eux ans que je voyageais avec cette fille et ce maudit griffon. Deux ans que j'aurais dû l'amener à la colonie des sang mêler. La bas elle aurait était en sécurité avec d'autre demi dieux comme elle, mais non je ne l'avais pas fait. Deux ans que je l'aimais, j'étais amoureux comme jamais, mais je garder le silence, on s'était rencontré dans un champ de blé sans jamais plus se quitter. Elle savait qui j’étais, fils du dieux Apollon, je pouvais utilisé mon pouvoir irrésistible pour qu'elle tombe direct dans mes bras, mais je voulais pas, pas comme ça. Je savais qu'elle était la fille du dieu Poséidon, soeur du célèbre Percy, mais je garder jalousement cette info pour moi.

Elle ne savait rien de mon passé, mon passage par le camps de Rhode Island, la haine pour mon père et tout ce que j'avais fait. Elle savait ce que je voulais qu'elle sache sur moi. Je suis pas un saint, mais pas un diable, en même temps je suis pas le fils de Hadès.

Je venait d'arriver enfin au sommet d'une colline où  m'attendait Lucianna et son Griffon. Je pouvais utiliser mon pouvoir de lévitation pour monter, mais non. Elle me fit une remarque je ne relevais pas avant de me parler de la vue:

" Mouais, pas mal, des champs et encore des champs, à une colline, c'est surprenant. La nature quoi rien d’exceptionnel"

Et oui je suis comme ça, je m'extasie pas devant grand chose et certainement devant des truc aussi basique et sans valeur. Moi j'aime ce qui brille et qui à une valeur marchande et que je peut revendre chère:

"Bon on descend là, j'ai meurt de faim et je compte pas m'éterniser trop ici on na du chemin a faire"

Du chemin a faire, quelle ironie, pour aller où? On voyageaient sans but réelle, non sérieux faut pas abuser. Si seulement sont griffon n'étais pas là, cela aurait fait depuis longtemps que je lui aurait fait par de mes sentiment, mais cette satané bestiole à le don de me bloquer dans mes tentatives romantique avec la jeune fille. Je redescendis de la montagne et attendis qu'elle descende, j'allumais un feu et sortit le lapin que j'avais capturer dans la matinée pour qu'il nous serve de déjeuner.

'avais bien des idées de comment profiter de se moment seul à seul. Si la personne n'avait pas était Lucianna je n'aurais pas hésité un instant, mais Lucianna était différentes des autres filles, je voulais pas lui faire du mal, aussi bien je gardais pour moi mon idée.

Le lapin était chaud, je détacher un morceau tendre que je tendit à la jeune fille pour qu'elle mange, j'avis tellement dû errer depuis quelques année que j'étais devenu un as dans la chasse et le vol de nourriture. La vie de Killian n'avait pas était simple et facile, le fils d'Apollon qu'elle chance, aucun intérêt, Zeus, Poséidon ou même Hadès oui mais pas le dieu de la beauté de la médecine et de la musique:

"Tient fais attention c'est chaud"

Puis je prit un morceaux et commençais à manger. En ce début d’après midi l'air était léger et le soleil revigorant. Une fois mon morceaux fini je m'allongeais dans l'herbe écoutant l'air dans les feuillage environnant:

"J'ai réfléchit à ta question qu'allons nous faire? Lucianna, j'en envie de parler, mais sérieusement d'un truc qui tourne dans ma tête depuis un moment"

Je me tourner sur le côté, reposant sur un coude afin de la regarder, elle était si belle dans cette lumière. j'était heureux d'être enfin seul avec elle de pouvoir parler sans que cette bestiole se mettent entre nous et de se mêler de nos affaire. je pris un brin d'herbe avec lequel je jouais:

" On voyage ensemble depuis deux ans, j'ai appris a te connaître, a savoir qui tu est et le genre de fille que tu ais vraiment, je me suis même demandé comment une fille comme toi faisait avec un mec comme moi. Je suis loin d'être une bonne fréquentation. Mis bref, Lucianna, je... j'ai... je crois que j'ai des sentiment fort pour toi, comment dire, pour être poète, tu as volé mon cœur, je suis tombé amoureux de toi"

Voilà qui est dit. Je suis pas sûr de ce qu'elle me dire, peut être fuirait 'elle ou pas. Mais avant de poursuivre ma déclaration je voulais savoir ce qu'elle en pensait.

e me laissais retomber sur le dos dans l'herbe, je m'attendais pas à cette réponse. Je venais de lui ouvrir mon coeur, chose que jamais je n'avais fait et la je me sent vide. J'ai des sentiment fort à ton égard. Mais ça veut dire quoi exactement, je lui avait dit:

" Okay, je vois, n'en parlons plus restons en là"

Je me retourner pour éviter qu'elle ne voit le choc que je reçut en l'entendant. J'étais furieux comment avis je put être aussi idiot, quelle stupidité, j'aurais dû le savoir, elle ne veut pas de moi et je la comprend oh j'aurais utilisé mon pouvoir irrésistible ,mais je voulais pas de ça avec elle. J’étais voyou pour reprendre les terme de la griffon. Un voleur de racaille,un parasite de la société. J'en rageais. Puis lui tournant le dos je dit:

" Heureusement que ce n'est pas de l'amour. Il te sera moins difficile pour toi quand nos chemin vont devoir se séparer. Dans quelques temps, on devra faire chacun notre route sans l'autre. Vu les circonstance dès que ton amie reviens je partirais de mon côté et toi du tient, maintenant je dois me reposer"

Je ne pouvais rester avec elle maintenant. Je ne pourrais pas la regarder sachant ce que je lui avait dit. Du bout des doigt je tira un raie de rayon lumineux, brûlant un trait d'herbe devant moi. Je ne pleurer plus depuis longtemps, pourtant je sentit quelle que chose de mouiller couler sur ma joue, j'essuya cette larme de ma main. J'ai beau être fils d'Apollon, je ne peut obliger la fille que j'aime à m'aimer, évidemment je n'avais pas besoin de repos, mais je ne pouvais plus croiser son regard, son sourire, ça faisait trop mal.

lle me forcés a me retourner afin de la voir. J'avais les yeux encore rouge a cause des larmes qui venaient de couler. J'avais aimais vraiment, oh Lucianna n'était pas le première fille que je connaissais, en dix huit ans, des filles et m^me des femmes, j'en avais connu, certaine de façons intime, mais jamais l'amour n'était présent, il n'y avait que mon intérêt qui avait était là. Mais pas avec Lucianna, je l'aimais de tout mon être te du plus profond de on cœur. Je m'était ouvert à elle, j'avais laisser tomber ma carapace de mec à l’épreuve de tout, l'homme aux secret bien garder, sans sentiments... J'étais vulnérable, mais je m'en moquer Lucianna savait enfin.

Elle me traitais d'idiot, mais ce n'était pas méchant,elle me dit qu'elle m'aimait, ces parole résonnait encore en moi:

"T'ais-je dit que ce n'etait pas de l'amour ? Idiot je veins de te dire que je t'aime."


Elle me prit dans ses bras et me serrais contre elle. J'étais bien là. Si seulement le temps ne continuait pas a filer. Oui lui faire du mal, je lui en avait fait. Mais c'était pas intentionnel, reprenait mon calme je longea mon regard dans les siens, lentement j'approchais mon visage du siens y pressais mes lèvres sur les sienne, avec une douceur et une passionne commune, puis je me recule et lui dit avec un regard triste:

" Je ne voulais pas te blesser, mais n'empêche que cela va effectivement se produire. Tôt ou tard, tu devra aller à la colonie des sang mêler, j'y suis déjà aller, c'est un endroit fait pour toi, tu va y découvrir des choses étrange et rencontrer d'autres personnes comme nous des demi-dieux. A ce moment là je serais avec toi jusqu'au au moment où il viendront te chercher, mais a partir de là je ne pourrait pas venir, je devrait continuer ma route seul, c'est ce que je veux, mais je ne suis pas le bien venue à la colonie"

Je m'approchais d'elle la pris dans mes bras, je sentit sa tête poser sur mon torse, puis je me rallongeais dans l'herbe l'entraînant à ma suite:

"Lucianna je ne veux pas qu'on pense à ça, pas maintenant, je veux qu'on profite du temps qu'on n'a ensemble"

Je fit rouler notre enlacé de sorte que je retrouvais sur elle, mes bras de chaque côté de son visage, je l'embrassai, je l'aimer tellement, j'enleva ma veste et mon T-Shirt espérant aller bien plus loin que de simple baiser.

[HRP: tu as oublier de mettre ton poste dans une fiche]

étais toujours torse nu. Couché Lucianna appuyé sur... rien. Tout en l'embrassant, je m'étais laissais me perdre dans ce doux bonheur et mon corps avait réagit en me faisant léviter. Je la tenais grâce au main que j'avais dans on dos, la serrant fort contre moi.

Par Zeus que cela étais bien et bon. Je me délectais des baisers qu'elle me rendait, ses lèvres était douce comme un pétale de roses elle avait un gout de sel, comme l'océan, a peine humide. Sa peau de ses bras nu était douce, une étonnant chaleur nous enveloppé, mes sens était en éveille, conscient de tout, mes cinq sens était décuplé, mes mains dans son dos ressentais tout jusqu'au plus profond, j'entendais son cœur battre, a moins que se soi le mien.

Ses cheveux sentait l'océan, normale après tout. Je ne me rassasier pas de mes baiser, je sentis que on redescendais et délicatement on touchât le sol:

"Je t'aime"

étais finalement sous elle, elle m'mbrassait la nuque, le torse le ventre avant de remonter et de faire un baiser avec une telle force et une telle intensité que je ne la croyait capable d'un telle chose. Elle défie la ceinture de mon pantalon. Elle me répondit que elle aussi m'aimer et qui fallait que je me laisse faire. Pas de problèmes, je me détendit.

Je l'attirer à moi et l'embrasser encore et encore, puis je passais mes mains sous son T-Shrit et lui enleva, elle avait la peau si chaude de couleur du sable d'été. Elle continué à m’embrasser, je souriait. finalement j'enlever mon pantalon, me retrouvant en boxer.

Je croyait pas avoir autant de plaisir pendant des préliminaire, juste avant de passer à l'acte et pourtant, je posa une main sur ses cheveux:

" Tu est sûr que tu veut le faire, c'est un cap important dans la vie d'un couple, je ne t'oblige pas"

Je ne sait si ma filiation avec le dieux de l'amour englober mes prouesse sexuel, mais en tout cas, cette fois, je voulais que ce moment reste inoubliable pour nous deux.

e suis réveillais avant Lucianna, j'étais d'excellente humeur et en joie. Allongé dans l'herbe laissant le vent glissait je profitais de l'instant présent, me tournant sur le côté appuyais sur un coude je restais un petit moment à l'observer endormit. Elle était belle, magnifique. Au loin j'entendais le son du cascade et d'une rivière. Je me suis levé, j'ai ramassais mes affaire et m'y suis dirigé.

L'endroit était fabuleux, une très belle cascade s'écoulait, un rivière d'un bleu éclatant coulait et les fleur embaumé l'aire, le paradis si tenté qu'il existe. Je ne put me retenir plus longtemps posant mes vêtements au sol je plongeais. L'eau était bonne ni trop froide, ni trop chaude, parfait. JE ne suis pas le fils de Poséidon, mais je nageais comme un poisson.

Je me suis dirigeais vers la cascade, je me suis hisser sur une pierre et me servit de la chute d'eau comme d'une douche, il manqué juste le shampoing et le gel. Puis le temps passant, je sortit de là, et me suis allongé sur une pierre plate pour que le soleil me sèche, après tout mon père était associé à lui, je ne risquais pas un coup de soleil. Javais les yeux fermées, je profitais quand un bruit me fit sursauté 'j ouvris les yeux et vit...

ucianna, car il s'agissait bien d'elle. Elle me regardait et me lançait une vanne comme quoi la vie est belle. Je préférais ne pas répondre, je ramassais mes vêtements et bondit de la pierre, me servant de cette dernière comme par avant. Le temps de me rhabiller.

Je la vit observer la cascade, avec son regard qui exprimait une idée, qui allait pas me plaire. Effectivement elle ne me plut pas du tout et je le lui dit. Plonger du haut de la cascade qu'elle idée:

" Non merci, je ne ne suis pas un enfant de Poséidon, l'eau ne me protège pas."

Je la regardais attentivement:

"Lucianna j'ai réfléchie. Je vais te conduire à la colonie des sangs mêlés.   Je parlerais à Chiron et monsieur D, c'est c'est eux que gèrent le camp, pour qu'ils acceptent mon retour, Lucianna je t'aime et je veux pas te perdre"

Je savais que je risquais gros en remettant les pieds là-bas. Mais tout le monde à le droit à une seconde chance, moi y compris. Le centaure et le dieu ne peuvent pas me la refuser. J'espère sincèrement que mon choix allait ravir la soeur de Percy. C'est par amour pour elle que je faisais ça. Je ne prêtant pas être le meilleur, mais pour et avec elle je peut changer. Et je suis prêt à leur prouver

ucianna, m'expliquait avec courage les raisons de son refus que je l'emmène à la colonie, je la comprenait, même si la colère l'emportait:

" Une promesse faites à Hécate une déesse, J'y croit pas que tu est fait ça. Tu te doit de la respecter, c'est une déesse, tu lui doit rien du tout. Les dieux nous mentent pourquoi ne pas faire autant. J'y crois cela fait presque deux ans qu'on voyage ensemble et tu ne m'a rien dit."

Furieux je quittais ce lieu magique pour rejoindre l'endroit où on n'avait pris du plaisir, je ramassais en toutes hâte nos affaire. Je ne pouvait plus la regarde, elle que je croyais capable de voir la vrai nature des dieux avait fait un pacte avec une déesse et refuser de s'y soustraire. Je fis volte face et demandais:

" Tu peut au moins me dire en quoi consiste cette promesse ce qu'elle y gagne et toi aussi, avec une déesse..."

Le fait qu'elle une promesse e dérange ps, mai avec une Déesse, je ne pouvais m'y résoudre:

"On y va on parlera en route"

contrairement à notre habitude, je ne marchais plus à côté d'elle, aussi proche qu'a notre habitude, j'avais mis entre elle et moi une certaine distance, même si on parlait un fossé venait de se creuser entre nous:

"J'étais prêt à affronter Chiron et Monsieur D pour toi quand Percy viendrait te chercher. Je t'ai fait une promesse, je reste avec toi, mais dès que ton frère se montre je disparaît de ta vie et te laisse vivre en paix avec les dieux que tu affectionne tant."

Le ton de ma voix avait changer en quelques chose de dure, de cassant et de blessant, elle m'avait blesser et me faisait souffrir, je voulais qu'elle ressente ce qu'elle me faisait vivre qu'elle voit à quel point elle me faisait mal.