Visite guidée (Pv Gaby S. Young) (abandonné)

Enfin arrivé au natural history museum de New-York. J’ai dû attendre le lendemain pour pouvoir y rentrer, car hier, j’ai mis du temps à arriver suite à ma rencontre avec Matthew. Il eut des hauts et des bas, mais il m’avait apporté pas mal d’informations à étudier. Une fois mes affaires réglées au musée, je pourrais y mettre un peu d’ordre. J’arrivais de bonne heure. Quand il n’y avait pas grand monde dans le musée ce qui rendait l’endroit agréable. Le bâtiment était immense vu de dehors, mais l’intérieur était gigantesque. Déjà dans le hall d’entrée, on entre dans une immense pièce surmonter d’un toit en voûte soutenue par des colonnes corinthienne coloré en rouge et jaune. L’entrée de ce hall de savoir et de secret était garder par le squelette d’un tyrannosaure qui faisait face à l’entrée, menaçant les visiteurs de son immense gueule squelettique bien grande ouverte, tel un cerbère accueillant les défunts dans l’Hadès.

On avait accès directement à différentes ailes du musée conduisant aux diverses expositions, tout intéressantes, les civilisations anciennes, la zoologie, la préhistoire, l’art… J’en passe. J’aurais bien voulu y faire un tour, car ce musée faisait partie de mes préférés et chaque seconde à y passer était un réel plaisir pour moi. Mais j’avais à faire. Je me dirigeais vers le bureau du directeur. Gravissant un grand escalier, j’arrivais dans le couloir des bureaux administratifs. Cet endroit n’avait pas beaucoup changé depuis ma dernière visite. Je retrouvais celui du directeur et de sa secrétaire facilement. C’était une femme d’une quarantaine d’années, cheveux poivrés sel attaché en chignon. Vêtu d’un gilet en laine, d’une jupe verte et tapant quelque chose à son écran, je me penchai vers elle, tout sourire aux lèvres. Elle leva la tête et me sourit en retour :

Secrétaire – Monsieur Lombardi. Quel plaisir de vous revoir. Vous êtes enfin arrivé, on vous attendez depuis hier vous savez.
Armondo – Je sais, je suis vraiment navré. Le voyage à prit plus de temps que d’habitude. Je présente mes excuses. Mais cela valait le coup, ça pourrait intéresser votre patron.
Secrétaire – Qu’avez-vous donc découvert ?
Armondo – Un demi-dieu dans la rue. On s’est taper causette en prenant du café.
Secrétaire – Vous avez un bien curieux humour monsieur Lombardi.
Armondo – ça ce n’était rien, si vous saviez pour la femme serpent qui était avec lui, épic je vous dis. Et au vue de leur relation, cette femme devait avoir une vraie langue de serpent.
Secrétaire – Mouais. En attendant, le directeur n’est pas encore arrivé. Il ne devrait plus tarder. Profitez-en pour visiter un peu, je vous contacterai dès qu’il sera là.
Armondo- Merci Evelyne, vous êtes la meilleure.

Je descendis donc. Finalement, la chance était un peu de mon côté, je pourrais profiter du musée en attendant l’arrivée du directeur. Et bien entendu, c’était sans surprise que je me dirigeais vers la section civilisation antique. Je pensais aller visiter les salles sur la Grèce antique, histoire de me mettre un peu dans le bain et avoir l’esprit à quatre-vingts pourcents dans le monde grec. Ensuite, entretien et enfin, je pourrais officiellement commencer mon aventure. J’avais un peu le trac, je me sentais nerveux d’avance. J’allais partir à la découverte d’un monde remplis de dieux, de monstres sanguinaires, des endroits sans doute piégés, des demi-dieux guerrier… Y avait de quoi impressionner.

Visite guidée.

Ft. Armando.

Ce matin, je n'avais pas envie de resté à la colonie et surtout pas dans les pattes des demi-dieu stressés, comme depuis quelques temps maintenant, les demi-dieu et toutes les autres créatures qui vivaient au sein du camp s'entraîner, comme si d'un moment a l'autre une guerre dévastatrice allait frapper avec hargne juste au dessus de nos têtes et très franchement j'en avait ma claque de me battre encore et encore même si j'aimais ça, les parties d'attrapes étendards aussi bien sur mais je souhaitais bouger, me changer les idées et surtout respirer un grand bole d'air frais. C'est pourquoi tôt dans la mâtiné j'avais assemblé mes cheveux en un longue queue de cheval et après avoir mis mes converses j'avais pris mon sac à dos avant de m'éclipser tout en douceur de la colonie.

Après avoir payé le taxi avec quelques drachmes j'arrivais saine et sauve a New-York, enjouée a la perspective de cette journée et comme toute artiste digne de ce nom je me dirigea sans mal au grand Muséum, les plans du chemin s'afficher dans ma tête a toute allure, un de mes plus grand pouvoir et je devais bien avoué que j'étais bien contente d'avoir celui-ci, il m'avait sauvé la vie plus d'une fois.

Quoi qu'il en soit, avant d'arriver je m'arretais dans un café pour prendre un grand laté. Devant les grands escaliers, je detaillais chaques murs, chaques marches, chaques paysages comme pour le graver dans ma mémoire tout en buvant mon café. En venant je n'avais pas vu un seul monstre ce qui était réellement étrange mais pour un instant j'étais tranquille et alors je savourais l'instant.

Par la suite, gravé dans un coin de ma tête je suivis mon instinct pour me rendre dans la partie que je préférais le plus, l'espace Dieu-Grec, il m'arrivais de plus en plus de venir ici pour me posté devant la statut de ma mère et je la fixée tout en me posant secrètement quelques questions muette, comme si le bloc de pierre allait prendre vie et me répondre et puis je finissais toujours par regardé les autres dieux tours à tours, finalement deçu je rentrais le coeur meurti au camp.

Quoi qu'il en soit en arrivant dans la salle je remarquais tout de suite un jeune homme entrain d'admirer ma déesse de mère, un léger sourire se dessina sur mon visage et quelques secondes plus tard je me retrouvai à environ un mètre du jeune homme, toute trace d'une quelconque joie avait disparu de mon visage.

- Athéna est fascinante n'est-ce-pas ? Je me demande pourquoi ce n'est pas elle que Zeus a épousé, si bien sur ils sont excités. Parlai-je en ne regardant que la statut.

Code by Joy

Pendant ma visite, je m’arrêtais devant une représentation en marbre de la déesse Athéna. Elle était l’une des divinités les plus importantes du panthéon grec et qui avait énormément impacter notre vie familiale. Déesse des arts et de la connaissance, je comprenais très bien ce qui avait réuni cette déesse à mon père, deux grands esprits qui s’approchaient. Au départ, je trouvais étrange que mon père se soit mis en ménage avec cette déesse vierge. Pas un peu contradictoire ? Puis avec ce qu’il me disait et ces notes, c’était une fusion intellectuelle. Leur relation était un amour platonique si je puis dire. Rien de charnel, de l’amour, de l’attirance sans passer à l’acte et de cela, un enfant naît de la tête d’Athéna. L’enfant avait la chaire de sa mère, mais son esprit était le mélange de ses deux parents. Cela avait un côté poétique et philosophie. Delio l’ayant reconnu s’en était occupé le plus longtemps possible avec l’aide d’Athéna.

La statue de la déesse était très belle. Je me demandais si la vraie lui ressemblait. Un visage délicat, des traits symétriques, elle était magnifique dans son armure, avec son grand casque majestueux, l’égide contre elle, le gorgonéion sur son plastron et sa fameuse lance, tendu en l’air, symbole de sa puissance. À sa vue, elle inspirait la protection et le charisme. J’aurais aimé la rencontrer, mais si une telle occasion se présentait, je ne serais quoi dire. D’un côté, je lui en voulais pour m’avoir éloigné mon père et l’avoir rendu si distant qu’il devint presque un étranger, mais aussi, j’aurais voulu la remercier pour le bien qu’elle le lui ait apporté. Grâce à elle, mon père put se sentir mieux depuis la disparition de ma mère. Peut-être ferais-je les deux allez savoir.

Pendant que je contemplais cette œuvre antique, une jeune fille vint faire de même à un mètre de mois. Le voyant, je lui fis un sourire avant de regarder à nouveau la statue.

Gaby - Athéna est fascinante n'est-ce-pas ? Je me demande pourquoi ce n'est pas elle que Zeus a épousé, si bien sur ils sont excités. Dit-elle en regardant la statue.

Je fus agréablement surpris. C’était plaisant de voir des jeunes s’intéresser à l’histoire. Je me tournais vers elle, sourire aux lèvres, content de son intérêt, même s’il semblait avoir quelques lacunes. Je sentais qu’il était de mon devoir de lui expliquer pour l’aider à approfondir ses connaissances. Bras croisé, la tête tournait vers elle, je me mis à lui raconter avec plaisir et chaleur ce que je savais d’elle, en gros. Attention, une fois lancer sur le sujet, je pouvais en parler pendant des heures, je devais me contrôler, pour ne pas ennuyer cette pauvre jeune fille et la dégoûter de ce fascinant univers :

Armando – Oui elle l’est en effet. Considérer comme l’une des plus belles déesses grecques. Mais épouser Zeus serait difficile. Déjà, elle n’est que sa fille. Son premier enfant en réalité et aussi, sa préférer. Et à cette époque, Zeus avait déjà quelqu’un. Athéna à en plus fait le vœu de rester vierge et de se concentrer sur ses fonctions. La protection des villes, des héros, la diffusion des sciences et de la culture dans le monde, les combats et guerres à mener… On peut penser qu’elle a fait ce choix à cause d’un mauvais exemple de mariage. Son père croyait que sa première épouse allait mettre au monde un fils qui le renverserait. Ne voulant subir le même sort que son père, il avala sa femme déjà enceinte. L’enfant vint au monde quand même et passa par le crane de Zeus grâce à une ouverture faite. Elle sortit déjà adulte, poussant un cri de guerre dans une armure étincelante. Naître comme ça, devait traumatiser et dégouter de l’amour Non ? haha. Zeus se rattrapa en la faisant sa conseillère et confidente. Elle pouvait même manier la foudre de son père, ce qui en fit une déesse très puissante. Sa place parmi les douze dieux olympiens fut même accordée et elle devint une sorte de modèle, de symbole pour dieux et mortels. Zeus ne l’a pas épousé, mais il lui offrit bien plus.

Je m’arrêtai là pour le moment, de peur d’avoir assommer et souler la jeune visiteuse. Je la regardais pour m’assurer qu’elle suivait bien, ou si j’en avais trop fait.

Visite guidée.

Ft. Armando.

Athéna. Mon regard tomba dans celui de sa reproduction et bien qu'il était blanc je ne pouvais m'empêcher d'essayer d'en deviné la couleur, mes iris bleu/vert me venant de mon père je ne savais pas de quel teinte étaient les siennes . Mes yeux s'accrocherent par la suite aux traits fins qui dessiné son visage, quelque chose me disait que ma mère n'était pas réellement comme cette statut, du moins pas d'en son apparence humaine car la silhouette qui me faisait face était bien trop parfaite, tout chez elle respiré l'harmonie, elle était si belle qu'elle paraissait irréel.

Comme à mon habitude ces pensées me provoquérent un pincement au coeur car j'en venais toujours à la conclusion que finalement je ne la connaissais pas mais ce n'était pas plus mal, elle ne pouvait ni me blesser ni m'atteindre vraiment et ça c'était une bonne chose.

Après l'avoir longuement admiré dans un silence je pris enfin la parole ce qui du décontenancé l'homme à mes côtés car il ne devait sûrement pas s'attendre a ce que je lui adresse quelques mots mais il se retourna tout de même pour me sourire avant de reporter à nouveau ses prunelles sur la statut , j'avais l'impression qu'il l'admirait mais pas seulement comme une déesse mythologique plus comme quelqu'un qu'il avait connu et pourtant mon sixième sens ne m'indiquer ni que l'homme était un demi-dieu ni une quelconque créature. Peut-être qu'il était un de ses amants ? Étrange.

J'attrapais ma lèvre inférieure et la mordillais, mes pensées fut interrompue par le brun qui me répondis avec tant de détails sur ma mère que j'en fus dépourvu. En quatre années j'avais eu tout le loisir d'en apprendre sur elle mais il est vrai que je ne pouvais pas récité dans son intégralité toutes ses histoires alors je l'écoutais attentivement, en enregistrant dans un coin de ma tête que l'homme était particulièrement intelligent et puis ça me faisait du bien de parlé avec un "mortel" qui ne savais pas qui j'étais et qui n'attendait rien de moi.

- Oui.. Souffflai-je dans un murmure admiratif pour lui répondre avant de reprendre. - Il lui a offert plus c'est certain.. mais j'avoue que je ne comprend pas, je pense que passer sa vie aux côtés d'une femme si "incroyable" ne devrait pas être une torture mais... nous ne sommes que des humains en soif de connaissance âpres tout, alors peut-être est-elle simplement un idéal pour nous simple mortels..

- Athéna le grand puit de sagesse. Rigolais-je doucement

Mon récit prit fin sur ces quelques suggestions et cette fois ci mes yeux partient à la rencontre des siens enfin durant un quart de secondes seulement n'aimant ni les contactes physiques ni visuelle, néanmoins j'étais vraiment enthousiasmé par notre conversation que je trouvais animé, je me sentais normale, pas de Demi-Déesse, pas de fille d'Athéna, seulement moi Gaby qui parle d'un sujet passionnant et même mon caractère d'habitude si froid et refermé semblait se rétracter comme de la neige qui fond à cause des rayons du soleil.

A présent je me retournais vers le reste de la salle pour contempler les dieux dans toute leurs splendeur. Si ils avaient été en couleurs j'aurais presque pu me croire dans la pièce des statuts au Mont Olympe bien que celle-ci ne soit pas réellement représenté comme cela, cependant l'esprit y était et la magie parcourait ses lieux pour en faire un espace de voyage intemporel.

- Pensez-vous que les dieux vivaient parmi nous fut un temps ? Qu'ils aient véritablement existé ?. Je désignais d'un geste de la main la vaste salle, ma curiosité reprenant le dessus.

Ses questions étaient sorties de façon incontrolable, bien trop désireuse de connaitre son point de vue même si je savais qu'ils n'étaient pas de simple mythes.

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Gaby - Oui.. Me spuffla t’elle avant de me répondre. J’étais rassurer de constater que je ne ‘avais pas assommer par mes paroles et qu’elle voulait bien continuer à discuter.

Gaby - Il lui a offert plus c'est certain.. mais j'avoue que je ne comprend pas, je pense que passer sa vie aux côtés d'une femme si "incroyable" ne devrait pas être une torture mais... nous ne sommes que des humains en soif de connaissance âpres tout, alors peut-être est-elle simplement un idéal pour nous simple mortels… Athéna le grand puit de sagesse.

Armando – Pour plusieurs olympiens elle était une bonne compagnie comme une vraie sœur. Pour d’autres, c’était une rivale.

Je le sentais qu’elle en savait des choses sur cette déesse. Elle la contemplait avec une certaine admiration, comme si un lien spécial les unissait. Après tout ce que je venais de vivre et voir, j’aurais osé dire qu’elle était soit une de ses filles, ou bien la déesse elle-même. Mais je n’irais pas le lui dire ou demander soit je me ferais passer pour un fou ou bien, j’aurais attisé la colère d’une des plus puissantes déesses. Et puis, elle pouvait très bien être une jeune fille attirée par les légendes et dont Athéna serait sa déesse favorite. La jeune femme se tourna par la suite vers le reste de la salle et observa les autres représentations.

Gaby - Pensez-vous que les dieux vivaient parmi nous fut un temps ? Qu'ils aient véritablement existé ?

Elle venait de poser LA question. Je me sentais tout excité et j’avais eu une de ces envies de lui parler de mes théories et découvertes à ce sujet. Lui parler sur quoi je travaillais actuellement, mais là aussi elle risquait de me prendre pour un excentrique. C’était bien dommage. Savoir des choses et rien pouvoir dire. Tel était notre monde, on imposait des règles disant ce qui était logique ou non et si quelque chose venait à l’encontre de cela, on voulait le cacher, ou le détruire, ou le faire rentrer dans le moule pour que tout suive la logique imposée. Par exemple, on dit que tous les chevaux sont noirs. Si on trouve un blanc, on dira qu’il est malade ou que c’est un mutant. Ce n’était pas vrai pour tout, mais souvent ce genre de raisonnement avait tendance à obscurcir l’esprit sur le véritable monde. On trouvait ce genre de mentalité partout en société, y compris dans le domaine scientifique et archéologique. Là, ça m’exaspérait. Si on disait que les premiers européens n’avaient aucun contact avec ceux d’Afrique, alors que des vestiges peuvent prouver le contraire, on dira non où on modifiera les données. Un tout petit exemple, mais dont le débat n’avait aucune utilité, je me suis laissé un peu emporter. Pour répondre à cette jeune femme, je me mis à parler de façon un peu floue, exposant diverses théories que je rassemblais pour en venir à mon idée, une belle façon de la présenter sans se faire passer pour un fou :

Armando – Et bien… Il y’a de fortes chances. Nos ancêtres ne se sont pas dit « Tiens on va imaginer des dieux comme ça ». Il a dû avoir un élément déclencheur, une origine particulière. Cela peut-être des humains comme vous et moi qui furent remarquer pour leurs qualités et leurs prouesses et furent déifier, comme Imhotep l’architecte en Egypte ancienne. Athéna était peut-être à l’origine une femme charismatique et sage, cultivé et doué pour la guerre, Zeus un roi qui à marquer son temps, Hadès un fossoyeur… Ou bien, selon la théorie la plus à la mode, c’étaient des aliens qui furent considérer comme des dieux ; descendu des étoiles dans leur vaisseaux. Ou alors, des êtres incroyable, immortel comme dans les légendes, que tout ce qui est dit dans les mythes soit vrai et donc, qu’ils ont gouverner la Grèce et dans ce cas, qu’ils sont encore parmi nous autres mortels. Quoi qu’il en soit, ils ont laissé leur trace parmi nous et donc ils vivent toujours dans notre monde, physiquement ou non.

Visite guidée.

Ft. Armando.

Quand je lui fis par de mes opinions il me répliqua qu'Athéna était comme une soeur pour certains olympiens et j'espérais qu'elle était meilleur dans ce rôle que dans celui de mère, car il était sur qu'elle n'excellait pas ce domaine. En ce qui concerne une probable rivalité je pouvais tout à fait comprendre, c'était une battante, une femme intelligente et vraiment belle ce qui pouvait en détrôner certaines.

Quoi qu'il en soit c'est sur ses réflexions la que je me retournais pour contempler les plus petits détails de la salle. Je trouvais ce lieu vraiment unique. Cet endroit m'apporter un certain réconfort, un peu comme si je me sentais chez moi. Ce paysage devait certainement me rappeler la colonie mais contrairement à la-bas ici j'étais seule et c'est pourquoi j'étais venu me refugiais ici, je pourrais y rester des heures et des heures sans jamais me lasser. J'aimais cette sentation protectrice qui m'entourer.

Puis pour couper court à mes pensées qui divagués je lui demandais assez surnoisement si il croyait en l'existence des dieux, contre tout attente il eut l'air vraiment enjouée de me parler de sa théorie comme si il garder de grands secrets à ce sujet. A présent j'en fus sur, il n'était qu'un humain sans pouvoirs, mais peut-être pas si innocent que je ne le penser.

Il fallait que je trouve quelques chose pour en être sur, mon regard deriva légèrement derrière lui pour regarder les yeux de ma mère, me concentrer sur un point fixe me permettait de m'isoler en moi quelques minutes et puis soudain une idée me frappa en pleine tête, comme lorsque l'on profite d'un moment de tranquillité au park et que d'un seul coup vous vous recevez un freesby en pleine tête.

Bref, je n'aurais qu'a faire en sorte que mon bracelet scintille et diriger son regard dessus, au vu de sa réaction je verrais si il voit à travers la brume ou non. Ce plan me semvlait excellent et totalement faisable.

Je le laissais finir de parlé tout de même et fut heureuse de mon esprit qui peut se concentrer sur plusieurs choses différente, de ce fais je me souvenais en grosse partie de ce qu'il venait de m'expliquer et un sourire conquis franchit mes lèvres.

- Je pense que vous avez de forts arguments et une opinion réellement réfléchi, je me pencherais un peu plus la dessus.. Dis-je dans un sourire timide avant de mettre ma ruse en marche.

- J'ai ramenais un bracelet de Grèce lors d'un voyage, seriez vous lire les inscriptions dessus ? Google translate ne doit pas connaître les langues ancienne. Je lui tandis mon bracelet en espérant que celui-ci scintille mais aussi que l'homme ne prenne pas sa pour une ruse mauvaise le but étant seulement de savoir àqui j'avais affaire, cela faisait bien longtemps que je n'avais pas rencontrer quelqu'un par hasard, demandez aux oracles.

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Une fois mes dires terminaient, la jeune femme me sourit avec charme. Elle était très jeune, une adolescente, mais elle faisait adulte, mature, sa façon de se tenir manifestait une certaine sagesse et de la maturité. Je ne serais pas surpris qu’elle soit très douée dans son lycée, voir une première de sa classe. Elle avait un côté rêveur, elle regardait les objets exposés avec une attirance intellectuelle et un regard plonger dans un monde inconnu. Artiste aussi, je dirais. Je n’étais pas psychologique ou extra-lucide comme dans mentalist, mais j’avais appris à analyser tous ceux que je voyais pour comprendre ce que j’avais devant moi ainsi que qui était avec moi. En réalité, j’aurais presque l’impression que comme elle semblait en savoir plus qu’elle voulait laisser entendre, elle essayerait de me tester.

Gaby - Je pense que vous avez de forts arguments et une opinion réellement réfléchi, je me pencherais un peu plus la dessus..

Elle me sourit timidement.

Gaby - J'ai ramenais un bracelet de Grèce lors d'un voyage, seriez vous lire les inscriptions dessus ? Google translate ne doit pas connaître les langues ancienne.

Elle me passa son bracelet, un bien bel objet. Elle demandait à un inconnu de traduire une langue ancienne ? Elle a dû deviner que j’avais un lien avec le musée ou l’histoire à cause de mon petit cours à l’instant. Je pris donc l’objet délicatement pour ne pas faire un mauvais geste risquant de l’abîmer et me mis à l’étudier. Il brillait. Étrange, je ne voyais pas pourquoi il brillait ainsi, pas de pierre particulière pour émettre une telle luminosité, c’était la matière principale qui émanait cette brillance magnifique. Très jolie, et heureusement, cela ne me cacha pas l’inscription dessus. Je crois pouvoir lire les mots. L’objet devait sans doute être une reconstitution d’un objet ancien. Lisant chaque mot, j’ai pu reconnaître la phrase :

Armando – Et bien, si je ne me trompe, il me semble être écrit « Trois maux sur terre : La Mer, le Feu et la Femme». Une ancienne citation grecque qui est encore utiliser d’ailleurs. Très bel objet je dois dire vous avez une belle trouvaille… Par contre c’est fou comme il scintille, vous l’avez volé à Rhianna d’Athènes ?

Je me mis à rigoler à ces derniers mots, petite plaisanterie qui pouvait en effet faire plaisir. Je remis l’objet à la jeune fille du même geste délicat pour faire attention. C’était sans doute un objet récent, une reconstitution d’un bracelet existant dont je ne connaissais pas. Je voulais en savoir un peu plus.

Armando –C’est vraiment un magnifique objet, on dirait bien vue sa forme et sa décoration qu’il vient tout droit de la Grèce antique, mais il est bien récent. Il est en quoi si je peux me permettre de le demander pour scintillait ainsi ? Je ne reconnais pas la matière ? Vous l’avez obtenu où ?

Visite guidée.

Ft. Armando.

Alors que je lui donnais mon bracelet avec une certaine réticence l'homme en face de moi le pris naturellement de ce fait même si j'avais douté de lui et de ces motivations au debut, à present il ne restait plus une trace de doute en moi, il n'était pas un monstre car si il l'aurait été il se serait transformé en un tas de poussière en touchant le bracelet.

Je me concentrais ensuite sur son langage corporel et sur ses expressions pour dechiffrer si lui aussi il voyait le scintillement mais ce fut dur à reveler étant donné qu'il était particulièrement absorbé par l'objet. Il se pouvait qu'il ne voit rien finalement, peut-être était-il seulement passionné par la Grèce.

Finalement il me traduit les phrases sculptée sur le bracelet et je fis miné de réfléchir quelques secondes pour ne pas montrer mon sourire, évidemment je savais ce qu'il y était transcrit mon cerveau traduisant automatiquement le grec antique, quoi qu'il en soit il reprit en me faisant une réflexion du au scintillement ce qui cette fois si me decrocha un grand sourire, puis j'eu un léger rire pour l'accompagner bien que je ne riais pas pour la même chose que lui.

Tout se derouler comme prevus cependant je n'avais pas prévu la suite du plan et quand il me demanda plus d'informations sur le bracelet je ne su pas quoi dire et pris un air detendu. Même si je le voulais je ne pouvais rien lui dire, moi même ne sachant pas grand chose. Hormis que ce soit un cadeau de ma mère, mais ça je ne pouvais lui avouer. Alors je me remis dans la peau de mon personnage pour lui répondre.

- En faite, je ne sais pas en quoi il est fait, j'avais espéré que vous puissiez m'aider.. pour répondre a votre question je l'ai acheté dans un marché a Athéne et je doute qu'il ait une réel valeur. Hum.. du moins monétaire. Expliquai-je cette fois si bien sérieuse.

Je me demandais maintenant si je devais lui dire que les humains "normaux" ne voyait pas le scintillement mais quelques chose me disait que c'était trop tôt pour lui dire ca, cet homme était peut-être dans une quête après tout et je ne voulais pas risquer de la compromettre ou me prendre la foudre sur le tête alors pour le moment je gardais ça pour moi.

- J'ai l'impression que le bracelet est en sorte de bronze. Cette fois si je lui dis ça en remuant les épaules de manière non chalante comme pour proposer une théorie, j'omis toute fois la matière de la bronze qui devait être céleste.

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Gaby - En faite, je ne sais pas en quoi il est fait, j'avais espéré que vous puissiez m'aider.. pour répondre a votre question je l'ai acheté dans un marché a Athéne et je doute qu'il ait une réel valeur. Hum.. du moins monétaire.

J’avais un peu de mal à le croire. Je ne mettais pas la parole de cette jeune fille en doute, mais vu la qualité de l’ouvrage et la matière bien étrange de l’objet qui lui permettait de briller ainsi, il devait avoir une certaine valeur. Ah moins qu’elle soit issue d’une famille aisée et donc, qu’elle est put acquérir cet objet sans peine. Une hypothèse, mais je ne la questionnerais pas là-dessus, ce serait indécent. Dommage que je ne sois pas un grand spécialiste de la matière. Je pouvais reconnaitre beau nombre de matériaux qui composaient les artefacts et reliques anciennes, ainsi ceux composant les monuments antique… Mais là, je ne savais pas trop. Enfin… Non… J’avais un doute, comme du déjà vue…

Gaby- J'ai l'impression que le bracelet est en sorte de bronze. Me disait-elle en haussant les épaules pour exposer une idée.

Oui, pourquoi pas, c’était possible. Je me mis à contempler de nouveau l’objet de loin, poursuivant l’analyse. Retournant le regard vers mon interlocutrice, je me mis à exposer :

Armando – Oui, il y a des chances. Le bronze était en quelque sorte la matière principale pour les grecs dans l’ancien temps. La grande majorité de leurs armes et armures étaient fait de cette matière, ainsi que bon nombre de leurs bijoux justement. Mais ce que vous avez là, est bien particulier. Ça y ressemble, mais il est différent… Je suis sûr que cela me dit quelque chose, il me semble d’avoir déjà vue quelque part cette matière. Il faudrait que je fasse des recherches.

Plus j’y réfléchissais, plus ce « bronze » m’était familier. C’était quelque chose de récent, mais aucun moyen de mettre le doigt dessus. Bon, comme je venais de le dire, je ferais des recherches dessus et cela me reviendra. Inutile de stresser pour. Je voulais de nouveau me concentrer sur la jeune fille et tester ses connaissances à mon tour. Elle avait prouvé son intérêt pour le monde grec, je voulais savoir un peu plus sur ce qu’elle savait à ce sujet. Un bon petit échange entre deux passionnés. Bras croisé, regard un peu amusé, je me mis à la questionner, comme je le faisais avec mes élèves à Rome.

Armando – Et vous, depuis quand êtes-vous intéressée par le monde grec et qu’appréciez-vous donc ?

Une bonne question pour commencer à connaître ses connaissances.

Sujet: Re: Visite guidée (Pv Gaby S. Young) (abandonné)