Bienvenue sur Filiorum ex Deorum Invité ♥ ! Les nouveautés du mois de juillet sont par ici ! ♥ La Résistance est réouverte! Venez participer aux trois events de l'été pour faire avancer l'intrigue! Ici pour la Colonie, là pour la Résistance et enfin ici pour les mortels et divinités ! ♥ Les groupes à privilégier sont: les Chasseresses, les Créatures et les Mortels ! ♥ |
|
| La beauté nous va si bien - Cassandre (abandonné) | |
| Auteur | Message |
---|
| Sujet: La beauté nous va si bien - Cassandre (abandonné) Dim 23 Aoû - 12:08 | |
| Une semaine que j'étais arrivé dans cette colonie et je comprenais toujours pas ce qui m'arrivais. Des faunes, nymphes, demi-dieux, centaures, à tous les coups en me promenant dans la forêt je vais tomber sur une saloperie du genre hydre ou chimère. Moi qui croyais que c'était seulement des animaux inventés pour créer un obstacle dans un récit ou symboliser les peurs de l'époque, j'ai bien l'air conne maintenant. Le mieux dans tout ça, c'est que maintenant je sais qui est ma mère. Athéna. Et c'est assez classe d'être la fille d'une déesse majeur de l'Olympe, puis c'est la déesse de la sagesse, intelligence, stratégie guerrière, de l'artisanat. Maintenant je comprends mon père quand il me disait que je lui ressemblais mentalement. Le problème c'est que ça m'avance pas plus, techniquement je sais qui elle est, mais je l'ai jamais vu. Enfin on moi elle m'a revendiqué, assez rapidement d'ailleurs c'est plutôt cool, mais bon, j'aurais bien aimé voir la tête qu'elle a.
Du coup étant une des enfants d'Athéna je vivais dans le bungalow numéro 6, rempli de demi-frères et demi-sœurs. Ce qui fou un choque quand même, toute t'a vis tu es enfant unique et une minute après tu te retrouves avec plusieurs demi-sœurs, c'est assez dingue. Faut dire que depuis que je suis arrivé sois je pleurais dans mon lit ou je tombais dans les vapes quand on me parler de "mythologie" grec. Cela dit, le bungalow est assez sympa, y a plein de bibliothèques remplies des livres le rêve, je passais déjà la moitié de mon temps dans des bibliothèques avant, si en plus c'est à domicile c'est parfait ! Le seule hic c'est que j'avais encore du mal à parler aux autres personnes de cette colonie, d'ordinaire sociable, là j'ai un peu peur, faut dire que marcher aux milieux d'un camp et tombé sur les fils d’Arès ça calme, des vrais brutes ces derniers, ils leurs manquent plusieurs cases.
Là je pars me détendre pour le sauna, donc je n’espère pas trop les croiser, non pas que je suis pudique, me balader en petite tenue ne me pose aucun problème, mais je préfère que l'on me regarde droit dans les yeux quand je suis aussi dénudé. Même habillé d'ailleurs, je suis pas un morceau de viandes, je suis pas à vendre ! C'est donc d'un pas élancé que je parti en direction du sauna, espérant qu'aucune personne ne s'y trouvait pour le moment. Par chance ce fut bien le cas, c'est donc avec un grand plaisir que je plongea mon corps dans cette eau bouillonnante, dans l'idée de me détendre, je ne voulais penser à rien, juste me reposer, j'ai pas eu vraiment le temps depuis que j'ai atterri dans ce merdier. Voilà, mes lunettes de soleil sur la tête et maintenant, calme.... |
| | | | Sujet: Re: La beauté nous va si bien - Cassandre (abandonné) Lun 24 Aoû - 0:10 | |
| A quoi ça sert, au final, de vivre là à l’année ? Pour tu ne partirais pas, durant les périodes "scolaires" pendant lesquelles, la plupart des héros de la colonie partent pour travailler ou continuer leurs études ? Pourquoi tu ne retournerais pas voir ton père ? Vivre avec lui à l’année ? Revenir l’été, ou pendant les vacances ? Certes, tu aimais cet endroit. La colonie est devenue ton nouveau chez toi. Mais ton père te manque. Ce monde de dieux grecs t’écœure. Tu entends sans cesse parler de ta mère, et de tous ces autres dieux. Ca ferais quoi, de vivre une vie à moitié normale ? Ne pas attendre toute l’année, que les héros arrivent pour faire la fête ? Aller faire des études supérieures, avoir un métier, rencontrer quelqu’un, peut-être… Mais cette idée te faisait peur. Oui, avoues-le, tu es terrifiée de quitter un jour le camp. Rien que lorsque tu pars rejoindre ton père pour quelques semaines, tu te languis de revenir. Tu es peureuse. Tu ne l’avoueras jamais, mais tu l’es. Tu admires ces demis-dieux qui partent et vont vivre de grandes aventures dehors. Toi tu reste à la colonie. A l’infirmerie. Tu attends de nouveaux blessés. Tu aimes l’aventure, certes, mais pas seule. Tu n’aime pas la solitude, en fait, c’est surtout ça qui te fait peur. Toute ton enfance, c’est comme si tu l’avais été. Seule. Ton père, certes, était là. Mais il n’avait pas la présence que tu demandais. Il te manquait quelque chose. Tu en avais assez de la vie banale que tu menais avec ton père, et pourtant, aujourd’hui, après huit ans, tu en as assez de la banalité de tes journées au camp. Seulement, comme tu l’eu fait hier, et avant-hier, et comme tu le feras demain, puis après demain, puis la semaine prochaine… bref, vous comprenez où je veux en venir. Tu allais au sauna. Ce grand sauna, lieu d’une détente sans fin, où, à cette heure de la journée, il n’y avait personne. Cet autre lieu que tu aimais presque autant que l’infirmerie, mais qui avait l’odeur des médicaments et des malades en moins. Serviette autours de la poitrine, bikini digne d’une Aphrodite en dessous, tu marchais portant tes sandales neuves, jusqu’à ce fameux endroit de détente. Sauf que, miséricorde, la porte venait de se fermer, juste devant tes yeux. Un regard à droite, un regard à gauche. Personne. On venait donc d’y rentrer. Tu hésitas : faire demi-tour et revenir à une heure encore plus tardive, ou y aller tout de même, et ignorer cette présence que tu n’avais en rien prévue pour ton moment détente de la journée ? Dans le genre je fais pas chier mon monde, Cassandre, tu es la plus douée. En toute ironie, bien sûr, mais tu l’as bien compris. Allez, arrête de faire ta tête de mule et vas-y. Tu voulais des nouveautés ? Et bien vas-y, rencontre quelqu’un que tu n’as peut-être jamais encore rencontré, ou fais connaissance avec, si tu la connais déjà un minimum. La banalité s’arrête là où on cherche la nouveauté. Bien, je sens que la raison commence à faire effet –et oui, c’est moi la raison, n’est-ce pas merveilleux ?-. Tu te diriges alors vers la porte en bois du grand sauna fumant, l’ouvrant en faisant grincer le système, commençant à rouiller et ayant besoin d’un petit coup d’huile d’un Héphaïstos pas trop occupé, pour t’y engouffrer, découvrant la nouveauté du jour. Une jeune femme, blonde, à peu près du même âge que toi, aux yeux d’un gris métallique intense. Digne de la beauté d’une Aphrodite, et pourtant digne des caractéristiques représentant si bien les enfants d’Athéna. Alors, c’était elle, le nouveau Puits de Sagesse, se rajoutant à la tribu présente dans le bungalow six ? Tu pourrais être jalouse de sa beauté, si tu n’avais pas été sûre de la tienne. Oui-oui, de toutes manières, tu n’es pas une fille de la déesse de la beauté pour rien, malgré toute la haine que tu lui porte. Tu observe la nouvelle quelques seconde, avant qu’un sourire se forme sur tes lèvres. « Cassandre. » lances-tu en lui tendant ta main, pour briser le silence installé. « Bienvenue ici, fille d’Athéna. » |
| | | | Sujet: Re: La beauté nous va si bien - Cassandre (abandonné) Lun 24 Aoû - 10:48 | |
| Alors que j'étais tranquillement installé dans le sauna et que j'en profitais pour me reposer, chose que je n'ai pas faite depuis mon arrivé au Poudlard des demi-dieux grecs, une personne vint briser brutalement mon rêve de repos. J’ouvris donc les yeux pour voir qui était cette personne et il se révéla que c'était une jeune femme, elle devait avoir mon âge. Elle était blonde et d'une beauté sans égale, sauf la mienne bien sûr. Elle m'observa quelques secondes avant de briser la glace et de prononcer quelques mots. Cassandre, c'était son prénom, un fort joli nom, un peu vieillot d’ailleurs, mais je ferais mieux de ne pas la ramener avec le mien, tout droit sorti du XVIIIe siècle. "Bienvenue ici, fille d’Athéna.", ces quelques mots suffirent à m’embarrasser, comment a-t-elle vu que j'étais la fille d'Athéna, mon père m'a toujours dit que je ne lui ressembler pas physiquement. Mais elle a peut-être changé de couleur de cheveux pour le séduire ou il m'a tout simplement menti, mais je ne vois pas pourquoi. Enfin il fallait que je lui réponde, je ne pouvais pas la laisser en plan, alors qu'elle avait tenté d'engager la conversation. C'est alors que je lui rétorquai :
- Antoinette et merci... fille d'Aphrodite.
Je n'avais aucune idée de qu’elles parent divin elle descendait, mais avec un peu de logique ce n’est pas bien dur. Une fille, parfaite physiquement, blonde je ne vois pas ce que ça peut-être d'autre de plus elle n'a pas les yeux gris, ce n'est donc pas une Athéna. Ensuite il y a une certaine aura qui se dégage d'elle, pas un pouvoir, mais quelque chose de beau, elle rayonnait de sa beauté. Ça aurait pu être la fille d'Apollon, mais bon, j'étais sûr de mon coup, alors autant tenter. Enfin, j’étais donc avec une autre sang-mêlé dans ce foutu sauna, je pouvais abandonner mes doux rêves de repos, mais autant tenter de sympathiser avec Cassandre j’aime bien sa gueule. Le seul problème c’est que je ne savais pas vraiment aucun lancer une discussion, d’ordinaire je le fais naturellement, avec une certaine simplicité, mais depuis une semaine, je ne suis plus la même. Enfin, je devais faire un effort elle était là depuis une minute et à part ma simple réponse à ses quelques mots je n’ai rien dit. Je pris donc une grande inspiration intérieurement, puis j’engageai la discussion avec la sublime créature.
- Tu es ici depuis longtemps ? Moi je viens d’arriver, ça fait une semaine que je suis là et je dois dire qu’au début j’ai cru qu’on me kidnapper pour me tuer. La transition est un peu brutale à vrai dire. Passer de Paris à une colonie pour demi-dieux au beau milieu des États-Unis d’Amérique. Enfin, je suppose que c’est une question d’habitude, dis-je avec un léger rire qui montrait bien que je n’étais pas totalement à l’aise.
J’attendais de voir ce qu’elle allait me répondre, je suppose qu’elle doit être habitué aux nouveaux comme moi assez angoissé par leurs nouvelle vie. Enfin, au moins ça faisait du bien d’en parler. Ça faisait bien longtemps que je n’avais pas parlé à quelqu’un, hormis pour demander deux, trois informations sur la vie au camp. Ça me faisait penser que je devrais aller m’entraîner à l’arène ou autre, en lisant un bouquin j’ai eu une petite idée, il faudrait que je l’a test sur le terrain et que je la mette au point. Il fallait aussi que je demande des livres sur les créatures « mythologique », ces bestioles m’intriguaient au plus haut point. J’aimerais bien croiser une hydre, j’ai toujours aimé ce truc. |
| | | | Sujet: Re: La beauté nous va si bien - Cassandre (abandonné) Ven 25 Sep - 21:11 | |
| Tu souris alors qu’elle répondait simplement, bien qu’un peu gênée et surtout lorsqu’elle devina la fille de qui tu étais. Cela pouvait être une insulte comme un compliment, vue la haine que tu avais envers ta mère, mais ce jour là, tu le voyais comme un compliment. Tes cheveux étant aujourd’hui blonds argentés, ornaient tes épaules et ton dos dénudé, étant simplement coupé par la rattache du haut de ton maillot et la serviette immaculée, et une tresse fine coupait ton front et rejoignait tes cheveux avant de les rattacher entre eux. Tu étais flattée, et semblait satisfaite que la nouvelle venue, prénommée Antoinette –un nom bien européen. Ton père, Historien, t’avait quelques fois, lorsque les mythes greco-romains n’étaient pas au menu, conté les histoires des rois de France, et tu te souvenais d’une reine, Marie Antoinette, celle qui s’était faite coupée la tête.- ait reconnue en toi une fille de la déesse de l’amour et de la beauté –pour l’amour de ton côté, on repassera dans quelques années ! Mais la beauté était là, personne ne pouvait le nier-. Tu lui fis un signe de tête avant d’aller t’installer sur un banc en bois du sauna brûlant et vaporeux, pour ôter ta serviette et te prélasser, la tête vers le plafond, t’accordant quelques instants de détente avant de faire connaissance avec la jeune femme. Elle semblait gênée, car elle ne te quittait pas des yeux, le teint légèrement rosé et son regard gris cherchant quelque chose. Tu te redressas, les bras cependant toujours tendus derrière toi, au lieu de t’adosser contre le mur. Tu t’apprêtais à engager la conversation, lorsqu’Antoinette pris une grande inspiration et fut plus rapide que toi pour commencer à parler. « Tu es ici depuis longtemps ? Moi je viens d’arriver, ça fait une semaine que je suis là et je dois dire qu’au début j’ai cru qu’on me kidnapper pour me tuer. La transition est un peu brutale à vrai dire. Passer de Paris à une colonie pour demi-dieux au beau milieu des États-Unis d’Amérique. Enfin, je suppose que c’est une question d’habitude» Ton cerveau s’illumina lorsque tu entendis le mot Paris. Ô Paris, capitale de la France, ville dite des amoureux, avec ces ponts ornés de cadenas pour clore à tout jamais l’amour ou l’amitié unissant deux personnes. Mais là n’était pas la passion qui t’avais soudainement envahie. Paris, c’était les français, leur accent anglais adorable, les boutiques, les grandes chaînes de vêtements, de cosmétiques… Une ville de luxe. Tu aurais tout donné pour un jour la visiter. Certes, tu l’avais fait, il y a des années, avec ton père, seulement tu étais bien trop jeune pour te préoccuper de ces histoires de vêtements et de maquillage. M’enfin. La jeune femme était logiquement perdue parmi tous ces demi-dieux, et elle avait besoin de quelqu’un pour l’aider à se frayer une place. Encore heureux que c’était la fin de l’été, et que beaucoup étaient déjà repartis ou allaient le faire dans les jours à venir. Elle était gênée, voir carrément anxieuse, vue sa bouille, que tu trouvais toujours magnifique, même avec toute cette vapeur d’eau brûlante qui brouillait la petite pièce. « Je suis en effet là depuis plusieurs années maintenant. Huit, si je compte bien, ça fait tellement d’années qu’en vérité, je ne fais même plus attention. Te tuer ? Quelle drôle d’idée ! Ils devaient être bien bourrins pour que tu ais cette impression ! Mais heureusement pour toi, c’est la fin des vacances, et bientôt, ce sera le calme plat à la colonie. Une occasion pour toi de tout mieux comprendre. Si tu veux, je pourrais t’aider, en période "scolaire", je n’ai pas beaucoup de travaille à l’infirmerie, si ce n’est deux-trois idiots qui s’entrainent d’une manière trop réaliste à l’arène ! » Tu lui souris pour clore ton explication. Tu n’aimais pas ceux qui se battaient. A vrai dire, tu n’aimais pas réellement la violence et tout ce qui allait avec. Certes, il t’arrivait d’être là si besoin l’était, mais généralement, tu préférais aider les blesser plutôt que de l’être toi-même. Bien que cette phrase puisse te donner l’impression d’être égoïste –ce que tu étais un peu, il faut dire-, elle n’en était pas le moins du monde, mais un monde de bisounours, ça n’existe pas. |
| | | | Sujet: Re: La beauté nous va si bien - Cassandre (abandonné) Dim 31 Jan - 19:38 | |
| |
| | | | Sujet: Re: La beauté nous va si bien - Cassandre (abandonné) | |
| |
| | | | La beauté nous va si bien - Cassandre (abandonné) | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|