Une arrivée au camp très mouvementé (Partie 1)

PV Jace et Arthur

Je déteste ça ! M'entrainer, je née pour nager pas pour m'entrainer. Juste nager, plongeais dans l'eau et observer mes jambes se recouvrir d'écailles bleues aux beaux reflets mauve pour ne former qu'une seule et même nageoire. Onduler pour avancer, observer les fonds marins en nageant aux côtés des hippocampes, des dauphins, des poissons et même des requins ! C'est la chose la plus belle au monde. Mais personne n'est du même avis que moi ici. Pas même Percy, il préfère de loin l'entrainement.

Une fois que notre entraineur fit sonner la cloche indiquant la fin de celui-ci je rangeai même armes en me hâtant vers mon bungalow. Courant encore plus vite que la fois où j'ai voulus échapper à un horrible chien des enfers. Je me suis précipitée vers ma chambre puis vers ma salle de bain pour prendre une bonne et longue douche. Je n'aime pas sentir la sueur qui me dégouline du front. Contrairement à ce que certains pense, je suis une jeune femme aussi féminine qu'une fille d'Aphrodite. Enfin, faut pas exagérer. Mais j'aime prendre soin de moi est être présentable.

Aussitôt prête est habillée d'un simple jean et d'un T-shirt je sortis à nouveau du bungalow. Ma griffonne Seira m'attendais devant la porte. Elle me parut plus excitée que d'habitude et me recouvrit le visage de coup de langue. Je la repoussais gentiment en lui demandant de se calmer. Je savais bien se qu'elle voulait, que je la monte. Ce que je fis, je pris place sur son dos prenant garde à ses ailles et elle prit son envole. Au bout d’au moins 30 minutes elle redescendit pour ce posé sur la place central du camp. Puis nous avons marché en direction de la barrière. C'est là que nous avons croisés Arthur.

-"Bonjour Arthur, belle journée n'est-ce pas ?"


La magnifique jeune femme me regardait simplement en continuant de marcher. Je savais bien qu'elle ne m’aimait pas beaucoup. Elle pense que je suis une combattante née et que je me crois au dessus de tout le monde avec mon superbe destin tout tracé qui semble lui faire de l'ombre. Je voulais m'expliquer avec elle mais le même bruit nous interpella. Je tournais la tête en sa direction.

-"Vite, quelqu'un semble avoir besoin d'aide ! Suis-moi"

Seira et Arthur ce sont mise à courir en me suivant presque à la trace. Une fois devant la barrière nous avons pu voir l'énorme sphinx qui semblait être sur le point de tuer un garçon. Sans hésiter Seira se jetait sur le sphinx en l'éloignant du jeune homme. Un seul regard et Arthur compris. Je m'occupe du Sphinx et elle protège le garçon au cas où je faillerais à ma tache. Je sortis OcenaWin de ma poche en l'actionnant dévoilant la longue épée. La créature envoyait valser ma pauvre Griffonne qui s'écrasait sur un arbre, sonnée pour un petit moment. Au bout de quelques instant et après de multiples blessures données à l'animal mythique je reçu le même sort. Je vis la créature s'avançais vers Arthur qui semblait prête à lui donner une raclée. Je fixais la scène ne bougeant pas en attendant que mes forces reviennent alors que Seira se relevait déjà.

Codage réalisé par Amnesyia. Toute copie partielle ou complète est prohibée

Petite Note:

une arrivée au camp très mouvementée

jace, lucianna, arthur

La corde se détend, la flèche part. Et manque sa cible. « C'est pas vrai ! » Arthur alla ramasser la flèche, plantée à vingt centimètres du tronc de l'arbre visé. Elle avait beau s'entraîner, elle était aussi nulle au tir à l'arc qu'elle était douée à l'épée. Lassée par ses vains échecs, elle quitta la forêt et longea la limite de la Colonie, non loin de l'entrée. Elle rejoignait l'armurerie pour y ranger son arc quand elle croisa Lucianna. À qui elle réussit à répondre malgré sa mauvaise humeur. « Belle, oui. » dit-elle en regardant le soleil. « Mais ça dépend pour qui. » Arthur haussa les épaules. Elle allait laisser la jeune femme lorsqu'un bruit attira son attention. Lucianna l'avait entendu, elle aussi. Un cri. À l'extérieur. Lucianna indiqua à Arthur de la suivre. Arthur aurait préféré ne pas recevoir d'ordre de sa part, mais elle n'avait pas le choix. Si quelqu'un avait besoin d'aide, il valait mieux qu'elles soient deux.
À peine eurent-elles franchi la limite que le cri résonna de nouveau. C'était plus un rugissement qu'un cri humain. Il appartenait à un sphinx. Rien que ça ! Arthur réalisa soudain qu'elle n'avait que son arc sur elle. Aucune autre arme, pas même un de ses précieux poignards. Elle n'avait aucune chance de rivaliser avec le monstre. D'un commun accord, les deux jeunes femmes s'élancèrent. Arthur amènerait la victime du monstre à l'intérieur de la Colonie, tandis que Lucianna se chargerait du sphinx. Elles avaient ainsi plus de chance de réussir.
Seira avait déjà écarté le monstre de sa victime, un jeune homme, visiblement évanoui. Arthur en profita pour s'approcher. Elle le secoua un peu, tenta de le réveiller, mais rien n'y fit. Malgré la taille du jeune homme, elle décida de le porter. Ou de tenter de le porter. Elle eut tout juste le temps de le soulever que déjà elle sentait la présence du monstre derrière elle. Elle remarqua Seira, puis Lucianna. À terre. Et le sphinx qui avançait lentement vers elle, savourant déjà sa victoire.
Arthur n'avait pas d'autre possibilité que celle de lâcher le jeune homme, de se saisir de son arc et de décocher une flèche. Elle tremblait alors que le monstre se rapprochait. Elle écarta une mèche de cheveux de devant ses yeux, tendit la corde, visa. Et au dernier moment, lorsque le sphinx bondit, elle tira.
Les yeux fermés, persuadée d'avoir raté sa cible, elle se savait proche d'une mort certaine.

+ :

une arrivée au camp très mouvementée

jace, lucianna, arthur

Arthur sentir quelque chose la percuter, certainement le sphinx. Elle s'attendait à mourir tandis qu'elle recevait des coups de griffes. Soudain, le temps fut comme stoppé. Elle ne parvenait pas à ouvrir les yeux. Elle se crut morte. Elle n'entendait plus que le bruit des armes s'entrechoquant. Elle sentait le froid l'engourdir lentement. Puis de nouveau tout se tut. Elle ouvrit les yeux. Non loin d'elle, plus de monstre, mais un visage familier. Un qu'elle n'appréciait pas particulièrement en temps normal, mais qu'elle était heureuse de voir à ce moment. Lucianna. « Tu vas bien ? La créature ne t'as pas blessée ? » Arthur mit un certain temps avant de réaliser qu'elle lui parlait. Elle tenta de se relever pour parler plus aisément. Erreur. La douleur, sourde et chaude, jaillit au niveau de son ventre. Arthur baissa la tête et se palpa. Elle reconnu le liquide poisseux sur ses doigts et soupira. « Dans l'ensemble oui. » fini-t-elle par répondre à Lucianna. « Mais je ne suis pas sûre que ça, ça soit bon signe. » Elle leva ses doigts sous le nez de Lucianna et sourit malgré la douleur. « En revanche, de l'aide, ce serait pas de refus. » Elle regarda derrière elle le corps inanimé du jeune homme. « On peut peut-être essayer de le réveiller ? Il n'a pas l'air très mal en point. Peut-être qu'une fois qu'il aura repris connaissance il pourra marcher. » Elle haussa les épaules. « Ce sera toujours mieux que d'avoir à le porter. »

Une arrivée au camp très mouvementé

♕ Jace Pendragon, Lucianna Jackson, Arthur Ecclestone ♕

Jace était encore dans les vapes mais à l’intérieur, il n’était plus apeuré mais détendu depuis qu’on l’avait aidé et qu’il savait qu’il était enfin arrivé à la colonie que sa mère lui avait montré en rêve. Après un instant de paix où il entendait deux femmes bavarder à coté de lui, une douleur le submergea au ventre et à la jambe. Il se souvenait avoir couru et que sa jambe droite avait heurté quelque chose avant que le sphinx ne lui saute dessus pour le labourer de ses griffes acérées.
Cela lui faisait tellement mal qu’il se réveillât en ouvrant les yeux bien grand.

« -Où suis-je ? Est-ce que je suis bien à la colonie des sangs mêlés ? » Demanda-t-il avant de regarder d’où venait la douleur.

Il voyait que sa jambe était ensanglanté, tous comme sa tunique marron toute déchiré qui laissait entrevoir des lacérations. À la vue de tous ce sang, Jace retomba dans les vapes car il détestait le sang et n’usait de la violence qu’en cas d’extrême urgence. Il préférait la parole aux actes barbares et inconsidérés qui avaient entrainé de nombreuses guerre et conflit à travers le monde.
Le pauvre enfant de Chioné était retourné dans les vapes à cause du sang et de sa jambe qui le faisait souffrir le martyre.
© FICHE CRÉÉE PAR AMYLITH SUR LIBRE GRAPH

à savoir: