Bonjour et bienvenue sur Filiorum ex Deorum ! Inspiré des romans de Rick Riordan, ainsi que des films, le forum reprend la saga Percy Jackson. Viens vite nous rejoindre, qu'est ce que tu attends ?
Filiorum ex Deorum
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Les nouveautés du mois de juillet sont par ici ! ♥
La Résistance est réouverte!
Venez participer aux trois events de l'été pour faire avancer l'intrigue! Ici pour la Colonie, là pour la Résistance et enfin ici pour les mortels et divinités ! ♥
Les groupes à privilégier sont: les Chasseresses, les Créatures et les Mortels ! ♥
Feuille de Personnage Arme(s): 2 épée: Une en fer Stygien, l'autre en métal hybride. Les 2 se transforment en boucles d'oreille (une pour chaque épée). Elles empoisonnent leur cible (quand elles font une coupure, à l'endroit de la blessure les veines commencent à noircirent et vous avez une douleur fulgurante pendant 10 sec, puis pendant une journée les veines restent noires et une plus légère douleur subsiste). Si vous subissez trop de coup de ces épées, les douleurs sont telle que vous pouvez en perdre la raison ou vous évanouir. Familier(s): Un furet femelle du nom de Bella. Elle n'écoute que sa maîtresse. Objet(s): Sac à dos résistant. Gourde à eau infinie. Grappin infini. Carte magique. Pierre messagère monté en bague. Pierre de reconnaissance monté en lunettes de soleil noires.
Sujet: Entretien d'embauche [ft Megara] Ven 10 Mar - 19:33
Je me lavai les mains après en avoir enfin fini avec Jade au sous sol. Cela faisait plusieurs jours que j'étais dessus, ça m'avait pas mal défoulé. Mais bon, aujourd'hui je devais aller au bar pour y faire passer un entretien à une nouvelle danseuse. J'allai me refaire une beauté dans la salle de bain privée de Cyril et me remaquillai un minimum. Je pris la voiture de ce dernier et allai directement à New York. J’espérais que cette nouvelle ne me ferait pas perdre mon temps, d'autant que ce soir j'étais aussi de service. Arrivée là bas je garai la voiture et entrai dans le bar.
Salut Garry.
J'allai me préparer dans les vestiaires en y posant mes affaires et en enfilant une tenue simple, je ne travaillai que le soir alors pour l'entretien autant être à l'aise, enfin à l'aise pour moi quoi... Je m'installai au bar et pris un mojito en attendant que cette nouvelle arrive. Je parlai un peu avec le serveur, c'était Alex aujourd'hui. La porte s'ouvrit ensuite et je cru que c'était elle mais non c'était seulement Skyler qui venait d'arriver en avance avec son pc pour bosser un peu. Elle faisait des études en plus je crois mais faisait ce boulot pour avoir un peu de fric, mais je lui avais déjà dis qu'elle pourrait faire plus, un peu comme moi, pour avoir encore plus d'argent. Mais à chaque fois elle refusait, prétextant que c'était trop dégradant pour l'image de la femme ce genre de chose. Si tu pense ça te trémousse pas en culotte devant des mecs qui ont assez de fric pour te regarder avec la seule envie de te sauter alors... bref elle me fit un sourire de salut et alla s'asseoir sur un des canapé et posa son pc sur la table basse. Je fini mon verre puis me tournai dans sa direction.
Dis voir Skyler, tu crois que tu pourrai allez ailleurs ? J'ai une fille à qui je dois faire passer un entretien, j'aimerai qu'on soit seule elle et moi.
Elle grimaça avant de finalement acquiescer et partir à l'arrière. Au fond malgré nos opinions plus que différents sur ce qui est de l'usage de nos corps, je l'aimais bien. J’entendis de nouveau la porte peu de temps après...
Invité
Sujet: Re: Entretien d'embauche [ft Megara] Mer 22 Mar - 0:20
Entretien d'embauche
EXORDIUM.
OK. Respire. Calmes-toi. T'as le coeur au bord des lèvres, prête à vomir tes entrailles. Surtout tu ne dois rien laisser transparaître. Garder la tête haute, toujours. Mais putain, t'y arrives pas. Pas quand elle est là en face de toi, comme si il ne s'était rien passé ces cinq dernières années. Elle a changé. Elle a l'air plus forte, plus belle. Plus dangereuse. T’aurais jamais du poser les pieds ici. Ce club sentait l'embrouille à plein nez. T'as besoin de thunes, comme toujours. Toujours à la recherche d'un boulot, n'importe lequel. Strip-Teaseuse ? Tu danses, et pas trop mal si on en croit les regards affamés lorsque t’es en soirée. Tu te fais serpent, ondulant et tournant, à la fois délicate et sauvage. Mais le serpent reste un prédateur féroce, un tueur discret, ce que ces messieurs semblait toujours oublier. Et tu te chargeais de leur rappeler en leur laissant un baiser mortel. Un autre victime de ton champ de bataille. La guerre est dans toute chose, même dans la danse. Tu te sens nue tout d'un coup, faible et sans défenses. Cet ensemble de lingerie noire en dentelles et porte-jarretelles te sembles ridicule. Tu as laissé tes précieuses dagues chez toi, tu n'as rien pour te protéger. Rien pour protéger ton coeur. Car cette fille qui te met dans tout tes états, ton cœur ne la connaît que trop bien. Alice avait été à la fois ta complice, ton amie et ton amante. Ensemble, vous aviez fait trembler la Colonie, deux ouragans détruisant tout sur leur passage. Vous vous étiez promis que rien ne vous arrêterais jamais, que vous seriez toujours ensemble quoiqu’il adviendra. Jolies promesses d’adolescentes. La réalité vous avez rattrapées bien trop tôt. La réalité, c’était que t’avais fui, sans jamais te retourner, pensant échapper aux fantômes de ton passé. Mais le passé te rattrape toujours. La gorge nouée, tu t’avances vers le centre de la pièce, vers elle. T’es juste en face d’elle à présent. Cette proximité te déstabilise. te rends mal à l’aise. Les souvenirs ressurgissent, tu te revois ta bouche sur sa peau satinée, ta main dans ses cheveux. « Hey, Alice. Je t’ai manquée ? » Tu souries, mais le coeur n’y est pas. Tu veux faire la fille forte, celle qui n’a peur de rien, et n’aime personne mais c’est du faux tout ça. Une main sur la hanche, exposant tes courbes voluptueuses à son regard, tu ajoutes: « Bon, c’est pas que je suis pas ravie de te revoir après toutes ces années, mais j’ai un entretien d’embauche à passer. Bouge de là, j’attends quelqu’un.» Putain, tu te serais giflée. T’aurais voulu lui dire combien elle t’avais manqué, comment même après toutes ces années tu te réveillais en pensant qu’elle serait à tes cotés, comment il n’y avait pas un jour ou tu ne t’en voulais pas pour ce que tu lui avais fait. La seule chose que t’as envie de faire là, c’est de te jeter dans ses bras. Mais comme toujours, tu gâches tout, et tout ce que tu peux faire c’est contempler ce qui restait de votre amitié se briser.
Spoiler:
* cours se cacher *
Alice Waller
Messages : 851 Date d'inscription : 18/03/2016
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Sujet: Re: Entretien d'embauche [ft Megara] Mer 22 Mar - 9:58
Alice. Je t’ai manquée ? »
Elle se tenait là devant moi... Non c'était impossible, pas elle, pas maintenant. Apres toutes ces années elle revenait... J'en restai bouche bée...
« Bon, c’est pas que je suis pas ravie de te revoir après toutes ces années, mais j’ai un entretien d’embauche à passer. Bouge de là, j’attends quelqu’un.»
Ah parce qu'en plus elle se montrait condescendante ?
Désolée Meg mais c'est avec moi que tu passe l'entretien
Je tentai de rester neutre et dure mais le fait est que Megara avait été pour moi une amie proche, ma meilleure amie à l'époque où nous étions encore à la Colonie. Apres être parti de la Colonie, nous l'étions tellement que nous en étions devenues amantes, mais avec le temps j'avais fini par en tomber amoureuse, pour la première fois de ma vie... Nous étions un duo imbattable, rugissant telle des lionnes lors des combats, nous pouvions tout faire, le monde aurait pu être à nos pieds... Mais elle était parti du jour au lendemain, j'en avait été malade, j'étais parti de la Colonie pour éviter ces toquards et ce Warren qui me servait de plan cul, mais le coup fatal fut porter quand Meg parti...
Et pour ton info personnelle...
Il ne fallait pas paraître faible devant elle... Mais c'était trop dur, je m'étais beaucoup endurcie mais elle était, avec petit princesse Kelly, ma seule véritable faiblesse...
... oui tu m'a manquée
Je ne pouvais le cacher, visuellement je ne laissais rien paraître face à elle mais bien évidement qu'elle m'avait manquée, ma complice, ma meilleure amie, mon amante, et comme une ado stupide j'en étais tombé amoureuse sur la fin de notre relation, juste avant qu'elle parte je comptais lui faire part de ces sentiments nouveaux naissants en moi, mais sans me dire pourquoi elle était parti. Un soir endormi à ses côtés, le lendemain réveillée dans un lit froid dans notre mini appartement à New York...
Elle semble déstabilisée elle aussi. Son visage ne trahit aucune émotion mais tu en est certaine. Toutes les deux, vous êtes les deux faces d’une même pièce. T'as jamais cru à ses conneries d’âme-soeurs mais faut avouer qu'il y a quelque chose qui vous unissait toutes les deux. C'était ce lien indescriptible qui t'avais fait partir sans jeter un regard en arrière, t'avais eu peur. Peur de souffrir à nouveau ou pire, de la faire souffrir. Tu pensait que t'éloigner d'elle était la meilleure solution. Et pourtant, elle était là, devant toi, des années plus tard.
"Désolée Meg mais c'est avec moi que tu passe l'entretien " Et merde. Si l'imaginer bosser ici ne te surprend pas, tu n'en restes pas moins choquée. Tu vas devoir danser devant elle ? Comme ça ? C'est loin d’être la première fois qu'elle te voit en sous-vêtements mais cette fois, c'est bizarre, tu es gênée. Decidée à ne rien laisser paraitre, tu lui lances un regard de défi et t'apprètes à sortir une des ces répliques cinglantes dont tu as le secret. "Et pour ton info personnelle... oui tu m'a manquée" Tu es restée bouche-bée. Tu ne pensait pas compter autant pour elle, à ces mots les gragments de ton coeur brisé se serrent dans ta poitrine. "Je..." Tu ne peux pas finir ta phrase, les mots te brulent la gorge. N'importe qui aurait répondu "moi aussi", n'importe qui se serait jeté dans ses bras. Mais toi tu restes immobile, incapable de bouger ou de parler. Après plusieurs secondes qui t'ont semblé duré une éternité, tu finis par murmurer: "J'ai besoin d'un verre." T'avances comme un robot en direction du bar et attrape la première bouteille que tu trouves. Cul sec. L'alcool à un gout dégueulasse, et tu reprîmes ton envie de vomir mais c'était ce qu'il te fallait pour supporter tout ça. Ça va déjà un peu mieux, les effets commençant tout juste à se mettre en marche. Il faut que tu fasse diversion, il faut éviter de parler, de se faire du mal. Tu la regardes droit dans les yeux et t'approches tout près d'elle. Vos lèvres ne sont séparés que par quelques centimètres. Ne la quittant pas du regard, et avant qu'elle ne puisse protester, tu lui fais boire le reste de la bouteille. " On parlera plus tard. Et si on s'amusait, comme avant ? Tu sais, j'danse encore mieux maintenant. " Tu te mets à bouger, ondulant tes hanches au son d'une musique inexistante. Tu sais pas à quoi tu joues, mais une chose est sure, tu ne veux pas que ce jeu s’arrête.
Alice Waller
Messages : 851 Date d'inscription : 18/03/2016
Feuille de Personnage Arme(s): 2 épée: Une en fer Stygien, l'autre en métal hybride. Les 2 se transforment en boucles d'oreille (une pour chaque épée). Elles empoisonnent leur cible (quand elles font une coupure, à l'endroit de la blessure les veines commencent à noircirent et vous avez une douleur fulgurante pendant 10 sec, puis pendant une journée les veines restent noires et une plus légère douleur subsiste). Si vous subissez trop de coup de ces épées, les douleurs sont telle que vous pouvez en perdre la raison ou vous évanouir. Familier(s): Un furet femelle du nom de Bella. Elle n'écoute que sa maîtresse. Objet(s): Sac à dos résistant. Gourde à eau infinie. Grappin infini. Carte magique. Pierre messagère monté en bague. Pierre de reconnaissance monté en lunettes de soleil noires.
Elle semblait désemparée quand je lui dis mes mots, elle finit par prendre une bouteille et à boire, j'en étais choquée et n'eus pas réagi jusqu'à ce qu'elle me fasse boire à mon tour
"On parlera plus tard. Et si on s'amusait, comme avant ? Tu sais, j'danse encore mieux maintenant"
Elle se mit à danser de manière sensuelle, que faisait-elle ? J'enlevai la bouteille de ma bouche et la posai violemment sur le bar en m'essuyant la bouche.
Tu crois que c'est en venant te dandiner de la sorte et en me faisant boire que je vais pardonner ta disparition soudaine !? Non Meg non ! Ce monde ne tourne pas comme ça ! Il tournait selon NOS règles, mais quand tu es partis ce "nous" a disparu, donc maintenant tu t'assoit sur ce putain de tabouret et tu me dis ton CV qui je suis sûr est rempli de conneries ! Mais avant excuse moi deux seconde je reviens !
Je me levai et partie furax aux toilettes, je fermai la porte à clef et me regardai dans la glace, puis soudains je me mis à pleurer, la dernière fois que cela m'était arrivé c'était à propos de Kelly, ma seule faiblesse... Jusqu'à maintenant... Je savais que je devais aller lui faire passer l'entretient, puis la faire danser sur les barres pour qu'elle me montre de quoi elle était capable, mais la vérité c'est que je n'avais pas envie de faire ça, je ne savais pourquoi mais elle me rendait d'un coup faible. Moi qui n'avait jamais montré de sentiments autres au pour Kelly, moi qui avait mené à bien une bataille sanglante contre la Colonie, moi qui entraînais parfois les partisans de la résistance... Et là que faisais-je dans ces toilettes ? Non ! Il fallait que je me ressaisisse, Megara m'avait abandonné, elle avait fait son choix ! Je me remaquillai pour essayer de ne pas montrer que j'avais pleuré et sorti pour la rejoindre.
Bon file moi ton CV et va te placer en tenue sur les barres, que je t'observe. Le temps que tu te change je vais regarder ça. Et après si ça me plait je te poserai quelques questions. Va derrière le rideau là bas pour te changer. Et au faite pour la bouteille ça te fera 100$
Je lui dis ces derniers mots en commençant à regarder son CV, une tenue l'attendait derrière le rideau que je lui avais indiqué, il fallait que je reste forte, que je reste professionnelle, il fallait que je reste celle qui ne laisse personne lui dire non, il fallait que je reste Alice Waller.
Let's cause a little trouble. Oh, you make me feel so weak. I bet you kiss your knuckles right before they touch my cheek.
"Tu crois que c'est en venant te dandiner de la sorte et en me faisant boire que je vais pardonner ta disparition soudaine !? Non Meg non ! Ce monde ne tourne pas comme ça ! Il tournait selon NOS règles, mais quand tu es partis ce "nous" a disparu, donc maintenant tu t'assoit sur ce putain de tabouret et tu me dis ton CV qui je suis sûr est rempli de conneries ! Mais avant excuse moi deux seconde je reviens !"
A ces mots, le goût sucré de l'alcool sur ton palais devint amer. La fête était finie. A peine eut-tu le temps de la retenir qu'elle partait déjà telle une furie, te laissant seule avec ton désespoir. Tu la connaissais que trop bien, dans ces moments-là, il valait mieux la laisser tranquille. Tu te laissas tomber sur le mur, la tête entre les mains. Alice et toi, ça aurait pu être quelque chose de beau, quelque chose de bien. Vous étiez les reines du monde. Tu avais tout gâché, encore et encore. Tu sais que détruire toi, t'as jamais rien pu réparer, tu pouvais pas réparer votre amitié. T'aurais tant voulu retourner en arrière, changer le passé. "Bon file moi ton CV et va te placer en tenue sur les barres, que je t'observe. Le temps que tu te change je vais regarder ça. Et après si ça me plait je te poserai quelques questions. Va derrière le rideau là bas pour te changer. Et au faite pour la bouteille ça te fera 100$"
Tu sursauta. Tu ne l'avais pas vu revenir. Elle avait complètement changé. Pendant l'espace d'un instant, t'avais entraperçue la véritable Alice. Celle qui est brisée, abimée par la vie. Celle que personne ne connait. A part toi. Mais c'était fini maintenant, elle avait remis son masque froid et cruel. Tu croisas son regard et c'est comme si on venait de te poignarder en plein cœur. Pourquoi t'avais mal comme ça ? Tu tremblais. Te relevant, t'as pris une grande inspiration, pour te donner une contenance. Et t'a obéis, sans rien dire. T'as jamais été douée avec les mots de toute façon. Tu connais que les poings.
Tu t'es changée derrière le rideau. La tenue est ridicule. Un costume de policière sexy. Quel cliché. Fallait que tu reconcentres. Que tu l'oublie. T'étais là pour un entretien d’embauche et elle était ta collègue. Rien de plus. Tu recoiffas un peu tes cheveux avant de mettre le képi, finalisent la tenue. Le rideau s'ouvrit. "Tadam. Me voila. " Ta voix était sans conviction. "Alors ? Je suis assez bien pour toi ?" T'attendais juste une seule chose, qu'Alice te demande de danser pour que enfin, elle arrête d’obnubiler tes pensées. T'étais là pour danser.
Made by Neon Demon
Alice Waller
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Feuille de Personnage Arme(s): 2 épée: Une en fer Stygien, l'autre en métal hybride. Les 2 se transforment en boucles d'oreille (une pour chaque épée). Elles empoisonnent leur cible (quand elles font une coupure, à l'endroit de la blessure les veines commencent à noircirent et vous avez une douleur fulgurante pendant 10 sec, puis pendant une journée les veines restent noires et une plus légère douleur subsiste). Si vous subissez trop de coup de ces épées, les douleurs sont telle que vous pouvez en perdre la raison ou vous évanouir. Familier(s): Un furet femelle du nom de Bella. Elle n'écoute que sa maîtresse. Objet(s): Sac à dos résistant. Gourde à eau infinie. Grappin infini. Carte magique. Pierre messagère monté en bague. Pierre de reconnaissance monté en lunettes de soleil noires.
Je lisais son CV tandis qu'elle se changeait, la patronne avait préparé il me semble une tenue de policière, classique mais sexy, cela fait toujours son effet en soirée. Enfin... il faut dire que du moment que vous vous pavanez en tenue légère pour ne pas dire à poil, tout les hommes en chien du club sont à l'affût. Je relevai les yeux de son CV quand elle apparut.
Tadam. Me voila. Alors ? Je suis assez bien pour toi ?
A vrai dire ? Oui, elle était même très bien, mais j'avais décidé de ne plus rien laisser paraître, oui j'en étais semble t il toujours... comment dit on... amoureuse ? Oui nan c'est un peu fort... disons attiré, donc oui malgré cela je ne voulais plus rien laisser paraître, je lui dis donc d'un air froid et sans aucuns sentiments.
Oui, cela peut aller. Allez met toi en piste que je vois ce que cela donne sur le terrain, danse pour moi, séduit moi, donne moi envie de toi. Imagine que je suis un client qui semble avoir beaucoup d'argent, concentre toi seulement sur lui et fait en sorte que cet argent aille pour toi. Et donc pour le club...
L'entretient aller être compliqué... en effet cela n'allait pas être compliqué de me séduire venant d'elle... mais je n'étais pas objective, elle m'attirait toujours et depuis que je l'avais revu j'étais un peu perdue. D'habitude si celles qui venaient passer l'entretient ne se débrouillaient pas trop mal, dansaient bien, et étaient assez jolie ou du moins facilement retapable avec du maquillage et autre, je les prenais. Mais là cela serait plus compliqué, même si se débrouillait, je ne saurais que faire, il faudrait que je travail avec elle après tout de même... en aurais-je été capable ? Il fallait se rendre à l'évidence, c'était un choix compliqué et mon travail en dépendait. Si je la prenais peut être que nous aurions pu recoller les morc... non ! Elle m'avait brisé ! C'était la seule à l'avoir fait et je m'étais juré que cela resterait la seule, plus jamais ça !
Let's cause a little trouble. Oh, you make me feel so weak. I bet you kiss your knuckles right before they touch my cheek.
Tu serra les poings et te mordit violemment la lèvre, une goutte de sang pourpre tombant sur ta langue, remplissant ta bouche de ce goût métallique et acre. Aucune expression, aucune émotion ne vint troubler le visage si froid et si beau de celle qui fut ton amante, ton amie, ta moitié. Tu ne lui plaisait plus, il n’y’ avait aucune lueur de désir ou de passion dans ce regard, juste de la dureté et de la froideur. Ça t’énervait. Comment pouvait-elle faire comme si il n’y avait rien eu entre vous ? Comme si tu n’étais pas la seule personne au monde qui la connaissait par cœur ? La seule personne qui avait réussi à voir le vrai visage d’Alice Waller ? Pour peu, tu te serrais jetée sur elle, et tu l’aurais secouée, pour qu’enfin, elle réagisse. Néanmoins, tu ne fis rien, si ce n’est un sourire un sourire hypocrite, pour cacher ta peine. Après tout, tout ça n’était que ta faute. « Oui, ça peut aller. Allez, mets toi en piste que je vois ce que ça donne sur le terrain, danse pour moi, séduis moi, donne moi envie de toi. Imagine que je suis un client qui semble avoir beaucoup d’argent, concentre toi seulement sur lui et fait en sorte que cet argent aille pour toi. Et donc pour le club » « Tout ce que vous voudrez, boss. » Tu avais pris soin d’enrober chacun de tes mots dans une ironie fielleuse pour qu’ils soient aussi coupants que des poignards.
Elle voulait que tu la séduise ? Très bien, madame sera servie. Elle allait voir. Toi, fille de la guerre, prenait ça comme un défi, et si il y’a bien quelque chose que tu déteste c’est bien perdre. Tu lui fis un clin d’œil des plus provocateurs. Que le jeu commence. Les premières notes de la chanson Partition de Beyoncé retentirent. Tu commenças par enlever le képi de policier, laissant ta crinière brune libre sur tes épaules. Lentement, très lentement, tu commença a onduler des hanches, tout en passant des mains avides sur ton corps. Il fallait faire monter la frustration, la faire douloureusement attendre pour qu’elle se consume pour toi. Tu avais le contrôle. Et c’était plus euphorisant que n’importe quelle drogue. Take all of me, I wanna be the girl that you like… La voix sensuelle de Beyoncé accompagnait chacun de tes mouvements. Un bouton, deux boutons, trois boutons. La blouse de l’uniforme était à présent ouverte, révélant légèrement ta poitrine, pas complètement, juste assez pour qu’elle puisse vouloir en voir plus. Pendant tout ce temps, tu n’avais pas quitté la fille d’Hadès des yeux, la dévorant tout simplement du regard. Oh, tu la voulais. Tu voulais son corps, ses lèvres, tout. D'un geste habile, tu fis glisser tout l’uniforme par terre. Il était temps de passer à la vitesse supérieure.
Tel un prédateur et sa proie, tu t'avançais vers elle, prête à n'en faire qu'une bouchée. Tu te mis à danser sur Alice, t'assurant qu’elle ait la meilleure vue possible sur tes formes charnelles. The kinda girl you like, is right here with me... Tu passais tes lèvres sur son cou gracile, l'effleurant et la frustrant. Tes doigts se souvenait de chaque partie de son corps, comme si ne vous étiez jamais quittées. C'était divin. « Oh, Alice... Tu m'as tellement manquée» Et là, emportée par cette transe, tu fis ce que tu t'étais formellement interdite de faire. Ce a quoi tu pensais depuis la seconde ou tu l'avais revue. Tu l'embrassa. Tendrement, puis férocement, comme pour t'assurer que ce moment ne puisse jamais s’arrêter.
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Alice Waller
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Elle se mit en place et commença ce qui me sembla la plus dure épreuve que j'eu à subir... Car il fallait le reconnaître elle se débrouillait très bien, mais encore une fois je n'étais pas objective. Je me retenais de détourner le regard, cela lui aurait montré que je pouvais difficilement la voir comme ça et donc laisser transparaître un sentiment. Je pris sur moi et la regardai, elle non plus ne détournait pas le regard. Elle était si s... non Alice non ! Ne replonge pas ! Je me mordis discrètement l’intérieur de la lèvre pour ne pas qu'elle le voit et pour me maintenir à la réalité. Megara ? Nan mais Megara quoi ! Pff... il fallait que cela soit moi qui soit d'entretien aujourd'hui... il fallait que cela elle qui vienne le passer... Elle vint vers moi, déjà partiellement déshabillée. Elle n'avait pas changé, toujours aussi belle et sexy, aux courbes parfaites et... Alice putain tu replonge reprend toi ! Cela devint de plus en plus dur quand ses lèvre vinrent effleurer mon cou, un légère frisson parcouru mon corps. Et merde ! Mon visage si impassible jusqu'ici venait d'être trahis par un simple frisson !
Oh, Alice... Tu m'as tellement manquée
Non non non ! Ne dis pas ça non ! Arrr... j'avais tellement envie de lui répondre que moi aussi, j'en brûlai d'envie... Mais je gardai avec grande difficulté mon visage de professionnelle qui fait passer un simple entretien. Mais cela fut compromis lorsqu'elle m'embrassa, d'abord se fut un baiser tendre et doux avant de devenir passionnel. Sous l'effet de la surprise, et je l'avoue du désir..., je ne me retirai qu'après quelques petites secondes. Je la repoussai et décrochai une de mes boucles d'oreilles qui devint une de mes épées empoisonnées.
Que... Comment as-tu osé !!?? Ça te plais de jouer avec moi Meg ?!
Puis je soupirai, folle de rage, avant de remettre mon épée en place et de lui tourner le dos en commençant à m'éloigner. Mais je m’arrêtai et couru à nouveau vers elle, je mis une main derrière sa nuque et l'embrassa avec la même fougue dont elle avait preuve.
Let's cause a little trouble. Oh, you make me feel so weak. I bet you kiss your knuckles right before they touch my cheek.
Les lèvres d’Alice étaient le plus vicieux des poisons. C’était un poison ardent qui te brûlait la gorge, descendant lentement, dangereusement vers ton coeur. Les lèvres d’Alice étaient le plus délicieux des vins. Tu voulais t’en abreuver jusqu'à la dernière goutte, jusqu'à l’excès. C’était comme goûter à la divinité. Ces plaisirs violents ont des fins violentes. Tu comprenais enfin cette citation de Shakespeare – car oui, tu savais lire, malgré ce qu'affirment les mauvaises langues. Les mots de Shakespeare résonnaient dans ton esprit alors Alice se dégageait brutalement de ton étreinte. « Que... Comment as-tu osé !!?? Ça te plait de jouer avec moi Meg ?! » Elle avait dégainé ses épées et même là, avec la fureur qui brûlait dans ses yeux verts, tu ne pouvais t’empêcher de la trouver belle. Belle à en crever. T’aurais pu te damner pour ces yeux là, subir milles tourments pour qu’elle t’accorde un regard. Tu détournes la tête pour ne plus la voir, pour ne plus souffrir. Là encore, les mots te manquent. Ces satanés mots. Tu as toujours eu tendance à brailler pour un rien mais à être muette quand ça touche l’intérieur. Tu devrais lui demander pardon. C’est ce que ferait une personne normale. Une personne normale essayerait d’arranger tout ça, de recoller les morceaux. Mais t’es incapable de réparer quoi que ce soit, tu ne sais que détruire, c’est tout ce que tu connais. C’était peut être ça qui t’avais attirée chez Alice. L’aimer était le plus exquis des moyens de s’autodétruire.
Elle commença à s’éloigner. Une personne normale lui aurait couru après pour la rattraper, mais t’es juste restée immobile. C’était peut être mieux comme ça. Tu ne la méritais pas. Tu ne méritais personne. Pourtant, trop vite pour que tu puisse réaliser ce qui se passait, elle courut vers toi et te retourna ton baiser. Tu te laissa faire, abandonnant toute raison, n’écoutant que ce ton corps voulait. Et il la voulait, elle. Entièrement. Possédée par un désir ardent, tu la plaqua violemment contre le mur, agrippant ses poignets avec fermeté pendant que ta bouche se perdait dans le creux de son cou. C’était à la fois si familier et si différent. Si intense. Y’avait comme un feu destructeur qui te brûlait lentement les entrailles à chaque fois que tu la regardais, à chaque fois que tu sentais son parfum si enivrant, à chaque fois que tu te rapprochais un peu plus de ses lèvres. Combien de personnes avaient goûté aux charmes d’Alice ? Mais combien avaient réussi à prendre totalement controle d’elle ? Tu le savais que trop bien, Alice ne faisait pas dans le genre vierge effarouchée. Et pourtant, tu jurerais sur le Styx que personne ne l’avait jamais touchée comme tu le faisais maintenant. Pressant ton corps encore un peu plus près du sien, tes doigts vinrent griffer l’intérieur de ses cuisses. Il n’y avait aucune douceur dans tes gestes. Tout n’était que désir. Quelqu’un aurait pu rentrer dans la pièce et vous voir mais tu t’en fichais plus complètement. Il n’y avait plus qu’elle et toi. Pour toujours.
Non. Si ton corps s’était laissé emporter par ce tourbillon de plaisir, ton esprit, lui, te hurlait d'arrêter. Tu ne pouvais pas. Etre avec Alice c’était trop douloureux. Elle faisait ressortir le pire en toi. Tu t’arreta net, le corps raide, les lèvres encore posées sur celles d’Alice. Ta tête te tournait d’un coup, mais pas sous le coup de désir cette fois mais sous le dur coup de la réalité. Elle et toi ça ne pourrait jamais marcher. Ca ne pourrait jamais marcher avec personne. Pas après Charlie. Pas après Matthew. Lentement, tu te décollais de son corps. Et dire que quelques minutes auparavant tu te consumais pour elle...Maintenant, il n'y avait plus que le vide. La seule constante dans ta vie. Tu te plongeais une dernière fois dans son envoutant regard, avant de lâcher les mots qui vous séparerait à jamais. “Alice. J’peux pas continuer. On ne peut pas continuer. Toi et moi, ça n’arrivera jamais. Tu m’entends ? Jamais. ’’ Ta voix était dénuée de toute émotion, ton visage froid et dur. T’as toujours été douée pour jouer la comédie, t’aurais pu faire une superbe actrice dans une autre vie. Mentir était un jeu d’enfant pour toi alors pourquoi c’était si dur là ? Tu pris une grande inspiration. Le pire était à venir. “ T’as pas compris ? Je veux pas de toi. Je voulais pas de toi y’as cinq ans et c’est pareil aujourd’hui. C’était amusant au début mais maintenant, je ne veux plus jamais te voir. ‘’ Alors que tu lui craches ces mots, d’autres restent coincés dans ta gorge. Je ne veux pas te faire du mal. Comme j’en ai fait aux autres. Je ne veux pas détruire la seule chose qui compte encore pour moi. Tu ne pourras jamais lui dire ça. Tu ne pourras jamais lui dire la vérité.
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Alice Waller
Messages : 851 Date d'inscription : 18/03/2016
Feuille de Personnage Arme(s): 2 épée: Une en fer Stygien, l'autre en métal hybride. Les 2 se transforment en boucles d'oreille (une pour chaque épée). Elles empoisonnent leur cible (quand elles font une coupure, à l'endroit de la blessure les veines commencent à noircirent et vous avez une douleur fulgurante pendant 10 sec, puis pendant une journée les veines restent noires et une plus légère douleur subsiste). Si vous subissez trop de coup de ces épées, les douleurs sont telle que vous pouvez en perdre la raison ou vous évanouir. Familier(s): Un furet femelle du nom de Bella. Elle n'écoute que sa maîtresse. Objet(s): Sac à dos résistant. Gourde à eau infinie. Grappin infini. Carte magique. Pierre messagère monté en bague. Pierre de reconnaissance monté en lunettes de soleil noires.
Elle répondit à mon baiser par une ardeur folle, enivrante, qui nous consumait toute deux. Je lui en voulais tellement de m'avoir abandonné, mais je ne pouvais me refuser à elle, je ne VOULAIS pas me refuser à elle. Ses baisers devinrent plus fort encore et allèrent se loger dans mon cou alors qu'elle me plaqua les poignets contre le mur. Il n'y avait qu'avec elle que je m'adonnais à ce plaisir de cette façon, jamais personne d'autre ne prenait le dessus sur moi, excepté elle. Je revis alors pendant un instant nos moments d'il y a cinq ans, où nous étions alors encore coloc et amantes. Avant que je ne commence à éprouver pour elle mes premiers sentiments d'amour à l'égard de quelqu'un d'autre que moi.
Elle se serra de plus en plus contre moi et le passage de ses mains sur mon corps me fit alors frisonner et je cambrai la tête en arrière pour profiter pleinement de ses baisers dans le cou. Le désir dont elle faisait preuve n'était alors que le reflet de celui dont j'étais empli à chaque fois qu'elle se trouvait proche de moi. Quand elle revint vers mes lèvres, notre baiser fut si passionné.... et malheureusement si court ! Elle tourna la tête et après s'être décollée de moi, elle me regarda droit dans les yeux pour me dire des mots qui furent l'effet d'une bombe en moi:
Alice. J’peux pas continuer. On ne peut pas continuer. Toi et moi, ça n’arrivera jamais. Tu m’entends ? Jamais.
Elle était d'une telle froideur, d'une telle... dureté ! Après ces quelques secondes l'une contre l'autre, ces mots ne faisaient que résonner en moi, je ne pouvais y croire ni même accepter. Je ne réalisais peut être pas réellement ce qu'elle venait de dire, mais le coup de grâce fut alors porté:
T’as pas compris ? Je veux pas de toi. Je voulais pas de toi y’as cinq ans et c’est pareil aujourd’hui. C’était amusant au début mais maintenant, je ne veux plus jamais te voir
Toute vie cessa alors autour de moi, le temps se figea, mon cœur fut comme plongé dans un bain d'acide, la douleur que je ressentais dans la poitrine était telle que je ne pensais pas qu'une telle douleur puisse exister. J'avais eu beaucoup de mal à faire mon "deuil" et à accepter son départ, sa revenue m'avais chamboulé et fait de la peine mais ce n'était pas encore insurmontable. Mais après ce torride échange, ces paroles, ces regards... je ne pouvais entendre ces mots. Un couteau dans le coeur, du poison dans les veines, je ressentais le poids de plusieurs années me tomber dessus. De ces moments passés avec elle, de ces instants que nous avions passés où nous étions de véritables dominatrices de ce monde. Nous régnions sur notre petit monde et nous avions tout ce que nous voulions... Puis il y eu son départ et à présent son retour... Nos derniers échanges si intenses d'il y a quelques secondes n'était alors que simple pulsions corporelle ? Je ne valais alors pas mieux que les clients pleins de tunes à qui je me vendais pour un soir ? Aux yeux de Megara je n'étais qu'une distraction ? Je n'avais rien contre le fait d'être un simple plan c**, après tout j'étais l'un de ceux de Chrysaor ainsi que de beaucoup d'autres, mais là il s'agissait de Megara...
Mon regard devait peut être plus exprimer l’incompréhension que la colère, à cet instant je prenais simplement un train lancé à pleine vitesse en plein cœur. Quand ce dernier repartis et qu'enfin tout autour de moi se remis à reprendre vie, j'étais prête à à nouveau m’effondrer au sol, mais je ne voulais lui donner ce plaisir ! Je me contenta alors sans dire mot de simplement lui mettre une gifle monumentale. Puis une seconde. Quand je levai la main pour une troisième, je me retins et lui dit simplement, les yeux brillants de larmes prêtent à prendre leur liberté:
Tu n'es Vraiment Qu'une Véritable Sal**e
Je ne pu dire plus de mot sans prendre le risque de fondre en larme, alors, forçant tout mon corps à se contrôler en tremblant presque, je secouai doucement la tête en partis en marchant rapidement, prenant mon sac à main posé sur le bar au passage et sortant du night club. Elle m'avait humilié, elle m'avait trahis une fois de plus, elle m'avait détruite une fois encore. A l'époque elle était partit quand je ressentais quelque chose de fort pour elle et quand je pensais déceler quelque chose de semblable chez elle. Visiblement je me trompais... Même si je pensais la connaitre et savait que ce n'était surement qu'une armure pour se protéger de tout sentiment, au fond je croyais vraiment à ces paroles. Elle ne voulait alors pas de moi et ne l'avait jamais voulu ? Alors parfait elle ne m'aurait jamais ! Je marchai rapidement en direction de la voiture que j'avais prise au QG et décidai d'y renter pour aller dans mes quartiers. Au volant de la voiture, je m'appuyai sur le volant à deux mains et y posai mon front, me laissant enfin aller sans avoir à subir son regard. Je ne voulais pas la laisser plus gagner qu'elle ne l'avait fait, mais je ne pouvais pas non plus jouer la comédie bien longtemps, le fait est qu'elle avait encore une fois gagné: elle avait encore eu raison de moi sans que je ne puisse rien y faire. Si elle n'avait pas existé, j'aurai pu être une véritable reine en ce monde, sans elle j'aurai pu être résistante à toute chose pouvant m'arriver. Car hormis elle, rien ne m'atteint, et elle le sait... Tu sais quoi Meg ? De toute façon moi non plus je ne te veux pas finalement !