Forte serait le terme qui décrirait le mieux Amaria. Pourquoi? Parce qu'importe la situation, jamais elle ne baissera les bras! Toujours elle continue devant, car, comme elle se le répète toujours, les tortues elles, elles ne se retournent jamais!

Courageuse elle est et le sera toujours dans toutes les situations. Jamais elle ne se montrera faible, car c'est dans les situations drastiques qu'on a besoin de se reposer sur une personne forte.

Généreuse, car malgré les épreuves qui frappent il y a toujours quelqu'un quelque part dans le monde qui à connu pire et chaque personne qui vie à son lot de souffrance, alors pourquoi les affublé de plus?

Trois qualités qui la décrivent, mais pourtant qui ne la cible pas intérieurement et uniquement en extérieur. Si à la vue de tous Amaria est Fort, Courageuse et Généreuse, elle reste avant tout une femme torturée par son passé qui toujours semble la rattraper dans la routine de la vie.

Intérieurement, Amaria est torturée et se remet souvent en question, ce disant qu'au final elle mériterait peut-être de tout laisser tomber... Mais pourtant elle ne peu pas car elle se montrerait faible alors elle continue d'avancer.

Amaria est une femme intelligente qui sait se servir de sa beauté et de son don de persuasion pour manipuler légèrement les gens ou se sortirent de situation périlleuse. Maligne, elle tourne souvent une situation à son avantage. Elle est sage, réfléchissant toujours milles fois avant de prendre une décision. Elle aime aussi aider les autres dans leurs problèmes.

Espiègle, elle adore tout de même jouer des tours, se faire des amis et profité de la vie. Elle voit habituellement que le bon côté des choses, mais bien sûr on a tous nos idées noires. Elle est aussi d'une curiosité maladive et toujours sur le qui-vive.

Malgré ses bons côtés, Amaria a aussi ses mauvais; elle est rancunière comme pas possible et lorsqu'elle entre en colère, elle n'en démord pas facilement! Lorsqu'elle décide de frapper, elle frappe et pas que légèrement! Elle ne fait pas non plus facilement confiances aux gens, se méfiant jusqu'à ce qu'elle soit sûr que ces gens ne lui feront pas de mal.

Sensible, il n'est pas dur de lui brisé son coeur qui est habituellement hors de porté, trop souvent lacéré à coups de couteau...

Assez grande, Amaria est d'une taille idée pour une femme et à une silhouette de mannequin malgré qu'elle mange pour une armée de Titan! Sa peau est lisse comme celle d'une pêche et pâle comme la crème ou le lait. Son visage est ovale, ses beau grand yeux sont marrons striés d'un bleu-vert profond et ils semblent percés notre âme ou exprime les sentiments qu'elle ressent. Elle s'habille habituellement de vêtement sobre, mais la jeune femme aime aussi se faire belle comme une déesse et attiser la convoitise des hommes. Sa démarche est élégante, comme celle d'un félin en pleine chasse et son regard est très expressif. Autant peut-être être joyeux, autant peut-il glacé le sang...

Du boucan au rez-de-chaussé, son père qui barricade l'unique porte d'entrée, sa belle-mère qui cri à l'étage pour qu'elle monte se cacher, mais pourtant la fillette ne le fait pas, elle ne peut pas laisser son père en bas! Dehors, trois armoires de glaces qui tentent de rentrer pour les tuer. Pourquoi? Elle l'ignore, elle sait seulement que son père à tenu tête à un homme très puissant qui n'a pas apprécié. À son tour son père lui cri un ordre;

- Amaria, cache toi bon sang! Joue à cache-cache avec papa!

Joyeuse luronne, la fillette par à courir et dévale les escaliers qui monte à l'étage, puis emprunte l'échelle qui mène au grenier et que sa belle-mère remonte après. Elle ferme la trappe, puis par se cacher dans un gros coffre de métal. En bas, elle entant la porte être défoncée, des cris perlent de partout puis trois coups de canons... Les cris aiguë de sa belle lui déchirent les tympans, mais s'envole dans l'air glaciale de la nuit après trois autres coups de feu. Cachée dans la malle, la petite entent les hommes la chercher, mais en vint. Des heures passent sans un bruit de plus. Prenant courage, la petite chose aux cheveux châtains sort de sa cachette et rabaisse l'échelle qui fait un vacarme épouvantable. Tendant l'oreille, elle n'entend ni son père ni sa mère. Descendant avec prudence, Amaria part à leur recherche. Arrivée à la cuisine, elle aperçoit enfin leurs corps, une marre rouges sous eux. Les appelant, ils l'ignorent. En colère, elle sort et va voir le voisin qui accourt. Quelques minutes plus-tard, elle embarquait dans une voiture de police... Elle n'avait que 4 ans!

Amaria grandit dans l'orphelinat de l'Oregon, parmi les religieuses qui ne l'aimaient pas. Curieuse comme mille, elle remettait sans cesse les saintes écritures et questionnait sur les religions païennes. Principalement celle des Grecs... Elle souhaitait même être centaure pour galopé dans les bois! Mais quelle idée disgracieuse! Cette enfant était loin d'être une croyante et les soeurs tentèrent de la convertirent, même par la force... Mais jamais cela marcha. Incapable de la placer dans une famille, les religieuses commencèrent à désespérer et Amaria commençait à vraiment détester cette endroit. À peine âgée de 10 ans, la gamine fugua lors d'un passage au Connecticut. Personne ne parla de sa disparition; une enfant que personne n'aimait était partie alors pourquoi la chercher?

Durant plusieurs jours, la fillette marcha dans les bois, s'y perdant. S'était la saison de la chasse et la petite craignait d'être la proie d'un chasseur, mais quelque chose d'autre la guidait dans les bois... Quoi? Elle n'aurait sur le dire.. Finalement, un policier la trouva évanouit sur le bord de la route. La petite lui raconta son histoire, le priant pour ne pas retourner à l'orphelinat. Après plusieurs démarche administrative, l'homme pu l'adopté et la petite pris le nom D'Armada. Durant 8 ans elle vécu heureuse avec le père dont elle avait toujours rêvé, jusqu'au jour de l'accident...

 

Huit ans, c'est beaucoup! Durant ces huit années il se passa plusieurs choses qui marquèrent la vie de la petite fille; tout d'abord on dépista un double cancer à son père d'adoption; peut de chance de survie... Elle le regarda alors souffrir de plus en plus à chaque jours que Dieu faisait. Ensuite, l'école. Là-bas, tout le monde la rejetait car elle étai un cerveau sur patte, aillant toujours la réponse à la question du prof! En plus, elle était excentrique et sortait de la normal... Le genre de fille qui est le mouton noir! Persécutée, poussée, rabaissée, elle fini par craquer et dû aller voir un psychiatre qui conseilla de changer d'école; ce qu'elle fit. Il y eut ensuite la guérison de Drake, mais suivit de la mort tragique de son frère lors d'une fusillade dans l'école où se trouvait Armada. La jeune femme assista à la mort de son oncle, le tenant dans ses bras lorsque son dernier souffle sortit de ses lèvres. Elle assista à d'autres accidents, catastrophes, morts violentes... Cela la marqua, mais la rendit surtout plus forte car face à ces situations elle avait toujours été celle sur qui les autres s'étaient reposé; elle n'avait pas le droit de faiblir... Mais malheureusement, un accident bien plus grave allait la marqué; la mort de Drake...


S'était un jour ensoleillé, assise dans la cour arrière au bord de la piscine creusée, Amaria faisait trempette tout en profitant du soleil. Une ombre vint lui cachée le soleil et, ouvrant les yeux pour la chasser, elle reconnut le partenaire de son père; Richard Stone... Et son regard attristé n'annonçait rien de bon.

- Richard, Qu'est-ce qui ce passe?

- Amaria... Ton père est mort.

- Quoi! cria-t-elle, se levant, n,en croyant pas ses oreilles. Tu mens!

- Il y a eut un accident et on a été appeler, mais sur le chemin un poids lourd à frappé la voiture du côté passager... ton père est mort sur le coup.

- Non! Ce n'est pas possible! cria-t-elle avant de s'effondrer.


Regardant la tombe de son père adoptif, vêtue de noire et n'exprimant rien, la jeune femme entendit les pas de Richard s'approcher de lui. Alors que tous partaient, elle sentit cette présence resté derrière elle. Rassurante, mais lourde, Amaria avait de la difficulté à tenir. Sa respiration était entre coupée de sanglots et lorsqu'ils ne furent que tous les deux, elle s'accorda de tomber à genoux. Elle sentit la main de l'homme sur son épaule.

- Tout ira bien Amaria, tu es forte, tu surmonteras cette épreuve qui te rendra encore plus forte, lui dit-il rassurant

Elle hocha la tête, fermant les yeux. et se souvenant d'une phrase d'une de ses enseignante;

-vous êtes une jeune femme forte miss Armada. Rien ne semble vous ébranler!

Elle avait alors répliqué;

-  Pour devenir plus forte j'ai dû passée au travers milles épreuves, mais pourtant il semblerait qu'on en est pas fini avec moi car je suis toujours cette petite fille effrayée qui pleurait sur la tombe de son père.

Se levant, Amaria dit au coéquipier de son père qu'elle irait dans le chalet de son père dans les abords de la forêt de Long Island...


Cela faisait maintenant des heures qu'elle marchait dans les bois à la recherche de quelque chose sans savoir quoi. Elle avait fait un étrange rêve dans lequel elle avait vu un camp, mais pourtant dans cette forêt, elle le savait, il n'y en avait pas! Curieuse, elle voulait s'en assurer.

La nuit tomba tomba rapidement, les bruits effrayants commencèrent à se réveillé. Soudain, elle aperçu une immense ombre derrière elle. Qu'un arbre! Sauf que l'arbre se mit à bouger. Effrayé, Amaria partit à la course et sentit le sol trembler sous ses pas; l'arbre la pourchassait! Elle couru durant un bon moment avant d'apercevoir un grand arbre et une sorte d'étrange arche. Redoublant d'ardeur, elle passa à côté de l'arbre et se pris le pied dans une racine s'étalant de tout son long, elle regarda la masse s'approcher de plus en plus jusqu'à ce qu'elle percute un mur invisible. Un mur invisible? La créature frappa sur le mur avec acharnement, faisant de nouveau trembler le sol. Amaria l'observa un moment, haletante avant de se lever et de reculer avant d'entrer dans quelqu'un. Se tournant, elle vit un grand homme qui la salua, lui souhaitant la bienvenu dans le camps des Demis-Dieux...

Mais où était-elle tombée encore?