Encore une froide et grise journée d'hiver. Mes châtains sont presque tous fourrés dans un bonnet et mon long meneaux gris anthracite est une bonne source de chaleur. Même si je n'ai pas froid en réalité. Aller au Lycée  à pied est le seul moment ou je peux être tranquille avec mes cours de harpes dans le oreilles. Ouai je sais la harpe ça peut vous paraitre naze mais j'adore cette instrument, okay ? A tiens ? Encore un qui s'écarte vivement dès que j'approche. Génial. De toute façon ma vie n'est que cela. Des gens qui fuient quand ils me voient. Je fais rien pourtant, je marche juste et normalement, du moins en principe. Je veux dire c'est pas comme si je sautillais à leur rencontre vêtu comme un sac. Je marche juste vers eux parce que l'on est sur le même trottoir.
De manière général j'aime pas les gens. Enfin j'aime pas qu'ils me fixent sans aucune raisons et avec insistance. Etre seul dans une foule est une torture. J'arrive même pas sourire au naturel j'oublie de sourire au bout de trente secondes. J'aime pas être seul. Pourquoi je suis toujours seul. Je suis gentil nan ?
M'enfin je m'égare je raconte cette journée parce qu'elle marque un tournant décisif dans ma vie. C'est le cas de le dire. J'allais donc au lycée encore groggy et mal réveillé car curieusement je me sentais mieux avec un peu de soleil même si je ne suis pas vraiment bronzé. En arrivant devant la grille du complexe de bâtiments qui constituent mon lycée je m'arrête et soupir en enlevant mes écouteurs. Aller plus qu'un jour et tu es en vacances. C'est alors que j'entre pour dire bonjour à mon seul amis,Grover, un ado avec un béret de rasta toute l'année et un duvet qui ressemble presque à de la barbe. Il est plus grand que moi d'une demi-tête ce qui est frustrant. Je vous avoue aussi qu'il est très étrange. Il souffre d'une maladie musculaire qui l'empêche de marcher sans des béquilles d'après ce que j'ai compris mais ce qui est bizarre c'est qu'il sens la laine comme un animal de ferme. Il se gratte souvent les jambes et disant qu'il serait mieux sans pieds et qu'il doit protéger la nature, ce qui me fait assez rire. C'est un des seul  ne pas encore m'avoir fuis mais il semble ne pas aimer la ville et je le surprend parfois a grignoter un bouchon en plastique de stylo en cour. Également il semble bien plus vieux qu'un lycéen normal.
-Hey Liam tu vas bien ?Dit-il en souriant et me tendant la main.
-Salut Grover ! Lui répondis-je en luis serrant la main. Ça peut aller juste encore endormi j'ai pas eu ma dose de vitamine D aujourd'hui.  Le Soleil me ferait du bien.
-On en aurait tous bien besoin. Surtout ces plantes là-bas. Regarde ! Comment elles sont plantés? N'importe quoi en plus elles sont pas arrosées depuis deux semaines ! Dit-il en enchainant avec une légère pointe de colère. Ah les humains !
Je m'apprêtais à lui répondre quand notre sonnerie retenti nous indiquant de se rendre en cour de philosophie. Je suis en filière littéraire ou du moins cela y ressemble. Notre lycée est un lycée particulier. Une sorte de lycée pour gosse de riche , excepté quelques rares occasions comme Grover et moi, qui ont de problèmes.
Je suis pas un délinquant je veux dire. J'ai juste un syndrome d'ADAH et j'ai énormément de mal à lire un texte. Pour vous dire je m'en sors mieux avec une partition. Mais le lycée m'a accepté depuis deux ans miraculeusement et j'ai rencontré Grover qui est en réalité américain. Du coup il nous arrive de parler en anglais très souvent. Il est dans une sorte de programme d'échange avec une autre sorte de école ou de camp de vacances, type colonie. Enfin je n'ai pas très bien compris car il m'en parle comme une colonie mais et officiellement c'est  une école.
D'ailleurs je suis un peu triste de savoir que Grover à beaucoup d'amis en dehors du lycée dans son école. Je suis pas jaloux ! Juste qu'il me parle souvent de ses amis en termes assez élogieux comme si c'était des héros qui sauvait le monde et j'avoue que ca me faisait mal parce que personne ne semblait aussi attaché  moi et je ne me sentais pas à l'aise nul part.
-Liam ? La terre appelle la Lune ? Tu me reçois ?
-Quoi qu'est-ce qu'il y a Grover ? Repondis-je en secouant la tête lors du cour pour me sortir de mes pensées.
-Je disais que je voulais te parler d'un truc...
-De quoi ? Demandais-je interloqué.
Il semblait nerveux et il y avait un anxiété assez inhabituelle dans sa voix qui me disait que quelque chose clochait.
-bah... comment dire...
-Dis moi. Je vais pas te manger. Je suis gay certes mais je vais pas te sauter dessus non plus,plaisantais-je. Et puis tu as une copine hein. D'ailleurs elle viens te rendre visite pour ses vacances ? Et pour le concert ce soir elle sera là ?
Il regardait nerveusement la table comme si il allait la grignoter sous le coup du stress.
-Justement je voulais te dire que je serais pas là ce soir pour le concert. Commença-t-il avec prudence. En fait, je rentre au Etats-unis  la Colo...l'école ce soir car mon séjour et terminé. Je n'ai pas trouvé ce que je cherchais ici.
Je le regardais avec stupéfaction. Je ressentais un mélange de tristesse et de colère assez perturbant. Grover partait ce soir. Il aurait pu me prévenir avant. Il aurait du me prévenir avant. En Plus, je me faisais un joie de participer au concert avec lui cela faisait un an qu'on se préparait et cela m'enthousiasmais de me dire que j'avais un ami avec une passion de la musique même si ses airs de flûtes de pan ( venez pas me dire que ma harpe et bizarre à côté) était un peu stridents et très vieux jeux.
-Mais ne t'en fais pas ! Je suis là jusqu'à ce soir. C'est juste que je dois rentrer pour les vacance et rien ne me retiens ici.
Je me vexais. « rien » c'est ce que je devais être alors vu qu'il partait comme ça de but en blanc. Tu parles d'un ami toi ! Il ne me considère même pas comme l'un des siens. Idiot de Liam pourquoi tu y as cru !
-Bien si RIEN ne te retiens je vais partir répéter, Seul ! Répondis-je sèchement pile au moment où la sonnerie retentissait et que les rares élèves de musique devaient partir dans l'auditorium pour répéter.
-Liam...
Mais je me dirais d'un pas rapide vers la porte. Il essaya de me suivre mais je marchais plus vite et les autres élèves qui s'écartaient sur mon passage , encore, se refermaient sur lui comme des vagues sur un rocher.
J'atteignis l'auditorium en un temps record et me jetais sur ma harpe quand quelques que chose me dérangea fortement. Il y avait une odeur rance de poissons et de moisissures qui flottait légèrement dans la pièce. Je ne saurais dire d'où l'odeur venais mais elle était inconfortable et en regardant les autres élèves j'étais le seul à la remarquer. Elle me faisait penser à des vieux relents de mer vraiment horrible qu'on pouvait avoir sur la plage. Peut-être un tour de mon imagination.
D'ailleurs ils semblaient voir plus de chanteuses que d'habitudes dans le groupe. Il y avait une demi douzaine de filles blondes au cheveux fillasses qui étaient assisent avec les autres chanteurs. Elles ne me semblaient pas familière et leurs regards insistant sur moi me mettait très mal à l'aise. Elles avaient la bouche grasse et peu nettoyée ce qui était également peu ragoûtant. Mais après je rêvais peut-être. Me connaissant ces filles devaient être la depuis le début de l'année mais je ne les avaient jamais remarqués car je restais collé avec Grover.
D'ailleurs ce derniers venant de me rattraper mais dès qu'il entra la professeur de musique l'interpella en le sommant de retourner en cour car il ne faisait plus l'option musique.
Cependant lorsqu'il me jeta un regard avant de partir et que je daignais tourner la tête je vis qu'il humait l'air et avait un regard alarmant de peur. Mais il dû quand même partir. Et j'avoue que j'étais content mais seulement parce que j'étais vexé et que si je le voyais j'allais me rappeler qu'il devait repartir voir ses amis extraordinaires et son école si cool et je voulais pas cela car cela me rappellerait aussi que je serais seul après.
Je passais le reste de la journée à me préparer et à jouer pour le concert. La professeur était venu me demander ce que j'allais fait vu que mon numéro avec Grover ne se ferait pas mais je répondit que j'avais deux ou trois morceaux alors qu'en vérité j'allais juste improviser. Les ricanements et les regards insistant des filles blondes au cheveux fillasses devenaient plus insistant ce qui m'agaçait de plus en plus mais je m'étais promis de ne pas m'énerver quand j'étais arrivé au lycée à ma mère car il se passait toujours des choses étranges et je m'étais déjà fait renvoyer à plusieurs reprises.
A la pause déjeuner Grover essaya de me rattraper pour manger avec moi mais je m'éclipsais pour l'éviter. Néanmoins il semblait inquiet et parlais de façon urgentes avec un professeur que nous avions en latin qui avait un fauteuil roulant et un veste en tweed. Professeur que j'aimais bien mais qui semblait toujours m'introspecter ce qui avait le don de me faire me fermer encore plus.
J'entendis juste le mot «  danger » lorsque je passais discrètement par un autre accès de la cour près d'eux pour retourner  l'auditorium.
La nuit tomba rapidement comme nous étions en hiver et le concert se rapprochais dangereusement. Je devenais également une pile électrique. La tension de savoir que des gens allaient me regarder jouer accroissait mon hyperactivité. Je bougeais partout et quand je vis tous les spectateurs rentrer je me surpris à me voir chercher quand même Grover dans la foule mais cela ne servait  rien car il devait déjà être dans l'avion pour son retour au Etas-unis.
Quand notre professeur annonca le début du concert et je me forçais a me concentrer sur les partitions de chansons que je devais jouer mais j'étais un peu déconcentré car il y avait un sifflement strident mais faible qui avait commencé dans l'auditorium au début du concert. Comme les appareils électriques parfois. En regardant le publique je voyais bien que certaines personnes tiquaient sur ce bruit mais ne semblaient pas y prêter beaucoup d' importance. Quand  à moi j'aurais juré que c'était les filles qui m'intriguaient et me regardaient depuis ce matin à l'origine de ce sifflement. Je voyais leur bouches entre-ouvertes et leur trois rangées de dents jaunâtres et grasses également.
Je me demandais si j'avais rêvé quand la professeur annonça mon tour. Je m'installais donc à ma harpe et commençais à improviser. Tout ce passais bien je trouvais j'allais peut-être chanter pour agrémenter mais je n'en n'ai pas eu besoin car  ce moment les horribles ( faut dire ce qui est elles étaient très laides) filles blondes au cheveux fillasses commencèrent à chanter. Beaux n'étais pas vraiment le termes exacte car cela ressemblais plus à des cris qu'à du chant mais c'était étourdissants. En plus , elles agitaient leur ailes de vautours me balançant au visage leur relents de mer et d'algues chaudes pas agréables.
Attendez ! Des ailes de vautours ?! Je ne rêvais pas ces filles avait vraiment des ailes et aussi tout le corps qui allait avec sauf la tête toujours humaines. Mais malheureusement tout le monde semblait comme en transe et ne réagissait pas.
J'arrêtais de jouer pour m'éloigner quand elles s'approchèrent de moi  en me plaquant les mains sur les oreilles mais leur voix m'étourdissais de plus en plus et elles me rattrapais se léchant leurs lèvres grasses d'où je voyais des restes d'un viandes que je ne connaissais pas.
C'est alors que sortis de nulle part Grover qui avait un mégaphone dans une main et sa flûte de pan dans l'autre se mettant  jour également un air rapide et stridents qui accentua on mal de tête mais qui ne semblait pas déranger les créatures. Je commençais à voir flou également.
En revanche les gens commençaient  plaquer leur mains contre leurs oreilles et  fuir dehors dans un vacarme sans nom. Les monstresses continuaient à  crier ou chanter de plus belle et Grover faisait barrage avec son mégaphone devant moi. C'est alors que je remarquais qu'il n'avais pas ses béquilles, qu'il tenait parfaitement debout et qu'il n'avais plus de pantalon non plus mais semblait avoir un sorte de fourrure sur les jambes qui étaient arqués et se terminant par... deux gros ongles comme un âne … des sabots.
Pendant que je contemplais ahuris ce que j'avais sous les yeux me disant que j' hallucinais et que mon syndrome avait empiré quand il se retourna vers moi s'interrompant.
-Cour dehors ! Vas retrouver Mr. Brunner il te protègera !
-Tu va pas rester ici seul contre … ça. Arrivais-je à articuler malgré l'impression de perceuse dans mes tympans et dans mon crâne. Toi aussi tu es bizarre d'ailleurs.
-On en parlera plus....
Il n'eut pas l'occasion de finir sa phrase car une des femmes/vautours hurlantes le projeta contre une barrière en ferraille hors de l'auditorium et qu'il tomba inerte. Je voulait m'élançait vers lui pour voir si il allait bien mais les créatures me barraient le passage. Elles se tournèrent ensuite vers moi j'ai j'entendais des voix dans leur hurlement qui disait « c'est l'heure de manger les filles profitez en plus c'est un plats rare » suivi de plusieurs ricanements stridents. Je ne pouvais rien faire  car leur cris redoublèrent d'intensité et j'avais l'impression que ma tête allait exploser d'une seconde a l'autre. Il faisait également de plus en plus chaud. Les créatures les jetèrent sur moi puis un grand flash blanc/ doré et je ne me souviens pas vraiment du reste. Je me souviens avoir été projeté au sol et que des gravas recouvraient la moitié de mon corps. Ma tête me faisait toujours un mal atroce et une immense forme de cheval passa au dessus de moi alors que je sombrais dans l'inconscience.
                                                     ****
Quand je me réveillai la première choses qui me sauta au yeux fut le soleil qui se reflétait sur une neigé immaculée de quelque centimètres sur l'endroit le plus beau et étrange que j'ai vu. Il y avais plein de petits bâtiments et des colonnes de marbres blanc partout. J'avais toujours un mal de crâne atroce et j'étais dans un lit en face d'un grande fenêtre qui ne me permettait pas de voir quand choses de ce que j'apercevais dejà. En regardant autour de moi lentement je vis d'autre lits avec des ados qui toussaient ou dormaient pour la plupart certains caché par des rideaux. Où étais-je ?
Je me relevais subitement accentuant mon mal de crâne quand un groupe d'autres adolescents entra subitement dans la pièces. Il y en avait deux et de différent âges. Un garçon avec une tignasse blonde et des yeux bleus et la fille blonde également avec des yeux gris cependant. Tout les deux avaient l'air plus jeunes que moi.
Surpris je ne bougeais pas pendant quelques secondes. Ils ne m'avaient pas remarqué et discutais de ce qui ressemblait a une fête de noël. C'est que lorsque que je commençais  bouger pour sortir du lit me sentant complément perdu qu'ils se retournèrent tous d'un coup vers moi comme si j'étais une menace. Puis en me voyant, moi en t-shirt en lambeaux des hématomes partout,  ils se détendirent, se regardèrent et le garçon blond s'approcha de moi.
Quand je reculais par instinct me demandant qui 'il était, il sourit et pris un ton qui se voulait rassurant.
-Bonjour,je m'appelle Will Solace, je ne te veux pas de mal. Voici Annabeth Chase. Tu es en sécurité maintenant.
Il se retourna vers ses amis et dit :
-allez chercher Chiron et Grover notre nouveau pensionnaire c'est réveillé.
-Je suis où ? Demandais-je avec méfiance ne prêtant pas attention de se qu'il disait, une nausée surgissant de nul part.
Mon cerveau semblait encore en compote et j'avais l'impression qu'un marteaux me tapait sur la tête.
-Bienvenu à la Colonie des Sang-mêlés. Répondit-il.
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Après quelque jours à assimiler que j 'étais un demi-dieux et que les Dieux grecs existaient. Bien qu'ayant beaucoup de mal à me faire à cette idée j'avais commencé à trouver mes repères quand je me suis fait harponner par un fils d'Arès qui n'aimait pas ma tête et voulait se battre contre moi.
J'avais été trainé dans une arène et on m'avait donné un épée bien trop lourde pour moi. Là le combat commença je ne sais pas comment mais je survécu aux premiers assauts. C'est alors que quelques chose de bizarre se produit. En vérité pendant les assauts les entrechoquent des épées tant bien que mal pour moi formait un rythme d'une chanson que je n'arrivais pas à reconnaître et ce détail m'obnubilais alors que que tentais de survivre. Je me sentais aussi assez éveillé et sentait la présence des autres pensionnaires autour de nous. Les quelques spectateurs de la scène, d'autres Arès et beaucoup d'autres demi-dieux c'étaient rassemblais mais faisaient des têtes bizarre. C'est alors que j'entendis un «  salut il se passe quoi ? » derrière moi qui me fit e retourner pour découvrir un garçon qui brun au yeux vert comme l'océan. J'en déduisis que ce devait être Percy Jackson la célébrité du camp. Il avait hoqueté de surprise en me regardant dans les yeux. Déconcentré je me pris un grand plat de l'épée sur les côtes me faisant  valdinguer à terre. Annabeth et ce dernier vinrent me relever en me regardant bizarrement.
-Quoi ? Dis-je d'un ton acerbe, vu ma défaite devant tout le monde. J'ai jamais manié une épée.
-Alors pourquoi tu chantais loser ? Me nargua le Arès en ricanant avec ses demi-frères et soeurs.
Je regardais pour une fois l'assistance incrédule en oubliant toute les regards insistants et étranges. Là un pensionnaire me dit que j'avais vraiment chanté... Sledgehammer de fifth harmony. Sérieusement ? J'aime même pas cette chanson !
-Tu es peut-être un enfant d'Apollon, suggéra Annabeth pensive.
-Non je crois pas, Dit Percy interloqué en me fixant. Regarde ses yeux.
-Il ont quoi mes yeux ?! Répondis-je agacé.
Je n'aimais pas être trop le centre de l'attention et le tout le monde étaient autour de moi comme si j'étais une bête de foire. En plus j'avais perdu mon premier combat. Paye la réputation.
-Il ont un éclat doré et avec des flammes, mon cher Liam Knight. Dit une voix douce venant du visage inquiet de Chiron.
Complément surpris je pris un miroir qu'on me tendis et j'aperçus seulement les reste d'un éclat doré disparaissant dans mon bleu/ gris habituel noyé dans la surprise.
Soudain un éclat jaune au dessus de ma tête attira mon attention. Le temps que je relève la tête il avait disparus mais tout le monde me regardait avec des yeux encore plus rond.
-C'est mauvais ça. Dis Annabeth.
-Quoi ? Demandais-je complétement perdu.
-Chez pensionnaires présent. Je vous prie de bien vouloir accueillir Liam Knight, Fils d'Hypérion Titan de l'Est et de la lumière et premier maitre du soleil, Demi-Titan.
Dans un souffle de voix j'entendis « le deuxième ».