainsi qu’une bouteille : la fameuse bouteille d’alcool que j’avais percuté la première fois que je l’avais rencontré. J’avais déjà refusé ses cinquante dollars la dernière fois, soupirant légèrement je lâchais un rire. Avec une certaine petite moue, j’acceptais la bouteille et sa rose.
Posant la bouteille sur un rebord qui était juste à portée de moi – allez savoir ce que c’était comme rebord – je me jetais presque au sens littéral du terme dans ses bras, en l’incitant à ne rien dire ; lâchant juste un petit « Chut. » lorsque j’eus l’impression qu’il voulait en placer une. Mon cerveau tournait à plein régime, en même temps que j’appréciais ce moment. Mais une certaine barrière de défense s’était mise en place lors de mon accident il y a deux ans, et elle était prête à refaire surface. J’avais tellement peur de m’attacher à ce point à des personnes, que parfois je préférais intentionnellement m’éloigner d’eux. Et avec Ryan j’étais arrivée à cette bordure. Certes j’étais plus qu’heureuse de le revoir, mais savoir que j’avais ressenti les mêmes émotions que lors de cet incident : cela me tétanisait. Me détachant de lui, après une bonne minute, je pris une soudaine inspiration, laissant mes vieux démons reprendre le dessus inconsciemment. « Tu dois être certainement la première personne avec qui j’ai décidé de mettre ma rancune de côté – un petit sourire plus tard, je détournais quelque peu le regard avant de continuer : Mais ça fait beaucoup de choses à emmagasiner. Le truc que je ne comprends pas : pourquoi s’obstiner à retourner au Moyen-Orient si tu sais qui tu es vraiment, avec une prise de risques en plus ? » Là c’est mon esprit qui essayait de chercher des excuses pour rendre légitime mes prochaines paroles : mon regard fuyant était mon plus grand traître. « Je vis dans un monde différent du tien Ryan presque incompatible, et j’ai vécu des choses qui font que j’ai peur de m’attacher. J’ai peur de m’attacher et de retomber d’encore plus haut après : j’ai peur de tout oublier du jour au lendemain, à cause de je-ne-sais-trop-qui ou de je-ne-sais-trop-quoi. Je… » Me mordant la lèvre, je sentais les larmes me monter aux yeux et j’essayais de les repousser du mieux que je pouvais, mais j’en sentis une, perler sur ma joue. « En fait, je suis une belle égoïste en disant ça, c’est tout. Oswin l’égoïste : ça sera peut-être plus simple pour toi de me détester sous ce nom-là. » Je ne pensais pas vraiment un seul mot que je prononçais, mais telle une barrière, ils semblaient sortir tout seul sans aucune conviction dans la voix.
Maintenant je sentais également perler d’autres larmes le long de mes joues, tout en dirigeant mon regard vers le sol. J’avais tellement peur de m’attacher, tellement peur de cette pensée, que je venais tout simplement de craquer devant lui. Avec un petit peu de chance, il comprendrait et je ne passerai pas pour une idiote à pleurer seule dans la rue ; et je ne me le pardonnerai pas à moi-même si je le perdais. Je me sentais honteuse de lui faire ça. Je ne voulais pas le faire souffrir. Dans un chuchotement à peine audible, j’articulais : « Ne pars pas, et ne me laisse pas partir, s’il te plaît. »
Petit speech habituel : si tu veux que je change quelque chose dis-le moi, parce que dans cette réponse j'aborde un autre côté du caractère d'Oswin et ça peut être troublant .
Invité
Sujet: Re: De Retour à New-York. Pv Oswin. Sam 29 Mar - 9:18
Ryan était plutôt pas très douée pour dire se qu'il pensait réélement, aillent était souvent à l'écart de groupe et autres divers activité. Du fais de sont hyperactivité et de sa dyslexie son cerveau câbler en direct avec son passé et son futur était de plus en plus difficile à supporter seul, il devait surtout s'entraîner pour devenir encore plus fort, qu'il ne l'est la vie d'Athéna en dépendait et de l'Olympe. Une prophétie avais était dites pars l'oracle de la colonie entre les dieux et Ryan *-Un demi-dieu qui n'a pas d'odeur aucun monstres et titan le sentent. Il poursuivra sa destinée avec ses frères et sœurs humaine ou non, Six iront au bord du centre de la terre, en sauvé deux autres perdu au fond des âmes et de la mort. Aux périls de leur vie. Des sbires en vague infinie s’abattront sur une lance et un bouclier. Glorieuse cette lance élumine les ombres maudite de sa farouche bravoure. Une flèche d'or brisera les liens d'une déesse capturée.- *
Un des pires ennemi de la déesse que seul Ryan pouvait blesser. Pour cela, il devait aller combattre pour s'endurcir malgré ses blessures ses peurs, la rancune d'avoir eu une vie aussi dur. Il sourit en coin en voyant la réaction d'Oswin du coin de l’œil le réveilla de ses sinistre pensée. Elle confirmait bien qu'il avait dépasser le créneau des cinq minutes. Il fit la moue Oswin déposant un silence plutôt gênant pour Ryan, il se frotta l'arrière du crâne la bouteille d'alcool qu'Oswin posa sur son établi à coté de trois vestiaires métalliques cette alors qu'il fut surpris de voir Oswin se jetait sur lui, il cru d'abord qu'elle voulait le frapper ce qui aurait était normale, mais, elle se jeta dans ses bras elle lui fit mâle a son épaule blesser poussant un petit cri sourd de douleur.
"-Et!...?"Fit-il décontenancé, mais content qu'elle n'ai juste qu'envie d'être près de lui, il sourit en entendent Oswin l’inciter comme il l'avait la premier fois. Son cerveau essaie de réfléchir mais, il ne trouva rien à dire. "Oswin."La voix graves et profonde il regarda Oswin et retirant les mèches de sa joue qu'il voyait.
:« Tu dois être certainement la première personne avec qui j’ai décidé de mettre ma rancune de côté –: Il s'en mordit légèrement la lèvres à moitié la laissant se calmé et se soulagée :< Ah çà c'est sur Ryan avais déjà beaucoup de mal à vraiment digérer lui même qu'il soit demi-dieu, obstiné n'était pas le mot que Ryan aurait dit, il aimait être un marines et servir son pays avant qu'il apprennent qu'il soit le fils D'Athéna. Patriote, il avait gagné le respect et leur amitié de quelque Marines de son unité. Il écouta Oswin de nouveau ne voulant pas la coupé elle était à bout, il comprenait pas pourquoi! Il déposa sa main droite en dessous de l'épaule gauche d'Oswin.
:« Je vis dans un monde différent du tien Ryan presque incompatible, et j’ai vécu des choses qui font que j’ai peur de m’attacher. J’ai peur de m’attacher et de retomber d’encore plus haut après : j’ai peur de tout oublier du jour au lendemain, à cause de je-ne-sais-trop-qui ou de je-ne-sais-trop-quoi. Je… »Il fronça les sourcils perplexes, il ne savait pas pourquoi elle l'oublierait, il regarda les yeux humide d'Oswin le faisant rougir de plus bel. :« En fait, je suis une belle égoïste en disant ça, c’est tout. Oswin l’égoïste : ça sera peut-être plus simple pour toi de me détester sous ce nom-là. »: Son cœur battait aussi fort que leur première rencontre, il respirait assez fort, il lui prit son menton entre ses doigt pour relevé le visage D'Oswin effacent les larmes de ses joues avec son pouce, il ne savait pas trop quoi dire faisant le moue.
:« Ne pars pas, et ne me laisse pas partir, s’il te plaît. » Il ferma les yeux brillant déposant ses lèvres sur celle d'Oswin à nouveau, il l'embrassa avec espoir et douceur maladroitement car c'était ses premier baiser, quelque autres minutes passèrent. Il ne sait pas encore combien il ne voulait pas le savoir, il se sentait bien, comme si il flottait dans les airs léger, se sentit-t'il alors. Il reprit son souffle reculant ses lèvres de celle d'Oswin pour voir sa réaction."-Je ne pars...pas Oswin pas pendant un long moment si l'Olympe me laisse tranquille."
Invité
Sujet: Re: De Retour à New-York. Pv Oswin. Ven 4 Avr - 14:40
De retour à New-York
Ryan ONNEIL ☂ Oswin MCALISTER
J’avais un petit peu oublié son épaule, lorsque j’avais décidé de me jeter dans ses bras et ce rappel à l’ordre si tilt dans ma tête alors qu’il poussa un petit cri sourd. Je réprimais d’ailleurs une petite grimace lorsque je m’étais détachée de lui. Ça n’était pas voulu et il le savait très bien. Fonctionner à l’impulsivité pouvait avoir quelques mauvais côtés en effet. Je l’avais incité à ne rien dire et il ne trouva rien à me rétorquer, il dégagea juste les quelques mèches de cheveux qui étaient sur mon visage. Et puis c’était à ce moment-là que tout était arrivé. C’était à ce moment-là que j’avais craqué. Craquée devant lui. Pas parce qu’il avait dit quelque chose, non. Tout était de ma faute, le problème c’était moi en quelque sorte. J’avais peur depuis ce fameux soir. Depuis ce soir où j’ai oublié toute la soirée de mes 18 ans et le visage de mon meilleur ami en prime. J’ai passé mes années d’enfance avec lui, et maintenant je ne saurais même plus le reconnaître si je le croisais dans la rue ! C’est ça qui me faisait le plus mal au cœur. Si j’avais juste oublié la soirée, ça ne m’aurait pas autant affectée. Mais savoir que je serais peut-être plus jamais capable de le reconnaître : c’est ça qui m’avait brisée. Et c’est cette peur : la peur de revivre tout ça qui faisait qu’instinctivement je voulais ne plus m’attacher. Ne plus avoir à revivre cela, si tout devait recommencer. Perdre une énorme partie de vous une fois vous détruit, mais en perdre une deuxième partie : ça vous anéanti. Ryan semblait troubler par tout ce que je lui racontais : il se mordait la lèvre et semblait ne pas trop savoir comment réagir face à mon comportement. Je dois dire que si j’étais à sa place, je ne saurais pas quoi faire non plus. J’avais déjà baissé la tête, histoire d’essayer de masquer au mieux les larmes qui pouvaient perler sur mes joues ; mais je senti qu’il déposa sa main droite juste en-dessous de mon épaule. L’instant d’après, il releva ma tête en prenant mon menton entre ses doigts et effaçaient l’eau salée de mes joues avec son pouce. La vision brouillée par ma tristesse, je ne fis pas attention à sa réaction à lui. Je me sentais déjà assez mal d’avoir craquée devant lui, ce n’était pas dans mes habitudes de faire ça ; mais là c’était sorti tout seul. Parce qu’il était sur le point de casser cette barrière que j’avais mise en place malgré moi…
Finalement Ryan posa ses lèvres sur les miennes et m’embrassa avec une certaine douceur maladroite qui se voulait rassurante et m’aider à reprendre confiance certainement. Dès la première seconde, je laissais tomber toutes les pseudo-barrières que mon inconscient pouvait avoir mis en place. Ma main libre vint se poser sur sa joue, et je répondis à son baiser. Tout semblait s’être arrêté tout autour et en même temps j’avais le sentiment que cette scène s’était déroulé en moins de temps qu’il ne fallait pour le dire. Mon cœur s’emballa un peu plus à chaque seconde qui passait et je mis du temps à me reconnecter à la réalité lorsqu’il se détacha de moi pour reprendre son souffle. Il ajouta : « Je ne pars...pas Oswin pas pendant un long moment si l'Olympe me laisse tranquille ». Je me pinçais légèrement les lèvres et rouvrais les yeux que quelque temps après une fois qu’il termina de parler, à croire qu’à chaque qu’on abordait ce sujet, il titillait de plus en plus ma curiosité. « Donc tu es en train de me dire que c’est comme si tu travaillais en intérim là-bas en gros ? Parce que ce que je ne comprends pas toute cette histoire, un coup tu me dis qu’il n’y a que là-bas à la Colonie que les gens comme toi peuvent vivre et maintenant ça. Je crois que je suis perdue. » Après tous ses efforts, il réussit à me décrocher un petit rire nerveux. La machine Oswin s’était remise en marche et j’ajoutais : « De toute façon, je suis une grande fille, je sais me débrouiller toute seule. » Un sourire sur mes lèvres, je passais rapidement la main sur mes joues pour effacer les dernières traces de larmes qui auraient pu persister.
Prenant l’initiative pour la première fois, je me mise sur la pointe des pieds et je posais à mon tour mes lèvres sur les siennes délicatement et plus brièvement que le précédent. Reculant quelque peu, je restais tout de très proche de lui avant d’ajouter : « Je suis désolée pour tout à l’heure, je… J’ai craqué sur le coup, à cause d’un truc un peu bizarre. Enfin c’est une histoire compliquée qui m’est arrivée, un peu comme moi en réalité ! » Riant légèrement, j’ajoutais un ton plus bas, qui était à peine audible : « Je peux tout expliquer, si tu veux. »
Ryan regardait Oswin elle était vraiment très jolie même si elle pleurait, il ne savait as si c'était le bon moment de l'embrasser ainsi mais, il en avait une folle envie trouvant ses lèvres si attirante magnifique, s’en était affligeant, pour le jeune Onneil. Il déposa sa main sur la joue d'Oswin pour tracer les trait prooncer sa joue qui arrivait aux coin de sa lèvre puis dessinant les contours de celles-ci en douceur enfin, il esseia du moins tous ce qui était délicat pour lui avec sa force grandissante. Il laissa sa main sur la joue d'Oswin sa chaleur apaisante le rassurait un peu, il voulait aussi garder cette instant gravé dans sa mémoire, il avait de plus en plus chaud malgré avoir enlevé sa veste en cuir toute à l'heure. Le jeune Onneil éconduit d'Oswin ne pouvait pensé à autres choses cas elle ce qui lui faisais un bien fou, sa tête ne lui faisais plus aussi mal et il avait complètement oublier sa blessure.
Oswin pinça sa lèvre, il en sourit quand elle rouvrit enfin les yeux Ryan la regardait avec les yeux brillant rougissant de plus belle.
:« Donc tu es en train de me dire que c’est comme si tu travaillais en intérim là-bas en gros ? Parce que ce que je ne comprends pas toute cette histoire, un coup tu me dis qu’il n’y a que là-bas à la Colonie que les gens comme toi peuvent vivre et maintenant ça. Je crois que je suis perdue. »:
ELle avait craquer ce qui ce voyait bien, et Ryan ne savait pas trop comment réagir dans pareille instant sa disléxye et son hyperactivité n'aidait pas non plus. ELle se mit à rire mais pas un de joix, plus nerveux
Sa gorge de plus en plus sèche il n'avait bu depuis deux heure si pas plus. Il respireait rapidement essouflé. « De toute façon, je suis une grande fille, je sais me débrouiller toute seule. » Oh çà il le savait bien sinon il serait encore entrain d'asséné des coups dans cette ruellle, retirant sa main de la joue d'Oswin, il remit à nouveau une de ces mèches, derrière son oreille. En cours pas fini
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Sujet: Re: De Retour à New-York. Pv Oswin.
De Retour à New-York. Pv Oswin.
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