Assise sur mon lit, je profitais d'un petit repos bien mérité, en repensant au passé. Cela n'était pas dans mes habitudes, je préférais de loin rêver d'un avenir meilleur que de ressasser un passé déjà loin derrière. Mais aujourd'hui c'est différent, je ne sais pourquoi, mais je ressens le besoin de faire le point sur tout ce que j'ai vécu. Comme si cela pouvait m'aider…


« D'après ce que me racontait ma défunte maman, ils s'étaient rencontré dans un café ou ma mère travaillait, « c'était un très belle homme, avec des cheveux châtains foncé tirant sur le brun, de grand yeux clair et un visage harmonieux. » Apparemment sa avais été le coup de foudre… Un cadeau du ciel comme elle le disais si bien. Ils étaient resté quelque mois ensemble, jusqu'à que ma mère tombe enceinte et qu'il disparaisse…

J'avais tellement entendu ma même pleurée dans ma jeunesse que pour moi les hommes étaient je cite : "Tous pareil". Et dit que ma propre mère n'a jamais réussi à calmer ma haine envers les hommes et surtout mon cher géniteur.

Malgré plusieurs événements venant gâcher notre petite vie, maman avais toujours essayé de me protéger, ce que la plupart des parents d'enfants demi-dieux fessait. Non ?

On avait déménagée tellement de fois, que je n'avais jamais le temps d'apprendre quoi que ce soit dans les écoles où j'étais passé. J'appris donc à me débrouiller de moi-même rapidement.

Mon entrée dans le monde des adolescents fut bouleversée par un événement que je n'oubliais jamais, le décès/suicide ? De ma mère. Elle avait laissé la vanne du gaz ouverte... n'ayant pas d'autres familles qu'elle. Je fût directement placer par les services sociaux dans un foyer près de New-York. J'en avais eu marre rapidement et avais fugué, Je n'étais resté qu'une semaine tranquille dans les rues de New-York avant de me faire attaquer par une Harpie. Je me souviens encore de ce sentiment de terreur lorsque je courais a en perdre haleine pour sauver ma vie. La seule chose que je rappelle et d'une grande stature d'homme attaquant la Harpie de face et de mon réveille à la colonie et ensuite plus rien, comme un trou noir je suis pourtant sûr de ne pas m'être évanouie…»

Je frotte légèrement mes yeux avant de regarder l'heure sur mon cellulaire, il était déjà tard… Je me glisse alors sous la couette en serrant une peluche ridicule tout en pensant à la journée de demain...