Je suis quelqu’un qui a plusieurs facettes. Le plus souvent je suis dragueur, drôle et fêtard, mais je peux être sérieux, lucide et froid quand il le faut. Je suis une vrai tête brûlé et je n’aime pas recevoir d’ordres j’adore en donner. Je peux être chaleureux mais je peux être menaçant et vous donner la chair de poule en moins de deux ! Je suis très débrouillard et autonome, je n’ai besoin de personne. J’aime bien jouer avec les autres et les manipuler pour semer le désaccord. Je peux être impartial et cacher mes sentiments. à part un peu la colère avec laquelle j’ai un peu de mal. Je peux paraître quelqu’un d’ouvert mais je ne fais confiance qu’à moi-même et je n’hésite pas à faire des coups bas.

Je suis grand et musclés. J’ai des tatouages sur les bras et un ou deux sur le torse. Je suis ce qu’on appelle « un beau gosse », non je ne prends pas la grosse tête, je dis juste la vérité. J’ai souvent une petite barbe, si on peut appeler ça une barbe, de quelques jours mais je n’aime pas trop la faire pousser donc je fais attention. J’ai les cheveux court et marron (un peu foncé). J’ai des yeux couleurs azur, oui c’est classe.  J’ai des lèvres assez charnues. Maintenant, niveau vestimentaire c’est simple.  J’ai un style très classique : tee-shirt, jeans et basket. Je déteste les costards, on dirait qu’on est déguisé en pingouin quand on en porte un. En tout cas, c’est mon avis !

J’ai eu une enfance assez normale. Des trucs bizarre se sont parfois passé mais rien de plus. Aussi loin que je me souviens j’étais le mec aimé et crains de la classe. Ils ne savaient pas vraiment si ils devaient me considéré comme un ami car j’étais ouvert, gentils et que j’aimais aider les autres ou si ils devaient me craindre car j’aimais leur faire peur et faire des coups bas. J’ai vécu le début de mon enfance avec ma mère qui travailler dans la partie « sport extrême » des clubs Med. Le plus gros point en commun que j’avais avec ma mère, et peut être le seul, était que nous adorions tout le deux avoir peur. Notre soirée préféré était évidement Halloween et nous faisions une méga fête avec ses amis et les miens mais j’ai dus attendre quelques années pour que les parents de mes amis les laissent venir jugeant qu’ils pouvaient enfin voir des films d’horreur. En parlant de film d’horreur, ma mère et moi en regardions pas qu’à Halloween ! Nous en regardions tout les deux tout le temps quand on avait du temps. Nous regardions souvent des films d’horreur déconseillée, ou interdit, au moins de 16 ans alors que je n’avais même pas 12 ans.
J’aimais ma vie comme ça, mais elle a changé quand j’ai eu 13 ans. Je ne sais pas pourquoi, tout d’un coup ma mère a eu une idée. Du jour au lendemain. Comme ça ! Elle m’a annoncé qu’elle aillait rejoindre l’armée de terre. Elle voulait, je cite, « ressentir la peur de mourir ». Ne restant que moi et elle dans la famille et ne voulant pas que j’aille vivre chez ses amis ou en famille d’accueil, elle a demandé à un ami de se faire passer pour mon tuteur pendant que je vivais encore dans notre petit appartement seul. Elle m’envoyé de l’argent chaque moi et parfois mon « tuteur » m’en passé un peu quand il m’en manquait. Jusqu’à mes 16 ans j’ai vécu comme ça seul. Entre temps ma mère s’est fait tué en combat alors j’ai dus bosser dans des magasins, des salles de sport et chez mon tuteur pour gagner de l’argent. Je croyais que ma vie ne pouvait pas être encore chamboulée mais j’étais faux. Comme je le disais, un jour je suis rentré dans mon appart’ après avoir travaillé comme assistent d’un prof de box, oui, j’avais déjà fais de la boxe. Quand j’ai à peine posé un pied à l’intérieure on m’a mit une sorte de poche en tissus noir et on m’a donné un coup à l’arrière du crane pour me faire m’évanouir. Ils ont réussis.
Quand je me suis réveillée, j’étais ligoté à une chaise, seule, dans ce qui ressemblait à une ancienne cellule pour des gens enfermé dans un hôpital psychiatrique. J’ai essayé de toute mes forces de me libéré mais mes liens semblait incassable. Je suis resté contient dans cette pièce durant je ne sais pas combien de temps. Peut être pendant quelques secondes… ou quelques heures. En tout cas, au bout d’un moment, quelque chose de terrifiant est entré dans la pièce. Si je n’avais pas eu un tissu dans la bouche, j’aurai crié à en perdre mes poumons. C’était quelque chose d’immense et de poilus. Il avait une tête qui ressemblait à une tête de chat en ragé avec le pelage d’un chien. La chose avait aussi une queue de scorpion et des yeux qui pouvait rendre fou de peur le plus courageux des hommes. J’ai cru que la bête allait se jeter sur moi pour me dévoré vivant, mais tout d’un coup une femme est rentré apaiser la bête. Elle avait une longue robe noir, un foulard noir qui caché ses cheveux.  Elle m’a demandé où « il » était. Je lui ai demandé de qui elle parlait. Elle a souri et m’a répondis que je le savais très bien et qu’il valait mieux que je lui dise où « il » était si je voulais rester en vie. Je lui ai répondus la même chose que la première fois. Elle s’est approché d’un coup de moi et m’a dit qu’elle savait que j’étais un « sang-mêlé » que elle est son monstre le sentais. Je lui ai demandé ce qu’était un « sang-mêlé ». Elle a soupiré et m’a dit : « Tu veux jouer au plus malin » et elle a enlevé son foulard et j’ai vus à la place de ses cheveux des serpents. Elle m’a re demander où « il » était et je n’ai rien répondu parce que j’étais trop occupé à essayé de m’éloigné de ses serpents. Elle s’est rapproché de moi et d’un coup elle est tombée sur moi. Même pas une seconde après, son monstre a fait de même en me laissant voir un gars avec un arc. Il m’a libéré, m’a expliquer ce qui s’était passé et m’a emmené au camp où j’ai vécu jusqu’à mes 18 ans. Quand j’ai eu 18 ans je suis retourné là où j’habité et je suis devenu prof de boxe mais je viens pendant toute les vacances au camp car je m’y sens chez moi.