HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée)
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HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée)

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MessageSujet: HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) Icon_minitimeSam 27 Déc - 9:56

« Imagination is more important than knowledge »

« PRÉSENTATION D'ALASKA »
♦♦ NOM :: Alaska Sherlock Grey
♦♦ ÂGE :: 18 ans
♦♦ NOM DU PARENT DIVIN :: J'n'en ai pas
♦♦ NOM DU PARENT HUMAIN :: Evy Peterson et Jake Grey
♦♦ ESPÈCE :: Humaine
♦♦ BUT :: Rester saine d'esprit malgré tout ce que je peux voir et réussir mes études.
♦♦ POUVOIRS :: M'attirer des ennuis, ça compte ?
« DERRIÈRE L'ECRAN »
♦♦ PRÉNOM :: Obligée de le dire ?
♦♦ PSEUDO :: Cupcake 8D
♦♦ ÂGE :: 14 ans
♦♦ OÙ AS-TU CONNUS LE FOW ? :: Google
♦♦ DES COMMENTAIRES ? :: Validé par Grace ♥
♦♦ CODE :: Être un demi-dieu ce n'est pas aussi génial que vous le pensez
♦♦ AUTRES ? ::

« CARACTÈRE »

Tu es têtue. Têtue, butée et déterminée. Quand tu as une idée dans la tête, tu ne l'as pas autre part. Et tu es prête à tout -du moment que c'est raisonnable- pour y parvenir. Tout le contraire de ton père. Tu es franche, directe, parfois trop. Tu ne réfléchis pas avant d'agir. D'abord tu attaques et ensuite tu réfléchis aux conséquences. Tu dis tout ce que tu penses et tu penses tout ce que tu dis. Tu es l'une des pires diplomates qu'il soit donné d'exister. Tu es autodidacte et tu penses toujours pouvoir t'en sortir toute seule.
Tu es facilement jalouse vis-à-vis de ton frère, et possessive. C'est TON frère. C'est bien la raison pour laquelle il ne te présente jamais ses amies. Tu serais capable, avec ton mauvais caractère, de la frapper. Parce que tu te bats. Tu as l'air féminine dans ton maintien, mais ce n'est que du vent. Un vrai garçon manqué, élevée par un vrai garçon. Il t'as appris à te battre, à répondre aux moqueries et aux insultes. Tu sais te défendre, tu sais attaquer et tu prends facilement la mouche. Mais ça ne t'empêche pas d'être gentille, si on exclut tes sautes d'humeur due  ta susceptibilité et ton instinct protecteur. Tu es assez généreuse, et tu accepterais n'importe qui de la même espèce que ton frère sous ton toit.
« PHYSIQUE »
On te dit souvent que tu es plutôt jolie. Tu aimes bien qu'on te le dise. Tu essaies d'avoir l'air féminine, à défaut de l'être. Tu portes des jeans slim, des débardeurs, des jolis décolletés sans être plongeants. Mais tu as toujours cette aura nonchalante que t'a conférée ton frère en s'occupant de toi. A force de l'imiter tu as fini par lui ressembler et tu as copié cette attitude. Tu portes des couleurs assez simples. Tu ne te maquilles pas beaucoup, juste un peu de rouge sur tes lèvres charnues, pleines et rebondies, un trait sur tes yeux noisette, et de la poudre sur tes joues désespérément pâles. Tu passes assez inaperçu dans la foule. Tu n'es pas quelqu'un qui se remarque par son style. Tu fais partie des ces fantômes de la vie de tous les jours, qu'on a l'impression d'avoir déjà croisé mille fois lors d'une première rencontre.
« HISTOIRE »

Evy Peterson n'était pas vraiment une femme comme il faut. Elle avait déjà eu un fils d'un père inconnu. Elle le regardait toujours avec cet air nonchalant mêlé de pitié et d'un peu de haine. Elle n'était pas la mère idéale, pas maternelle, par protectrice et nourrissait son fils pour le garder en vie, jusqu'à ce qu'il grandisse pour qu'elle puisse le laisser à quelqu'un d'autre. Mais il y eût une sorte de miracle pour ce petit garçon, alors âgé d'un an seulement. Evy accoucha. Une nouvelle fois, un an après son fils. Et d'une fille cette fois. Le père était là, elle l'avait contacté. Il donna son nom de famille. Puis il partit comme il était venu.

Trois ans. Elle s'occupa de vous, de toi, la petite fille, et de ton frère, le petit garçon, pendant trois ans, avec ce même dégoût et cette même pitié. Elle était incapable de vous aimer, vous n'étiez que des erreurs, des imprévus. Et s'il existait l'avortement, les Dieux seuls savent pourquoi elle ne l'avait pas employé. Quand ton frère atteignit quatre ans, il commença à comprendre. Quand il essayait de lui faire un câlin, comme il en avait vu ses amis de l'école en faire à leurs parents, elle se dégagea et le repoussa. Un an plus tard, Evy recommençait à boire. Le petit garçon commençait à grandir un peu plus vite que ses camarades. Mais au moins, elle ne vous frappait pas.

Tu avais huit ans. Tu dormais profondément, lovée dans les bras de ton frère suite à un cauchemar. Rassurée, tu avais replongé dans le monde de ces songes assez agités que tu faisais parfois. Ainsi, les premiers cris n'attirèrent pas ton attention et ne te réveillèrent pas. Mais la seconde fois, tu sursautas et tu te levas. La première chose qui attira ton attention, c'était la chaleur. Vous dormiez les fenêtres ouvertes, mais pourtant tu avais l'impression d'être au coeur d'une fournaise. Et puis tu eus du mal à respirer. Tu secouas ton frère, de toutes tes forces de gamine, pour qu'il se réveille. Tu étais tétanisée par la peur. Il ouvrit un oeil, puis deux, et fut pleinement réveillé quand il vit ton expression horrifiée. Tu ouvris la porte et la refermai aussitôt. Il leva les yeux au ciel, mais tu l'en empêchas.
"Alec ! Faut fuir ! On peut pas passer par là, c'est... C'est... Y a du feu partout !
-Et maman ?
-Maman elle brûle Alec. Comme le reste de la maison. On peut plus rien faire.

Tu regardas par la fenêtre. Vous dormiez au premier étage de la petite maison, et tu ne savais pas vraiment escalader les façades. Mais il y avait des gens en bas. Des gens qui tendaient une sorte de toile. Alec regarda, vérifia, te prit dans ses bras et sauta avec toi. Vous étiez seuls. Plus que jamais.

Aucun membre de votre famille ne voulut de vous. Ils vous traitaient de maudits. Ils vous répétaient que c'était de votre faute, et surtout de celle d'Alec. Et c'est ainsi que vous vous êtes retrouvés dans un orphelinat. Oh, rien à voir avec ceux des bouquins, qui sont atroces et où l'on maltraite les enfants. Non. C'était un endroit propre, où les gosses étaient respectés, mais peuplé de dessins de parents absents. Les cris de ceux qui s'étaient vus être abandonnés, et qui en étaient conscients, les pleurs de tes voisines. Et toi, et ton mutisme. Tu ne voulais pas parler de ce que tu avais pu voir et entendre. La seule personne sur laquelle tu voulais t'appuyer était bien ton frère, ton frère rejeté par ses propres camarades parce qu'il était hyperactif et dyslexique, que la colère chez lui montait aussi vite que chez toi, même si tu parvenais à la contenir. Lui, non, se battait. Tu le voyais comme une sorte de héros. Batman, peut-être. Avec cette aura mystérieuse et nonchalante. Et puis un jour, il y a un nouveau garçon qui est arrivé. Tu ne te souviens plus de son prénom, mais tu te souviens de son sourire. Il était gentil. Il a réussi, avec Alec, à te faire sortir de ton mutisme, qui durait depuis deux ans. Deux ans sans prononcer le moindre mot, c'est long. Tu dessinais à la place. Des flammes. Tu hurlais dans ton sommeil.

Et puis un jour ton frère t'a dit, avec un de ses amis, qu'il partirait pour les vacances d'été. Tu as pleuré. Longtemps. Tu es restée dans ses bras. Tu lui as demandé où il allait et il t'a rassurée, que c'était pas loin, et qu'il te promettait de revenir. Ca a été les deux mois les plus longs de ta vie. Mais étonnamment, tu as fais beaucoup moins de cauchemars, voire pas un seul. Ton frère te manquait comme la pluie dans le ciel d'un orage qui n'éclate pas. Tu n'as pas beaucoup parlé et tu as compté les jours. Tout le temps. Jusqu'à ce qu'il revienne. Tu pleurais un peu tous les soirs. C'était votre première séparation, et tu ne pensais pas qu'elle serait si douloureuse. Quand il est revenu, ce n'est pas la gamine pleine de joie qu'il s'était attendu à voir qui lui apparut, mais une petite fille triste, pleine de bleus et d'écorchures, avec de lourdes cernes sous ses yeux noisette, la tête baissée et le pas lourd. Il eût du mal à te reconnaître. Tu lui racontas tout. Pendant ces deux mois, tu avais laissé libre court à ta hargne, et quiconque disait quoi que ce soit sur ton frère se faisait rouer de coups. Mais les autres élèves répondaient, et, ne sachant pas te défendre, tu te laissais faire. La directrice de l'orphelinat t'avait trouvé une chambre pour toi seule, jusqu'à ce que ton comportement s'améliore. Mais tu ne voulais plus jamais avoir à te laisser faire, et tu ne voulais plus jamais entendre le moindre mot méchant sur ton frère. Ton idole, ton modèle. Il était revenu plus grand, plus fort, plus sûr de lui, plus jovial de ces vacances et tu l'enviais. Tu lui demandas à de nombreuse reprises si tu pouvais venir l'année suivante, mais il secoua la tête et te mentit. Il te fit croire que c'était réservé aux garçons.

Il prit la décision de te transmettre ses capacités et son savoir nouvellement acquis en matière de combat. Il ne t'apprit pas l'escrime ou le tir à l'arc. Mais dans cette chambre que tu gardais pour toi seule, il t'entraînait. Il se battait avec toi sans jamais te faire de mal, réajustant le positionnement de tes poings, te montrant les failles de ta garde approximative. Tu l'admirais encore plus si c'était possible. Il était devenu ton professeur, ton mentor. Un jour, il te demanda de l'imiter, juste pour un combat. Et cette consigne tu l'appliquais toujours quand il n'était pas là. Il partait à chaque vacances d'été. Il te laissait seule, et tu mettais en pratique, sans jamais le lui révéler, tout ce qu'il pouvait t'apprendre.
Tu ne sus jamais directement ce qu'il faisait là bas, dans sa Colonie, dont il revenait chaque fois plus musclé et plus bronzé. Avec un caractère plus affirmé aussi. Il avait une petite-amie, ça tu l'as compris seule, sans avoir besoin de son aide. Et puis un été, alors que tu avais quinze ans, une famille vint. Elle t'observa, des pieds à la tête. Il y avait un petit garçon parmi eux. Ils voulaient t'adopter. Famille de riche, qui aurait voulu une fille de ton âge sans avoir à la supporter plus jeune, alors qu'ils étaient un peu moins matures. Tu avais toujours rêvé d'une famille. Toute ta vie. Tu voulais oublier les flammes, oublier les cris, oublier l'odeur âcre de l'alcool. Mais tu as refusé. Tu t'es disputée avec ton frère ensuite à ce sujet. Tu n'aurais pas dû, c'était la première fois depuis des années qu'une famille s'intéressait à toi, et il aurait juré que le petit devait être à croquer et une véritable boule de tendresse.

Tu l'as giflé. Tu lui as hurlé dessus. Tu l'as viré de ta chambre et tu lui as claqué la porte au nez. Puis tu as murmuré que c'était parce que tu l'aimais, et que tu refusais que vous soyez séparés. Mais il n'a pas voulu le comprendre. Cette année là,; les entraînements furent quasi-professionnels. Et puis avant de partir, il t'annonça qu'il ne reviendrait pas, qu'il allait passer l'année dans cette Colonie. Tu refusais de pleurer. Vous vous étiez disputés en permanence et sur des tas de choses, plus ou moins sérieuses. Et puis il ne t'avais pas prise au sérieux quand tu lui avais dit que tu voyais des choses bizarres en permanence, quand tu te promenais dans les rues, que des gens n'avaient qu'un seul oeil en plein milieu du front, ou bien des griffes acérées à la place des ongles, ou encore une queue de lézard dépassant de leur imperméable. Il s'est moqué de toi quand tu le lui as révélé. Tu l'as très, mais alors très mal pris. Il oubliait toutes les révélations qu'il t'avait faite, qu'il pensait être différent, appartenir à un autre monde, quand vous étiez petits. Mais toi, tu n'oublies pas. Pas ce genre de petits détails qui te faisaient tenir, auparavant quand il s'absentait.

La famille revint. Elle avait la ferme intention de t'adopter. Elle disait faire une bonne action pour te payer de grandes études, et te permettre d'accéder à un emploi très bien payé, de sorte à ce que tu puisses rendre la pareille à un autre gamin "sans espoir" comme toi. Et cette fois-ci, tu n'as pas regardé en arrière. Tu n'as pas pensé à ton frère, mais juste à toi. Tu as accepté. Ils étaient fiers.

Le reste a été plat. Une vie sans remous, ponctuée par des convocations, de temps à autres, pour t'être battue avec une excuse valable.Des insultes ou bien un manque de respect. Tu devais te contrôler. Tu ne discutais pas beaucoup avec ta famille. Baltimore était une ville ennuyeuse. Mais tu es restée. Tu envoyais des lettres, régulièrement, à l'adresse qu'on t'avait donné à l'orphelinat. Là où était parti ton frère, mais tu ne reçus jamais aucune réponse. Et pourtant, elles parvenaient bien à leur destinataire. Alors tu as arrêté, un mois avant de rentrer à l'université. Tu as déménagé ensuite, dans un loft assez spacieux, payé par ta famille adoptive. Tu avais tenu à garder ton nom d'origine et ils ne s'étaient pas opposés à ton choix. Tu étais assez âgée pour prendre tes propres décisions, et ils comprenaient tout à fait que tu tiennes à garder un lien avec ton passé, si tu n'avais pas envie de reprendre ta vie à zéro. Tu as mis trois bonnes semaines à terminer de t'installer, à finaliser la déco, et à t'adapter à ton nouvel environnement. New York, c'était vraiment tout autre chose.

Et puis il y avait bien plus de ces personnes étranges dont tu ne parlais plus à personne, pour ne plus jamais qu'on t'abandonne comme avait pu le faire ton frère. Tu n'en parlais pas, mais tu en avais une trouille pas croyable. Avant, le fait qu'il soit là, où qu'il y aie tes parents adoptifs pour te rappeler à un semblant de normalité, ça te rassurait. Mais là tu étais seule. Seule contre eux. Et puis tu étais seule contre l'orage aussi. Ton plus grand ennemi depuis que tu es petite. Tu as une peur bleue de l'orage. Et puis un soir, alors que tu dessinais pour ton cours du lendemain, en réfléchissant à ta dissertation d'histoire des arts, quelqu'un frappa à ta porte. Tu te figeas. Tu ne voyais pas qui ça pouvait bien être. Tu ne connaissais encore personne, personne ne te connaissais et tu n'avais pas de colocataire. Tu empoignas la première arme qui te passa sous la main -une poêle à frire- et tu t'approchas prudemment de la porte. Tu soulevas l'oeillet pour voir qui frappait depuis quelques minutes. Tu vois un homme, trempé des pieds à la tête, grelottant, mais avec un air assez résolu. Tu ouvris et le laissa entrer. Il te regarda avec l'air hagard de ceux qui n'ont aucune idée de comment ils sont arrivés jusque là, ni même d'où ils sont. Puis il te serra dans ses bras, te trempant à ton tour. Il murmura des excuses quasi-inaudibles. Tu le laissa prendre une douche et se changer avec les vêtements qu'il avait dans un sac à dos, tandis que tu mettais ceux qui avaient pris l'eau sur le chauffage. Lorsqu'il revint, il pris place sur le canapé, comme s'il était chez lui, et te fit signe de venir t'asseoir à côté de lui. Il ne t'avait toujours pas donné son nom, même si tu le devinais aisément.
"Je suis désolé, marmonna-t-il. J'ai été le pire frère qu'il soit.
-Alec... Qu'est-ce que tu fais ici ? Pourquoi tu n'es pas à cette fameuse Colonie ?
-J'ai fugué. Ma... Hm... Petite amie était partie en une "mission", si on peut appeler ça comme ça, plutôt dangereuse, et elle a été tué par un monstre. Je veux dire...
-Un de ces types avec des griffes ou un seul oeil, dont tu m'aurais juré que je les imaginais ?"
Il baissa le regard honteux. Et il t'expliqua. Il t'expliqua tout, te dit toute la vérité. A propos des dieux, des monstres que tu voyais, des prophéties. Oh, bien sûr, tu n'as pas tout compris, il y a des notions que tu as un peu de mal à assimiler... Mais ça se vérifie. Même si ça t'a paru complètement invraisemblable, il y a des exemples qu'il t'a donné que tu n'as pas su contrer. Que même la science ou l'imagination humaine ne pouvait expliquer. Il t'a donné une arme. Un couteau de lancer. Tu ne sais pas t'en servir, mais il t'a dit que tu n'as qu'à l'utiliser comme un poignard. Et uniquement en cas de danger, si un de ces types étranges t'approchait de trop près, ou venait à s'en prendre à un de tes amis. Tu n'as jamais eu le courage de lui dire que tu n'en avais pas. Il revient, de temps à autre, en pleine nuit le plus souvent. Il te serre dans ses bras. Il a le double de tes clés, mais quand il l'oublie, il passe par la fenêtre. C'est un fils du dieu de la Guerre, qui t'aime à un point pas possible. De manière fraternelle, évidemment, mais tu crois qu'il tente de se faire pardonner pour tout le mal et le désespoir qu'il t'a causé. Vous vous êtes disputés une fois. A propos des lettres que tu lui avais envoyé. Et auxquelles il n'avait jamais répondu. Il a pleuré. Tu as fait pleurer mon frère. Alors, la fois suivante, à peine une semaine après, il est venu. Et pendant ton sommeil, deux bras réconfortants t'ont entourée. Et si tu avais fait semblant de dormir jusque là, assaillie par une insomnie, tu t'endormis pour de bon. Ca t'arrives assez rarement, les insomnies, mais tu n'y es pas insensible, comme tout le monde. Parfois, le sommeil refuse de venir. Parfois, tu es tellement préoccupée par ces révélations que le sommeil ne vient tout simplement pas.

Et si un jour quelqu'un venait et se présentait à toi comme un demi-dieu, tu l'accepterais sous ton toit sans broncher. Parce que tu assez peur comme ça pour ton frère, alors tu ne laisseras pas d'autres innocents se faire tailler en pièces, comme la petite amie d'Alec. Tu ne sais pas comment ils font pour trouver ta maison. Tu ne sais même pas comment ton aîné a fait. Mais peu importe.

Tu les protégeras.


C O D A G E  P A R  @G A K I.  S U R  E P I C O D E


Dernière édition par Alaska Grey le Lun 29 Déc - 17:26, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) Icon_minitimeSam 27 Déc - 12:02

Bienvenue. Courage pour ta fiche
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MessageSujet: Re: HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) Icon_minitimeSam 27 Déc - 12:03

Hey, bienvenue sur le forum !
Je te souhaite un bon courage pour ta fiche et si tu as des questions, n'hésites surtout pas, je serai ravie d'y répondre. Par contre, les initiales des seconds prénoms sont interdites dans les pseudos. Wink
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MessageSujet: Re: HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) Icon_minitimeSam 27 Déc - 12:11

Coucouuuu~ !

Bienvenue sur le forum, et bon courage pour ta fiche HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) 1737362858
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MessageSujet: Re: HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) Icon_minitimeSam 27 Déc - 12:16

Bienvenue !
&courage pour remplir tout ça !
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MessageSujet: Re: HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) Icon_minitimeSam 27 Déc - 12:35

Voilà, modification de pseudo faites HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) 1737362858
Merciiii HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) 2627946518
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Lucianna Jackson

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MessageSujet: Re: HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) Icon_minitimeSam 27 Déc - 14:22

Bienvenu ! HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) 2627946518
Bon courage pour ta fiche HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) 1737362858
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MessageSujet: Re: HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) Icon_minitimeSam 27 Déc - 17:43

Bienvenue !! HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) 2145713192
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MessageSujet: Re: HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) Icon_minitimeSam 27 Déc - 18:17

Merci HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) 1307898440
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MessageSujet: Re: HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) Icon_minitimeSam 27 Déc - 19:30

Oh, soit dit en passant, je suis ravie de voir que tu nous concoctes une petite humaine. ♥
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MessageSujet: Re: HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) Icon_minitimeSam 27 Déc - 19:31

J'hésitais avec fille de Déméter, mais j'ai vu que ça manquait d'humains par ici ♥
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Lucianna Jackson

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MessageSujet: Re: HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) Icon_minitimeSam 27 Déc - 20:06

C'est parfait alors HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) 3347081632
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MessageSujet: Re: HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) Icon_minitimeLun 29 Déc - 14:42

Bienvenue ici ! Amuse toi bien sur le forum !
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MessageSujet: Re: HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) Icon_minitimeLun 29 Déc - 14:43

Bienvenue sur le forum ~
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MessageSujet: Re: HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) Icon_minitimeLun 29 Déc - 17:27

Merci ! HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) 2627946518
Wesley : T'es beauuu HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) 1615225656
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MessageSujet: Re: HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) Icon_minitimeLun 29 Déc - 18:07

Merci ♥️ As-tu terminé ta fiche ? (si oui je passe avec Grace pour te valider avec joie I love you )
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MessageSujet: Re: HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) Icon_minitimeLun 29 Déc - 18:07

Oui, elle est terminée ♥
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MessageSujet: Re: HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) Icon_minitimeLun 29 Déc - 18:34

Tout est parfait, c'est avec grand plaisir que je te valide ♥ Je te souhaite bon jeu parmi nous, have fun !
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MessageSujet: Re: HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) Icon_minitimeLun 29 Déc - 18:35

Merci ! ♥
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MessageSujet: Re: HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) HAUTS LES COEURS (-) Alaska. (terminée) Icon_minitime

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