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ça vous arrive souvent de tâter du monstre à cette heure-ci ? ☂ Ryan ONNEIL
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Sujet: ça vous arrive souvent de tâter du monstre à cette heure-ci ? ☂ Ryan ONNEIL Mar 18 Fév - 23:35
ça vous arrive souvent de tâter du monstre à cette heure-ci ?
Ryan ONNEIL ☂ Oswin MCALISTER
Aujourd’hui, service de matin au Café. Car oui disons-nous le clairement, à cette heure-ci, l’établissement avait plus revêtu son étiquette Café que Bar. A part les irréductibles qui aimaient ajouter du peps à leurs matinées, en ajoutant de l’eau de vie à leur cafés. Ou comment ruiner toute la saveur du café, en une leçon. Un des habitués du matin, un vieil homme aux cheveux blancs et au journal venait d’ailleurs tous les matins lorsque j’étais en service, pour chercher un peu de compagnie et de relation sociale. J’peux vous dire qu’avec moi il avait tapé dans le mille, car la petite barman qui n’était pas tombée sur la bouche : c’était moi ! Je le sais : que je peux parfois être un vrai moulin à paroles, ce qui fait que je peux parfois être très imposante autant au niveau du caractère que de la prestance mais ce n’est pas maintenant que vous me changerez. Impossible d’arrêter la machine Oswin ! Je suis trop rodée pour ce genre de choses. Il devait être aux alentours de six heures ou peut-être sept heures trente et seulement maintenant l’établissement commençait à se remplir. On commençait à sentir depuis un bout de temps déjà, les premiers pancakes cuisinés par Mario et qui emplissaient de leur odeur la salle de restauration. Des fois, je me demande pourquoi ce café est ouvert le matin et l’après-midi. Ils auraient tout simplement dû rester au soir, à l’étiquette bar. Alors pour faire passer le temps, j’avais attrapé quelques bouteilles d’alcool de derrière le bar où je me tenais et j’avais commencé à jongler avec, face à mon client habituel : celui au journal dont je vous ai parlé plutôt. Il me parlait des nouvelles les plus importantes de la matinée, entre deux jonglages ou commandes. Allez savoir pourquoi, les gens adoraient qu’on leur fasse une petite séance de jonglage avant de leur servir leurs cocktails. C’est un peu pour ça aussi que je suis là ! Il devait être à peu près huit heures trente – lorsque mon ami habitué parti, me promettant de revenir demain à la même heure – lorsque je quittais mon poste pour aller prendre ma pause. Mon petit-déjeuner encore tout fumant, m’attendait sur la table, dans l’arrière-boutique. Mario avait bien pensé à tartiner le tout de sirop d’érable en grande quantité : de ce fait, il dégoulinait presque telle une cascade dans l’assiette. L’attrapant au vol, je m’assis à mon tour sur la table, et commençais à déguster mon plat.
Je ne faisais pas vraiment attention à ce qui pouvait se passer à l’extérieure : que ce soit au niveau de la salle de restauration, ou bien au niveau de la ruelle. Car en effet, l’arrière-boutique comme on l’appelait, dans laquelle j’étais, avait une porte de secours qui donnait sur une ruelle – même une impasse – adjacente au Bar/Café. Mais en entendant des espèces de bruits de poubelles et d’autres gros bruits assez bizarres, je posais mon assiette à côté de moi, avant d’essuyer mes mains à mon tablier – qui n’était qu’un tablier à moitié, c’est-à-dire qu’il ne couvrait que le bas : ma jupe – et de me diriger vers la fenêtre qui donnait sur cette ruelle. Qui pouvait faire un tel boucan à huit heures trente du matin ? Sérieusement ? Il faisait bien trop froid pour se risquer dehors, à jouer aux adolescents perturbateurs. Mais ma respiration se bloqua alors je découvris la scène qui se déroulait dans la ruelle. Elle opposait deux personnes : ou plutôt une personne et un énorme monstre, que quelqu’un d’autre que moi, aurait pris pour une pauvre bestiole sans défense. Trop d’imagination ces gens parfois ! Mais à ce même instant, j’étais beaucoup plus focalisée sur la chose que sur la personne : cela faisait remonter la discussion que j’avais eu, il y a un petit peu de temps avec Lucianna. C’était la première fois que j’en revoyais depuis. Ses paroles de monstres et de mythologie grecque résonnaient dans ma tête comme un écho. Un écho qui m’avait cloué sur place : je ne savais que faire. D’ailleurs est-ce que je pouvais faire quelque chose ? Mais et si cette personne pensait se faire attaquer par un chihuahua remonté à bloc parce qu’il porte un manteau en fourrure rose ; ne voudrait-il pas que je fasse quelque chose ? Ou alors, il savait très bien ce qu’il faisait. Dans les deux cas, la petite visibilité de la fenêtre ne me permettait pas de décider de la nature de la personne. Par contre, le monstre lui je pouvais très bien le voir. Et pour une raison que j’ignorais ce dernier avait pris du recul, comme s’il était prêt à charger… Mon cerveau se remit alors immédiatement en marche, sans crier gare, et en l’observant lui et sa course, je me préparais à bondir sur la porte.
Tout s’était passé très vite, j’avais tout ça presque comme un réflexe : impulsivité quand tu nous tiens. Lorsque le monstre se mit à charger, j’ouvris juste à temps la porte arrière à la volée. Me retrouvant sur le palier de la porte de l’arrière-boutique, la main sur la poignée. Résultat des courses : le monstre se prit la porte en pleine face ce qui je pense, eu soit le don de l’énerver, soit de l’assommer ; ou peut-être même les deux. Sans prendre la peine de regarder derrière la porte, je tournais la tête vers la personne que j’avais observée avant en disant, sans vraiment trop y faire attention, avec un petit air faussement innocent : « Oups… Désolée ! » Et dans le même élan qui m’avait pris, je refermais immédiatement la porte. Adossée à cette dernière, j’essayais de reprendre mon souffle. Ce que je venais de faire été parfaitement idiot : enfin mon geste peut-être pas, mais la façon dont je m’étais comportée oui. Comptant jusqu’à soixante dans ma tête – pour certainement laisser inconsciemment le temps à la fameuse personne soit de partir, soit d’en finir avec ce monstre – je me retournais alors après ce petit laps de temps passé.
Ouvrant légèrement la porte à nouveau, je passais exclusivement ma tête à l’extérieure et sans vraiment faire attention à si la personne était toujours là, ou bien si elle était partie en courant, j’ajoutais : « Hum excusez-moi, ça vous arrive souvent de faire du grabuge à huit heures passée ? » Le tout était accompagné d’un petit rire nerveux, car n’ayant pas fait attention, je ne savais pas si j’allais avoir une réponse ou bien alors me prendre un vent monumental…
Dernière édition par Oswin McAlister le Sam 8 Mar - 15:59, édité 1 fois
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Sujet: Re: ça vous arrive souvent de tâter du monstre à cette heure-ci ? ☂ Ryan ONNEIL Mer 19 Fév - 13:37
Titre
Sauvé par une porte!
Ryan venait d'acheté un petit appart de 250 mètre carré à New-York avant l'épisode du scorpion en Afghanistan. Il avait une semaine de permission et les passa ici, voulant respiré un peu enfin espérant et essayent de savoir si c'était bien réel ce qui c'était passer l'autre jour avec le Scorpion noir. Ryan était debout devant la fenêtre qui était au dixième étage de l'appartement qui était en face d'un bar-café et non loin de central park.
Il devait être dix heures passé quand il était entrain de regarder un homme qui était devant le café qui regardait en haut vers son appart et ne bougeait pas bizarrement, il n'y prêta peu d'attention écoutant de la musique Ryan, cherchait se que voulait dire "Prómakhos" sur des site de recherche bien connu. Et toute ce concentrait sur Athéna et la Grèce. Que devait-il pensé était ce une blague? Ce n'était guère possible d'être! Non, il chassa l'idée de sa tête c'était impossible. Comment se fait-il qu'ont l'aide seulement maintenant!
Son épée était sur sa table de chevet dissimulé pour les mortels comme un couteau de l'armée, et son arc dans une étagère en forme d'une sangle en cuire qui pouvait accroché son épée. Il écouta de la musique pour s'endormir la nuit passa, il était tôt avant l'aube et Ryan ce demandait se qui ce passait dehors et remarqua encore l'homme qui ne bougeait pas et les passant ne faisait même pas attention à lui. Onneil fut intriguer quand l'homme souris mais, avec des dents pas vraiment humaine.
Ryan décida de s'habiller et de jeter un un œil de plus prêt. en prenant une tenue de marines du désert, il descendit prenant son arc et son épée, en passant de l'autre côté de la rue les mortels ne n'y passait plus l'homme avait bougé et attendait dans une petite impasse adjacent au bar-café. Il était placé contre le mur comme si il était malade met en fait non quand Onneil pu s'approché une queue de scorpion sortait et il se transformait en une espèce de mi loup-garou et scorpion "Manticore."
Ryan n'hésita pas à brandir son épée et a donné le premier coup directement sur la partie sensible de la bestiole qui était la queue en somme qui fallait coupée. Il se battit et essayent des coups pendant plus d'une heure. des blessure sur le visage et l'épaule lui faisait mâle mais, elle guérissait toute seule quand un moment donné alors qu'il approchait d'une fenêtre, il attrapa le couvercle d'une poubelle de l'autre main pour ce protéger et en même temps évitait qu'ont le voix, il prit de la vitesse et sauta en tapant du bras gauche ou était le couvercle sur la tête du manticore levant l'autre de son épée barrant tout autre attaque du piquant et la porte en prime.
Quand un bruit de porte se fit entendre Ryan ouvrit de grand yeux. *-Oh! Non c'est pas le...*Pensa Ryan en poussant le tard vers la porte en et écrasa celle-ci dessus le piquant effleura le front de Ryan. quand a une des griffes du manticore avait fais une griffure sur sa joue gauche. Quand une voix de jeune femme lui demanda si çà lui prenait souvent de faire du grabuge a cette heure, il ne sut pas quoi répondre, il venait de recevoir également la porte, la bestiole disparut quand Oswin apparut devant Ryan prêt à s'évanouir.
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Sujet: Re: ça vous arrive souvent de tâter du monstre à cette heure-ci ? ☂ Ryan ONNEIL Dim 23 Fév - 11:38
ça vous arrive souvent de tâter du monstre à cette heure-ci ?
Ryan ONNEIL Oswin MCALISTER
L'image de cette bête, de ce monstre : son image dansait devant mes yeux alors que je ne l'avais qu'entraperçu quelques secondes. Une queue de scorpion était peut-être l'élément qui me frappa le plus. Une énorme queue de scorpion. D'ailleurs un côté du corps de la bête était une partie scorpion l'autre était loup-garou. Beurk quelque chose de tout à fait répugnant en somme et de tout à fait irréel pour quelqu’un qui n’était pas comme moi. Depuis un bout de temps, j’essayais de m’amuser à deviner, ce que les autres voyaient à ma place. Mais je dois bien dire que pour cette créature, je séchais un peu. Imagination en panne, certainement après le coup d’adrénaline que je venais d’avoir. Car même moi, j’avais dû faire face à cette chose, j'avais pris mon courage à deux mains - même si je n'ai pas eu réellement besoin d'y penser à deux reprises - et ouvert la porte certainement dans l'espoir d'apporter un petit peu de mon aide. Ou alors c'était totalement impulsif. Il y avait certainement un peu des deux au fond. Mais le reste, ça par contre je ne l'avais pas prévu du tout. En effet j'avais lancé ma petite remarque par la suite sans vraiment y croire. Sans vraiment croire que quelqu'un me répondrait. Oui je pensais que la personne en question s'était barrée pour n'importe quelles raisons possibles. Alors l'étonnement pouvait bien se lire sur mon visage, ça c'était sûr !
En effet, la fameuse personne qui se révélait être un jeune homme d'à peu près mon âge, rentra dans mon champ de vision lorsque je tournais la tête. Le pauvre semblait vraiment mal. Il avait plusieurs blessures : déjà rien qu'au niveau du visage. Il semblait également exténué. Tous ces éléments parlaient en faveur de la bagarre. Si après il venait me dire qu'il n'était qu'un simple passant qui avait été pris en chasse, je serais déçue ! Me semblant assez fébrile et prêt à tomber à la moindre petite rafale de vent : j'attrapais un cageot à fruit en bois qui traînait à côté de moi et je le calais de telle sorte qu'il retienne la porte. Je me précipitais vers le jeune homme, voyant qu'il était à bout de force. Plaçant un bras sous ses épaules afin qu'il s'en serve comme soutien, et mon autre main était à quelques centimètres de son torse, prêt à le retenir s'il avait tendance à partir en avant. « Tout va bien ? Vous n'avez vraiment pas l'air dans votre assiette ! J'vais vous aider ! » Accompagnant mes paroles de gestes, je fis un pas en avant, histoire de tester l'état du jeune homme. Je sentais qu'il devait reposer presque - ou carrément tout - son poids sur moi. Les quatre pas qui nous menèrent à l'intérieur me parurent durer une éternité et j’ai cru m’écrouler à chaque fois que je levais le pied. Mais l’adrénaline jouait très bien son rôle, et me maintenait stable.
Une fois à l'intérieur, les derniers pas me parurent les plus difficiles à faire jusqu’à la petite banquette qui nous servait de canapé. Cette arrière-boutique, si on peut dire ça comme ça, c’est un peu notre salle de repos, donc voilà. Je l’avais aidé à s’installer sur la banquette. Je n'ai pas pu le laisser tout seul dans la ruelle. Le pauvre il avait l'air des plus mal en point et je ne savais pas vraiment quoi faire. Après tout s'il avait été blessé par cette créature peut être serait-ce une toute autre affaire ? Non. Laissant toutes ces idées et spéculations de côté, je me concentrais sur mon objectif premier qui était de l'aider. La première chose à faire est de toujours parler pour s'assurer que la personne reste consciente. Ça tombe bien c'est ma spécialité. « Ne bougez pas, je gère, je vais... Hum... Trouver quelque chose ! » M'éclipsant dans le bar, je m'étais dit que la meilleure façon de désinfecter une plaie était l'alcool. Et qu'est-ce qu'on trouve dans un bar ? De l'alcool sans souci ! Attrapant une bouteille de vodka je me dis que celle-ci devrait faire l'affaire. Je demandais également à Joshua derrière le bar, de me remplacer, le menaçant de ne plus le couvrir de ses retards s'il ne le faisait pas. N’ayant pas de compresse, ni autre chose qui y ressembler, je tirais vers moi également quelques serviettes éponges qui étaient accrochées au bar. Elles devraient bien faire l’affaire pour cette solution de secours. Bien sûr Joshua accepta – il n’avait pas le choix en fait – et bouteille et serviettes à la main, je retournais dans l'arrière-boutique retourner vers mon pseudo-patient, en m'assurant de verrouiller la porte menant au bar, histoire de ne pas être repérer et de ne pas perdre mon boulot... Il ne manquerait plus que ça dit donc ! Pas sûr qu'il soit très rassuré de me voir avec ça en main, je chuchotais : « On fait avec les moyens du bord hein. » Je me parlais plus à moi-même qu'à quelqu'un d'autre : vu qu'il m'avait plus l'air dans les vapes qu'autre chose. Secouant la bouteille de vodka, je regardais le sol, réfléchissant à ce que j’allais faire. Mon cerveau tournait à plein régime.
Si un truc te gênes, dis-le moi & je le changerai .
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Sujet: Re: ça vous arrive souvent de tâter du monstre à cette heure-ci ? ☂ Ryan ONNEIL Mer 26 Fév - 18:16
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Ryan venait de tuer un "Manticore" elle devenait poussière et c'était peu dire! Car, une fois la bête tué. Celle-ci se volatilisa en une poussière brune et dorée. Ryan sourit en coin, content d'être toujours vivant, il pointa son épée dans le sol et celle ci se transforma en lance étonné transpirant et le cœur battant comme jamais avant cette instant!
Il regarda la jeune femme devant lui plutôt très jolie le peu qu'il voyait étant presque inconscient, Ryan voyait flou la tête lui tourné au tour. Sa main gauche posé sur le sol et l'autre qui supportait son poids sur la moitié de la lance. La fille l'aida de nouveau, il sortit sa lance du sol elle était plus haute que la porte de l'arrière-boutique, il se laissa traîner vers le canapé difficilement par cette belle inconnue...
Il tremblait et avait une température bien élevée ses blessure se guérissaient à vue d’œil le jeune Onneil sentait les cicatrices lui lancé assez fortement. Celle de sont front commençait déjà à disparaître seul le sang restait là séchant sur sa peau, ses yeux se ferma épuisé, il sentit son cœur ce calmé un peu puis stoppa quelque seconde Il était presque mort s’arrêtant de respiré. Quand il entendit à nouveau la voix qu'il avait entendu lorsqu'il avait reçu l'épée.
*"Ryan réveille toi!*Sa mère lui parla à nouveau et il ouvrit les yeux brusquement retrouvant sa respiration haletant allant beaucoup mieux d'un seul coup toute ses blessure était guérie. Il regarda Oswin devant lui. se redressant son adrénaline était assez haute toujours mes plus calme, il posa sa main droite sur la joue d'Oswin, laissant son pouce sur le milieu de ces lèvres."Chuuuu......"Dit-il la main comme pour la calmée tremblait un peu"Merci." Il pouvait enfin la voir et la trouva vraiment super-mignonne. Et là sans il enleva son pouce des lèvres d'Oswin passant sur celle-ci vers sa joue et l'embrassa.
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Sujet: Re: ça vous arrive souvent de tâter du monstre à cette heure-ci ? ☂ Ryan ONNEIL Jeu 27 Fév - 17:29
ça vous arrive souvent de tâter du monstre à cette heure-ci ?
Ryan ONNEIL ☂ Oswin MCALISTER
Mes affaires de fortune en main, je me dirigeais vers la banquette posant mes affaires au sol juste à côté de moi. J’entrepris rapidement de m’attacher les cheveux avec l’élastique à mon poignet, histoire d’y voir plus clair, comme si je réfléchissais mieux comme ça – vieille manie –. Seulement voilà quand je m’apprêtais à faire quelque chose, je vis au niveau de son front que ses cicatrices commençaient à se refermer d’elle-même, laissant pour seuls témoins derrière elles quelques traces de sang qui marquaient l’emplacement de ses dernières blessures. Me penchant, je me permis de porter une main à son front justement pour m’en rendre compte par moi-même, du phénomène auquel je venais d’assister ; de plus je sentais sous ma paume sa fièvre brûlante, retomber à la normale. D’accord, de toute façon rien dans le début de cette histoire n’avait été normal, alors pourquoi bifurquerait-on maintenant dans quelque chose de normal ? Quoique me changer en médecin pour quelques instants, je ne suis pas sûre que ce soit très normal, mais bon. Pas très sûre non plus que d’affronter sur ce genre de bestiole soit très normal non plus. Qu’est-ce que c’est le normal d’ailleurs ? Mais lorsque je retirais ma main, je fus surprise de ne plus voir réellement sa cage thoracique bouger au rythme de sa respiration. Et je crois que là ce fut la panique totale dans mon cerveau. J’avais presque l’impression d’entendre à nouveau les cris et les pleures de ma grand-mère lors de la perte de son mari. Non personne ne mourra à nouveau devant moi. Lui donnant des petites frappes sur la joue j’ajoutais, ne sachant toujours pas vraiment si je me parlais à moi-même ou à lui : « Hoho on va se calmer hein de suite, j’ai pas fait tout ça pour ça. Non non non, ça va pas le faire ! » Finalement après de longues secondes, par je ne savais trop quel miracle le jeune homme ouvrit alors brusquement les yeux, reprenant une certaine respiration haletante. Soupirant, je passais mes mains sur mon visage : on était pas passé très loin de la crise cardiaque, pour lui comme pour moi ! Et en tout cas moi, je me sentais beaucoup mieux. Il se redressa alors semblant n’avoir plus aucune difficulté ou séquelles qui auraient pu le marquer assez longtemps. Et allez savoir pourquoi ça me soulageais, vraiment ; même si intérieurement je savais qu’en rentrant chez moi, j’allais m’écrouler de fatigue, malheureusement le taux d’adrénaline est quelque chose qui redescend vite. Car actuellement c’était lui qui me maintenait dans cet état.
Après m’avoir surprise dans le mauvais sens du terme, il décida de continuer sur sa lancée : en effet, face à moi et sans que je puisse faire ou dire quoique ce soit, il posa sa main sur ma joue en laissant son pouce au milieu de mes lèvres, pour m’inciter à ne pas parler. Je n’avais pas bougé. Je ne savais pas vraiment comment réagir, ni quoi faire. C’était bien la première fois. Première fois que je n’arrive pas à trouver quelques paroles ou gestes à dire ou à accomplir. Impuissante en quelque sorte. Voilà comment je me sentais. L’adrénaline était totalement redescendu et j’avais l’impression d’être une gamine qu’on venait de prendre sur le fait de faire une bêtise ou autre. « Chuuuu...... Merci. » Je ne l’avais pas lâché des yeux – à croire que ce n’était pas difficile pour lui de capter l’attention – et à peine ais-je eu le temps de remarquer qu’il libérait mes lèvres, qu’il les reprit tout aussi rapidement en m’embrassant. J’avais simplement fermé les yeux à son contact, comme une envie de profiter de ce moment. Ça faisait très longtemps que plus personne ne m’avait embrassé, et j’avais l’impression de ne plus savoir ni comment, ni quoi faire. Je sentais en même temps le rouge me monter aux joues, chose qui ne m’était plus arrivé depuis longtemps. Lorsque le contact entre nous deux fut rompu, après des secondes qui me parurent durer des éternités mais qui parurent également s’écouler en un claquement de doigts, c’est comme si toutes mes facultés étaient à nouveau en place et je fis un pas en arrière. Pas par peur ou autre chose, juste histoire de tout replacer dans ma tête. J’avais réellement l’impression d’avoir été une gamine à ce moment : mon gros problème dans ce genre de situation. Autrement je suis capable de répondre à n’importe quoi, à n’importe qui, dans n’importe quelle situation ; mais pas dans cette condition-là. Je suis telle une gamine impuissante. J’étais troublée, même plus que ça, voilà tout. En faisant ce pas en arrière, je heurtais la bouteille de vodka qui aurait dû me servir de désinfectant, et qui allait s’écraser contre le sol dans un petit fracas. Tournant vivement la tête vers le bruit, je réfléchis à voix haute : « Génial, et une bouteille qui sera retirée à ma paye, une ! » Reportant alors mon attention sur le jeune homme, j’essayais de calmer ma respiration ainsi que le rougissement de mes joues – pas sûre que ce soit quelque chose qui fonctionne réellement – et plaçant une main en avant comme pour l’empêcher de faire un pas de plus vers moi, j’ajoutais : « Ok, ok, pause… Pause. Il y a même pas deux secondes, tu étais prêt à me faire une syncope, à t’évanouir en plein milieu de cette ruelle… Face à ce machin-truc-muche-bidule. Et maintenant ça. Tu m’excuseras mais j’ai besoin de quelques explications. De petites, grandes explications. Parce que moi aussi j’ai failli faire plus d’une fois, une syncope face à ton état. Alors s’il te plaît, c’est la moindre des choses… »
J’avais parlé beaucoup plus vite que ce que je pensais : chose normale lorsque j’étais chamboulée. Et je l’étais encore tout à fait. Je venais de me faire embrasser par un inconnu sans avoir pu répondre à quoi que ce soit, tout en étant toujours toute retournée. Et sans connaître son nom par-dessus le marché…
Sujet: Re: ça vous arrive souvent de tâter du monstre à cette heure-ci ? ☂ Ryan ONNEIL Sam 1 Mar - 17:40
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Ryan venait d'embrasser cette jeune femme sachant que en temps normale, il ne l'aurait jamais embrasser étant pertinemment plutôt timide les première minutes, c'était peut être du a l'adrénaline qui l'avait emmagasiné depuis deux bonne heures a essayer de battre ce Manticore et de se guérir . Il sentait qu'elle répondait à son baisée ce qu'il le soulagea bien sur même si il n'aurait pas du le faire de cette manière.
C'était magnifiquement très agréable, il la regarda jusqu’à ce qu'elle ferma les yeux, il en fit de même. Se sentant rougir de plus belle, il imagina qu'elle devait l'être aussi. Il ne su dire combien de temps c'était écoulé ne pensant plus à rien ni au monstres ou à son passé Ryan était devenu plus calme et ne savait pas si il devait continuer de l'embrasser ou de partir aucun moyen pour lui de réagir trop épuisé.
Il entendit alors un bruit de verre et la belle inconnue recula d'un pas Dans un reflex Ryan essaya de la rattrapé en deux fois mais elle tomba par terre elle était cassée mais pas toute entière. Sans dire un mot, il ramassa les débris à la main ce coupant de nouveau plusieurs fois mais rien de grave. Il déposa le verre cassé dans la poubelle prenant un torchon il essuie la vodka.
C'est alors qu'elle commença à de nouveau parler très vite. Ryan ce leva plutôt gêner et tout aussi rouge qu'elle sans doute. Il alla a l'éveil pour ce rincer écoutant ce qu'elle disait pour essuyer le sang sécher c'était plutôt plus convenable comme çà. En se rinçant, il répondit cherchant les mot en même temps.
"Cette Bestiole était un....!"Il chercha la réponse et une voix lui répondit."-Manticore ne me demande comment Je le sais? je n'en sais rien."Tout en se retournant pour lui parlé le visage mouillé. Il était gêné et visiblement très honteux, il regarda Oswin dans les yeux. Il chercha quelque chose en même temps dans ses poches et puis trouva où il avait mit quelque billets.
Il en sortit cinquante dollars et les déposa sur l'éveil faisant montrant des yeux le sol où était tomber la bouteille. Sa tenue de marines de camouflage du désert était déchirer à plusieurs endroit. Plus aucune goutte de sang ne coulaient de ses blessures celle de son épaules commençait à être entièrement guérie"Depuis quelque temps, je sais me guérir de quelque blessure légère. Dans le genre "Wolverine mais moins sophistiquer. "
Il trouva que çà pour détailler son pouvoir, il retrouva un souffle régulier." Je m'excuse pour le baiser si...? Je t'es choquer..... J'en suis navré. Je ne l'aurais jamais fais en temps normale, enfin....! Pas de cette manière........Surtout une jeun femme aussi! Jolie que vous...Trop même."Rougissant de plus belle le cœur bondissant balbutia-t'il tremblant.
"Je vais rangé çà."Dit-il en montra sa Lance, il attrapa sa lance à deux pas de lui pour la transformer en épée pour montrer à Oswin. Puis il appuie sur la garde de son épée son contact le rassurait pointant la pointe vers le sol pour pas effrayer d'avantage la jeune femme. Il la fit changé en couteau et la rangea dans son étui.
"Je m'appelle Ryan Onneil, j'ai 18 ans! "Fit-il pour se présenter. Il prit une profonde respiration croisant les bras et chercha les mot pour raconter son histoire."Je viens d'arriver ici. à New-York...Depuis plus d'une semaine des monstres me tombes dessus parfois pourquoi? Je ne sais pas avant, je les voyaient mais, il ne faisait pas gaffe à moi....Le premier c'était un énorme scorpion de plus de deux mètres voir plus....Le Manticore!"
Montrant du doigt la ruelle toujours les bras croisé."Il était devant mon appartement qui est avance du euh...de ce bar-café. Depuis hier soir à m'espionner sans doute voulant surement me bouffé!"Ce qui était surement arriver si Oswin avait pas ouvert cette porte."Bref, avant qu'il le fasse je n'ai pas demander mon reste et j'ai foncé avant lui.
Il m'aurait sans doute tué avec son piquant, si j'avais pas reçu un coup de porte sur la tête."Fit-il en faisant un clin d’œil souriant en coin gêné pour la remercier. Sa blessure a l'épaule trois griffures commencer à cicatricé totalement [b]"Il m'a fais dépasser mes limites, Je dois pas avoir assez de force pour me guérir avec cette bestiole..."
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Sujet: Re: ça vous arrive souvent de tâter du monstre à cette heure-ci ? ☂ Ryan ONNEIL Dim 2 Mar - 21:58
ça vous arrive souvent de tâter du monstre à cette heure-ci ?
Ryan ONNEIL ☂ Oswin MCALISTER
Alors que la bouteille de vodka était venue s’écraser littéralement contre le sol, non sans que le mystérieux inconnu en face de moi essaye de la rattraper, il s’empressa alors de ramasser les morceaux de verre à mains nues pour les mettre dans la poubelle qui se trouvait non loin. Prenant une des serviettes, qui faisait également partie de mes affaires de vodka, il entreprit d’essuyer l’alcool qui jonchait le sol ; alors que moi j’étais planté-là sans bouger. Tout ce que j’avais réussi à faire c’était débiter toute cette tirade pour avoir des explications. Ouais mais j’en avais quand même le droit, non ? Avant de me répondre, il se dirigea vers l’évier certainement histoire d’essuyer le sang qui restait : la seule trace des blessures que j’avais pu voir lorsque je l’avais fait rentrer dans l’arrière-boutique, alors qu’il était très mal en point. Je dois dire que mon cerveau devait très certainement se remettre tout doucement, et je retrouvais petit à petit un souffle et un pouls régulier. Faites-vous aborder dans la rue comme on venait de le faire pour moi, et on verra si vous êtes toujours aussi serein ! La réponse ne semblait pas être une évidence, car j’eus l’impression que les mots avaient du mal à sortir de sa gorge : « Cette Bestiole était un....! Manticore ne me demande comment Je le sais? je n'en sais rien. » Un Manticore ? J’étais sûre d’avoir déjà lu ce nom dans un de mes vieux bouquins d’Histoire lorsque j’étais au lycée. A croire que tout le monde autour de moi, semblait être au courant de ce qui se passait réellement ici-bas, mais pas moi ! Enfin lui avait quelque chose de spécial, comme s’il n’avait pas autant de certitudes que Lucianna et Wesley. Comme s’il démarrait au même niveau que moi, ou voir juste un tout petit peu au-dessus. Le jeune homme s’était finalement retourné vers moi, le visage dégoulinant d’eau. Je ne savais pas s’il en était conscient de l’état dans lequel il était face à moi, mais cela eut le mérite de me faire décrocher un sourire. Quelque peu gêné, il trifouilla dans ses poches avant d’en sortir cinquante dollars et de les déposer sur l’évier en faisant référence d’un petit mouvement de tête, l’endroit où l’incident s’était produit auparavant. Le regard et la moue que je lui lançais actuellement voulaient tout dire : non je ne l’accepterais pas. Il semblait en avoir beaucoup plus besoin que moi : surtout pour se faire rafistoler une tenue pareille qu’il venait d’abîmer. Certainement une unité spéciale, mais à vue d’œil j’aurais dit que c’était une tenue des marines. Effaçant le bon mètre qui me séparait de l’évier j’attrapais ses cinquante dollars, pendant qu’il ajouta : « Depuis quelque temps, je sais me guérir de quelque blessure légère. Dans le genre "Wolverine mais moins sophistiquer. » Ou moins bien maîtrisé, à voir.
Riant légèrement, alors que je me retournais vers lui, adossée à l’évier je l’écoutais qui essayait de justifier son comportement de tout à l’heure : « Je m'excuse pour le baiser si...? Je t'es choquer..... J'en suis navré. Je ne l'aurais jamais fais en temps normale, enfin....! Pas de cette manière........ Surtout une jeune femme aussi! Jolie que vous...Trop même. » Il semblait rougir à vue d’œil et je dois dire que je me sentis rougir quelque peu aussi face à sa propre réaction et à son compliment. Bouh, il faut croire que je suis vraiment rouillée pour ce genre de choses ! Mais choquée, non ; plutôt surprise aurait été le meilleur mot. Les billets verts toujours en main, je fis quelques pas afin d’être en face de lui : « Je ne vais garder que l’excuse et le compliment, le reste ne faisant pas très gentleman... - un petit rire s’échappa de mes lèvres – J’rigole, ne t’en fais pas : mais j’aurais pu être en couple et très mal le prendre, heureusement pour toi, je ne le suis pas ! » Il n’y avait pas intentionnellement de sous-entendus derrière cette phrase, mais peut-être une personne extérieure en aurait vu ? Lâchant un petit rire, j’attrapais une de ses mains afin d’y glisser à l’intérieur de la paume, les cinquante dollars qu’il avait auparavant posé sur l’évier. « T’en auras plus besoin que moi, il va falloir combler tous ces trous. J’suis pas une experte en couture mais ça doit coûter bonbon de faire réparer ce genre de truc ! » Je haussais les épaules, j’avais d’abord fait une petite moue avant de rire à nouveau. Soucieux du bazar qu’il avait pu provoquer, il alla ranger sa lance : d’ailleurs cette dernière passa d’abord au stade épée, avant de devenir un couteau. Il se présenta alors : « Je m'appelle Ryan Onneil, j'ai 18 ans! » C’est dans ce genre de situation qu’on peut tout à fait comprendre l’expression : on ne demande pas son âge à une dame. Ouais, je crois que je me sentais un peu vieille à côté. Souriant à ma remarque intérieure, je le laissais continuer son petit récit. « Je viens d'arriver ici. à New-York...Depuis plus d'une semaine des monstres me tombes dessus parfois pourquoi? Je ne sais pas avant, je les voyaient mais, il ne faisait pas gaffe à moi....Le premier c'était un énorme scorpion de plus de deux mètres voir plus....Le Manticore! » « Tu sais, il y en a plein dehors de ce genre de trucs. Ok, pas celui-là : celui-ci c’était une première, j’en avais jamais vu un comme ça. Mais ça en grouille : j’dois dire que je dois en voir au minimum un tous les jours. Mais je crois que le pire, c’est d’entendre les autres gens à côté me dire que c’est une pauvre petite bête abandonnée ou ce genre de trucs ! » En désignant la ruelle, il continua : « Il était devant mon appartement qui est avance du euh...de ce bar-café. Depuis hier soir à m'espionner sans doute voulant surement me bouffé! Bref, avant qu'il le fasse je n'ai pas demander mon reste et j'ai foncé avant lui. Il m'aurait sans doute tué avec son piquant, si j'avais pas reçu un coup de porte sur la tête. » Il finit sa phrase en m’adressant un petit clin d’œil avec un petit sourire en coin.
Un petit sourire crispé ainsi qu’un rire nerveux s’échappa de mes lèvres avant que je ne réponde : « Je suis vraiment désolée pour la porte : j’avais pas calculé ça ! Désolée. Mais tu peux m’appeler Oswin McAlister : au lieu de celle qui t’a fait manger une porte ! » Réprimant une petite grimace avant de rire, il termina en disant : « Il m'a fais dépasser mes limites, Je dois pas avoir assez de force pour me guérir avec cette bestiole... » « Fais-moi voir ça. – sans attendre autre chose, j’écartais les lambeaux afin de voir son épaule – Ouais, ça devrait prendre plus de temps : elles semblent un peu plus profonde que les autres, celles-ci. Enfin pour un Wolverine même moins sophistiqué ça ne devrait pas poser de problème ! » Avoir des petits cousins, qui ont tendance à se casser la figure tout le temps : ça peut parfois aider, surtout dans ce genre de situation !
Un bruit de serrure se fit entendre, et je poussais légèrement Ryan vers le mur juste à de la porte menant à la salle de restauration, tout en le suivant. Pinçant les lèvres, je fermais fortement les yeux en entendant une grosse voix demandant où j’étais passé. Et derrière on entendait la voix de Joshua, mon collègue, qui répondait que j’étais passée à la pharmacie chercher des médicaments pour ma grand-mère. Je lâchais un énorme soupir, lorsque la porte se referma juste après. Adressant une grimace à celui que je venais tout juste de rencontrer, je reculais de quelques pas avant d’ajouter : « Je suis désolée, j’ai encore une heure à faire avant de terminer mon service. Faut sérieusement que j'y aille ! Vu que tu viens d’arriver en ville j’vais te faire visiter New-York après mon service : et répondre à tes questions à propos de ça. » Je pointais du pouce la ruelle pour lui faire comprendre de quoi je parlais. « Enfin dans la limite de ce que je sais ! C’est-à-dire pas tellement ! Bon ça ne sera qu’une deuxième faveur que tu me devras, mais j’ai une très bonne mémoire, je n’oublierai pas ! Et ce n’est pas une proposition, c’est une obligation » Faisant un petit clin d’œil, je fis un petit mouvement du poignet entre lui et la porte de derrière pour lui montrer qu’il devait sortir par-là, puis attrapant la porte qui menait au bar, je m’éclipsais. Mon service se termina beaucoup plus rapidement que je ne l’avais espéré, et après m’être débarrassée de mon tablier, attrapant ma veste : je sortis de l’établissement. Les bras croisés devant l’établissement, j’attendais Ryan.
Et j'aurais pu attendre encore très longtemps, car ce dernier n'arriva jamais. Non mais sérieusement Oswin qu'est-ce qui avait pu te traverser l'esprit pour sortir de telles choses ? Tu t'étais emballée, comme tu le fais si bien. Simplement que cette emballement venait encore de me jouer un mauvais tour. Comme d'habitude dans ses moments-là je sentais une certaine rancoeur m'envahir : hypermnésique et rancunière ne sont pas forcément deux traits de caractère fait pour s'entendre. Soupirant longuemment je jetais un dernier coup d'oeil en face de l'établissement - certainement comme une envie de lui laisser une dernière chance - avant de finalement prendre la route pour rentrer chez moi, emmitouflée dans ma veste.