JLes quelques rayons de soleil tentaient de s’infiltrer au travers des nuages sombre, qui couvraient la capitale de la mode. Baignant le paysage dans une ambiance triste et gris. Des gouttelettes de pluie commencèrent à tomber, mais rien d’inquiétant. Elles étaient tellement fines qu’il était difficile de s’en rendre compte. Plusieurs secondes espaçaient la chute de chaque goutte. Mais un passant aguerri comprendrait que la pluie était sur le point de montrer son visage et qu’il fallait s’y préparer. Pour un Parisien averti, cela n’était pas surprenant. Étant donné que les prévisions météo avaient prévu de la pluie pour toute la semaine, avec un peu de soleil durant le week-end.


Pour faire court, ma visite à paris n’avait rien à voir avec la présence de la pluie. Parfois, il est préférable de laisser la nature faire son travail comme bon lui semble.Les quelques rayons de soleil tentaient de s’infiltrer au travers des nuages sombre, qui couvraient la capitale de la mode. Je serai toujours fasciné devant les phénomènes météorologiques, même pour un dieu comme moi. Je comprenais pourquoi les mortels avaient du mal à prévoir la météo. Une vraie petite capricieuse.


En parlant de caprice, j’avais rendez-vous avec une personne taillé dans le même style. Je dois admettre, que j’avais beaucoup hésité avant de me décider. Après tout, son message été bref et manquait de clarté, pas de quoi chercher des noises à une méduse. Après tout, son message été bref et manquait de clarté, pas de quoi chercher des noises à une méduse. Au départ, je comptais l’inciter à venir me voir, après tout, s’est-elle qui avait besoin de moi et non l’inverse. Chemise blanche avec cravate noir et un pantalon gris, puis un imperméable jaune par dessus. Les vêtements mortels n’étaient pas tellement mon fort, mais je faisais un minimum un effort pour être toujours présentable.


Pour ma défense, j’avais laissé passer plusieurs jours avant de répondre à son invitation. Les vêtements mortels n’étaient pas tellement mon fort, mais je faisais un minimum un effort pour être toujours présentable. Oh, il ne fallait pas pousser le bouchon un peu loin. Mais quand j’y pense, je me demande si j'avais bien fait d’effectuer le déplacement. Je secourais la tête pour enlever cette image de ma tête, je me déplaçais quand je le voulais et de la manière qui me plaît. Sur la pression de mon doigt, une sonnerie retentit à la porte de son appartement. Aphrodite ne s’attendra pas à me voir débarquer de cette manière, pas besoin de venir comme par magie, elle se sentirait trop importante.


-Bien le bonjour Aphrodite. Dis-je avec un sourire. Sur la pression de mon doigt, une sonnerie retentit à la porte de son appartement.

Un sourire éclatant m’accueillit à bras ouvert sur le palier de la porte, de quoi dissiper toutes mes craintes et mes problèmes. Je ne me rendais pas encore compte, mais j’étais une nouvelle fois sous son emprise. Depuis plusieurs siècles, Aphrodite avait rendu les mortels dépendant à sa beauté, allant même à provoquer des guerres. Même mon frère n’avait eu le courage de rejeter la faute sur sa fille, feignant de croire que seuls les hommes étaient responsables de leur bêtise. Difficile de croire que même L’Olympe était épris d’elle au point qu’une dispute avait éclaté entre divinités de première et seconde génération. Seul Héra et les autres déesses gardèrent la tête froide. Ne pouvant rester insensible à son sourire, comme un gamin je le lui rendis tout en entrant dans l’appart.


-Je te prie de me pardonner, des affaires plus urgente sollicitaient toute mon attention, dis-je tout en accrochant mon imperméable sur le porte manteau, tu sais la résistance et ses caprices, ajoutai-je avec un sourire coupable.


Pourtant, la situation n’avait rien de drôle, la vie de nos enfants était menacée et mon égoïste de frère venait à peine de lever l’une de ses lois qui nous empêchaient de rentrer en contact avec nos progénitures. Regarder moi, en train de prendre tout cela avec aisance. Je venais de mentir en me cachant derrière la menace de la résistance. Ce n’était en aucun cas la résistance, qui m’avait empêché de lui donner des nouvelles.Pourtant, la situation n’avait rien de drôle, la vie de nos enfants était menacée et mon égoïste de frère venait à peine de lever l’une de ses lois qui nous empêchaient de rentrer en contact avec nos progénitures. Un minimum de respect sur ma personne. Je souhaitais juste lui faire croire que je ne pouvais pas débarquer comme un bon toutou quand ça lui chante.


-Du vin ne serait pas de refus, merci. Fis-je en prenant place en face du fauteuil en cuir blanc et en croisant les jambes. Mon regard ne s’attarda pas sur les quelques piafs en train de dresser une table. Il n’y avait rien d’extraordinaire voyant, non, j’étais plutôt subjugué par les tonnes de miroir dont regorgeait le salon principal.


-Je vois que tu es toujours friand de ces petites choses, déclarai-je en les pointant du doigt.