Une rencontre à la forge [PV Andromeda Diolcos]

Une rencontre à la forge [PV Andromeda Diolcos]

Il était vers 10h30. Comme toujours, je m’étais réveillé à 7h et les autres à 8h. Dès mon réveille, j’étais venu travailler à la forge. Comme petit déjeuné, j’avais eu une barre aux céréales. Une fois par semaine, le lundi, j’allais piquer au moins 7 barres aux céréales et j’en mangé une chaque matin. Pour l’instant je ne m’étais jamais fais pris la main dans le sac… Enfin, si, une fois par un enfin d’Hermès mais j’avais acheté son silence avec la moitié de mon stock. Pourquoi je volais des barres aux céréales à la place d’aller manger un vrai petit déjeuné ? Car comme ça, à la place d’aller manger un petit déj’ et perdre du temps, je pouvais manger un tout petit déjeuné et travailler dans la forge. Mais bon, passons.
Comme chaque matin, tous mes demi-frères et sœurs, travailler eux aussi dans la forge. La plus part travaillait par petit groupe de deux ou trois. Quatre travaillé seul, comme moi, mais dans leur coins et ne semblait pas très bonne humeur. Sans doute à cause de la dispute qu’il y avait eu hier soir. La plus part, voir presque tous, des enfants d’Héphaïstos ne sont pas très bon en communications avec d’autres être vivants. J’étais une des exceptions. J’étais très sociable, c’était sans doute pour ça qu’on me demandé plus souvent à moi qu’aux autres des services. Ne nous éloignons pas du sujet, hier soir il y avait eu accrochage entre le chef du bungalow et un nouveau. Et, comme toujours, quand il y avait une histoire, tout le monde s’en est mêlé. Presque tout le bungalow avait pris le côté du chef, mais trois avaient pris le côté du nouveau. Quand à moi, j’avais essayé de les calmer, mais j’avais vite abandonné voyant qu’ils m’ignorait et j’étais partis prendre l’air.
Je sortis d’un coup de mes pensées quand je me tapai avec mon marteau sur mon pouce. Je lâchai un petit « aie » et je me retins de juré. Je me dirigeai vers la sorte de cascade qu’on avait créé et me passai mon pouce sous l’eau pour soulager la douleur. Une fois la douleur presque complètement partie, je retournai à mon travail. Je devais faire une nouvelle épée pour Alena, une fille d’Apollon qui venait souvent me demander de réparer ou de faire ses armes. J’étais un peu son forgeron. Une fois finis de modeler l’épée, je la mis dans un seau d’eau glacée pour la refroidir. Je ne l’avais pas passé sous la cascade à cause des risques que l’épée soit déformée à cause de la pression de l’eau. Une fois l’épée bien refroidis, je la posai sur une table. Je me retournai et vis une fille que je n’avais jamais vue au paravent.

Répare juste mon épée

feat. James ~

"Bon, je ne suis pas morte pendant la nuit." C'est la première pensée que j'avais eu en me levant ce matin-là. Vous allez sûrement trouver ça bizarre, mais en tant que fille de la Mort, je devais me tenir prête. On ne sait jamais si on survivra à une nouvelle journée. Tout était calme. Après 3 ans à la Colonie, j'avais pris mes habitudes. Je m'étais levée en silence, comme tout ce que je fais, et je me suis habillée. Je n'ai pas pris la peine de me regarder dans le miroir. Je sais à quoi je ressemble. Je sais que je suis banale, que je ne suis pas... belle. Je sais que mes cheveux ondulés sont d'un châtain tout ce qu'il y a de plus banale. Je sais que je suis mince, sans formes. Est-ce que j'ai besoin d'un constant rappel de cela ? J'ai enfilé un jean skinny noir, un T-shirt orné de la pochette de l'album de Green day "American Idiot" et des Doc Martens noir. Je sais, je suis la reine de la fantaisie et de la bonne humeur.
J'ai empoigné mon épée, avant de me souvenir avec douleur qu'elle est cassée. Enfin, cassée, c'est un bien grand mot. "Juste cabossé", selon mon adversaire la veille. Mais elle est quand même tordue. Il faut que je la fasse réparer. Mon épée, c'est la chose la plus précieuse que j'ai. Avec Krima, mon corbeau apprivoisé.
D'ailleurs, à peine étais-je sortie qu'elle m'a rejoint en se posant sur mon épaule. Je lui caresse la tête tout en chuchotant en grec moderne "Allons à la forge, réparer mon bijou." J'ai rarement faim le matin, donc je ne suis pas passée au petit déjeuner. Et me voilà sur le chemin pour rejoindre la forge.
Pour ma défense, je dois dire que je n'aime pas particulièrement cette endroit. Il fait chaud, et je n'aime pas la chaleur. Rien ne vaut le froid de l'extérieur. Je profite donc de mes derniers instants de fraîcheur avant d'entrer dans la fournaise. Je ne frappe pas, de toute façon, avec le bruit de leurs outils, ce serait parfaitement ridicule et inutile. Lorsque j'entre, la plupart ont l'air très occupés, et me lancent des regards hargneux. On va dire que je ne suis pas inconnue de tout le monde, et qu'être la fille de Thanatos effraie un peu les gens. Je lève les mains en disant sarcastiquement :
"Je viens en paix."
Ils n'ont pas l'air d'apprécier toute la portée de mon ironie, alors je me dirige vers celui qui semble le moins... hostile. Je ne connais pas son nom, mais je pense qu'il a autant d'héritage paternel que les autres, pour réparer ma précieuse épée de fer stygien.
Je m'éclaircie la voix, avant de lui lancer :
"Hum... Euh, excuse-moi, mais j'ai besoin de tes services. Tu peux réparer mon épée ? Elle est en fer stygien."
Autant dire tout de suite que je ne me suis pas fendue d'un sourire. Ce n'est pas dans ma nature. Et moi et les relations humaines... Une longue histoire tourmentée. J'ai posé mon épée sur sa table de travail et croisé les bras, en attendant sa réponse.

Fiche codée par UmiBwack sur Epicode.Ne pas retirez.

Les autres Héphaïstos lancèrent des regards noire à la fille. Ok… C’était sans doute le genre de fille qui était hyper insociable, mais bon, je n’aimais pas les préjugés et je préférai faire moi-même mon avis des gens. « Je viens en paix » dit la fille sarcastiquement. Je ne peus pas m’empêcher d’avoir un sourire en coin amusé. La fille vins vers moi. J’en déduis donc que j’allais encore avoir quelque chose à faire ou à réparé. Cet après-midi j’avais rien de prévu donc j’allais sans doute passer tout mon après-midi à la forge. Mais bon, j’étais habitué ! Le seul, problème c’est que j’en connaissais un qui allait sans doute me faire encore un caprice…
"Hum... Euh, excuse-moi, mais j'ai besoin de tes services. Tu peux réparer mon épée ? Elle est en fer stygien." Dit-elle. Elle posa l’épée sur la table. Je pris l’épée et la regarda. Après avoir regardai l’épée sous tous ses angles, je répondis enfin à la fille « Je pense pouvoir faire ça » . Je lui souris et posa l’épée sur la table « Tu en as besoin pour quand ? » Lui demandai-je ensuite. Certes, dans tout les cas je comptais travailler cet après-midi dessus, mais je voulais savoir si j’avais quand même le temps de terminer autre chose qui allait m’être très utile. Je comptais terminer une machine qui lavait, sécher et changer les draps en un rien de temps. Une question, toute simple me brulait les lèvres, mais la fille ne semblait pas être plus douée que les Héphaïstos au niveau sociable. Au bout de même pas une seconde, ma curiosité l’emporta « Comment tu as fais ça ? Elle est quand même bien cabossée ! Celui qui a réussis à faire ça est quand même assez fort ! Je dois l’avoué ». Je fis apparaître du feu dans ma main. Je vis que Kyle, un de mes nombreux demi-frère insociable me regarda l’air méprisant. Il était toujours jaloux du fait que je fasse parti des très rares enfants d’Héphaïstos qui contrôler le feu. Il pensait qu’Héphaïstos me préféré parce que j’avais ce don. Foutaise . Il m’avait bien ignoré, comme tous les autres. Et il avait bien prit son temps pour me reconnaitre comme son fils. Encore plus longtemps qu’il prenait normalement. Alors oui, c’est sûr ! Je suis le fils préféré d’Héphaïstos ! Je commençai à fondre un peu l’épée.

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Sujet: Re: Une rencontre à la forge [PV Andromeda Diolcos]

» La Forge aux RP du boiteux.
» Bienvenue dans la forge aux amis de Rey' !
» Un petit tour à la forge [PV Reynold] (TERMINE)
» Sortez donc Rey' de sa forge, il faut qu'il prenne l'air !

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