Depuis ce que lui avait fait sa mère, Carter ne pouvait pas faire autrement que de vivre à la colonie des sang-mêlé et étrangement, il ne leur voulait pas de mal à eux. Il était en colère, mais son côté gamin le rendait assez violent….enfin c’était son ancien côté mauvais qui causait cela. Donc ce matin, le jeune garçon se réveilla dans son bungalow avec les autres enfants d’Hécate et constata qu’il avait toujours l’apparence qu’il avait à ses 7 ans et le pire était ce qu’il avait comme problème à cette époque, alors il envoya ses draps à laver et il alla s’habiller. Il enfila un short en jeans, un t-shirt rouge et une paire de chaussette rouge et enfila pour finir ses chaussures. Il détestait ceux que lui avait donnés un autre enfant d’Hécate, car à chaque fois qu’il posait son pied sur le sol, des lumières commençaient à clignoter sur les chaussures. Surement une revanche que lui faisait subir les autres enfants d’Hécate…enfin. Il sortit donc du bungalow et marcha avec les autres vers le lieu où ils prendraient leur repas et s’installa en silence à la table. Durant le repas, il remarqua un groupe d’Apollon qui le fixait, alors il continua de manger en les fixant, puis lorsqu’il eut fini, il se leva et alla en direction de son bungalow, mais le groupe d’Apollon lui bloqua le passage et commencèrent à l’embêter, alors le jeune commença à se battre avec eux, même s’il savait qu’il régressait plus rapidement quand il agissait mal, mais il ne pouvait pas s’en empêcher et sa mère le savait, c’était donc pour ça qu’elle lui avait lancé ce sort. Il frappa donc le premier Apollon et fut pousser au sol par un autre, mais il se releva et frappa l’autre et poussa un autre qui voulait l’attraper.

Je ne peux m’empêcher de sourire quand je les vis tirer la langue au Apollons qui partait. Je remarquai seulement maintenant qu’il saigner du nez. Le garçon me dit en croisant les bras qu’il allait bien, qu’il n’était pas un gamin et qu’il avait dix-sept ans. Je doutais vraiment du fait qu’il avait 17 ans. Il avait le physique, la taille et l’attitude d’un gamin. Je remarquai que le gamin regardais son genoux qui était un peu blessé mais rien de vraiment de grave. Il fallait juste le désinfecté, pas comme son nez qui ne semblait pas aller bien.
Le gamin croisa les bras et essaya d’être menaçant mais je le trouvais surtout drôle. Je n’allais pas lui dire sinon il se fâcherait et ce n’est pas ce que je voulais, loin de là ! « Pourquoi tu es venu me défendre ? Je pouvais très bien m’en sortir tout seul, je n’ai pas 4 ans.». Je le regardai quelques secondes avant de répondre « C’est sûr que tu pouvais t’en sortir alors qu’ils étaient six et toi seul. »Lui répondis je en faisant un peu d’ironie J’espérai qu’il n’allait pas se braquer à cause de ma réponse.
Je l’observai avant de me relever et de déclarer : « Viens, on va à l’infirmerie. Ton nez en a vraiment besoin.» Je savais qu’il n’allait pas vouloir, mais j’étais près à la porté pour l’y amené de force. Son nez avait l’air tordu et je ne voulais pas lui faire encore plus mal en essayant de le remettre moi-même en place. Je ne ferrais qu’aggraver les dégâts. Je le regardai encore une fois attentivement en attendant de voir sa réaction. Je ne me souvenais pas d’avoir déjà vu ce gamin mais j’ai vraiment une mémoire de poisson rouge. A croire que j’oublie volontairement les choses !

Carter se battait toujours quand soudain, il sentit des bras le tirer par derrière, mais il ne connaissait pas cette personne qui était venu. Il le vit par contre s’interposer et prendre sa défense, alors le jeune garçon regarda le nouveau venu et comme sa régression mental avait déjà commencé depuis 3 semaines et qu’il avait tout fait pour ne pas s’aider, disons qu’il était sur le point de tout perdre de ce qu’il avait lorsqu’il avait toujours sa conscience d’ado. Il regarda les Apollon s’éloigner et il leur tira la langue pendant qu’ils avaient tous le dos tourné et il regarda le garçon qui était venu à son secours. Carter avait mal au nez et sentait quelque chose de liquide et chaud qui coulait de ce dernier, de plus, lorsqu’il toucha sa bouche, il sentit quelque chose bouger, alors il toucha ses dents et sa palette de droit commençait à bouger. ‘’Je vais bien, je ne suis pas un gamin, j’ai 17 ans.’’ Il croisa les bras et il regarda le garçon qui s’était mis à sa hauteur, car comme Carter était très petit pour son âge et bien, les ados devaient se mettre en petit bonhomme pour être à sa hauteur. Il regarda son genoux et remarqua que ce dernier était un peu blessé, mais ce n’était pas dramatique. Son t-shirt rouge avait des tâches vertes à cause de la pelouse. Après quelque seconde, le garçon regarda l’adolescent et de sa voix d’enfant, lui demanda. ‘’Pourquoi tu es venu me défendre ?’’ Carter resta debout et il croisa les bras pour se monter menaçant, mais il n’y parvenait tout simplement pas. ‘’Je pouvais très bien m’en sortir tout seul, j’ai pas 4 ans.’’ Il essaya d’avoir l’air fâché avec son visage, mais cela faisait surtout rire en général, mais cela ne l’empêchait pas d’essayer.

Je ne peux m’empêcher de sourire quand je les vis tirer la langue au Apollons qui partait. Je remarquai seulement maintenant qu’il saigner du nez. Le garçon me dit en croisant les bras qu’il allait bien, qu’il n’était pas un gamin et qu’il avait dix-sept ans. Je doutais vraiment du fait qu’il avait 17 ans. Il avait le physique, la taille et l’attitude d’un gamin. Je remarquai que le gamin regardais son genoux qui était un peu blessé mais rien de vraiment de grave. Il fallait juste le désinfecté, pas comme son nez qui ne semblait pas aller bien.
Le gamin croisa les bras et essaya d’être menaçant mais je le trouvais surtout drôle. Je n’allais pas lui dire sinon il se fâcherait et ce n’est pas ce que je voulais, loin de là ! « Pourquoi tu es venu me défendre ? Je pouvais très bien m’en sortir tout seul, je n’ai pas 4 ans.». Je le regardai quelques secondes avant de répondre « C’est sûr que tu pouvais t’en sortir alors qu’ils étaient six et toi seul. »Lui répondis je en faisant un peu d’ironie J’espérai qu’il n’allait pas se braquer à cause de ma réponse.
Je l’observai avant de me relever et de déclarer : « Viens, on va à l’infirmerie. Ton nez en a vraiment besoin.» Je savais qu’il n’allait pas vouloir, mais j’étais près à la porté pour l’y amené de force. Son nez avait l’air tordu et je ne voulais pas lui faire encore plus mal en essayant de le remettre moi-même en place. Je ne ferrais qu’aggraver les dégâts. Je le regardai encore une fois attentivement en attendant de voir sa réaction. Je ne me souvenais pas d’avoir déjà vu ce gamin mais j’ai vraiment une mémoire de poisson rouge. A croire que j’oublie volontairement les choses !

Les bras croisé, Carter essayait d’avoir l’air menaçant, mais avec son visage, il n’arrivait pas du tout à l’être, d’ailleurs, il faisait toujours rire ses frères et sœur quand il faisait une crise. Bon après 30 minutes à l’entendre hurler, un des plus vieux venait le prendre et le mettre au lit et bien qu’il ne voudrait pas l’admettre, il adorait qu’on le borde et lui lise une histoire avant de s’endormir. Au départ, les enfants d’Hécate se moquaient de lui à cause de cela, mais maintenant, seules les plus jeunes rient encore de lui. Enfin, il se tenait donc toujours devant l’inconnu et le regarda en silence, toujours avec son faux air menaçant. Lorsqu’il lui dit qu’il avait six adversaire et bien il compta sur ses doigts, oui étonnamment, avec le temps, il avait perdu tous ses acquis aux niveaux des maths et il dit en montrant sept doigt. ‘’Ouais, tu as raison, ils étaient six, mais j’aurais réussi à les battre.’’ Par la suite, il toucha son nez et sentit qu’il était croche, il avait le nez brisé. Oui, bien qu’il n’aille surement pas l’admettre, il était content qu’on soit venu prendre sa défense. Le jeune homme qui s’était transformé en allié pour Carter lui proposa de se rendre à l’infirmerie pour son nez et sur ce coup, le jeune garçon n’avait pas le choix d’accepter. Il attrapa donc la main de ce sauveur et marcha à ses côtés. ‘’Pourquoi tu es venu me sauver ? En général, les gens ne m’aide pas.’’ Il regarda son interlocuteur pendant leur marche, dans l’attente d’une réponse et il regarda l’infirmerie au loin et s’arrêta. ‘’Je ne veux pas…. Ils vont me faire mal et me faire des piqures.’’ Et oui, les peurs qu’il avait enfant était revenu. C’était pourquoi, maintenant qu’il réalisait qu’il se rendait vraiment à l’infirmerie qu’il s’arrêta en larme, car il ne pouvait pas s’en empêcher. En effet, s’il fallait mettre en pourcentage ce qu’il était désormais et bien disons qu’il ne lui resterait plus que 2% de son conscience qu’il avait ado et 98% de sa nouvelle. Il prit James dans ses bras, bien qu’il ne soit pas haut et en larme lui dit. ‘’S’il te plait.’’ Il resta ainsi.

Le gamin croisa les bras puis compta quelque chose sur ses doigts. Il me montra sept doigts et me dit : ‘’Ouais, tu as raison, ils étaient six, mais j’aurais réussi à les battre.’’. Je me reteins de rire envoyant son erreur de calcule. Puis, il toucha son nez pour vérifier ce que je lui avais dit. Après avoir vérifié que j’avais raison, il prit ma main et commença à marcher. Je fus surpris de ce geste mais je teins sa main et commença à marcher avec lui. Je n’avais pas l’habitude de m’occuper des autres, surtout quand ils étaient jeune. Comme la plus part des Héphaïstos, je n’étais pas très doué avec les autres même si je faisais de mon mieux pour me faire accepter par tous. Au bout d’un moment, il me demanda : ’Pourquoi tu es venu me sauver ? En général, les gens ne m’aide pas.’’ . Je dus réfléchir pour trouver une réponse à cette question. Pourquoi suis-je venu l’aider ? Je l’avais plutôt fait par réflexe, sans réfléchir. Par réflexe comme quand ton bras te gratte, tu le gratte. Rien de plus, rien de moins. Je n’étais pas du genre à jouer les supers-héros, j’étais plutôt le petit intello qui fait pleins de gadget pour que le super héros fasse bien son boulot. Un peu comme Mrs. Fox dans la trilogie de Batman qu’avait fait Christopher Nolan. Après avoir réfléchis, je choisis de répondre à ça question avec la réponse plus ou moins typique de supers héros : « Tu allais te faire tabasser, je ne laisse pas les plus grands tabasser les plus petits ! ». J’espérai qu’il trouvait ma réponse Satisfaisante car je n’en avais pas d’autre. Tout d’un coup, le gamin s’arrêta et regarda l’infirmerie. Il dit : ‘’Je ne veux pas…. Ils vont me faire mal et me faire des piqures.’’ Puis il me prit dans ses bras et dit : ‘’S’il te plait.’’ . Je le regardai étonné, puis me baissa pour être à sa taille. D’un ton rassurant je dis : « Ne t’inquiète pas, ils ne vont pas te faire de piqure et ils ne vont pas te faire mal. Si tu veux, s’ils essayent de te faire une piqure, je les empêcherais ! ». Je lui souris, me releva et retendis ma main à l’enfant.

Il faut dire que le fait de redevenir un enfant avait beaucoup modifié sa mémoire, car en effet, maintenant la seule façon pour lui de compter était avec ses doigts, sinon il dit complètement n’importe quoi et même là, il n’arriva pas à comprendre que 7 doigts voulaient dire ce chiffre, car il pourrait penser que ces 1, donc le jeune garçon avait beaucoup changé. Après avoir dit cela, le jeune garçon regarda son sauver et il réalisa que son nez était vraiment très mal placé, alors il allait devoir allez se faire soigner par les Apollon et disons qu’après la bagarre avec des jeunes Apollon, il n’avait pas trop envie de se faire soigner par l’un d’eux. Carter tenait toujours la main de son sauveur pendant qu’ils marchaient vers l’infirmerie et il finit par dire quelque chose quand il réalisa qu’ils se rendaient vraiment à l’infirmerie. James se pencha à sa hauteur et le rassura en lui disant que ceux-ci n’allait pas lui faire de piqure, alors le jeune gamin le regarda et dit simplement. ‘’D’accord.’’ Puis il reprend la main de James et se remet en marche pour finalement entrer dans l’infirmerie. En le voyant, une fille Apollon s’approcha de James et Carter et leur fait signe de venir avec elle. La suivant, Carter voit plusieurs personne blessé et semble avoir peur. Lorsqu’il arrive devant un lit libre, Carter s’installe assit sur celui-ci et regarda attentivement James. ‘’Tu crois que ça va faire mal ?’’ Le jeune garçon regarda James et attendit de voir ce qu’il lui dirait.

Après l’avoir rassuré, il dit  ‘’D’accord.’’ Puis il reprit ma main et nous recommençâmes à marcher. Nous arrivâmes dans l’infirmerie et une fille, Kathy je crois, qui était une fille d’Apollon vins vers nous et nous fis signe de la suivre ce que nous fîmes. Tout en marchant, je regardai les patients qu’on pouvait apercevoir grâce à des rideaux mal fermés. Certains semblaient  souffrir qu’un mal de tête où autre choses et les autres semblaient être bien blessés. Je n’étais jamais venu dans l’infirmerie avant, ce qui était une bonne chose, mais beaucoup de mes demi frères et sœurs étaient venus quand ils s’étaient fait mal à la forge. C’était arrivé tellement souvent que comme pour les Arès, on nous avait donné une trousse de secours à garder dans la forge pour soigner quelqu’un sans à venir envahir l’infirmerie du camp.
Nous arrivâmes devant un  lit vide. L’enfant, à qui je devrais lui demander son prénom, s’assit sur le lit et Kathy ferma les rideaux. Je m’assis sur une chaise à côté de lit et resta silencieux pendant que le gamin me regardait. Au bout d’un moment il me demanda : ‘’Tu crois que ça va faire mal ?’’. Je lui souris et répondis : « Non, je pense qu’ils vont tous simplement te donné un peu d’ambroisie, c’est tout ! Ne t’inquiète pas ! ». Je restai silencieux pendant une ou deux minutes, puis je me présentai, chose que je n’avais pas encore faite : «  Au fait, je m’appelle James, James Bake et je suis un fils d’Héphaïstos. Et toi ? Tu t’appelle comment ? »

Le jeune Carter était toujours assit sur le lit dans l’infirmerie et regardait partout autour de lui pour voir s’il y avait beaucoup de gens blessé. Comme un véritable gamin, il balançait ses pieds dans le vide et regardait attentivement James qui se trouvait toujours près de lui. Quand le jeune garçon de 6 ans lui demanda s’il allait avoir mal et bien l’adolescent le rassura en lui disant qu’ils allaient surement simplement lui donner un peu d’ambroisie. Le jeune garçon soupira de soulagement, mais cela lui fit plus mal au visage qu’autre chose. Puis après quelque seconde, le petit garçon lui demanda. ‘’Tu crois qu’ils vont me donner une sucette après ?’’ Il avait le sourire aux lèvres, étrangement depuis qu’il avait rencontré James, sa mémoire de son passé avait complètement disparue et commençait à être remplacer par de nouveau. Il finit par mettre ses pieds sur le lit, mais on lui demanda de retirer ses chaussures s’il voulait faire cela, donc il retira ses chaussures qui clignotaient à chacun de ses pas et resta avec ses chaussettes rouges. Il s’assit en indien et il entendit le garçon dire son nom, alors il lui sourit, puis finit par lui dire son propre nom. ‘’Moi, je m’appelle Carter Evans et ma maman c’est Hécate.’’ Il s’amusait à faire des ciseaux avec ses doigts et il faisait semblait de couper une feuille, puis une Apollon vint le voir et le rassura en lui disant que ce ne serait pas long et lui remit le nez en place et lui donna l’ambroisie. Le garçon pleura quand elle lui remit le nez en place et bu rapidement le liquide qui le soulagea sur le champ.

Il commença à balancer ses pieds, ce qui me fit sourirai car quand j’étais plus petit, je faisais tout le temps ça. Je le faisais sans doute à cause de mon hyperactivité. Quand j’étais plus jeune, je ne pouvais pas rester en place deux secondes, mais heureusement pour moi, mon hyperactivité s’était un peu calmée avec le temps et l’âge. Après quelques secondes de silence de la part du petit garçon, il demanda en souriant : ‘’Tu crois qu’ils vont me donner une sucette après ?’’.  Je ne pue m’empêcher de sourire, amusé par sa question. « Je pense pas mais je pourrai aller te piquer un truc si tu veux ». Le garçon finis par mettre les pieds sur le lit, mais on l’informa qu’il devait enlever ses chaussures, ce qu’il fit. Quand je vis la taille de ses pieds par rapport à celle des ses chaussure, je devinai tout de suite qu’il devait nager dedans ! Ses chaussures étaient bien trop grandes pour lui. Quand je me présentai, il s’assit en indien et m’écouta attentivement, puis, il se présenta à son tour. '’Moi, je m’appelle Carter Evans et ma maman c’est Hécate.’’. Je hochai la tête « enchanté Carter ! » dis je en souriant. Un Apollon arriva et rassura Carter. Il dit que ce n’allait pas être long et il lui remit d’un coup le nez en place. Quand il fit ceci, je ne pue m’empêcher de grimacer pensant à la douleur ressentit par ce pauvre Carter. Carter pleura quand la fille lui remit le nez en place, ce qui était normal, et bus l’ambroisie qui sembla effacer sa douleur car il arrêta de pleurer. Je m’approchai de lui et lui demanda « ça va ? Ça ne t’a pas fait trop mal ? ». Oui je sais, c’était une question débile.  Mais bon, c’était une question débile parmi tant d’autre ! Si on comptabiliser toute les questions débiles que tout les êtres vivant on dit depuis la nuit des temps, le nombre aura surement autant de chiffre que Pi.

Toujours assis en indien sur le lit, le jeune garçon regardait attentivement le garçon face à lui qui venait de lui donner son nom. Le petit garçon venait de demander à James s’il allait recevoir une sucette, mais l’adolescent lui dit qu’il ne pensait pas, mais qu’il pourrait allez lui en piquer une quelque part, donc le petit garçon sourit de ses petites dents et il dit. ‘’Oui, merci.’’ Il souriait toujours quand la fille Apollon vint s’occuper de lui et lui remit son nez en place, cela lui fit horriblement mal, mais quand il prit une grande gorgée d’ambroisie et bien la douleur disparue sur le champ. Après cela, la fille Apollon s’éloignant, laissant Carter libre s’il voulait partir, puis James lui demanda si cela avait fait mal, alors le petit attendit, décroisa les jambes et remit ses pieds dans le vide pour commencer à les balancer dans le vide en disant. ‘’Oui et non, avant oui, maintenant non.’’ Il sourit. Pendant quelque seconde, il regarda James en souriant, puis il descendit du lit et il attrapa ses chaussures et soupira, car en effet, ses chaussures étaient trop grande pour lui. Il les enfila quand même et comme il n’arrivait pas encore à attacher ses souliers seuls et bien il avait des chaussures à velcro, donc il les posa et il reposa son attention sur James et lui pris la main en disant. ‘’On va marcher ?’’ Il le regarda quelque instant et sans attendre la réponse de l’adolescent et bien il entraina le garçon hors de l’infirmerie et une fois hors de ce lieu et bien il dit en souriant. ‘’Tu veux allez faire un tour dans mon bungalow pour jouer avec mes jouets ?’’ Carter le regarda avec son regard d’ange. C’était presque s’il ne sautait pas sur place pour que le jeune adolescent vienne jouer avec lui.

Quand je proposai à Carter de lui piquer quelque chose quand il sortira d’ici, il sourit et me dit : « Oui, merci ». Je souris et me retins de le décoiffé en passant une main dans cheveux. La fille d’Apollon vins soigner Carter. Carter pleura quand la fille lui remit le nez en place, mais il arrêta de pleurer, quand la fille lui donna de l’ambroisie. La file d’Apollon dit à Carter qu’il pouvait partir s’il le voulait. Quand je lui demandai si ça avait fait mal, Carter décroisa les jambes, les balança dans le vide et répondit enfin : ‘’Oui et non, avant oui, maintenant non.’’ Puis il sourit. Pendant quelques instants, il me regarda. Puis, sans prévenir, il descendit du lit et mit ses chaussures à velcro qui était, sans doute, bien trop grande pour lui. Il me prit la main et demanda : ‘’On va marcher ?’’. Je fus surpris par sa proposition. J’allais répondre « pourquoi pas ?» quand il m’entraina hors de l’infirmerie.’'Tu veux allez faire un tour dans mon bungalow pour jouer avec mes jouets ?’’ Me demanda-t-il. Je fus surpris. Ce gosse me surprenait de plus en plus. Il me regarda avec un regard auquel on pouvait rien refuser. Je soupirai en ayant en même temps un sourire en coin amusé. Au bout de quelque secondes de silence, je répondis : « C’est d’accord. Mais pas trop longtemps, j’ai du travail qui m’attends à la forge !». Nous commençâmes à marcher vers le bungalow d’Hécate, le bungalow où vivait Carter avec ses demi-frères et sœurs. Je n’étais jamais rentré dans le bungalow d’Hécate, ce qui était assez normal car d’habitude on ne va pas dans le bungalow des autres. Pour se rendre au bungalow de Carter, nous passâmes devant le la sorte de réfectoire où nous avions l'habitude de manger. Je regardai Carter et lui demanda : « tu veux que je aille te pique un truc ? »