Bienvenu, bienvenu cher mortel, chers dieux ou chers demi-dieux ou peut-être même créatures. Mon histoire commence maintenant, attrapez une tasse de chocolat chaud ou bien de thé et laissez-vous embarquer pour une folle et magnifique histoire de conte de fées. Alors tout commence par une nuit de folie dans une boite, réputer à New York, ma mère aussi innocente qu’une fleur de cerisier s’envola pour le pays du rêve. Du moins pour elle il ne fait pas abuser, non, non messieurs et mes dames, car c’est toute une autre histoire une fois sur place. Le cauchemar peut arriver à tout moment malheureusement et ma mère va en faire les frais. Bien, revenons à nos moutons, un soir ma mère est aller dans se club, un club plutôt brancher et qui ne laisse pas rentrée n’importe qui. Si tu ne rentres pas dans le moule, tu n’entres pas. Ce soir-là ma mère est rentrée dans cette pièce avec ces amies, croyez-moi, elle n’est pas rentrée toute seule.

Bien entendu elle n’a rien fait ce soir-là avec le bel inconnu qu’elle vient tout juste de rencontrer heureusement... Elle a réfléchi bien comme il faut pour une fois avant de partir dans une nuit de câlin. Ils se sont vus à plusieurs reprises, c’est fou comme un bel homme peut faire tournée des têtes a son bon vouloir. Oui, oui car ma mère est totalement tombée sur le charme du grand et charismatique Morphée ! Elle était Alice au pays des merveilles, pauvre maman innocente qui ne savait où elle mettait les pieds. Bon d’accord... Elle était la plus heureuse des femmes avec un homme des plus éclatant qu’elle avait connu... Un homme qui lui a fait tournait la tête depuis bien longtemps, un homme avec qui elle avait le sentiment de pouvoir tout avoir, mais aussi tout faire. C'était une femme libérée comme si elle revivait depuis des années, un sentiment des plus fort qui puisse exister sur terre, l'amour les enfants donnent vraiment des ailes.

À près plusieurs mois et années les deux tourtereaux ont fini bras dessus bras dessous dans un grand lit. Une nuit de câlin et de douceur et voilà que je me trouve bien au chaud dans le ventre de ma maman. Haha et oui je suis venue pour le plus grand plaisir de mes deux parents enfin je crois... On va dire ça comme ça d’accord mes chères petites têtes blondes qui m’écoutent. Après des mois je suis venue au monde dans l’appartement de ma chère et tendre maman, oui je l’aime plus que tout au monde. Je vous interdis de dire que je suis un fils à maman ! Revenons a nos moutons, ma mère ne voulait pas accoucher dans un hôpital, mais chez elle dans son chez soit avec de l'intimité. Elle a donc vu une sage femme qui est venue juste pour moi et pour aider ma mère dans sa tâche. Oui, oui ce n’est pas si facile de mettre un enfant au monde, je vous le dis après quelques heures, une douleur insupportable pour une femme j'ai vu la lumière du jour. Sans mon accord bien entendu... Tss-Tss je ne voulais pas sortir, j'étais si bien au chaud...

Mais le cauchemar commence, ma mère pensait dur comme fer qu’elle allait terminer sa vie avec lui... Pauvre petite colombe. Car oui c’est là où tout va devenir intéressant, après ma naissance et celle de mon jumeau mon père a dû partir loin d’elle et de moi et de Jun. Il nous a laissés derrière lui, ma mère n’a pas pu lui en vouloir après que son secret lui a était dévoilé. Un dieu venu sur terre qui est tombé amoureux d’une mortelle, mais qui ne peut rester près d’elle à cause d’une stupide loi imposer par Zeus. Merci cervelle de moineau, de m’avoir enlevé mon père ! Tu parles, je serais toujours là dans mon cœur, je veillerais sur vous deux de là-haut. Non, mais depuis quand on dit ça ? Il ne va pas mourir non, mais ma mère a tout pardonné sans rien dire même si elle en souffre encore... Halala maman, maman... Sérieusement comment tu peux accepter ça ? Ma mère n’a jamais aimé une autre personne, elle a toujours aimé le roi des rêves et ce qui va avec. Mais allons plus loin dans l’histoire, voulez-vous ?

Les années sont passées dans le calme et la bonne humeur, mon jumeau et moi même avont bien grandi. Mais la fin heureuse n’est pas faite pour mon frère et moi, ma mère est tombée gravement malade, bien trop fébrile pour pouvoir s’occuper de nous, nous devions maintenant vivre à la colonie. Un déchirement dans ma poitrine a laissé place à une profonde plaie comme dans le cœur de Jun. Notre maman s’est battue comme une tigresse contre la maladie, mais elle n’a pas pu finir le combat qui était perdu d’avance. Notre mère est notre reine et je comprends son choix de ne pas nous laisser la voir dans cet état, elle a voulu qu’on garde une image souriante d’elle plutôt que la reine affaiblie. Nous avons maintenant dix ans et un nouveau monde nous ouvre ces bras. Les années sont passées dans le déchirement et la colère, mais aussi les larmes. Jun pleurait tout les soirs même s’il ne souhaite pas l’avouer, j’ai dû être fort pour deux. Je n’ai plus pleuré depuis l’âge de mes dix ans, je ne pouvais plus pleurer, Jun le faisait pour nous deux.

La haine est trop forte pour moi, elle me transperce le cœur, je ne dis rien j’avance, mais j’étouffe au fond de moi. Je garde en permanence un masque, un masque ou une carapace, je ne sais plus. J’ai décidé avec l’accord de mon jumeau de partir loin un moment, de voir notre famille en Corée du Sud. Ça m’a fait un peu du bien et beaucoup pour Jun, c’est comme une thalasso thérapie. J’ai passé un concours de mannequinat, j’ai ensuite enchainé sur un groupe de K-pop. Mais le contrat je l’ai brisé en ayant des aventures d’un soir, j’ai cru avoir tout calculé, mais non. Mais des paparazzis m’ont pris la main dans le sac, les asiatiques, font tout pour garder une bonne image, c’est très important. Le contrat stipule qu’on ne doit jamais être vu au bras d’une femme, que pendant tout le long du contrat nous ne devions pas avoir de relation. Jun m’en a voulu et j’ai du payer une amende, car ma maison de production a porté plainte contre moi pour non-respect de contrat. Je suis finalement revenu a la colonie, et très vite j’ai prit contacte avec la résistance, je fais maintenant parti de se groupe. Personne ne sait que je suis les yeux et les oreilles de la résistance.