Bienvenue sur Filiorum ex Deorum Invité ♥ ! Les nouveautés du mois de juillet sont par ici ! ♥ La Résistance est réouverte! Venez participer aux trois events de l'été pour faire avancer l'intrigue! Ici pour la Colonie, là pour la Résistance et enfin ici pour les mortels et divinités ! ♥ Les groupes à privilégier sont: les Chasseresses, les Créatures et les Mortels ! ♥ |
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| embrace the darkness. (juliette) | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: embrace the darkness. (juliette) Sam 14 Mar - 22:40 | |
| Juliette Sartène
“ Citation ” Caractère protectrice + terriblement ambitieuse + arrangeante + originale + blessée + féministe + féminine + brutale + violente + optimiste + opportuniste + maman poule + courageuse + obstinée + romantique + amoureuse + mal élevée + tricheuse + mauvaise perdante + manipulatrice + attachante.
Anecdotes◊ 001. Juliette est la mère d'un petit garçon de deux ans, Roméo, plus souvent appelé , auquel elle tient plus que tout. Rejeton issu d'une grossesse qu'elle n'avait pourtant pas désirée, elle a conservé le bébé et lui a donné naissance dans une petite clinique bordelaise, sous un faux nom. ◊ 002. Pour lui, elle serait prête à tout et a déjà accompli de nombreuses choses dans l'espoir de le protéger. Si son ambition l'a conduite sur de mauvais sentiers, cet enfant la mène infiniment plus loin et la pousse dans ses derniers retranchements. ◊ 003. Roméo est issu de l'union de Juliette et de l'homme de sa vie. Elle ne connaissait pas son nom, ne savait rien de lui et l'appelait simplement Réno. Réno, l'homme de sa vie, le seul, l'unique, l'inconnu. Le disparu, aussi. Elle a récemment reçu une lettre d'un certain Léandre-Antoine cherchant prendre contact avec elle et, si elle a reconnu l'écriture, elle refuse de se rendre à l'évidence. ◊ 004. Française de naissance et de nationalité, Juliette maîtrise assez mal la langue anglaise et conserve un accent français à couper au couteau. Sa nation est ancrée en elle et elle en conserve les coutumes avec soin, élevant le petit Roméo dans un univers strictement français (bien qu'ils soient tous deux à New-York). ◊ 005. La demoiselle a grandi auprès d'une mère absente et effrayée qui n'a jamais su lui donner l'amour dont elle avait besoin. Plus elle grandissait, et plus le gouffre qui les séparait faisait de même. La relation mère-fille n'a jamais existé, et Clarissa Sartène ne sait même pas qu'elle est grand-mère. ◊ 006. Son père était médecin, et est mort à la guerre. C'est ce que Juliette a cru jusqu'à ses treize ans, âge auquel sa paire d'ailes héritée de Zéphyr a fait son apparition (dans le sang et la douleur, cela va de soi). ◊ 007. À partir de ses treize ans, sa relation avec sa mère s'et encore dégradée, celle-ci craignant sa fille et son caractère difficile. C'est sans doute pour cela que la demoiselle s'est un temps refermée sur elle-même avant de se faire de « nouveaux amis ». ◊ 008. Amis qui ne l'ont été qu'aux premiers temps de leur relation, avant que celle-ci ne change brutalement. Le principe de leur amitié ? Le chantage. Fais ceci sinon... Fais cela ou... Et Juliette a fait, parce qu'elle n'avait ni le choix, ni l'envie de refuser. ◊ 009. Elle n'a découvert que bien plus tard son statut de demi-déesse, mais ses relations avec ses amis se sont consolidées. ◊ 010. Si le monde mythologique vit tranquillement sa vie depuis des milliers d'années, c'est d'une part grâce à la Brume (qui reste la meilleure amie de Juliette) mais aussi grâce à cette petite organisation pour qui elle travaille. Ils sont peu, mais ils sont partout, s'arrangeant pour expliquer l'inexplicable, dissimuler les cadavres, les preuves. N'avez-vous jamais trouvé curieux qu'aucun cadavre de demi-dieux sévèrement mutilé n'ait jamais été trouvé par un pauvre mortel ? Ils sont là, pour effacer, classer, falsifier les preuves. Et ils travaillent - officieusement - pour les gouvernements. Ministère des affaires mythologiques. ◊ 011. Juliette vit actuellement dans un squat avec Roméo, dans la cave d'un vieil immeuble désaffecté. Cela dit, c'est cosy pour un squat. ◊ 012. Elle est lieutenant de police pour la NYPD, et ça lui plaît bien. Mais ce qui lui plait le plus, c'est le côté malfaiteur avec toutes ces preuves falsifiées. Et puis avec un couteau sous la gorge (ou sous celle de son bébé), c'est nettement plus amusant. ◊ 013. Elle sait pertinemment qu'elle y passera un jour si elle ne se la ferme pas. |
Moi NOM : Sartène. PRÉNOMS : Juliette Ouest. ÂGE : 24 ans. DATE DE NAISSANCE : 04 février 1991. LIEU DE NAISSANCE : Bordeaux, France. ORIENTATION SEXUELLE : Indéterminée. GROUPE : Demi-dieux. AVATAR : natalie dormer
NATIONALITÉ : Française. MÉTIER : Juliette exerce de tonnes d'activités parallèles, toutes plus ou moins légales, toutes plus ou moins bien monnayées. PARENT DIVIN : Zéphyr, le vent de l'Ouest et du Nord-Ouest. STATUT : Célibataire, veuve. PASSÉE PAR LA COLONIE : Jamais, Juliette n'a quasiment pas de connaissances du monde mythologique autre que celles issues des livres. AMBITION : Devenir beaucoup, beaucoup plus connue pour ses services un peu particuliers. DÉFAUT FATAL : Son ambition. POUVOIRS : De son père, Juliette a hérité ses ailes et un certain contrôle d'un vent violent et pluvieux. And... Behind PSEUDO : ANGE. ÂGE : 18. COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? Je suis déjà William et Valentin, mais j'ai connu le forum grâce à Neal, Grace et Sonny. QUELQUE CHOSE À EN DIRE ? Il est magnifique. Il manquerait juste un véritable contexte. CODE DU RÈGLEMENT : code validé par Clovis UN DERNIER MOT ? Halloween |
Dernière édition par Juliette Sartène le Sam 14 Mar - 22:51, édité 1 fois |
| | | | Sujet: Re: embrace the darkness. (juliette) Sam 14 Mar - 22:40 | |
| Mon Histoire L'appartement avait toujours été minuscule, Clarissa Sartène y avait veillé. Amatrice des espaces clos et confinés, elle aimait les pièces réduites, surchargées et correctement calfeutrées. Il va sans dire quand sans les immenses tentures qui recouvraient les murs et les épais rideaux qui cachaient les fenêtres, elle aurait été très malheureuse. C'est dans cette ambiance lourde et sombre que Juliette a passé les premières années de sa vie. Enfant unique issue d'une union quasi-secrète, elle était le plus grand secret de madame Sartène... et sa plus grande peur. Juliette était une fillette normale, aux yeux bleus et aux cheveux clairs, mais Clarissa n'était pas faite pour être mère. La chose était aussi simple que cela.Une petite Juliette de sept ans écarta le lourd rideau pourpre qui masquait la lumière estivale qui flottait sur Bordeaux. Le cours Victor Hugo s'étirait au-dessus, fort de ses innombrables voitures qui se pressaient tout du long. « Ferme ces rideaux, Juliette. » Le voile retomba, plongeant de nouveau le minuscule salon surchargé dans le noir. L'atmosphère dans l'appartement des Sartène étaient étouffante. Et à des kilomètres de l'idée que la petite Juliette se faisait d'un foyer chaleureux. La sonnette retentit deux fois et l'enfant zigzagua entre les meubles jusqu'à la porte d'entrée. « Sonny ! » Elle se jeta littéralement dans ses bras. Il ne vivait plus à Bordeaux depuis l'année passée et si elle l'avait inondé de lettres rédigées de son écriture jeune et maladroite durant l'année scolaire, elle trépignait d'impatience à l'idée de le revoir. « Tu m'as trop manqué. » C'était vrai, ne pas voir son meilleur ami pendant plusieurs mois lui avait semblé être une véritable torture. Elle le tira à l'intérieur, tachant de ne pas regarder la curieuse femme qui les contemplait, de l'autre côté du couloir. Clarissa Sartène ne l'avait pas cru mais Juliette était quasi-certaine d'avoir vu des dents bien trop pointues dans la bouche de cette voisine. « Alors, tu parles une autre langue ? » La porte se referma sur les deux enfants, les isolant de la femme décidément effrayante. La présence était oppressante. Allongée dans son lit, Juliette fermait obstinément les yeux, feignant de dormir. Pourtant, elle imaginait sans mal la scène. La chambre était plongée dans le noir, seule pièce claire et ordonnée de l'appartement, et sa mère était là, tout près d'elle. Les vieux ressorts du matelas trahissait sa présence : ils grinçaient et s'affaissaient facilement. Clarissa Sartène n'avait jamais su être une véritable mère, Juliette s'en était rendue compte très jeune, mais les soudains accès de tendresse qui prenaient la femme la mettait mal à l'aise. Comment pouvait-on ignorer sa fille, faire presque comme si elle n'existait pas, pour ensuite la contempler sournoisement comme si elle était la huitième merveille du monde ? Les ressorts grincèrent de nouveau et Juliette sentit des doigts froids lui effleurer furtivement la joue. La porte se referma dans un très léger bruissement. Vraiment, ça l'a laissé perplexe... et peut-être vaguement malheureuse. De : juliette.sartene@hotmail.frÀ : sonny.gaither@hotmail.frCher Sonny, Comment vas-tu, là-bas de l'autre côté de ton océan ? J'espère qu'il fait plus chaud qu'ici. C'est l'hiver, pas de neige en vue mais il fait sacrément froid. Comme tu t'en doutes, maman n'est pas disposée à m'amener au collège le matin ou à m'accompagner acheter un manteau. Bref, je me les pèle et les gens autour n'ont pas l'air d'avoir aussi froid. Tu te souviens de la voisine effrayante qui vivait juste en face de mon appartement ? Eh bien elle a déménagé. J'étais plutôt contente au début (tu t'en doutes ! Elle faisait vraiment très peur)... mais je viens juste de voir où elle vis maintenant. De l'autre côté du cours, dans l'appartement pile en face du mien. Impossible d'ouvrir les rideaux de ma chambre ou de regarder par la fenêtre sans la voir qui m'observe en face. Bien évidemment, maman ne me croit pas. Je me fais des idées, paraît-il. Ah, je vais manger. J'espère que tu liras ce mail bien vite, et que tu seras présent pour mes douze ans ! Ju' qui t'attend avec impatience.Juliette a treize ans.La douleur était insupportable. Tout avait commencé par une vulgaire démangeaison au niveau des omoplates, il y a plusieurs jours de cela, mais la douleur était venue crescendo, à tel point qu'elle en avait presque oublié ce qu'était l'absence de douleur. Une nouvelle vague la submergea, lui donnant de violents hauts-le-cœurs. « Juliette ? Tu as bientôt fini avec la salle de bain ? » Même à travers la souffrance qui lui voilait les yeux, Juliette sentait l'hésitation dans la voix de sa mère. « Juliette... Tout va bien ? » Oh Dieu non, tout n'allait pas bien. Un oui tremblotant parvint tout de même à se frayer un passage dans sa gorge. Elle alluma l'eau qui lui tomba violemment dessus, glacée, et la douleur reflua légèrement. La demoiselle regarda le sang se mêler à l'eau, former un petit tourbillon rosé. À force de se gratter, elle en était venue à s'ouvrir de larges plaies. « Juliette, ça devient insupportable avec la douche ! » C'était la seule chose qui la soulageait à peu près. L'eau glacée était devenue sa meilleure amie ces derniers temps. Elle n'écrivait plus à Sonny, sortait à peine – et Dieu merci, c'était les vacances d'hiver – et restait confinée exclusivement dans sa chambre. Elle ne savait pas trop comment elle en était arrivée à cette certitude mais... Quelque chose grandissait en elle. Attrapant tant bien que mal une serviette, elle se frotta vigoureusement le dos, des larmes lui échappant. Le blanc du tissus se trempa bientôt de rouge mais curieusement... Ses yeux ronds suivirent le tracé paresseux d'une petite plume. Elle se tourna lentement, exposant son dos au regard de la glace... et poussa un hurlement strident. Des plumes. C'était des plumes qui cherchaient à sortir, qui cherchaient à... prendre leur place. De : juliette.sartene@hotmail.frÀ : sonny.gaither@hotmail.frCher Sonny, Je ne sais pas si je vais envoyer ce mail, je ne sais pas trop où j'en suis. Les vacances se terminent demain et... Non, tu vas me prendre pour une folle. Écoute, je suis désolée de ne pas t'avoir beaucoup vu ces vacances, j'aurais adoré mais ce n'était vraiment pas possible. Je t'aime toujours autant et je t'embrasse très fort. Une Juliette désemparée.Juliette a seize ans.Debout quasiment nue dans sa chambre, Juliette s'observait dans le miroir plain-pied qui occupait l'angle. Elle avait seize ans maintenant, son corps était presque celui d'une adulte, et de vastes ailes d'une couleur indéterminée avaient enfin trouvé leur place. Il leur avait fallu trois années entières pour devenir ce qu'elles étaient aujourd'hui, trois années se douleur cachée, de terreur permanente, d'angoisse. Concrètement, Juliette les détestait. C'était sa version officielle qu'elle se répétait chaque matin quand elle enfilait des sweats XXL, chaque soir quand elle se glissait sous ses draps, obligée de dormir sur le ventre. À quelques centimètres du miroir, elle les déploya, se trouvant presque l'allure d'un ange. C'est évidemment à cet instant précis que Clarissa Sartène fit irruption dans la chambre. Elle ne venait jamais ici, c'était le territoire de Juliette. Et pourtant... « Juliette, je me dis... » Le hurlement qu'elle poussa en découvrant sa fille fut vite remplacé par une expression d'horreur pure. « Tu es... comme ton père. » Ce qui en soit ne l'avançait pas beaucoup. Son père était médecin militaire et était mort à la guerre. Il n'y avait pas de photos, c'était un amour bref. Intense, mais tristement court. « Maman, je peux... » Quoi, expliquer ? Impossible, le fait est qu'elle n'avait pas la moindre explication à fournir. « C'est... C'est arrivé, c'est tout, d'acc... » « Ne t'approche pas. » Les mains coincées dans les poches de son immense sweat gris passe-partout, Juliette marchait le plus vite possible. Elle avait vu la voisine d'en face sortir de son immeuble au moment même où elle sortait du sien. L'air parfaitement naturellement, miss Rocher – puisque tel était le nom de cette femme, comme la demoiselle l'avait récemment appris – lui avait ensuite emboîté le pas, se rapprochant à chaque foulée. Juliette bifurqua dans une des dizaines de petites rues qui composaient Bordeaux, laissant derrière elle le cours Victor Hugo et son passage. Chose qu'elle regretta immédiatement. « Je sais qui tu es, Juliette Sartène ! » La voix étonnamment claire de Rocher se répercuta sur les murs de pierre. Juliette fit volte-face, ne voyant plu trop où fuir. « Qui je suis ? » « Oui oui oui, mon prochain repas ! » La voisine chantonnait des notes fausses, mais Juliette ne jugea pas utile de lui en faire la remarque. « Votre proch... Vous êtes folle. » « Tu peux toujours te cacher, Juliette Sartène, je sens ta délicieuse flagrance depuis des années. » Elle imaginait presque le petit cœur à la fin de ces mots pour le moins sinistres. La voisine dévoila sa dentition particulière et la demoiselle s'aperçut qu'elle n'était franchement pas humaine. Et miss Rocher s'écroula aux pieds de Juliette. « On a failli arriver trop tard. » « Ouais, mais ça aurait voulu dire du ménage et des complications en plus. Enchanté Juliette, je suis Léo, et voici Mélissa. » Juliette garda le silence. « Nous n'avions pas de preuve du danger que représentait miss Rocher. » « Qu'est-ce qu'elle est ? » Question improbable mais plus Juliette regardait le corps étendu à ses pieds et plus elle avait la certitude qu'elle n'était pas humaine du tout. « Comment ça, qu'est-ce qu'elle est ? » « Des crocs, des griffes... » « Tu la vois vraiment ainsi ? » De : juliette.sartene@hotmail.frÀ : sonny.gaither@hotmail.frCher Sonny, Ma vie n'est devenue qu'une suite invraisemblable d'événements. J'aimerais tellement pouvoir t'expliquer mais tu me prendrais définitivement pour une dingue. Un jour je te raconterai tout, et toi tu me parleras de ta vie aux États-Unis. En attendant, restons sur des sujets plus simples. […] Bisous, Juliette qui t'aime fort.Juliette appuya sur le bouton d'envoi et resta planté à observer son écran. Sonny ignorait tant de choses sur elle... Sa mère ne lui parlait quasiment plus depuis deux ans, elle-même travaillait en dehors de la fac avec deux types pour dissimuler des meurtres paranormaux... « Pour préserver l'équilibre mondial » disaient Léo et Mélissa. Juliette était à peu près sûre qu'il y avait autre chose derrière ça, mais elle n'avait pas envie de savoir ce qu'il se passerait si les gens se rendaient compte de l'existence de créatures comme miss Rocher... ou comme elle-même. Léo et Mélissa ne savait pas pour ses ailes, juste pour sa capacité à voir les créatures telles qu'elles étaient... Et c'était tant mieux. Et puis entre temps, elle était tombée amoureuse. Il s'appelait Réno, et travaillait parfois avec Léo et Mélissa. « De simples personnes ont parfois ce don de voir à travers la Brume, Juliette. » lui avait-il dit à leur rencontre. Depuis... Disons qu'ils s'étaient bien rapprochés. Juliette a vint-et-un ans.« Qu'est-ce que tu caches ? » La question jaillit comme ça, alors qu'ils traînaient tous les deux dans le petit squat qui servait de quartier général au quatuor. « Rien. » « Mais si... » Réno posa un petit baiser sur les lèvres de Juliette, l'observant de son regard de chien battu. Elle lui ébouriffa ses cheveux châtain et le repoussa. « Tu peux tout me dire... » Elle avait bien envie de le croire mais d'un autre côté, elle n'était qu'une aberration. « Parle-moi, Juliette. » « Je peux te montrer. » Ces mots-là aussi étaient partis tous seuls. Mais elle en avait envie elle aussi alors... Les mains tremblantes, elle retira le sweat XXL, puis le pull qui emprisonnait encore ses ailes dessous. Quand elle ne fut plus qu'en short et soutien-gorge, elle osa enfin affronter le regard stupéfait de Réno. « C'est... Tu es magnifique. » Le doigt du jeune homme effleura une plume, caressa la base des ailes. « Je t'aime Juliette Sartène. » « Tu ressembles à un cocker Réno B. » Juliette a vingt-deux ans.Assise sur les toilettes de l'appartement bordelais, Juliette contemplait le test de grossesse. Elle était là depuis deux heures, à le fixer comme si la force de son regard allait en changer le résultat. Réno était parti, sans lui laisser de nom de famille, sans adresse, sans un mot, et elle était là, enceinte d'un gars qui l'avait fui. Réprimant les larmes qui montaient enfin, elle fonça dans sa chambre et entassa les premiers habits qui passaient dans une valise. Il fallait qu'elle parte, qu'elle trouve Sonny. Elle n'avait pas eu de nouvelles de lui depuis un moment mais... Juliette a vingt-quatre ans.De nouveau les habits terminèrent dans la petite valise. Juliette prit dans ses bras l'enfant qui ressemblait décidément trop à son père et quitta la minuscule chambre du motel français. « On part aux États-Unis, Roméo, il est tant de trouver tonton Sonny. » Tonton Sonny. Une grande appellation pour quelqu'un qu'elle refusait de voir depuis des années. En sortant, elle tomba sur une petite enveloppe posée sur le pas de la porte. Je m'excuse pour tout. Léandre-Antoine Baskerville.
Dernière édition par Juliette Sartène le Sam 14 Mar - 23:00, édité 1 fois |
| | | | | | | | Sujet: Re: embrace the darkness. (juliette) Sam 14 Mar - 22:43 | |
| (re)Bienvenue ♫ Hâte de voir ce nouveau p'tit personnage en jeu ! |
| | | | | | | | Sujet: Re: embrace the darkness. (juliette) Sam 14 Mar - 23:05 | |
| Rebienvenue à la maison. Ton perso pètes la classe! |
| | | | Sujet: Re: embrace the darkness. (juliette) Sam 14 Mar - 23:17 | |
| Ah, voici enfin ton troisième personnage ! ** Depuis le temps qu'on l'attendait, cette Juliette... (re)Bienvenue en tout cas, et bon courage pour cette fichette ! :rodrigo: |
| | | | Sujet: Re: embrace the darkness. (juliette) Dim 15 Mar - 10:22 | |
| Hello
Zéphyr ....?
*Fait entrer un volcan en explosion avant de faire exploser Uranus*
Aaaaah, ça fait du bien.
Fais gaffe à tes arrières petites, je ne te raterai pas \o\
(Sinon re-bienvenue :3) |
| | | | Sujet: Re: embrace the darkness. (juliette) Mer 18 Mar - 22:36 | |
| Merci. :3 Présentation terminée ! |
| | | | Sujet: Re: embrace the darkness. (juliette) Jeu 19 Mar - 7:24 | |
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Bienvenue Juliette Sois la bienvenue sur Filiorum Ex Deorum, Juliette Sartène ! Te voilà donc validé(e) ! Ce que je pense de ta fiche c'est qe ta Juliette, elle est parfaite, comme je m'y attendais. J'ai trop hâte de pouvoir rp avec elle, on va se faire des trucs vraiment cool avec Soso ** . Maintenant que tu fais partie des nôtres, voici ce que tu en dois surtout pas oublier ♥ Tout d'abord, pense à te faire recenser dans les divers bottins; celui ton avatar juste ici et celui de ton parent divin en cas de demi-dieu ici. Si ton personnage est un doucle compte, rendez vous juste ici. Ensuite n'oublie pas d'ouvrir ta fiche de liens à cet endroit et ta fiche de sujets juste là. Enfin, si t'as une question, une suggestion, une demande, une idée, bref, n'importe quoi, ou même si t'as juste envie de causer, n'hésite pas à t'adresser à Lucianna Jackson, Grace Turner, Neal Evans, Sonny Gaither ou Williams Peverell, tes administrateurs qui sont là pour toi ! Amuse-toi bien sur Filiorum Ex Deorum .ipar haizea
Dernière édition par Sonny Gaither le Ven 20 Mar - 8:59, édité 1 fois |
| | | | Sujet: Re: embrace the darkness. (juliette) Jeu 19 Mar - 7:47 | |
| Mercii, amigo ! :rodrigo: |
| | | | Sujet: Re: embrace the darkness. (juliette) | |
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| | | | embrace the darkness. (juliette) | |
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