NOM : Shain. Comme un shine bien étiré, articulé, disséqué. PRENOM(s) : Litha, la fête de la Saint-Jean, solstice d'été. Puis Arwen, pour des parents à tendance geekesque et un sens de l'ironie prononcé ; en Sindarin de la Terre du Milieu, signifierait l'Étoile du Matin. ÂGE : Tout juste dix-neuf ans. DATE DE NAISSANCE : 26 Novembre. LIEU DE NAISSANCE : Tel-Aviv, Israël. A plutôt vécu à Londres, cependant. ORIENTATION SEXUELLE : Asexuelle, hétéro-romantique. Ça n'a jamais donné, mais le manque est loin d'être présent. GROUPE : Alliés. Comment être neutre, dans cette histoire ? Quelle bande immature de psychopathes a décidé de se rebeller et commencer cette guerre ? Litha est froide et stoïque, acerbe envers ceux qui choisissent le côté de la violence. AVATAR : Margaret Qualley

NATIONALITÉ : Israélienne, puis anglaise. Elle pourrait demander à quelqu'un pour accélérer l'obtention de son Visa américain, mais elle préfère être dans les règles. ÉTUDE/MÉTIER : Rêve d'étudier quelque part autour de l'Histoire de l'art, l'archéologie, quelque chose comme ça. Les anciennes cultures la passionnent. Il lui faudra attendre que les affrontements se terminent. En attendant, elle combat les créatures de Phobetor dans le camp, seuls monstres que la Barrière n'est jamais arrivée à bloquer. Litha combat les cauchemars, détruit les monstres du sommeil à la colonie, parfois pour quelques drachmes. Contrairement à une thérapie, ça, c'est sûr de fonctionner. ÂGE D'ARRIVÉE à LA COLONIE : Dix-huit ans. Ça ne paraît pas beaucoup, elle qui a passé assez de temps avec les enfants d'Athéna pour connaître du bout des doigts ce qui les entoure. Comportement exemplaire, curiosité enthousiaste, ça surprend, de se dire que ça fait moins d'un an. PARENT DIVIN : Morphée (dans les bras de), fils d'Hypnos le Sommeil, triplet le plus proéminent des Oneiroi (dieux des rêves). Au courant de l'époque médiévale, suivant les croyances des gens, Morphée aurait grandi jusqu'à devenir presque égal à son père, recueillant le Sommeil comme précepte, et devenant grand architecte du plan onirique. On le dit arborant un manteau blanc et noir, une boîte pleine de rêves des mêmes couleurs, qui représentent le bien et le mal. Étrange que le blanc et le noir se retrouve également chez le frère de Litha, qu'elle n'appelle que M, et chez elle. Cheveux noirs pour L, blancs pour M. Habits blancs pour L, noirs pour M. Lumière pour L, ombre pour M. Et ainsi de suite, yin et yang gréco-hébraïque dans un penthouse des tourelles de Londres.  AMBITION : Sauver le monde. Sauver tout le monde. Peut-être créer une utopie, quelque part de lointain, peut-être dans le ciel. Et tout comprendre, saisir la profondeur de l'âme, illuminer les secrets qui corrompent le monde. DEFAUT FATAL : Naïve, pantin, facile à mener d'un bout ou l'autre tant que le jeu est assez bien caché. Un jour, un couteau sortira des ombres de la trahison, et il sera trop tard pour Litha. POUVOIRS : ONIROPATHIE. Un pied dans notre monde, l'autre versé dans un autre plan d'existence. On peut remarquer le regard perdu de Litha, emportée par des chœurs d'ancêtres qui n'existent plus. Au creux de l'Hadès, le Demos Oneiroi, le plan des rêves. On dit que lorsqu'on dort, on se rapproche de la mort presque autant qu'à la naissance. La plupart des gens se rendent au Deimos Oneiroi à ce moment et y vivent de nombreuses expériences surréelles ; certains y rencontrent leurs morts, égarés d'Asphodèle. Certains s'y perdent. D'autres sont des rêveurs lucides, et peuvent s'amuser un peu dans leur voyage. Litha, elle, a sa propre pochette de paradis, monde-canevas qu'elle bâtit et détruit, oeuvre d'art inachevable et où elle peut se sentir aimée et en sécurité. Le Deimos Oneiroi est différent du plan matériel, bien sûr ; il lui arrive d'étirer son territoire, d'en faire un pont vers les voyages des autres. Elle peut venir vous chanter une berceuse dans votre sommeil, prendre l'apparence de vos souvenirs, ou dans de très rares cas, y laisser une balafre de cauchemars. Elle n'est pas son frère M, elle ne peut pas modifier les souvenirs et perceptions des gens qu'elle visite, elle ne peut pas les posséder et les pousser au suicide, mais elle peut regarder. Y rester un instant, surveiller. Espionner. Et comme elle représente l'heure juste avant le réveil, les rêves dont on se souvient le plus et ceux qui sont porteurs des plus forts messages, son arrivée est souvent spectaculaire ; bien qu'elle soit inoffensive. Au mieux, Litha est connue pour être plutôt un baume sur l'esprit lors de ses visites. Au pire, une forme lointaine et scintillante, menaçante, qui ne fait que regarder.

PHOTOPRISMATISME. Filtrer la lumière, la séparer en couleurs. Absorber les couleurs, en faire de la lumière. Au premier abord, rien d'impressionnant. Là où M le psychique manipule les ombres comme des illusions, transposant le rêve dans le monde physique, Litha a hérité d'une version très brute des fantasmes allégoriques du Deimos Oneiroi. Incapable d'en faire des formes précises, rien que des rayons miroitants, beaux au moins. Mais les pouvoirs de Litha ne font pas dans la subtilité : elle représente en tous points la partie blanche et lumineuse de Morphée, parfois aveuglante. La véritable utilité de tout ça ? Le combat. L'explosion de lumière colorée met en panique le cerveau d'un adversaire, semblable à une crise d'épilepsie soudaine ; flash, puis inconscience. Les demi-dieux ont plus de facilité à s'en sortir que les monstres ou les mortels, surtout ceux reliés aux domaines de la lumière ou du mental, mais beaucoup noteront de violentes nausées, un aveuglement temporaire, et une perte d'équilibre. Bien que d'apparence éclatante, ce pouvoir est loin d'être létal (bien qu'il manquât d'essayer sur une cible déjà atteinte d'épilepsie ou de narcolepsie), et le pont vers le Deimos Oneiroi qu'est Litha rapproche de la mort de la seule manière qu'elle le peut : vers le sommeil. Ou inconscience, dépendamment du terme technique que l'on souhaite utiliser ici. À savoir, toutefois, qu'elle se doit intuitivement de respecter la balance que représente son créateur ; elle ne peut en moyenne qu'assommer magiquement cinq ou six personnes par jour, balance qu'elle peut rétablir en combattant les cauchemars, ou en utilisant son pouvoir pour faire quelques belles couleurs bénignes avant de se remettre à la violence. De telles restrictions sont parfois embêtantes dans une situation de réel conflit, mais on ne peut pas combattre sa nature ; c'est pourquoi Litha a-t-elle apprit à se battre à l'aide de sa double-lame avec grande discipline. Elle ne fait en effet pas partie des demi-dieux qui peuvent prendre leurs pouvoirs comme acquis en temps de crise.
POSSESSIONS : Double-lame de bronze céleste, nommée Eunoia, grec ancien pour gentillesse. Décorée de prismes et d'éclats de miroirs, chaque mouvement est synonyme d'un flash lumineux. Le but est d'aveugler l'adversaire lors d'un combat diurne, tout en étant impressionnant et plutôt joli. Eunoia se rétracte heureusement en aiguille à chignon, souvent piquée dans la queue de cheval de Litha. Il ne faudrait pas non plus oublier Superstition, son chat noir et compagnon dans la solitude. Inutile de dire qu'entre se battre avec Gentillesse et héberger un porte-malheur, la jeune fille apprécie les noms ironiques.

PSEUDO : morning glory, mais appelez-moi Héloïse  
AGE : Dix-mille ans  
COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? Sur PRD  
QUELQUE CHOSE A EN DIRE ? Ce design est magnifique  
CODE DU RèGLEMENT : wait for it je l'ai oublié et j'ai la flemme de le chercher à nouveau mdr  
SOUHAITES-TU ÊTRE PARRAINé ? POURQUOI PAS   j'ai jamais essayé !  
UN DERNIER MOT ? si dans le plan des mortels les statues grecques représentent les dieux, celles sur l'olympe représentent-elles des mortels ???? philosophie activée