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Messages : 30 Date d'inscription : 04/07/2018 Age : 28
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Sujet: Commérage de mégères [Ft Icy] Ven 6 Juil - 16:51
Commérage de mégèresDans un caféfeat Icy
En ce jour nouveau, en ce nouveau cycle, en ce ... Bon, d'accord, ça, c'est de l'introduction pourrie, bien bidon et barbante qui n'intéresse personne, alors voyons ça autrement. On peut pas dire que tu avais merveilleusement bien dormie. En vérité, tu n'avais pas du tout dormie. Cette nuit encore, tu étais restée assise auprès de Héra. Ta maîtresse. On va pas se leurrer, tu es une divinité mineure. Alors certes, tu es bien une Olympienne, tu es même bien plus vieille que tout ceux réunis à l'Olympe, mais ... Tu n'a jamais vraiment cherchée le pouvoir. Après tout, dans ce monde là, on ne choisit pas sa place et la tienne te convient parfaitement. Après tout, tu as déjà énormément de responsabilités … c'est pas tout le monde qui serait en mesure de livrer les messages aux Demi-Dieux, de plus, tu as bien des privilèges, tel que celui de pouvoir te rendre aux Enfers sans l'accord d'Hadès. Enfin bon, tout ça pour dire que tu n'a pas dormie. Tu avais pu observer Apollon commencer sa course avec le Soleil et fallait reconnaitre que c'était appréciable de sentir enfin la chaleur de ses rayons sur ta peau. Le flocon de neige que tu étais appréciée grandement la chaleur, autant que l'eau.
Enfin bon, c'est donc au petit matin que tu avais commencé ta propre routine, tu sais bien, celle de messagère. Oh, il y'avait beaucoup de gens qui faisaient appel aux Iris-Mails et à tes services. De, malgré l'invention révolutionnaire de ton cher amant, Hermès : le SmartPhone, un truc du genre quoi. Bon, en soit, tu estimais que c'était une bonne et mauvaise invention. Disons que, ça allège ton boulot', sauf que … viendra un jour où les Iris-Mails feront faillite, bien que … il y aura toujours les demi-dieu et autres membres de la mythologie ! Enfin bon, toi, ça te plaisait bien ton rôle, tu voyageait, tu rencontrais des gens, bref, tout ça.
Cela dit, tu étais cet après-midi, indisponible pour la distribution de message, clairement. Tu avais quelques chose de prévus, une certaine rencontre avec une vieille connaissance de plus de deux millénaires. Une bonne vieille connaissance. Le genre de connaissance qui est bien solide. Ça faisait d'ailleurs un bon moment que tu n'étais pas allait la revoir. En fait, c'est pas elle qui aura beaucoup de message à envoyer quoi, donc ça réduit tes chances de la croiser. Alors ni une, ni deux, tu l'avais contacté par Écran Arc-en-Ciel directement et tu lui avais proposé un rendez-vous au café dans Olympe Store. Pas question de refuser, tu lui avais, en quelque sorte, imposée, mais ça devrait passer.
Descendant alors, en ce bel après-midi ensoleillé, de l'Olympe, laissant comme toujours, derrière toi, une trainée : l'Arc-en-Ciel. Toute joyeuse, tu ne pouvais pas te téléporter directement dans le café, ça ferait franchement tâche auprès des mortels, enfin, ce serait pas discret quoi. Atterrissant donc dans une ruelle sombre, vide, tu rejoignit le café. Ici on te connaissait, le coin fréquenté que par les demi-dieu, forcément, ils savaient reconnaitre les Divinités …
- Déesse Iris, je vous sers quelques choses ? - Un café s'il vous plait. C'est gentil, merci.
Souriant donc au serveur, assez âgé selon les mortels, tu allais t'asseoir à une table, calmement, tapotant des doigts en regardant à la fenêtre. Elle devrait bientôt arriver … il valait mieux pour elle, ou ça allait chier. Marre des insociable. Il est temps que Icy sortent un peu pour venir te voir.
Invité
Sujet: Re: Commérage de mégères [Ft Icy] Sam 14 Juil - 15:17
Je grogne. Je ne suis pas connue pour être quelqu'un de doux, gentille, mignonne, affable. Non, je suis devenue quelqu'un d'acariâtre, de colérique et terriblement sarcastique. Tout ce que je veux, c'est qu'on me laisse tranquille. Je veux rester seule dans mon coin, je veux rester sur ma plage, à regarder les vagues s'écraser mollement sur la plage, laisser l'air marin m'emplir les poumons. Depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale, je me laisse mourir ici, à la Colonie. Un sanctuaire dans lequel je me suis enfermée. Je reste loin de tout, je me suis littéralement coupé du monde. Ce dernier me dégoûte, il m'a tout enlevé, ce foutu monde. Il me répugne, il me fait peur, il me terrifie. Tout ce que je sais, c'est qu'il n'apporte rien de bon. Je ne veux plus avoir de communications en dehors de mon havre de paix. Enfin, la prison dans laquelle je me suis volontairement enfermée. Emportant par la même occasion ma rancune tenace et cette nostalgie qui jamais, ne cesse de m'étreindre.
Mais je n'ai pas le choix, je dois bouger d'ici, elle ne m'a pas vraiment laissé le choix, bien au contraire. Quand il s'agit de donner des ordres aux autres et de faire plier les plus récalcitrants sous ses ordres, on peut dire que c'est la meilleure. Quand j'ai vu l'arc-en-ciel apparaître devant, je n'ai pas pu hausser mon sourcil tellement haut qu'on a décidé de faire de moi la nouvelle divinité du dédain
Iris ... Depuis combien de temps n'ai-je pas vu mon amie ? Une éternité ? Je ne sais plus vraiment, tout ce que je sais, c'est qu'entre immortels, on peut facilement le compte du temps. Il ne nous affecte pas, alors pourquoi nous en soucier ? Ne prêtons de l'importance sur ce qui compte vraiment : nous. Notre égoïsme et seulement lui. Je reste loin de tout, je me suis littéralement coupé du monde. Je souffle longuement, pesant le pour et le contre concernant son invitation. Je secoue la tête, je la connais, si je refuse, elle viendra me chercher ici par la peau des fesses, me hurlant dessus, me rappelant que je me comporte vraiment comme une enfant, que je suis sensée être quelqu'un d'éduqué et de poli, et de ce fait, envoyer bouler une invitation avec pour seul motif une mauvaise humeur quotidienne, ça ne risque pas vraiment de lui plaire. Je penche la tête, regardant le ciel, nous sommes amies depuis suffisamment longtemps pour que mon comportement désinvolte ne lui fasse ni chaud ni froid.
J'arrive à New-York et la première chose qui me frappe, c'est la pollution. Je me bouche le nez, je suis une créature protectrice de la Nature, on ne peut pas dire que je me sente réellement à ma place ici. Tout ce béton et ce goudron ... pas une seule plante n'arrive à pousser ici, la qualité de l'eau est plus que révoltante. Décidément, je n'aurais jamais pensé que l'Antiquité puisse me manquer autant. Les jeunes d'aujourd'hui n'ont aucun respect, pour rien ni personne, ils mériteraient qu'on s'occupe d'eux et qu'on les force à réparer le mal qu'ils ont causé. Si cela ne tenait qu'à moi, ils seraient tous en train de nettoyer les plages qu'ils ont saccagé, ces sacripants. Je ne vois plus aucuns coquillages, ce n'est plus que du sable sans saveur, plus aucune vie ne fourmille dedans. Un véritable sacrilège à mes yeux. Je franchis le seuil de la boutique et aperçois mon amie au loin, essayant de se fondre dans la masse humaine, mais pour ceux qui peuvent voir, elle brille, il se dégage une force et un pouvoir immense, signe que la déesse peut être dangereuse si on la pousse à bout. Je m'approche et avec un sourire rouillé, je prononce.
"Comment va ma vieille copine ?"
Je m'assois en face d'elle, le regard pétillant, je la sens qui boue de l'intérieur, je suis en retard, elle a pensé que je ne viendrais pas. Et vu les éclairs qui disparaissent dans ses yeux, j'ai bien fait de venir. Peu de gens peuvent me faire bouger, je ne crains personne, mais Iris fait partie des rares personnes à qui j'accorde de l'importance. Je commande un thé glacé et entame la conversation, comme une jeune fille polie et docile, cachant au mieux mes soupirs et mon envie grandissante de foutre le camp d'ici. On ne pouvait pas se retrouver en pleine forêt ? Loin de la civilisation ? Elle sait que j'ai horreur de ça, la garce. "On ne sait pas vu depuis quand ? La commercialisation des premiers téléphones portables ? C'était en quoi ? Dans les années 90 ? Alors, comment tu vis l'arrivée des smartphones ?"
Une bonne pique pour commencer une conversation, de toute façon, elle va me rendre la pareille. C'est ce que j'aime avec elle, elle est sincère, c'est aussi pour ça que nous sommes toujours amies.
Commérage de mégères [Ft Icy]
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