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Sujet: Besoin de soins particuliers. [PV Arthur Ackles] Dim 13 Nov - 15:00
Besoin de soins particuliers
.ft. Arthur Ackles
Agent de police, c’est un métier à risque. Demi-déesse, c’est une race à risque. Fille d’Hadès, c’est une catégorie à part, comme les autres enfants des trois grands. Et là, du coup, l’ensemble m’a menée dans cette situation. Et quelle situation de merde, si j’ai le droit de le dire tout haut. Tout a débuté ce matin, quand j’ai remarqué que j’étais suivie. Suivie, c’est un grand mot, disons plutôt que mon instinct me disait que j’étais suivie. Du coup, j’étais passée par un coin de la ville plutôt abandonné, pour ne pas risquer la vie de gens innocents ou, si je devais perdre le contrôle, de bâtiments important ou habités.
Tournant un coin, je pu faire la rencontre d’un jeune homme aux airs malade. S’il s’était avéré être un jeune homme. Parce que sous ses atours d’humain, j’avais en fait devant moi un monstre. Une créature que je ne connaissais pas, sans doute. Ou bien quelqu’un sous le contrôle d’un monstre, telle une empousa? Je ne savais pas trop. Aussi, je sortis mon arme à feu, question de faire sure, et je la pointais sur lui. Malheureusement, il ne s’agissait que d’une diversion. Aussi, quand la harpie me poussa au sol en me fonçant dedans dans le dos. Je perdis mon pistolet, qui glissa plus loin, beaucoup trop loin.
Roulant au sol, je saisis entre mes doigts mes bracelets et, tirant dessus, ils se transformèrent en deux épées courtes et jumelles. En bronze céleste, elles avaient de quoi tuer la harpie. Aussi, lorsqu’elle revint à la charge, je lui labourais le torse tout en évitant son coup de griffes. Le combat avançant, je me fatiguais et elle aussi. Aussi, nous nous mîmes à nous regarder en chien de faïence, se demandant qui abandonnerait la première.
Je ne pouvais pas la laisser partir, au cas où elle irait s’en prendre à des innocents pour se venger de sa perte ici… Aussi, je retournais la lame dans ma main et la lançais vers elle. Au même moment, elle précipita son corps vers moi en poussant un cri. Oh, elle ne me blessa pas, au contraire, elle était morte en me touchant et ne pu me faire quoi que ce soit. Mais se faisant, je me cognais la tête au sol et je m’ouvris le bras sur un truc en métal rouillé. Heureusement, le corps de la harpie était le moindre de mes soucis puisqu’il disparus dans un nuage de fumée et de poussière.
Cause à effet, je devais maintenant me faire soigner… mais si je voulais éviter les questions, je ne pouvais aller à l’hôpital. Aussi, je me rendis au camp. Je pris un taxi jusqu’à tout près, puis je pris une marche de santé, tant bien que mal. Quand j’arrivais au camp, je devais faire peur, parce qu’on m’aida immédiatement à me rendre à l’infirmerie avant de m’y laisser seule, sans doute les jeunes m’ayant aidés étaient-ils partis chercher l’infirmier ou l’infirmière de service
Sujet: Re: Besoin de soins particuliers. [PV Arthur Ackles] Sam 19 Nov - 21:20
Besoin de soins particuliers
Cassandre & Arthur
Depuis qu'Arthur avait commencé son tour de garde à l'infirmerie, tout avait été relativement calme. Certes, il avait dû soigner quelques demi-dieux pour diverse raison, duels ou accidents tous bêtes, mais aucune de leurs blessures avait été grave. Beaucoup de personnes aurait pu appeler cette matinée ennuyante, mais pour Ackles, cela avait été une matinée très agréable. Il avait pu lire au calme, tout ce qu'il voulait faire pendant cette matinée. Lorsqu'il lisait dehors, le demi-dieu avait beaucoup de mal à se concentrer. Il y avait trop de monde et d'agitation autour de lui et, rapidement, il laissait tomber son livre pour plutôt observer les autres demi-dieux.
A ce moment précis, le fils d'Apollon était en train de relire Harry Potter. Le cinquième tome pour être précis. Comme tout fan d'Harry Potter, même s'il déniait être un fan de cette série de livre, il trouvait ce tome toujours douloureux à lire à cause de la mort de Sirius Black. Le cœur d'Arthur se brisait toujours quand il pensait qu'Harry allait enfin avoir la chance de vivre avec une vraie famille aimante mais Belatrix lui avait arraché cette chance. Le demi-dieu était bien placé pour savoir à quel point ça faisait mal de grandir dans une famille qui ne vous aimes pas.
Malheureusement pour lui, on vint le tirer de sa lecture. Un demi-dieu, un fils d'Hermès, était rentré en courant dans l'infirmerie. Arthur fronça les sourcils. Il devait y avoir un blessé grave pour qu'on fasse éruption comme cela. L'homme avait vu juste, on l'informa qu'une demi-déesse venait d'arriver gravement blessé et que donc on avait besoin de lui. Posant rapidement son livre sur une table près de lui, Ackles suivi en courant le garçon. Ce dernier le conduit au blesser.
Quand il vit enfin la fameuse blessée, il comprit vite l'urgence. Cette dernière était aussi blanche que la porcelaine et avait une blessure au bras qui avait commencé à s'infecter. Il fallait s'occuper de son cas le plus vite possible si on voulait éviter une amputation du bras. Ackles demanda de l'aide au troupeau de demi-dieu pour la porter jusqu'à l'infirmerie. Pendant qu'elle était transportée, Arthur posa sa main sur son bras, non pas pour essayer de commencer à guérir la blessure ne voulant pas prendre le risque que la blessure se referme avec quelque chose dedans, mais pour rassurer la jeune femme.
« Tout va bien se passer, je vais m'occuper de toi, accroche-toi. » Lui dit-il d'une voix la plus rassurante possible
L'équipe finit par arriver à destination et le fils d'Apollon demanda qu'on pose la blessée sur un de lit. L'infirmier examina rapidement la blessure et constata qu'il avait bien fait de ne pas vouloir la soigner directement. Il y avait un petit morceau de fer qui était l'origine de l'infection. N'ayant pas le temps de préparer un sédatif, Arthur attrapa un bout de chiffon qui plaça dans la bouche de la femme tout en attrapant une petite pince.
« Je mets ça pour t'empêcher de te mordre la langue pendant que j'enlève un bout de fer. Ça va faire mal, mais je n'ai pas de choix désolé. Tu peux serrer ma main si ça peut te soulager » Lui expliqua-t-il tout en prenant délicatement sa main
Sur ce, il se mit au travail et commença à enlever le bout de fer. Une fois l'opération finie, il vérifia qu'il ne restait bien plus rien et posa sa main sur sa blessure, la guérison.
« Je vais devoir te garder en observation pour vérifier qu'il n'y ait pas d'infection due à un morceau de fer que j'ai raté. Tu as eu de la chance, tu as faillit perdre ton bras. »