Vendredi dix-huit heures, j'avais eu la chance de m'être réveiller à temps. En effet j'arrivais peu après à l'aéroport de New York. Pourquoi être revenu ici? Je ne sais pas vraiment... Peut-être pour le simple fait d'avoir passé mon enfance là-bas et de ne pas y être retourné en dix ans. Je réservais d'abord une chambre dans un hôtel puis je me décidais de faire un petit tour dans mon ancien quartier. En dix ans rien n'avais changé, c'était juste plus vieux, les gens n'étaient pas les mêmes. Ça me rappelai des souvenirs, des souvenirs qui me rendaient furieux vis-à-vis de mon géniteur qui n'a rien fait. Il aurait sûrement pu sauver celui qui nous a élevé et aimer à sa place alors qu'il était on ne sait où. Je me dirigeais ensuite vers un restaurant ou nos parents nous emmenaient de temps à autre. Lé gérant était toujours le même, il m'avait reconnu je ne sais comment, il me dit que cela faisait longtemps, que cette histoire de cambriolage qui avait mal tourné était horrible... Attends quoi? Un cambriolage? C'est donc leur versions officielle? Quel genre d'arme pensent-ils qui a été utiliser vu la blessure infligée?! Aucune arme ne peut faire ça! Du moins pas gérée par la force humaine. Je décidais de ne rien dire à ce sujet, le laissant papoter pendant que je remangeais le steak frite que je prenais habituellement chez lui. Sa viande était toujours aussi bonne... Le steak n'avait rien à voir avec ce que vous achetez généralement, la viande est tendre, la taille... Surtout le goût... Je devais avouer que ce steak m'avait manquer. Je décidais ensuite de faire un tour vers central parc. On y allait souvent à une époque, mais la j'y allais de nuit. Après tout, que pouvait-il bien m'arriver là-bas?

Le parc avait changé lui... Il avait été refait. Seul un coin de celui-ci n'avait pas été refait. Le coin ou mon ère venait s'installer de temps à autre. Un banc face au lac où il se plongeait dans ses pensées. Le sortir de cet état à ce moment la était une chose à ne pas faire, il détestait ça. Je m'assis sur ce banc me plongeant moi-même dans mes pensées. Je revoyais un tas de souvenir, comme je le pensais revenir ici me fout en rogne et me rend mal à l'aise. Ce n'était vraiment pas le moment que quelque-chose arrive

   
   
   

   

Rencontre à Central Park

feat Stark

   

   

   

Assis au volant de sa voiture, ayant conduit pas mal d'heures en cette longue journée, Cyril grommela dans sa barbe ; il aurait bien voulu pouvoir rentrer chez lui ou au QG de la Résistance pour se reposer, mais depuis trois mois un tueur en série avait élu domicile à Central Park, agissant la nuit, ce qui mettait la police sur les dents. Et comme l'inspecteur avait un bon CV en matière de capture de malfrats en tout genre, il avait été rapidement mis sur l'affaire. Quelques fois, Cyril regrettait d'avoir embrassé la carrière policière, mais bon, à moins d'être totalement empêché d'utiliser son arme, il était trop tard pour reculer.

Poussant un soupir, il gara sa voiture près de Central Park, s'arma de son arme et d'une lampe de poche, et entreprit de faire un tour de reconnaissance en attendant qu'on le relève. Au départ, il ne remarqua rien de particulier, s'arrêtant sur les différentes scènes de crime qui ponctuaient son trajet dans le parc et les analysant en silence ; on pouvait encore voir les traces des meurtres horribles qui s'étaient produits en ces lieux, il était vraiment temps d'arrêter le fou furieux qui les commettait...

Soupirant, Cyril reprit son chemin avant de s'installer sur un banc, sans prêter attention à ce qui l'entourait. Soudain, il se rendit compte qu'il n'était pas seul, sur ce banc : il y avait un jeune homme, lui aussi perdu dans ses pensées. L'inspecteur esquissa un sourire en le regardant ; il avait affaire à un demi-dieu, très clairement... Il toussota et lança :

Excusez-moi, jeune homme, mais vous ne devriez pas être ici... Il y a un meurtrier qui se promène dans Central Park depuis trois mois, je serais vous, je rentrerais chez moi.
   

   

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J'étais encore dans mes pensées, je ne vis pas l'autre homme venir s'asseoir sur le même banc que moi. C'est uniquement lorsque j'ai entendus ses paroles que j'ai compris que je n'étais plus seul.

- Excusez-moi, jeune homme, mais vous ne devriez pas être ici... Il y a un meurtrier qui se promène dans Central Park depuis trois mois, je serais vous, je rentrerais chez moi.

Je le regardais rapidement, un homme plus âgé que moi, il me prévenait d'un danger, mais à vrai dire cela ne me faisait ni chaud ni froid. Je me re-concentrais donc sur le lac et... Rah et puis merde! J'ai plus envie... Ce qu'il vient de dire m'intéresse, alors j'allais supporter la présence d'une autre personne quelques temps.

- Un meurtrier hein dis-tu? Alors que fais-tu ici toi? Ne t'inquiète donc pas pour moi, s'il me croise, ce sera la dernière chose qu'il fera de sa vie. Dit, il est fort? Le meurtrier est bon dans son domaine?

La perspective de trouver un mec plutôt fort à tuer rendait la soirée plus intéressante, j'aime mesurer ma force à ceux qui sont fort ou doué dans leur domaine. Voilà pourquoi cet homme m'intéressait, en plus qui irait regretter un meurtrier? Je souris à cette pensée, les flics? Ce n'était que des humains et un homme mort ne peu dire ce qu'il a vu. Avec un peu de chance ce meurtrier est un demi-dieu, ce qui rendrait la chose encore plus intéressante. Cependant, il y avait un problème... Ce mec, je ne pouvais pas rester avec lui si je trouvais le meurtrier, il ne fallait pas qu'il me voit. Je me décidais donc de tenter quelque-chose, lui demander s'il est un demi-dieu sans y faire référence au cas où il ne serait qu'un simple humain.

- Tu sais... Il y a des gens avec une force un peu spéciale en ce monde... Des gens qu'il ne vaut mieux pas affronter à moins d'avoir nous aussi un petit truc nous rendant spécial. Exemple, tu me préviens de la présence d'un meurtrier, mais qui te dit qu'en réalité je ne suis pas beaucoup plus dangereux que lui?

je suis quelqu'un d'arrogant, même moi je le sais et encore une fois je ne pouvais m'empêcher de l'être. Je me demandais bien ce que cet homme allait répondre à cela. Peut-être n'allait-il rien comprendre où même me prendre pour un fou où alors, il comprendrait et me dirais ou non s'il était spécial dans le cas où il est comme moi. Tout ce que je peux faire pour le moment est attendre, attendre que ce mec se décide d'ouvrir la bouche.

   
   
   

   

Rencontre à Central Park

feat Stark

   

   

   

Ce que l'inspecteur n'avait pas prévu, c'était l'arrogance du jeune homme, qui répondit avec hauteur :

Un meurtrier hein dis-tu? Alors que fais-tu ici toi? Ne t'inquiète donc pas pour moi, s'il me croise, ce sera la dernière chose qu'il fera de sa vie. Dit, il est fort? Le meurtrier est bon dans son domaine?

Je fais mon travail, voilà tout... Mais il n'est pas bon de faire sa propre justice, répliqua Cyril, quelque peu agacé. Et oui, il est fort.

Autant ne pas rentrer dans le détail... Mais il tiqua lorsque le jeune homme déclara :

Tu sais... Il y a des gens avec une force un peu spéciale en ce monde... Des gens qu'il ne vaut mieux pas affronter à moins d'avoir nous aussi un petit truc nous rendant spécial. Exemple, tu me préviens de la présence d'un meurtrier, mais qui te dit qu'en réalité je ne suis pas beaucoup plus dangereux que lui?

Un message était caché dans ce discours... "Je suis un demi-dieu, et toi ? Qu'en est-il ?", l'inspecteur en était persuadé. Il sourit et répondit :

Parce que mon petit doigt me dit que tu es comme moi, avec une force qui nous rend spéciaux parmi les hommes.

Et pour lui montrer, il leva lentement la main droite ; quelques secondes après, une grosse racine sortait du sol, avec quelques tiges terminées par des bourgeons. Bon, ce n'était pas extraordinaire, mais l'objectif n'était pas là... Soudain, un craquement se fit entendre derrière lui, le faisant se relever et sortant son arme de service, prêt à tirer. Il fit signe au jeune homme de reculer légèrement puis lança :

Qui va là ?

Allons, inspecteur... Au fond de vous, vous le savez.

Telle fut la réponse, glaçante, du propriétaire du pas. Il était trop tard pour faire demi-tour...
   

   

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Parce que mon petit doigt me dit que tu es comme moi, avec une force qui nous rend spéciaux parmi les hommes.

Cette annonce me fis sourire, je le vis ensuite faire pousser une sorte de racine bourgeonné. Il n'avait rien fait de très impressionnant, mais c'est justement ce qu'il fallait faire. Ne jamais montrer l'étendue de son potentiel à quelqu'un sauf si celui-ci va en mourir. Montrer à une personne sont potentiel réel c'est lui montré vos limites, vos faiblesses.

Qui va là ?

Allons, inspecteur... Au fond de vous, vous le savez.

Les deux hommes m'avaient sorti de mes pensées. J'eu au moins le temps de retenir que celui avec qui je parlais était un inspecteur. L'autre, avec ses habits tâché de sang et ses paroles... Comment serait-il possible d'avoir un doute. L'inspecteur donc, me fis signe de reculer, je ne prêtais pas attention à son signe... Tout ce qui m'importait, était qu'il m'avait menti. Cet homme fort? En quoi? Juste un simple petit humain avec une lame... Je suis déçu, je n'avais maintenant plus l'envie de le tuer, ce serait... Comme me rabaisser. Cependant, il m'avait montré ses pouvoirs. Il faisait nuit, c'est le moment où j'étais le plus vulnérable en raison du manque de lumière, mais le banc sur lequel on était assis était éclairé par un lampadaire. Il y avait donc de la lumière, j'utilisais ces rayons lumineux pour créé un petit couteau de lumière que j'envoyais à une telle vitesse dans sa jugulaire, que le meurtrier ne pouvait l'éviter. je fis ensuite disparaître ce couteau et soupirais lorsque je le vis mettre sa main sur sa gorge.

- Arrêter le saignement d'une telle blessure est impossible, tu as été témoin de quelque-chose que je ne peux te laisser raconter. Tu as fait des actes qui t'ont conduit à la mort. Cependant, tu as été utile pour m'apprendre que ce mec était un inspecteur, c'est pour cette raison que je t'ai tué en un coup au lieu de te faire souffrir pour avoir bien le temps de regretter les actes que tu as commis.

Je me tournais ensuite vers l'inspecteur en question, je lui fis une vague sourire provocateur du genre : "tu vois?" Ensuite, je me posais à nouveau sur le banc.

- on dirait que votre travail ici est fini inspecteur je ne sais qui.

   
   
   

   

Rencontre à Central Park

feat Stark

   

   

   

Cyril fronça les sourcils en voyant la silhouette de l'homme qui venait de lui parler ; c'était la première fois qu'il le voyait, et il était presque... déçu. Il ne ressemblait à rien d'autre qu'à un mortel complètement fêlé... Là où résidait sa force, c'était justement cette folie meurtrière. Mais au final, le réceptacle de cette force n'était qu'une simple coquille ville.

La frustration de Cyril était partagée par le jeune homme, qui se débarrassa du meurtrier en un tour de main en faisant apparaître un couteau à partir de la lumière du réverbère, qu'il logea dans la jugulaire du malfrat sous les yeux impressionnés et admiratifs de l'inspecteur. Quand l'homme porta les mains à sa gorge pour tenter de juguler le flot de sang qui s'en échappait, le jeune homme lui lança :

Arrêter le saignement d'une telle blessure est impossible, tu as été témoin de quelque-chose que je ne peux te laisser raconter. Tu as fait des actes qui t'ont conduit à la mort. Cependant, tu as été utile pour m'apprendre que ce mec était un inspecteur, c'est pour cette raison que je t'ai tué en un coup au lieu de te faire souffrir pour avoir bien le temps de regretter les actes que tu as commis.

Puis il lança un regard un peu provocateur à Cyril avant de retourner sur le banc :

on dirait que votre travail ici est fini inspecteur je ne sais qui.

Le Nôtre. Inspecteur Le Nôtre. Je suppose que je dois vous remercier, monsieur je ne sais qui...

Il s'accroupit à côté du cadavre du meurtrier, où un rictus s'était dessiné sur son visage au moment de rendre son dernier soupir. Il le fouilla, trouva les armes caractéristiques de ses forfaits ainsi qu'une lettre qu'il lut à voix haute :

"Si je venais à mourir avant d'avoir fini mon devoir sur cette terre, je compte sur vous tous pour continuer cette affaire. Signé : Tha Natos". C'est stupide de prendre ce surnom... A moins de se prendre pour un dieu.

Il mit toutes les preuves dans un sac en plastique et commença à faire demi-tour pour rejoindre son véhicule, quand il sentit une présence derrière lui. Sans se retourner, il sortit à nouveau son arme et lança :

Annoncez-vous !

Pas de réponse, si ce n'était un "plop" discret. Tellement discret qu'il ne comprit que trop tard, lorsque la balle vint se loger dans son épaule, lui faisant pousser un cri de douleur. Des complices...
   

   

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- Le Nôtre. Inspecteur Le Nôtre. Je suppose que je dois vous remercier, monsieur je ne sais qui...

- Stark Hawkins. Inutile de me remercier pour si peu. Dis-je simplement.

Monsieur Le Nôtre hein? Je connaissais beaucoup de nom de flic, mais pas le sien. Cela veut dire qu'il travaille ici depuis moins de dix ans? Non je ne peux pas savoir... je ne pouvais pas connaitre tout le monde, en plus à l'époque j'étais gosse et ne faisais pas trop attention à ce qui m'entourait. L'inspecteur retournait alors à sa voiture, il en avait fini ici et plus rien ne le retenait ici. Cette soirée sera devenue bien ennuyeuse, rien de vraiment intéressant, encore heureux que je ne suis pas venu ici pour ça. je me décidais de rentrer à l'hôtel quand j'entendis un coup de feu. Je suis sûr que c'était de son coté, devrais-je y aller ou alors m'en foutre? Je n'eus pas vraiment le temps de me poser la question, un autre homme débarquait braquant une arme sur moi.

- Hé toi le monstre! je ne sais pas ce que tu as fait, mais tu vas nous suivre.

Nous? Ils sont donc plusieurs hein? Monsieur Le Nôtre n'avait pas prévu cela et moi non plus... Fait chier, tuer des pantins pareil... Un laser en pleine tête fut suffisant pour ce type qui n'eut le temps de comprendre ce qui lui était arrivé. Mort quasiment instantanément et merci le lampadaire d'en haut. je récupérais l'arme et allait retrouver ce foutu flic, je me sentirais mal s'il crevait si vite... Ma surprise fut totale quand j'arrivais sur place, il avait déjà fini le travail. Je jetais l'arme à ses pieds.

- N'oublie pas celle-là. tu es plus doué que ce que je pensais hein? Moi qui m'attendais à te voir mort... Tu as même été toucher si facilement pathétique.

Comment pouvait-il s'être fait toucher par ces minables? Un demi-dieu toucher par un simple humain... était-il faible finalement? Je déchirais la manche d'un des hommes à terre et le lui jeta.

- Attache et serre, j'imagine que tu connais avec ta formation de flic non? Ce sera toujour moins douloureux que de me laisser cautériser la plaie.

   
   
   

   

Rencontre à Central Park

feat Stark

   

   

   

Tenant son épaule de sa main valide, Cyril reprit assez rapidement ses esprits. Il avait compris qu'il s'agissait des complices du meurtrier, ce qui pouvait présager d'un dépassement des frontières de Central Park s'il ne les arrêtait pas rapidement.

Il en vit un qui s'écartait du groupe, mais il le laissa de côté ; tous les autres avaient sorti leurs armes et étaient prêts à lui tomber sur le râble, faisant sourire l'inspecteur qui fit craquer ses articulations valides. Bien bien bien, un peu de sport ne lui ferait pas de mal...

Au début, il encaissait les coups, veillant à ne pas aggraver sa blessure à l'épaule, mais très vite, il reprit le dessus, usant de son pouvoir sur les plantes pour faire sortir des lianes de terre et immobiliser ses adversaires, avant de se rendre compte qu'il valait mieux les tuer en les voyant se défaire aisément de ses lianes. Quelque peu épuisé d'avoir utilisé son pouvoir, il se résolut à tirer sur les hommes, usant de leurs bras, avant de tomber à genoux une fois tous morts. La vache...

Il sentit qu'on lançait une arme devant lui, et la voix de celui qui s'était présenté comme Stark Hawkins déclara :

N'oublie pas celle-là. tu es plus doué que ce que je pensais hein? Moi qui m'attendais à te voir mort... Tu as même été toucher si facilement pathétique.

Cyril ne répondit pas, baissant la tête pendant qu'il reprenait son souffle ; il avait un peu raison... Il avait fait preuve de faiblesse, sûrement à cause de la fatigue accumulée depuis quelques temps maintenant. Il entendit un bruit de déchirement de T-shirt et la voix de Stark qui reprenait :

Attache et serre, j'imagine que tu connais avec ta formation de flic non? Ce sera toujour moins douloureux que de me laisser cautériser la plaie.

Merci...

Cyril s'exécuta de son mieux, grimaçant de douleur, et souffla :

Désolé... d'avoir un peu déçu... tes attentes. Mais tu as... un gros potentiel pour une certaine organisation... Je te propose donc de nous rejoindre, nous te testerions pour voir ce qu'on peut faire avec tes pouvoirs incommensurables...

Il se releva et se dirigea vers le banc, où il s'assit en soufflant ; il lui faudrait aller à l'hôpital, après ça.
   

   

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L'homme me remercia brièvement pour lui avoir donné l'arme et de lui aussi de quoi se faire un bandage provisoire. je le vis ensuite grimacer de douleur en le serrant sur son épaule blessée. C'est ça de se faire toucher, on a mal.

Désolé... d'avoir un peu déçu... tes attentes. Mais tu as... un gros potentiel pour une certaine organisation... Je te propose donc de nous rejoindre, nous te testerions pour voir ce qu'on peut faire avec tes pouvoirs incommensurables...

Une organisation ? Laquelle ? De quoi il parle ? Un flic qui me demande de rejoindre son organisation, c'est quoi au juste? Les défenseurs de New York? Mes pouvoirs "incommensurables" ? Il était bigleux ou quoi ? Il pourrait me battre tellement facilement en pleine nuit comme c'est le cas actuellement...

- Une organisation ? Laquelle ? Quel est votre but ?

C'est qu'il avait réussi à piquer ma curiosité le con... Enfin, même si son organisation comme il le disait ne me plaisait pas, je pourrais au moins passer leurs tests ? Je pourrais peut-être trouver un truc d'amusant à faire finalement.

- Ah oui en fait... je sais parfaitement maîtriser mes pouvoirs et je n'ai pas besoin d'aide... Je sais très bien ce que je peux en faire.

Aller quoi répond moi bordel! Tu me rends aussi curieux pour ensuite devenir moins parlant? Je veux savoir! De quoi me parles-tu? Peut-être es-tu comme moi? Peut-être que tu haïs tes parents divin? Personnellement, je hais le mien. Il a un tel pouvoir... Il aurait pu nous aider, il aurait pu nous faire gagner tellement de temps et nous épargner tellement de tristesse. Cet enfoiré... Que pouvait-il bien faire actuellement? Savait-il même que j'existais? Il m'énerve... Je veux le tuer! Tuer cet homme indigne d'avoir des enfants, indigne de vivre!

   
   
   

   

Rencontre à Central Park

feat Stark

   

   

   

Cyril laissa un sourire se dessiner sur son visage lorsque Stark, piqué par la curiosité, lui demanda :

Une organisation ? Laquelle ? Quel est votre but ? Ah oui en fait... je sais parfaitement maîtriser mes pouvoirs et je n'ai pas besoin d'aide... Je sais très bien ce que je peux en faire.

L'inspecteur resta immobile un bref instant avant de se relever pour faire face au jeune homme et de répondre, s'accrochant au banc pour ne pas tomber :

Je ne peux révéler son nom si je ne suis pas sûr de toi, mais notre but est de remettre les dieux à leur juste place. En-dessous de nous. Il est temps qu'ils comprennent qu'on peut se passer d'eux !

Il grimaça en se tenant l'épaule avant de reprendre :

Dis-moi... Tu tiens ton ascendance d'Apollon, moi de Déméter. Es-tu comme moi ? Hais-tu ton parent parce qu'il n'a jamais su s'occuper de toi pendant toute ton enfance, parce qu'il t'a abandonné à cause d'une soi-disant loi ? Si tel est le cas, ta place est légitime auprès de moi... Je comprendrai tout à fait si tu refuses, mais il serait dommageable que nous nous considérions, l'un et l'autre, comme des ennemis alors que nous avons des secrets communs.

Il chercha dans sa veste un papier où était inscrit son nom, avec un numéro de téléphone. Il valait mieux garder le secret sur l'emplacement du QG de la Résistance, Cyril ne pouvant être garant du jeune homme tant qu'il n'avait pas fait ses preuves. Mais au fond, il espérait qu'il rejoindrait les rangs de la Résistance, qui grossissaient doucement mais sûrement... Gardant une expression neutre, il attendait une réponse qui lui permettrait de savoir, ou non, s'il pouvait avoir confiance en ce fils d'Apollon.
   

   

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Je ne pensais pas que j'allais entendre ce que j'entendais, c'était comme... Une sorte de délivrance de savoir que je n'étais pas le seul à estimer que les dieux se foutaient de nous. Qu'il était temps que tout cela change.

- Je ne peux révéler son nom si je ne suis pas sûr de toi, mais notre but est de remettre les dieux à leur juste place. En-dessous de nous. Il est temps qu'ils comprennent qu'on peut se passer d'eux ! Dis-moi... Tu tiens ton ascendance d'Apollon, moi de Déméter. Es-tu comme moi ? Hais-tu ton parent parce qu'il n'a jamais su s'occuper de toi pendant toute ton enfance, parce qu'il t'a abandonné à cause d'une soi-disant loi ? Si tel est le cas, ta place est légitime auprès de moi... Je comprendrai tout à fait si tu refuses, mais il serait dommageable que nous nous considérions, l'un et l'autre, comme des ennemis alors que nous avons des secrets communs.

Il pense comme moi... Étrange, vraiment très étrange. je ne fais pas confiance à ce mec, mais je n'ai pas peur de lui alors pourquoi pas? S'il dit vrai alors peut-être pourrais-je avoir des allier pour changer ce monde pourrit? Un monde ou les parents n'abandonneraient pas leurs enfants même si ce sont des dieux! Il me donna ensuite un bout de papier sur lequel il y avait son numéro et son nom complet.

- pas besoin de me laisser le temps, fait moi passé tes foutus tests que je les écrase. J'écraserais mon père et les autres dieux qui se fiche de la vie de leurs propres enfants. Mais au moins... êtes-vous puissant? Sans cela nous avons déjà perdu.

Je voulais le suivre, le rejoindre. La colonie n'avait pas de but réel mis à part vivre et attendre. C'est bien pour les plus faibles, mais les plus forts doivent bien bouger. Ce sont les plus forts qui écrivent l'histoire et actuellement la nôtre doit-être réécrite. Je me tournais donc vers Cyril déterminer à entre vite fait dans son "organisation".

- On commence quand?

   
   
   

   

Rencontre à Central Park

feat Stark

   

   

   

pas besoin de me laisser le temps, fait moi passé tes foutus tests que je les écrase. J'écraserais mon père et les autres dieux qui se fiche de la vie de leurs propres enfants. Mais au moins... êtes-vous puissant? Sans cela nous avons déjà perdu. On commence quand?

Cette réponse fit encore plus sourire l'inspecteur ; ainsi, il avait touché une corde sensible, celle qui était commune à la majeure partie des Résistants. Cette haine pour les dieux, incapables d'assumer leur descendance, la laissant à son propre sort... Il fallait que ça se termine, et vite.

Cyril s'approcha doucement de Stark tout en lui répondant :

Je peux te faire passer quelques tests ici... Montre-moi de quoi tu es capable, alors que tu n'as pas de source de lumière pour te défendre. Et nous montons en puissance, bientôt nous serons en mesure de raser la Colonie puis l'Olympe.

Il fouilla dans sa veste et fut satisfait de trouver, comme prévu, une petite flasque contenant du nectar, dont il versa quelques gouttes sur sa blessure avant de ranger la flasque. Cela suffirait le temps de faire passer un premier test, après, il aurait tout le loisir d'aller à l'hôpital si ça ne s'arrangeait pas.

Il se plaça ensuite face à Stark, se mettant en position, et lui lança :

Vas-y. Promis, je n'utiliserai pas mes pouvoirs pour me défendre. Juste mes poings.

Au fond de lui, sa raison lui criait de se reposer, avant qu'il ne succombe sous la fatigue, mais il aurait tout le temps de se reposer après ce premier test. Tout en se battant, il demanda :

Dis-moi, que fais-tu dans la vie ? J'ose croire que tu n'es pas un jeune homme désœuvré qui erre dans New York dans l'espoir de pouvoir se battre à chaque coin de rue...

Si c'était le cas, il aurait possiblement le moyen d'y remédier.
   

   

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Je peux te faire passer quelques tests ici... Montre-moi de quoi tu es capable, alors que tu n'as pas de source de lumière pour te défendre. Et nous montons en puissance, bientôt nous serons en mesure de raser la Colonie puis l'Olympe.

Attends quoi? Raser la colonie?! C'est quoi ce bordel il est sérieux la ? Hors de question! ce sont les seules personnes qui s'occupent vraiment de ceux abandonner par leurs parents, ils ne veulent pas de guerre et tout ce qui en suit. Je me disais bien qu'il y avait une anguille sous roche...

Vas-y. Promis, je n'utiliserai pas mes pouvoirs pour me défendre. Juste mes poings.

Oh alors Monsieur est si sûr de lui hein? Il va le payer cher! Il est blessé et s'amuse à me défier en un contre un sans pouvoirs? Il veut détruire la colonie, c'est donc mon ennemi, je vais donc le tuer. Je m'élançais alors sur lui sans un mot, je donnais des coups et en recevait, je ne frappais pas encore avec tout ce que j'avais, je gardais ça pour le moment de mettre fin à la vie de ce type.

Dis-moi, que fais-tu dans la vie ? J'ose croire que tu n'es pas un jeune homme désœuvré qui erre dans New York York dans l'espoir de pouvoir se battre à chaque coin de rue...

Me dit-il en se battant. Il vouait une réponse? Eh bien il allait l'avoir, je lui répondrais honnêtement. Autant qu'il sache pourquoi je le tue, pourquoi il a éveillé ma haine envers lui.

- ce que je fais dans la vie? Je suis une sentinelle de la colonie! Tuer les dieux est bien mon objectif, mais tuer des gens qui protègent ceux qui ont été abandonné n'est pas dans mon programme. je vois maintenant je comprends. C'est donc vous la résistance... Vous êtes maintenant les numéros deux sur ma liste. En revanche, toi... Tu seras le premier à y passer.

Les règles du combat? Rien à foutre! Ce mec voulait tuer ceux qui ont fait de moi ce que je suis. Il voulait tuer ceux qui auront ma reconnaissance éternelle. Dans les cent mètres autour de nous il y avait une bonnes trentaines de lampadaire. Je pris donc la lumière de trois d'entre eux ce qui me faisait trois boules de lumière, où plutôt trois pièces. J'utilisais une de ces pièces pour tirer un laser sur Cyril, les deux autres me formaient deux épées de lumière. Ces épées peuvent paraître inoffensive, mais c'est loin d'être le cas. C'est de la lumière concentrée, durcie. Elle devient dur et tranchante en plus de gagner en chaleur à un tel point que beaucoup de choses brûleraient ou fondraient à leur contact. Je fonçais alors de nouveau sur Cyril, mon objectif... Tuer!

   
   
   

   

Retour à Central Park

feat Stark

   

   

   

Cyril garda un visage neutre lorsque Stark lui répondit :

ce que je fais dans la vie? Je suis une sentinelle de la colonie! Tuer les dieux est bien mon objectif, mais tuer des gens qui protègent ceux qui ont été abandonné n'est pas dans mon programme. je vois maintenant je comprends. C'est donc vous la résistance... Vous êtes maintenant les numéros deux sur ma liste. En revanche, toi... Tu seras le premier à y passer.

Oh. D'accord. Cyril avait eu raison de se méfier de ce jeune homme, un serviteur de la Colonie qui faisait passer son amour pour les siens avant sa haine pour les dieux... Il finirait par subir le même sort que les autres : la mort. Sauf si la raison le ramenait dans le droit chemin, mais ce ne serait pas pour tout de suite.

L'inspecteur se mit en position et esquiva de justesse le laser que Stark avait créé avec la lumière de trois lampadaires, diminué par sa blessure qui le gênait. Pour se protéger, il fit sortir de terre un petit mur de lianes tressées de manière serrée, mais il était trop épuisé pour être vraiment efficace avec ses pouvoirs. Il ne pouvait se contenter que de reculer et d'esquiver avant de tenter de donner des coups, qui ne touchaient leur cible que de manière aléatoire.

A force de reculer, Cyril trébucha sur une pierre et tomba assez lourdement sur son épaule, ravivant sa blessure et lui faisant pousser un hurlement de douleur, l'immobilisant au sol, à la merci du fils d'Apollon. Et merde... Les yeux fermés pour ne pas laisser les larmes de douleur s'en échapper, Cyril se surprit à prier, silencieusement. Il priait son père, André Le Nôtre, de lui pardonner d'avoir échoué à tenir sa promesse de vengeance contre Déméter. Il ne voulait pas mourir, mais à ce moment-là, il n'y avait pas d'autre alternative, à moins d'un miracle. Ce que Cyril refusait d'accepter.
   

   

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Il avait esquiver mon laser. Encore heureux! Je n'aurais eu aucun plaisir à tuer ce petit enfoiré comme ça! J'avais la haine contre lui à un tel point. La colonie est remplie de gens ne voulant pas se battre de personnes trop viellent pour cela ou incapable de se défendre. Bien-sûr il y avait aussi un bon nombre de personnes fortes d'autres encore étaient hors du commun. Cependant, ce n'était pas le cas de tout le monde. S'en prendre à ceux qui n'ont rien demander mis à part vivre en paix est lâche et n'a aucun sens! Il n'y a pas à dire, je déteste ces personnes la encore plus que mon père! Il reculait et esquivait... pathétique... C'était donc ça la résistance? Peuh, ils sont nuls! Il me mettait des coups, je ne sentais pas réellement la douleur tellement j'avais la rage. je ne pensais plus qu'à une seule chose... Le tuer. On continuais ainsi pendant quelques minutes jusqu'à ce qu'il fit une erreur fatale.

Il avait chuter et était tomber, la blessure sur son épaule était maintenant ré ouverte et la douleur se lisait sur son visage. Pendant un instant je jurerais qu'il priait. Que pouvait-il bien prier après les paroles qu'il avait prononcé? J'eu alors un sourire, une idée me traversait l'esprit. Un message, voilà ce qui leur fallait, un avertissement de ce qui se produit lorsqu’on s'en prend à la colonie. je lui fit une simple coupure sur l'avant bras, une coupure sur toute la longueur de celui-ci. Pas très profonde certes, mais au combien destructrice et humiliante. L'épée l'avait couper, mais pas seulement. Elle avait aussi bruler les nerfs, il ne pourrait plus se servir de son bras correctement sans soin approprier. Cette marque, il allait la portée toute sa vie ou du moins une bonne partie de celle-ci. J'entendis alors un cri de douleur que je fis taire en lui mettant un coup de talon bloquant pendant un temps très limiter sa respiration.

- Maintenant écoute moi bien toi. Tu va vivre, vivre et porter un message à tous tes potes. Ceux qui veulent attaquer la colonie seront anéantis, tous ce que vous pouvez faire est de vous cacher quelque part. Enfin cela vous permettra peut-être de survivre un peu plus longtemps, je vous tuerais tous de toutes façon. Vous faites partie de ce qui pourrit ce monde. Profite en pour leur dire qui je suis, qu'il puisse au moins connaitre le nom de celui qui les exterminera tous les uns après les autres.

Après ses mots, je me détournais le laissant la, seul. Je sortis du parc et pris un taxi qui me ramenait directement à l'hôtel. Mon voyage était terminer, il était temps que je rentre au camp. La ou est ma VÉRITABLE maison, ma VÉRITABLE famille.