La vie de Luke se résume à différentes parties de sa vie qui ne sont pas réellement importante jusqu'à son entré à la colonie à ses 17 ans. Sa naissance est très simpliste et n'ont pas une réelle importance dans sa vie. La seule chose que l'on peut dire sur sa naissance, c'est qu'il est né dans la maison de sa mère en Californie.

Maëlys a rencontré Zeus il y a une vingtaine d'année, elle n'était qu'une simple étudiante en passe de devenir ornithologue. Zeus fit sa rencontre lors d'un voyage sous une autre forme quand Maëlys était en sortie pour allez étudier les rapaces et rédiger un rapport après. Zeus s'est présenté sous la forme d'un étudiant et a manipulé la brume pour faire croire à Maëlys qu'il était lui-même en étude pour devenir journaliste animalier. Maman n'a pas réussi à résister au charme de Zeus et puis, quelques années plus tard, je suis né. Ma mère n'a pas eu le temps d'aller à l'hôpital et Zeus a dû repartir après m'avoir vu. J'étais donc tout seul dans les bras de ma mère. Quand j'étais petit, j'étais intéressé par tout ce qui bougeait et j'étais tout le temps en mouvement quand je ne dormais pas. Il fallait presque constamment me surveiller sinon, je faisais des bêtises. J'avais une affinité particulière avec les oiseaux et on pouvait croire que je leur parlais quand ma mère en rapportait pour les étudier ou garder ceux de la voisine. À peine trois ans et je suis déjà un vrai p'tit monstre, vous y croyez ? Je n'ai pas de réel souvenir avec ma mère, mais aussi loin que je m'en souvienne, je ne l'ai jamais vu avec quelqu'un. Elle n'a jamais eu de nouveau mari ou autre chose.

Trois ans plus tard, je cours plus vite que la plupart des autres enfants de mon âge, je m'amuse toujours autant, je fais plus de bêtises. Les enfants en général ont peur des orages, du tonnerre qui gronde. Moi, je trouvais ça relaxant et j'adorais sortir dans ces moments-là. Maëlys m'accompagnait la plupart du temps et je pouvais voir avec mes yeux d'enfants, son sourire et ses yeux pleins d'étoiles à chaque fois qu'il y en avait. Elle était devenue ornithologue et elle écrivait des livres sur les oiseaux ; des trucs du genre comment bien élever sa perruche ou autre chose. Elle préparait aussi mon avenir et mettais de côté de l'argent pour moi. Mais une mère seule ne peut pas élever un enfant comme moi éternellement. Je suis un aimant à problème. Les autres enfants ont peurs de moi, mais pas tous heureusement. Quand je m'énerve, les lampes clignotent et rien ne peut me calmer, enfin presque. Ma mère voulait que je fasse de bonnes études et ne voulait pas m'envoyer à la colonie, malgré les recommandations de Zeus, car on n'avait jamais rencontré de monstres pour le moment. On a donc déménagé en ville, à New York quand j'avais dix ans. Je préférais largement la campagne et la ville me faisait tout drôle. La maison était un peu petite et il fallait faire quelques rénovations, mais on n'avait pas assez d'argent. Ma mère à donc commencer en plus de son travail d'ornithologue à prendre des petits boulots. Elle revenait fatiguée, mais on avait une situation à peu près correct.

Quelques années plus tard, les réels problèmes commencent. J'ai trois amis sur qui je peux compter, dont un qui a des béquilles et je souffre toujours de dyslexie et d'hyperactivité. On a donc pensé que ça venait de ma vue et on m'a donné des lunettes, mais non ! Ca ne servait à rien que je porte des lunettes. J'ai donc continué ma petite vie dans une école spécialisée pour enfant comme moi. Ma vie inintéressante allait commencée à changer le jour de mes quinze années d'existence. Je me faisais courser après les cours quand je rentrais par deux brutes qui se révèleront être plus tard des monstres. Je me suis fait pas mal tapé dessus quand ils m'ont attrapé et puis après m'avoir amoché comme il fallait, ils se sont transformés en monstre géant. Mais vraiment très moche ! Mon meilleur ami est arrivé et m'a sortit de là en un rien de temps. Pour les deux lestrygons, je ne sais pas la suite. Toujours est-il que quand je suis arrivé avec pleins de bosses partout et des vêtements déchirés. Maman à hurlé comme une fury et m'a tout de suite pris dans ses bras en me faisant encore plus mal. Mon ami riait un peu, mais il faisait des signes à ma mère et articulait des trucs du genre "c'est le moment !". Mais le moment de quoi ?

La vérité, je la découvrirais plus tard car les deux géants étaient toujours là dans les parages, je le sentais. D'ailleurs, les gens du collège était bizarre, on avait deux profs remplaçants qui n'avaient pas l'air de m'aimer et j'avais toujours cette impression bizarre d'être observé en permanence, mais il n'y a pas que ça qui était bizarre, les deux brutes n'était plus au collège et personne ne savait pour ce qu'il s'était passé, même pas maman et l'autre. Enfin, maman faisait semblant, j'en suis sûr ! Le jour de mes dix-sept ans, ma mère me fit un gâteau super bon avec des éclairs jaunes en plaques de chocolats. Elle avait également montré à toute la famille les photos, les vidéos de moi petit en train de courir sous un orage et d'essayer d'attraper les nuages. Cette partie là, je n'avais pas vraiment apprécié. Mais quand il faut faire plaisir à la famille ! Une semaine après, les deux remplaçants vinrent toquer à notre porte le soir et ma mère refusa de les laisser entrer. Je descendis donc pour voir ce qu'il se passait et à ma vue, les deux "profs" me regardèrent avec envie et l'un poussa ma mère par terre en entrant dans la maison et en essayant de m'attraper, c'était les deux monstres de la dernière fois ! Je courus à l'étage et je pris le premier objet qui me passait sous la main, à savoir une batte de baseball en métal. Je la lançais sur le premier monstre pendant que ma mère m'agrippait le bras et me faisait sortir par la porte de la cuisine. Mon ami avec des jambes de boucs arriva en une seconde et lacourse poursuite commença. D'ailleurs, mon ami avec les jambes de boucs est plutôt agile, je crois rêvé, mais non ! Il a vraiment des jambes toutes poilues avec des sabots.

On arrive à l'aéroport après avoir semé les monstres grâce à mon protecteur et ma mère sort trois billets d'avion pour Long Island. Je ne sais pas d'où ils sortent, mais ils sont là les billets en tout cas ! Mon ami a recaché ses jambes et reprir ses béquilles. Je ne l'avais jamais soupçonné ça ! On est donc arrivé à Long Island le soir et dès que l'on est arrivé, la course poursuite à recommencer. On a volé une voiture et nous voilà avec des chiens des enfers à nos trousses. Malheureusement, on a eu un accident et ma mère était blessée et par terre. On était encerclé jusqu'à ce qu'un orage ne se forme. Je regardais l'orage instinctivement et je priais intérieurement pour que des éclairs s'abattent sur ses chiens maléfiques et là, bingo ! Une lumière bleue, puis une détonation et plus rien. Je me réveillais dans une infirmerie bizarre, type moyen-âge ou très anciens.

J'ai donc passé une année à la colonie pour m'entraîner sans relâche et devenir un vrai demi-dieu, une seule année. Je n'ai pas accueillis la nouvelle avec beaucoup d'optimisme. L'histoire faisait partie de mes matières préférées, mais me dire que toutes l'histoire grecs existent, c'est dur à avaler ! Pendant ces deux années, je me suis fait des amis et j'ai participé à une quête. J'ai également fait la découverte de Lucianna et Tyler mes deux cousins par la branche divine. Tout se passait bien, jusqu'à la "catastrophe Edwin". Mon aigle a disparu un beau jour et je suis resté une semaine dans un coma à cause d'un éclair qui m'avait frappé. J'avais perdu mon pouvoir de claire-voyance et de métamorphose. Pendant mon coma, j'ai changé de physique pour on ne sait quelle raison et j'ai acquis de nouveaux pouvoirs et deux nouvelles armes. Mais, il y avait un vide en moi, un vide à cause de mon aigle. Edwin n'était pas qu'un aigle qui pouvait changer de taille et parler, il était aussi un ami. Il était relié à moi grâce à un lien. On pouvait deviner les émotions, les pensées de l'autre et on ressentait la douleur de l'autre. J'ai quitté la colonie pendant une année et demi. Je suis resté chez moi sans rien faire presque. La colonie ne me manquait pas, je faisais une grosse dépression ! Mais, ma mère et Chiron m'ont un peu forcé à revenir parce que d'après le docteur, j'allais mieux. Je suis donc de retour à la colonie un peu mieux et un peu moins bien qu'avant.