tu peux faire une histoire sous toutes les formes que tu veux (un journal, un rendez-vous chez le psy, des extraits de vie, de lettre, rp...) dans un minimum de mots.

« Michel-Ange ?
Je le connais
Je l'aime pas »

Bonjour tout le monde, premièrement je suis content de votre accueil à la colonie, je suis Othello Simoni, oui comme le personnage de la tragédie de Shakespear, sans doute mon père qui lui à soufflé. Je suis en effet, un fils d'Apollon, dieu de la musique, du soleil et de plein d'autres trucs, il a un cv plus long que mon bras. Oui, je suis né avant l'auteur … ça à l'air compliqué comme ça hein ? Et bien oui, mais je vais essayer de vous expliquez.

Je prenais place au milieu des tables de repas. On venais de me présenter comme nouvel arrivant à la colonie des sang-mêlée et en tout bon fils du dieu de la lumière et de la musique que j'étais, je ne pouvais que faire une arrivé grandiose non ? La plupart des autres pensionnaires avaient levés la tête de leurs assiettes, sûrement intrigué par mes déclaration. Mes doigts caressant ma lyre j'accompagnais mes paroles de musiques.


Je suis né à Rome, c'était la Renaissance et tout le monde regardaient en arrière, on s'inspiraient des civilisation antique. On peignaient leurs Dieux, leurs histoire. On étaient raffiné. On aimaient l'art et la littérature. Ma famille était plutôt riche, même très riche, enfin mon père surtout, il servait souvent de mécène à plein d'artiste et il ce disait lui-même grand peintre. C'était plutôt cool comme époque, pas trop de maladie, on avait une hygiène plutôt cool même. Par contre il y avait encore quelque chose qui n'allait pas. Les femmes étaient toujours traité comme des objets à dispositions des hommes. Ma mère surtout, c'était elle l'artiste, pas mon père. Lui il volait son travail et ce ventait ensuite d'avoir produit ses œuvres. Je ne me souviens que d'une seule peinture de ma défunte mère. Celle d'Apollon, nu et dans toute ça splendeur, lumineux, une lyre à la main, entouré d'un halo solaire. Il était beau et divin, comme si elle avait eu le véritable dieu pour modèle et … elle l'avait eu. C'était lui mon véritable paternel. Oui, j'ai un dieu comme papa, ce n'est pas très commun, mais je suis plutôt fier de ça. Ma mère ne m'a rien caché, elle me l'a avouer des que je fut en age de la comprendre. J'étais soulager, je ne verrais peut-être jamais le dieu du soleil, mais lui au moins n'était pas un menteur cupide et orgueilleux. J'étais fier de mes origine et j'ai tout fait pour les comprendre, je me suis renseigné sur les texte ancien, j'ai lu les philosophes, les histoires et je suis parti voyager … jusqu'à Delphe. L'un des plus grand lieu dédié à mon père. J’espérais attirer son attention de cette façon. Comment faire ? Je ne connaissais qu'une seule façon. Je me suis mis debout et j'ai commencé à chanter. J'ai mis dans cette chanson toute la curiosité que j'avais, toute la tristesse que j'en ressentait pour ma mère et peut-être même un morceau de mon âme. Il est arrivé. Une boule de lumière incandescente, puis un homme. Très beau, des boucles blondes encadraient son visage. Il avait l'air légèrement bronzé, il avait des yeux bleu clair qui détonnait étrangement avec ça peau. C'était bien la même personne que ma mère avait peinte des années auparavant.

-Papa ?

-Belle chanson fiston, elle m'a rappeler ta mère.

Beaucoup de choses ce sont bousculer en moi, quoi lui dire, comment-est ce que je devais me comporter ? Devais-je m’agenouiller ? Non, après tout, si je voulais le voir c'était pour une chose, je m'en fichais bien qu'il sois un dieu ou même que son existence remettait en cause la plupart des choses que j'avais lu sur la religion.

-En parlant de maman, pourquoi est-ce que tu l'abandonne ? Elle ce fait exploiter par son mari et toi tu es un dieu, tu a des pouvoirs extraordinaire. Pourquoi tu ne l'aide pas ?

Le dieu du soleil eu l'air troublé, voir même si j'ose le dire gêné. Il irradiait de lumière et il ce tenait debout éclatant et majestueux, mais il ne souriait plus. J’eus peur pendant un instant qu'il me désintègre sur place, mais il ne le fit pas. Il soupira et posa une main sur mon épaule.

-Ta mère est une mortelle, j'ai aimer son sens de l'art, ça capacité à comprendre cette univers et à le dépeindre, c'est peut-être pour ça qu'elle ma compris aussi, moi je suis un être immortel, je ne peux pas rester avec elle et je ne dois pas interférer avec le destin. C’est encore plus vrai pour moi qui suis celui qui préside aux Oracles et aux Prophéties. Tout comme quand j'ai aimé, daphné, je savais que cette amour était impossible, mais je ne pouvais y échapper.

-  « Cependant Apollon aime : il a vu Daphné; il veut s’unir à elle : il espère ce qu’il désire; mais il a beau connaître l’avenir, cette science le trompe, et son espérance est vaine. Comme on voit s’embraser le chaume léger après la moisson; comme la flamme consume les haies, lorsque pendant la nuit le voyageur imprudent en approche son flambeau, ou lorsqu’il l’y jette au retour de l’aurore, ainsi s’embrase et brûle le cœur d’Apollon; et l’espérance nourrit un amour que le succès ne doit point couronner. »

Je citais les métamorphoses d'Ovide, en entendant ça mon père ferma les yeux un instant puis me souris, il y avait une lueur dans ses yeux. Peut-être de la fierté ou quelque chose comme cela. Ses mains on quitté mes épaules pour aller quérir un objet dans son dos. Une lyre dont les cordes avait l'éclat du bronze, il le déposa dans mes mains.

-C'est un cadeau que je te fait mon fils, tu en aura besoin, il y a des dieux, mais aussi des monstres et certains vont te chercher. Tu es promis à un grand avenir, je ne peu aider ta mère, mais je t'aiderai toi. Un jour tu sera en difficulté, tu ne pourra rien faire. Prie pour moi, convoque moi et je ferai quelque chose, c'est pour te remercier de ce chant que tu viens de m'offrir.

Et il commença à s'éloigner, je pensais qu'il allait ce retransformer en boule de feu et s'envoler dans le ciel, mais il fit quelques pas avant de s'arrêter de ce tourner à nouveau vers moi.

-Je te ramène en char solaire ?



Et comme mon parent divin me l'avait prédis, les années suivante furent difficile, il y avait de plus en plus de monstres qui attaquaient, je ne les voyaient pas toujours. Mes parents étaient en danger,il fallait que je parte, ma mère ne devait pas être en danger à cause de moi. J'avais préparé quelques affaire, la lyre cadeau de mon père pendait à mon côté, j'allais dire aurevoir à ma mère avançant dans le corridor quand j'entendis un cris, il était strident et fit trembler l'intégralité de mon corps.
Je me suis mis à courir, mes poumons de chanteur mis à rude épreuve, j'atteignis assez vite l'atelier de peinture ou ma mère devait ce trouver. J'ouvrais la porte en trombe pour assister à une vision d'horreur, un cyclope presque aussi grand que la pièce, il tenait ma mère comme une poupée de chiffon entre ses doigts, son cou formait un angle impossible pour une personne humaine, je hurlais tout en prenant ma lyre dans ma main, cette dernière transformé en arc quand elle arriva à hauteur du monstre
Une flèche fila dans les airs, ricochant contre la peau de la créature monoculaire. Je devais faire quelque chose, il lâcha le corps de ma mère et fonça sur moi, une roulade sur le côté me permis d'échapper au monstre, mais pas pour longtemps j'étais transis de rage et de tristesse. Je lançais une autre flèche bandant mon arc aussi rapidement que je le pouvais, cette fois ma flèche fit mouche et l'oeil du cyclope ainsi que l'arrière de son crane furent transpercé. Problème le coup de poing qui volait vers moi réussi à faire mouche avant que le monstre ne ce désintègre en nuage de cendre. Je fut propulser contre un mur et j'entendis mes os craquer, mes cotes cassées et ce dirigé vers mon cœur et mes poumons.

J'avais mal et ma vu ce troublait, j'avançais douloureusement vers celle qui fut autrefois ma mère. Elle était entrain de peindre un tableau quand elle avait été tuer. Il représentait une grande ville que je ne connaissais pas. Une ville argenté, des temples semblait suspendu entre les nuages au dessus de cette ville. Je levais les yeux au ciel, Apollon me devait encore une promesse et il avait intérêt à la tenir. Je me suis mis à chanter, malgré mes côtes cassé, ça faisait mal et ma voix n'était qu'un mince filet étouffé.

-Le soleil ne dois pas ce couché maintenant,
Promesse ne dois pas devenir crépuscule
Fait moi revenir au Zenith d’antan
Même si cette chance est minuscule.

Et le dieu est revenu, il à exaucer mon vœux et ça promesse. Je voulais continuer à vivre, il à fait en sorte que ça arrive. Dans un bain de lumière solaire, j'ai disparu, dans la pièce ne restait que le cadavre d'une femme et un tableau. Un tableau qui représentait une ville inconnue et des temples dans les nuages. Dans ce tableau ce trouvait maintenant un nouveau personnage. Moi figé dans l'huile coloré pour le reste des temps. Vous allez me demandez. Tu à ressenti quoi quand tu était dans le tableau ? C'était pas trop long ? Et bien pour être honnête avec vous, je n'en sais rien, je n'ai aucun souvenir de l'attente, je chantais et soudainement je me suis retrouver ailleurs. C'était déconcertant et puis je pense que je suis victime du mal des tableaux, j'avais la nausée et j'étais désorienté, je n'avais plus mal au côtes, ce qui était un plus, mais j'avais la tête qui tournait et je ne savais pas du tout où j'étais. Devant moi ce trouvait un adolescent comme moi, il était noir et … il avait un derrière de chèvre. Il parlait une langue que je ne comprenais pas et bêlais nerveusement. Après quelques problème de compréhension, beaucoup ! Il ma amené ici à la colonie et voilà que je me retrouve devant vous ! J'espère qu'on passera du bon temps tous ensemble.