Bonjour et bienvenue sur Filiorum ex Deorum ! Inspiré des romans de Rick Riordan, ainsi que des films, le forum reprend la saga Percy Jackson. Viens vite nous rejoindre, qu'est ce que tu attends ?
Filiorum ex Deorum
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Les nouveautés du mois de juillet sont par ici ! ♥
La Résistance est réouverte!
Venez participer aux trois events de l'été pour faire avancer l'intrigue! Ici pour la Colonie, là pour la Résistance et enfin ici pour les mortels et divinités ! ♥
Les groupes à privilégier sont: les Chasseresses, les Créatures et les Mortels ! ♥
Y avait-il une épidémie ou quelque chose du genre pour que le charme de Morigan semble décuplé en à peine une semaine ? Lorsqu'il marchait dans la Colonie, des demi-déesses le fixaient, gloussant même parfois. Étonnamment, il semblait au sang-mêlé que tous les regards qui pesaient sur lui appartenaient aux filles d'Aphrodite, la déesse de l'amour. Morigan faisait parti des rares qui n'avaient rien contre la descendance de cette déesse, mais il savait très bien qu'ils tombaient sous le charme de presque tout le monde au camps. L'affaire, donc, ne le tracassait pas plus que cela. Jusqu'à ce qu'une fille d'Aphrodite lui tombe littéralement dessus. Cette fille était celle qui lui tournait le plus autour, telle une lionne affamée prête à bondir sur sa pauvre proie au moindre signe de faiblesse. Elle le regardait avec ce qui semblait être un sourire charmeur, jouant avec ses cheveux en les entortillant entre ses doigts. En bon garçon, Morigan lui rendait ses sourires, ce qui semblait toutefois décupler le jeu de charme de la lionne. Au bout d'un moment, il n'y prêtait plus grande attention, insensible à sa séduction, malheureusement pour elle. C'est certainement cela qui lui avait fait perdre patience. Ses réflexes de demi-dieu anciennement militaire auraient du le sauver. En y repensant, il aurait dû la voir arriver de loin. Mais la fille d'Aphrodite avait déboulé comme ça, sans prévenir. Elle lui était rentrée dedans, et avec l'élan (ou sa très grande maladresse) était tombée en entraînant sa cible à sa suite. Tous deux à terre donc, la jeune fille feignait le malaise, la posture exagérée d'une victime. Toujours en bon garçon qu'il était, Morigan se précipita à son secours, cherchant à voir si elle était consciente ou même blessée (chose peu probable dans ce genre de carambolage mineur). Alors la lionne se jeta sur lui avec une rapidité hors du commun, le plaquant au sol et l'embrassant de ses lèvres recouvertes d'un rouge à lèvre rose pétant (si bien qu'on aurait pu soupçonné qu'elle l'avait volé à Barbie), lui déclarant ô combien elle l'aimait, ô combien le destin les avaient réunis pour une grande et unique histoire d'amour, ô combien ils étaient des âmes soeurs ... Et pourtant Morigan la repoussa avec bien du mal, toujours insensible à ses charmes. Chose qui n'a pas plût à la demi-déesse, et qui valût au fils de Léthé un claque douloureuse sur la joue et lui assignant tout un panaché d'insultes de tous genres. Sans trop rien comprendre à la scène qui venait de se dérouler, Morigan s'en était allé pour vaquer à ses occupations.
Son entraînement à l'escrime aurait pu être très sympa si il n'avait pas eu la tête ailleurs. L'histoire le tracassait toujours. Alors qu'il malmenait le mannequin de combat, il ne pouvait s'empêcher de refaire la scène dans sa tête sans comprendre le pourquoi du comment. D'habitude c'était les souvenirs des autres qui le hantaient et non les siens. Avec des conséquences beaucoup moins légères, très certainement. Pourtant la chose l'embêtait tellement qu'il n'avait pas la tête à ce qu'il faisait. Son corp agissait tout seul tandis que sa caboche s'occupait d'autre chose. Ainsi donc, il ne remarqua que très tard la blessure qu'il s'était faite au niveau de son avant bras gauche. Pile au bon endroit d'ailleurs. Il aurait pu voir le sang qui s'obstinait à couler, mais certainement ne rien sentir, étant donné que la large entaille se trouvait sur la partie insensible de son bras (fichue ancienne blessure oblige). Morigan avait donc grogné, pesté, oublié l'Aphrodite le temps de s'interroger sur le comment il avait réussi à faire cette balafre, et finalement avait décidé que la meilleure chose à faire au lieu d'appuyer sur la plaie pour stopper le sang qui coulait, était d'aller à l'infirmerie pour qu'on lui arrange tout. Surtout que le demi-dieu supposait qu'il allait très certainement subir quelques points de suture (aller hop, une autre cicatrice !). Il avait donc abandonné son épée et le mannequin sur lequel il s'acharnait gentiment, et alla à l'infirmerie.
L'endroit n'était pas trop bondé, à première vu. On y trouvait principalement des enfants d'Apollon qui s'occupaient des malades, même parfois des Asclépios. Pourtant Morigan se dirigea vers un visage familier, une fille d'Aphrodite (un genre de sang-mêlé rare dans un tel endroit) qu'il connaissait de vue et pour avoir fait un peu connaissance avec elle précédemment. D'ailleurs si il se souvenait bien, la jolie brune devait s'appeler Cassandre. Il attendit qu'elle le remarque, une main toujours sur sa plaie, puis quand elle leva enfin les yeux vers lui, il avança vers elle, un petit sourire de sympathie aux lèvres.
" Hey ! Hm, dis moi, tu pourrais m'arranger ça ? dit-il en lui montrant sa balafre."
Cassandre ft. Morigan
Invité
Sujet: Re: Some love between us ? | Cassandre & Morigan (PAUSE) Dim 27 Mar - 0:37
Et oui, Cassandre. C’est ça de faire des paris avec tes sœurs, sur laquelle réussirait à charmer le plus longtemps un homme. Et cet homme là n’était autre que Morigan O’Lear, fils de Léthé et accessoirement un demi-dieu plutôt mystérieux du camp. Tous l’étaient, plus ou moins. Mais lui, il avait un secret, il avait un passé, et il avait tout ce qui pouvait t’intriguer. Mais oui, le fait de faire un pari avec tes sœurs, c’était les voir s’accaparer l’homme, lui faire les yeux doux, et même des fois, comme aujourd’hui, lui sauter dessus pour l’embrasser farouchement. Plus discret, tu meurs. Tu avais vu la scène de loin, mais suffisamment approchée pour voir clairement Morigan la rejeter tant bien que mal, et entendre la claque qu’il a reçut quelques secondes après, tout en étant couvert de juron. Le pauvre. Tes sœurs pouvaient vraiment être hystériques parfois. L’étais-tu, toi aussi ? Tu n’en avais pas ce souvenir, et tu espérais ne pas avoir un caractère tel que le leur. Tu hésitas à aller voir Morigan après l’altercation qu’il venait d’avoir avec ta sœur : vous vous connaissiez quelque peu, alors venir le voir n’aurait pas été si suspect que ça. Cependant, il devait en avoir assez pour aujourd’hui, des filles d’Aphrodite. Alors tu le laissas repartir, la mine légèrement déconfite, et te dirigeas toi-même vers le bungalow où était installée l’infirmerie. Drôle de coïncidence qu’il vienne alors en fin d’après-midi à l’infirmerie, et te croise. Non, vient même carrément vers toi, et attendant que tu ais finis ce que tu faisais. Tu l’avais vu entré, tu l’avais vu se diriger vers toi, mais tu avais fait la désintéressée. Tu avais fait l’occupée. Et à vrai dire, c’était étonnant venant de toi : jamais tu n’avais fait ça. Quand tu voulais séduire quelqu’un, tu le montrais clairement. Tes sourires aguicheurs, tes yeux doux, tes paroles bien réfléchies… Et lui, tu voulais le séduire. Enfin, tu ne voulais pas vraiment, mais un pari était un pari, non ? Les filles d’Aphrodite étaient joueuses, et on les connaissait comme telles, ce n’était donc en rien étonnant. Ce qui est sûr, c’est que tu ne t’intéressas pas tout de suite à lui, parce que tu n’avais pas vu l’état dans lequel était son bras. Si tu l’avais vu, tu te serais précipitée vers lui : il saignait abondamment, et c’en était presque effrayant. Mais tu n’avais toujours pas vu, et tu te relevas enfin pour tourner ton regard bleu vers lui. Tes cheveux bruns, attachés négligemment en un chignon décoiffé dégageant ton regard en le rendant plus intense. Tu fronças les sourcils en voyant Morigan s’avancer vers toi, et surtout en voyant qu’il se tenait l’avant bras gauche. Il sourit et s’avança vers toi « Hey ! Hm, dis moi, tu pourrais m'arranger ça ? ». Et il enleva sa main de son bras, découvrant la blessure, qui te fis te poser une main devant la bouche, les yeux ronds. Tu te demandais, ô comment il s’était débrouillé pour se blesser ainsi, et sans réfléchir plus, t’avança vers lui, posant tes mains sur ses épaules larges et, alors qu’il te dépassait d’une bonne vingtaine de centimètres, le poussa vers un lit pour qu’il s’y assoit. Tu lui murmuras quelque chose qui semblait vouloir dire que tu revenais, mais personne ne pouvais en être vraiment sûr, tant le niveau sonore était bas. Tu te précipitais vers un comptoir où de nombreux produits étaient, rangés dans les tiroirs ou posés là. Tu t’emparas d’un bol que tu rempli d’eau froide et d’un torchon, puis d’un désinfectant et de compresses, puis d’un récipient qui contenait une aiguille et un fil, avec une bouteille d’alcool pour désinfecter l’aiguille. Tu rejoignis Morigan, d’un pas rapide, manquant de trébucher et de faire tomber tout ce que tu portais dans tes bras. C’aurait bien été ta vaine, tiens ! Mais heureusement pour toi, ce n’était pas le cas. Tu t’installas sur le lit à côté de celui où l’enfant de Léthé était assis, et lui faisais face. Puis ton regard se fit plus dur, pendant que tu prenais le chiffon que tu imbibas d’eau, pour nettoyer d’abord la plaie et la peau de Morigan, enlevant le sang qui commençait par endroit à sécher. « Qu’est-ce que tu t’es fais ? ». Tu t’occupais du demi-dieu avec une certaine délicatesse, faisant attention à ne pas toucher trop la blessure et ainsi lui faire mal, même si tu savais qu’avec le désinfectant tu le ferais obligatoirement souffrir. Mais autant réduire les souffrances au maximum en les reportant, non ? Enfin, les reporter… bien grand mot, car tu t’emparais déjà des compresses et du désinfectant pour t’occuper avec plus de profondeurs de la blessure. « En tout cas, tu devras faire plus attention la prochaine fois. C’est moche, ce que tu t’es fait, et ça aurais pu être grave ! » tu annonça après quelques secondes, sans quitter le bras des yeux, et en tapotant avec les compresses imbibées la blessure.
Some love between us ? | Cassandre & Morigan (PAUSE)