Bonjour et bienvenue sur Filiorum ex Deorum ! Inspiré des romans de Rick Riordan, ainsi que des films, le forum reprend la saga Percy Jackson. Viens vite nous rejoindre, qu'est ce que tu attends ?
Filiorum ex Deorum
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Les nouveautés du mois de juillet sont par ici ! ♥
La Résistance est réouverte!
Venez participer aux trois events de l'été pour faire avancer l'intrigue! Ici pour la Colonie, là pour la Résistance et enfin ici pour les mortels et divinités ! ♥
Les groupes à privilégier sont: les Chasseresses, les Créatures et les Mortels ! ♥
Nous sortions du taxi, Jayan et moi pour aller rencontré Bleens, un satyre du camp qui avait demandé notre intervention, enfin celle des sang-mêlés, pas la nôtre précisément. Mais c'est nous que Chiron et Mr D. avaient décidé d'envoyer bien que ni mon camarade, ni moi n'étions très rassurés. Il faut dire que de tout le camp, nous étions loin d'être les meilleurs combattant, mais ces derniers temps, les satyres repéraient de plus en plus de demi-dieux à croire qu'il y a dix ans, nos chers parents ne tenaient plus leur hormone en place.
Donc bref, nous allions à la rencontre de ce fameux Bleens et celui-ci nous expliquait la situation, c'était un classique pour la plupart des sang-mêlés. Ils se retrouvaient dans des écoles spécialisées ou internat puis les monstres en profitaient pour les approcher sans éveiller les soupçons. Ce sang-mêlé avait douze ans comme moi, ce serait donc plus facile de l'approcher sans qu'il ne panique même si je n'aimais pas vraiment aller vers les autres à cause de ma timidité. Le problème restait donc le probable monstre qui d'après le satyre, était aussi le surveillant du couloir ce qui n'allait pas nous faciliter la tache.
Je soupirais, car nous n'allions pas avoir beaucoup de temps, si le sang-mêlé avait en effet été repéré, nous allions devoir agir pendant la nuit, tant qu'il est dans sa chambre. Au moins, nous n'aurons pas à le chercher bien loin. Le satyre ne venait pas avec nous, mais il nous indiquait que le demi-dieu se situait au deuxième étage tout au fond du couloir chambre 26. Ben voyons, il ne pouvait pas être plus près de la sortie ? L'école était fermée nous allions donc devoir escalader le portail avant de devoir nous rendre dans le bâtiment des internes sans être repéré par le monstre puis encore plus dur, monté les deux étages en évitant de le rencontrer, tout expliqués aux garçon puis repartir avec. Je sentais malgré moi que ça n'allait pas se passer ainsi.
Je regardais mon camarade Jayan d'un air un peu inquiet avant de finalement m'approcher du portail. Jayan et moi étions loin d'être les meilleurs amis du monde, mais je pense qu'une coopération était possible, après tout, nous ne nous détestions pas non plus. Serrant fermement les lanières de mon sac à dos pour ne pas qu'il s'accroche, je passais le premier de l'autre côté du portail pour atterrir dans la cour de l'établissement. Rapidement rejoint pas Jayan, nous allions vers le dis bâtiment en ouvrant doucement la porte. Je passais en premier serrant fermement ma dague en espérant ne pas être repéré, j'inspectais les couloirs.
[ HRP: Tout dépendra de deux lancés la discrétion et la perception: Si les deux sont réussi, aucun bruit dans les couloirs le monstre ne semble pas là Si un echec et une réussite: Nous parvenons à entrer mes nous entendons du bruit aux étages supérieurs, le monstre vient vers nous. ( HRP: si discrétion raté et perception réussi, nous l'entendons venir. Si l'inverse nous ne sommes pas suffisament concentré et ne l'entendons pas venir.
Si deux échec ben le monstre nous attends de pied ferme dès l'entrée du bâtiment]
ans quelle mission étais-je parti ? Et pourquoi m’en donner une, à moi ! Je n’ai aucun talent particulier, je ne sais pas me battre. Et en plus on me met avec Timothé qui ne sait pas mieux tenir une arme que moi. Encore ça aurait pu passer si ça aurait été un autre genre de mission. Mais là, c’était presque du suicide ! Nous avions à notre disposition toutes les informations dont nous avions besoin, à savoir le lieu où se trouvait l’enfant, le numéro de chambre, qui était le monstre, etc… Le problème étant que nous ne devions pas nous faire repérer. Le taxi n’avait sur le coup pas arrangé la chose, mais ça c’était avant de voir le satyre, qui venait de nous mettre en garde contre la présence plus que probable d’un monstre dans le bâtiment. Il restait encore une chance qu’il ne nous ait pas remarqués. Quand soudain un étrange sentiment m’envahi. La lune pourtant si éclatante était masquée par de sombres nuages menaçant.
*Ça ne présage rien de bon, pensai-je.*
Le fils d’Apollon me regarda avec au fond de ses yeux de l’anxiété que je partageais. Et alors que nous étions encore accolés au sous bassement du portail pour ne pas nous faire voir, Timothé escalada le portail sans même m’attendre. Je n’eus pas le temps de répliquer qu’il retomba de l’autre côté aussi sec. Je dois bien avouer qu’il n’avait pas émis tant de bruit que cela. Je le suivis sans plus tarder, tentant de rester au maximum dans l’ombre du bâtiment. La porte était face à nous. C'était presque trop facile. Timothé ouvrit la porte de bois, tentant de faire le moins de bruit possible. Sa main était crispée sur le manche de son poignard tant la tension était palpable. Inquiet, il s’avança quand même à l’intérieur du bâtiment. Mais se précipiter sans étudier quelques plans d’évasions n’étaient pas dans mes habitudes. Aussi, je préférais inspecter les pièces alentour à travers les fenêtres de l’internat pour savoir vraiment de quoi il en était et si par hasard je ne découvrais pas quelque chose. Quoiqu’en soit l’issue je viendrais rejoindre Timothée, mais il me fallait cette vérification, ne serait-ce que pour ma tranquillité, ma paix intérieure.
[ HRPG : jet de perception ->réussit = j'aperçois une ombre inquiétante dans une des pièces. -> raté = il fait trop sombre pour que je puisse voir quelque chose. ]
Vous escaladez sans aucun soucis le portail sans le moindre du bruit et vous vous rendez jusqu’à l’entrée de ce que Timothé a pu identifier être l’internat. La porte d’entrée n’est même pas fermée. Quelle chance ! Vous vous faufilez dans les couloirs, Jayan tu as du mal à te repérer étrangement et vous perdez quelques minutes à cause d’une fausse alerte. Timothé de ton côté tu repères au fond du couloir la porte qui se ferme. Signe que le surveillant est passé dans l’autre partie du bâtiment, sûrement vers les douches et les toilettes. Cela vous donne le temps de vous glisser en toute discrétion jusqu’à la porte de la chambre 26. Aucune planche qui craque, aucuns faux pas, vous réalisez un sans-faute !
En poussant la porte vous découvrez un seul enfant visiblement dans les douze ans, roux carotte qui n’a même pas été réveillé par votre entrée. La porte se referme derrière vous en silence.
Spoiler:
Jet de discrétion de Timothé : 7 (Réussite) Jet de perception de Timothé : 20 (Réussite)
Jet de discrétion de Jayan : 5 (Réussite) Jet de perception de Jayan : 55 (Echec)
Pour votre partie HRP les gars, mettez juste les jets de dés que vous pensez faire, pas besoin d'ajouter les effets de la réussite/échec, le MDJ sait ce qu'il fait et ce qu'il va se passer en théorie en cas de réussite/échec.
Nous avions tous les deux escaladés le portail et apparemment sans faire trop de bruit puisque nous n'avions pas alarmé le concierge ou des professeurs. Je repérais un bâtiment que je jugeais être l'internat et je m'y rendais sans hésiter avant d'immédiatement ouvrir la porte bien que je fasse doucement. Jayan semblait vraiment vouloir être sûr que nous ne risquions rien et moi, je gardais ma main sur le manche de Lumos prêt à dégainer.Nous étions vigilent pendant que nous nous faufilions dans les couloirs en inspectant les lieux pour ne pas nous faire surprendre. Toutefois, j'avais la sensation d'agir de manière plus impulsive que Jayan, j'hésitais moins et j'agissais directement, je devais sans doute passé trop de temps avec Lucianna ou Luke.
Nous nous cachions pendant quelques minutes à cause d'une fausse alerte, mais il valait mieux nous montrer vigilent plutôt que trop hâtive, mine de rien, je tenais à la vie. J'entendais un bruit de porte et en observant depuis ma cachette, je voyais la porte se refermer et je jugeais donc que la voie était libre. Sans perdre plus de temps, nous courions à pas de loup vers les escaliers et c'est sur la pointe des pieds que nous montions marche par marche en priant à chaque fois qu'il n'y ait pas le moindre craquement. Nous arrivions finalement au deuxième étage sans le moindre problème et que les dieux nous préservent, j'espérais que ça allait continuer.
Nous ne trainions pas et nous pénétrions dans la chambre vingt-six en observant le garçon qui dormait encore. Il avait vraiment mon âge et les cheveux roux et je me demandais de qui il était le fils. Je regardais Jayan d'un air hésitant tout en m'approchant de son lit. J'hésitais à le réveiller et j'espérais que mon jeune âge ainsi que de celui de Jayan l'aiderait à ne pas hurler en se réveillant, je posais ma main contre son épaule.
".. He... réveilles toi.. ?"
[HRP: Je sais pas si sa necessite un dé.. au pire la compétense charisme savoir s'il hurle ou pas fin bref c'est ton boulot ]
ans le couloir, d’innombrables portes tapissaient les murs. Et derrière chacune d’elle pouvait se trouver la créature, prête à nous tuer, et nous sans défense. Car la seule que l’on pouvait espérait résidait dans notre discrétion. S’il s’avérait que leur prudence et leur silence n’ait pas suffit, je ne donnais pas cher de notre peau. On ne retrouverait certainement que les os. À certains moments, nous dûment freiner notre course, voire même la stopper, après avoir entendu des bruits suspects. Mais de sons, nous n’en faisions aucun. Aussi silencieux qu’un de ces cadres accrochés tout au long de notre parcours, nous arrivâmes bientôt au pied d’un escalier. De nombreuses vérifications furent nécessaire avant d’entamer la monter, comme les endroits les moins bruyants, les moins exposés et surtout les plus à l’ombre. C’est notamment grâce à une porte qui s’était fermée que Timothé put deviner assez facilement que nous étions à présent seuls et presque en sécurité, pouvant continuer notre chemin. Rejoignant le bas des marches aussi vite et aussi silencieusement que possible, nous montâmes sans difficulté les deux étages et arrivâmes assez vite dans la plus grande discrétion dont il est possible de faire preuve au deuxième étage. Et ce fut après quelques instants de tensions que nous parvînmes à la chambre vingt-six. Deux chiffres étaient d’ailleurs présents pour le signifier. Et quand Timothée poussa la porte pour l’ouvrir, aucun bruit ne s’échappa. La chance était donc vraiment de notre côté. Un enfant se tenait dans le lit, collant à la perfection avec la description que nous en avait fait le satyre. Mais aussi étrange que cela puisse paraître, je redoutais quelque chose. Un piège, un traquenard. Et pourquoi le petit ne serait pas le monstre lui-même ? J’inspectais la chambre des lieux, cherchant un indice pouvant corroborer mon hypothèse. Peut-être la peur m’amenait peu à peu vers la folie, je n’en savais rien, seulement que ça sentais mauvais pour nous.
[HRPG : jet de perception, je laisse les effets à Hadès...]
Le jeune enfant se réveil sous la voix de Tim et vous regarde l’air surpris, s’attendant plus à une mauvaise surprise qu’autre chose. Il se redresse directement, visiblement sur ses gardes et vous lance simplement :
« Qu’est-ce que vous voulez vous ? Monsieur Harkin va vous tuer ! »
Jayan de ton coté, tout te semble calme, il est juste sûr que si le surveillant est partit aux toilettes, il ne faut pas trainer !
Un sans-faute ou presque jusque maintenant, nous nous en étions plus ou moins sortit pour nous rendre jusqu'à cet établissement, nous avions escaladé ce portail et nous parvenions à nous infiltrer tant bien que mal dans l'établissement. Excusez-moi, mais pour Jayan et moi, c'était notre première mission et nous nous en tirions vraiment bien. Bon, j'avoue que mon cœur manquait de me lâcher à chaque marche de peur d'être repéré, mais nous étions finalement parvenus dans la fameuse chambre vingt-six.
Le garçon dormait encore si paisiblement et je me rappelais lorsque à sa place, je n'avais pas encore conscience du danger qui planait au-dessus de ma tête. Mais il fallait bien le réveiller, le monstre même s'il ne nous repérait pas ne finirait pas sentir nos odeurs, Killian me l'avait expliqué... Les monstres nous traquent à l'aide de leur odorat. Enfin, nous n'avions pas beaucoup de temps et je réveillais alors doucement le rouquin en le secouant légèrement et en l'appelant. Je le voyais ouvrir les yeux avant de me regarder d'un air surpris. Au moins, il n'avait pas hurlé, ce qui s'avérait être un bon point. Cependant, il restait sur ses gardes ce qui était compréhensible.
"Hein Monsieur qui ? Ah le surveillant... Justement."
J'hésitais et je ne savais pas trop quoi lui dire. Je devais lui annoncer de but en blanc ? Non, il ne me croirait pas, mais si je lui demandais de me suivre sans la moindre explication, ils refuseraient. Je serrais les poings et tentais le tout pour le tout en jetant un regard anxieux à la porte.
"Je m'appelle Timothé... Écoutes, tu vas me prendre pour un fou mais il faut tu nous fasses confiance, tu ne dois pas rester ici... Tu es en danger..."
Je soupirais un bon coup en regardant Jayan, j'espérais que le rouquin accepterait et ne poserait pas trop de questions, mais j'en doutais fort.
"S'il te plait... Prépares des affaires, on doit partir."
J'étais certes direct, mais j'avais vraiment peur de croiser le monstre, je n'étais même pas sûr que nous ferions le poids en tout cas, on n'avait pas le temps de tout lui expliquer, je doutais que notre délai de tranquillité soit illimité.
haque seconde de passée dans cette pièce rendait les chances plus probables que nous tombions sur le monstre à notre retour. Et cela n’était pas dans mes cordes, ni dans celles de Timothé de combattre une créature. Aussi, il fallait vite décamper. Le garçon se réveilla se relevant d’abord légèrement, encore dans le brouillard. Mais quand l’enfant ouvrit les yeux et aperçut Timothé penché sur lui, il fit un bond. Surpris, même plus que de la surprise de la peur, se lisait dans ses yeux et dans ses gestes. Sa surprise détourna mon attention vers lui, m’enlevant de la tête la volonté de rechercher quelques indices sur sa thèse, chose qui se révéla infructueuse. L’enfant encore en pyjama ne comprenait pas que nous étions ses alliés, et que ses « actuels alliés » étaient en fait certainement ses ennemis. Il fallait lui faire entendre raison. Le garçon s’exprima, pris de peur.
— Qu’est-ce que vous voulez vous ? Monsieur Harkin va vous tuer !
— Hein Monsieur qui ? Ah le surveillant... Justement, répliquait Timothé.
Il fallait absolument le mettre en confiance avant d’engager la conversation. C’est ainsi plus facile de se rapprocher de la personne. Mais avec la manière dont s’était pris le fils d’Apollon pour l’aborder, c’était mal parti. Timothée serra les poings comme sous le coup de puissantes émotions, il passa son regard sur la porte, signe de son inquiétude plus que justifié concernant la créature.
— Je m'appelle Timothé... Écoutes, tu vas me prendre pour un fou mais il faut tu nous fasses confiance, tu ne dois pas rester ici... Tu es en danger...
Mais comment lui annonçait-il ça ! Il n’était vraiment pas douer ? Je n’en savais rien, mais j’étais bel et bien sûr que l’enfant ne nous suivrait pas avec ces simples mots. Et il était une chose dont j’étais sûr, je pouvais faire largement mieux que lui au niveau des arguments, inexistant je dois le souligner, de mon camarade Timothé. Parfois, comme dans ce cas présent, ce fils d’Apollon me désespérait vraiment… Et lui qui m’affirmait depuis longtemps réussir à mettre en confiance les gens, c’était raté pour cette fois. Maintenant, je devais le surpasser, et vite, au risque de perdre la vie, rien que ça ! Je m’approchai donc de l’enfant dont le regard se fixa imédiatement sur moi. Etrangement, son attitude envers moi fut plus distante, il parut plus inquiet, la peur au ventre. Je l’effrayais donc plus que Timothé… Pfff, bon la première approche était raté, je devais bien admettre ma défaite sur ce point, physique celui-ci, mais ça n’a jamais été mon fort. Et je n’avais pas encore usé du langage, je serais meilleur que ce fils d’Apollon dans ce domaine !
— Ecoute-moi ! Oui, débarquer comme ça en pleine nuit dans ta chambre pour te prévenir d’un grand danger, c’est un peu étrange. Tu…tu peux nous prendre pour ce que nous ne sommes pas, mais ce ne sont pas nous tes ennemis. Pourquoi aurions-nous pris la peine de te réveiller, si c’était pour te tuer ? Non, au contraire nous voulons te protéger de d’autres personnes qui, eux, veulent le faire. N’as-tu toujours connu l’un de tes parents biologiques ? Ne t’es-tu jamais trouvé différent des autres. Je sais que cela peut paraître bizarre, mais nous allons t’emmener dans un lieu où vivent des enfants comme toi, comme moi, avec ce même lourd passé. Nos mêmes secrets. Mais en attendant, ton surveillant n’est pas celui que tu connais, quelqu’un usurpe son apparence afin d’accomplir de malveillants desseins. Suis-nous jusqu’à cette cachette, restes-y quelques temps, puis tu pourras décider de repartir. Mais pour l’heure viens avec nous !
Je tendis ma main dans sa direction. Puis ajoutais, voyant aucun changement dans son attitude, mais toujours tendant mes doigts vers lui :
— Tu es différent. Tu es comme nous. Vivre ou mourir, à toi de choisir.
[ HRPG : • jet de charisme = Réussir -> il vient avec nous Raté -> Il refuse et continue à avoir peur de nous
•jet de discrétion (je pense que c’est utile vu que l’on parle, à voir) ]
L’enfant vous regarde un moment, hésitant puis se lève, hoche la tête et chuchote vers vous :
« B..Bien ! Je vais venir avec vous mais je peux au moins prendre mes affaires ? Comment on part d’ici ? »
La pièce autour de vous fait environ 20m², il y 2 lits à étages quasiment collés les uns aux autres et un petit coin toilette à côté. Deux grandes armoires sont sur les côtés de la pièce proche de la porte. Alors qu’il finit sa phrase, vous pouvez entendre la porte se ré-ouvrir et les pas du surveillant dans le couloir juste en face de la chambre. Il vous a peut être repéré, peut-être pas. Dans tous les cas, l’endroit par lequel vous êtes venu est bloqué. A moins que vous ayez le courage d’affronter le monstre.
Spoiler:
Timothé : Test de charisme : 2 Jayan : Test de charisme : 13
Avec deux réussites, ça pouvait que bien aller. En cas de question je suis toujours dispo par MP.
J'agissais vraiment rapidement et sans hésiter, mais c'est surtout que j'avais vraiment peur de rencontrer ce monstre. Il fallait pourtant que je m'y habitue si j'envisageais de quitter le camp. Je me rendais compte qu'une fois face à eux le courage redescend aussitôt. Le garçon se réveillait rapidement, même si avait eu un mouvement de recul sa réaction restait tout de même calme. Le garçon avait peur et je dois dire que je n'étais pas doué pour rassurer les gens. J'envisageais de tout lui raconté, mais je craignais vraiment un manque de temps et c'est ainsi que je lui donnais des explications avec un tact semblable à un rhinocéros qui vous charge. Mais pourquoi il me laissait parler aussi, je suis nul pour les explications et déjà, j'avais fait un effort. J'aurais bien pu lui dire "bouge tes fesses, tu vas crever". Mais j'avais des excuses, y avait quand même un monstre dans le bâtiment et la dernière fois que j'en ai rencontré un, mon demi-frère a perdu la vie.
Je me redisais soudainement ma dernière phrase et je me rendais compte que j'avais foiré enfin, je n'ai jamais été bon pour trouver les mots justes. Mon avantage fut vraiment que j'avais son âge, car je crois que le pauvre aurait hurlé au kidnapping. Jayan s'approcha à son tour et j'espérais que lui trouverait les bons mots, car moi, j'avais foiré totalement. Je fus étonné qu'il arrive à trouver les bons mots, si j'avais su, je l'aurais laissé parler avant. J'espérais vraiment que le rouquin accepte de nous suivre à présent. Il hésitait signe qu'il songeait à ce que Jayan venait de lui dire, je me levais finalement et allais vers la porte pour écouter alors que le petit se levait et nous demandait en chuchotant s'il pouvait prendre quelque affaire et des indications pour quitter les lieux.
"Oui prend des affaires, mais le strict minimum pour ne pas être encombré."
Je laissais Jayan lui expliqué avec les bons mots comment partir d'ici, car si je le faisais, ce serait surement pour lui dire un truc du genre "On passe par la porte d'entrée, mais faudra être discret, car on risque de se faire attaquer par un monstre " et je ne pense pas que cela le rassurerait. Puis même pas trente secondes après j'entendais la porte s'ouvrir enfin une porte puis les pas du surveillant. Angoissant, je fis les grands yeux et mon visage devenait livide bien qu'il fasse sombre.
"Jayan... Il arrive..."
Soudainement, je m'alarmais et j'inspectais la pièce avec ses armoires, ses lits et je ne réfléchissais pas une seconde en profitant de ma petite taille, j'allais vers l'armoire en disant au rouquin.
"Recouche-toi et fais semblant de dormir s'il te plait, nous resterons caché."
Puis j'entrais dans l'armoire avant de la refermer le cœur battant la chamade et angoissant, je dégainais ma dague que je gardais en main, recroquevillé entre des vestes pendantes accrochées à des cintres. Je priais que le monstre ne nous trouve ni moi, ni Jayan, car je savais que ni l'un, ni l'autre n'abandonnerait l'autre.
mon plus grand bonheur, l’enfant consentit à nous suivre. Sans autre conditions que quelques questions :
— B..Bien ! Je vais venir avec vous mais je peux au moins prendre mes affaires ? Comment on part d’ici ?
— Oui prends des affaires, mais le strict minimum pour ne pas être encombré, répondit Timothée avant que je n’ouvris la bouche.
Aussi j’eus l’impression qu’il me laissa la partie quelque peu tactique du plan. Un autre de ses points faibles ? Ah ah ! Je le surpasserais donc en deux domaines en plus de ceux que je connais déjà…
— Bon, continuai-je. Il faut que l’on sorte d’ici. On va devoir prendre l’escalier à l’autre bout de l’étage sans se faire repérer, pour être à l’opposé de sa dernière position connue. Ensuite on descendra discrètement sans se faire voir et on escaladera la grille. Tout ça ponctuer de pause pour surveiller les alentours, écouter ce qu’il se passe et…
Un bruit retentit. Une porte qui s’ouvre et des pas juste derrière la chambre du garçon.
— Jayan... Il arrive...
J’ai cru que le monde s’écroulait sur moi. Que c’en était fini de nous. Mais le surveillant n’ouvrit pas la porte, pour l’instant du moins. Le plan était tombé à l’eau. En quelques secondes, Timothée se jeta sur l’armoire pour s’y cacher et dit au rouquin de se recoucher et de faire semblant de dormir pendant que nous resterions caché. Mais moi je n’avais aucune cachette, et pour cause, mes dons hérités de ma mère me permettait de ne pas me faire voir. Aussi j’attendais le dernier moment pour les activer et ne pas gâcher le temps dont j’aurais pu profiter. En inspectant la pièce tout à l'heure, j’avais bien pensé à cette situation, la pire, et dont j'espérais ne pas avoir à faire face. J'en était arrivé à la conclusion que nous devrions nous échapper par la fenêtre dont les volets étaient déjà ouverts. Je me dirigeais vers elle, surplombant quelques 3m50 de hauteur pour arriver au sol dehors, et tournai la poignée pour l’ouvrir. Peut-être notre dernière chance de survie, il nous faudrait encore si l'on ne se faisait pas découvrir sauter par celle-ci.
La tension monte alors que la porte s’ouvre une fois que vous êtes caché d’une manière ou d’une autre. Le surveillant entre et allume la lumière. Il fixe étrangement le rouquin pendant plus de dix secondes alors que leur regard ne se décroche pas. Le surveillant commence alors à parler :
« Qu’est-ce que tu fiches pas encore couché ? Et.. C’est quoi cette odeur ? »
Le jeune garçon hausse les épaules et réponds en étant juste à ta droite Jayan :
« J’avais soif, j’ai juste pris un peu d’eau et pour l’odeur, je ne sais pas de quoi vous parlez Monsieur, désolé d’avoir fait du bruit. »
Le présupposé monstre examine attentivement les lieux pendant encore une dizaine de seconde avant de sortir l’air presque hésitant. Il reste une bonne minute devant la porte avant de reprendre sa ronde. Le rouquin jette alors un coup d’œil vers l’armoire où s’est caché Tim. « Vous pouvez sortir et je vais faire mon sac pour qu’on puisse y aller ! Et… comment t’as fait pour disparaître comme ça toi au fait !? »
Spoiler:
Timothé : Jet de discrétion : 44 (Réussite mais juste hein !) Jayan : -2 points divins pour ton invisibilité, réussite automatique sur ta dissimulation aux yeux du monstres. Points divins restants : 4.
L'enfant était d'accord pour nous suivre et c'était un bon point car devoir emmené quelqu'un qui ne veut pas c'est légerement plus difficile. Il posait d'ailleurs une ou deux questions mais on pouvait bien lui répondre, je lui disais de ne prendre que le strict minimum mais je laissais Jayan se chargé du reste car je ne suis pas très rassurant lorsque j'explique quelque chose. Fallait bien qu'il serve à quelque chose. Je plaisante évidemment, pendant qu'il parlait au gamin j'allais vers la porte. Il avait bien résumé la situation, même si en l'entendant résumé la situation j'avais du mal à croire qu'on a fait l'aller sans être repéré. Enfin, alors qu'un bruit retentissait dans le couloir, je comprenais que le surveillant n'était pas loin et manquant de me faire pipi dessus je prévenais Jayan qui l'avait surement entendu aussi.
Par chance, je crois que nous avons eu les bons réflexe puisqu'en quelque seconde le rouquin était allongé dans son lit, j'étais dans l'armoire et Jayan... Jayan était assez grand pour se débrouiller. Depuis mon armoire je ne voyais rien, dans la précipitation je l'avais entiérement fermé et de toute facon, une armoire entrouverte c'est suspect. Enfin une chose est sûre, la sortie depuis les couloirs c'est mort car le surveillant va les surveiller surtout s'il doute. Je sursautais légèrement en entendant la porte s'ouvrir, je ne voyais rien mais j'entendais ses pas dans la pièce, ainsi que sa voix lorsqu'il pris la parole. C'est surtout la partie sur l'odeur qui m'inquiétais, c'est vrai que trois demi-dieux dans une pièce, on devait sentir pour lui. Heureusement que le rouquin ne paniqua pas et savait visiblement mentir convenablement pour que ca paraisse crédible. Je n'entendais plus rien pendant quelque seconde et je serrais ma dague de plus en plus fort, craignant de voir la porte de ma cachette s'ouvrir. En entendant que la voie était libre, je sortais alors de l'armoire en soupirant un grand coup et en remétant mon arme dans son fourreau. Mon regard allait vers Jayan après la question du garcon. Ainsi il avait utilisé une de ses capacité, ce n'était pas une mauvaise idée si ca lui était utile. Je banissais la porte comme sortie et j'en cherchais une autre car franchement, je n'avais pas trop envie de sauter du deuxième étage en sachant que nous n'aurions surement pas le temps de nouer les draps. Je me sentais pris au piège et je n'aimais pas cela car je savais que le monstre allait revenir et bien que je prie pour que ce soit l'inverse, je n'imaginais pas d'autre issue que l'affrontement.
"On fait comment ? La sortie par la porte c'est foutu et sauter du deuxième étage c'est pas idéale."
e petit avait vraiment bien géré la situation, et le monstre ne semblait pas se méfier de lui. Même si malgré tout, le surveillant avait certainement des doutes, pourquoi ses sens le tromperaient. — Vous pouvez sortir et je vais faire mon sac pour qu’on puisse y aller ! Et… comment t’as fait pour disparaître comme ça toi au fait ! — Euh...un don hérité de ma mère, déclarai-je sans en dire plus sur le sujet. Timothé avait fini de se cacher et était sorti de son placard. Il cherchait quelque chose dans la pièce sans que je ne sache quoi. Enfin, jusqu'à ce qu'il dise. — On fait comment ? La sortie par la porte c'est foutu et sauter du deuxième étage c'est pas idéale. — T-T-T-T-T-T-T, commençai-je en secouant la tête de gauche à droite. Oui, sauter comme ça du deuxième étage serait dangereux, mais avec quelques préparatifs rapides on va y arriver. Aidez moi à jeter au bas de la fenêtre les matelas des lits, et enroulez vous dans des couvertures. Après gare à l'atterrissage, plutôt sur le derrière ou les épaules... Je m'en allai prendre le premier matelas, suivi des deux autres. Les matelas jeté finirent par formés un monticule assez haut pour ne pas se faire mal. Enroulé dans un grosse couverture, je tenais l'encadrement de la fenêtre et m'apprêtais à me laisser tomber quand je jetai un coup d’œil en arrière et dis avec amusement. — Ah oui ! N'oubliez pas de visé la pile de matelas. Mais je pense que vous l'avez compris. Je pris prit mon courage à deux mains et m'élançai dans les airs.
Jayan partit en premier et réalisa en l’air qu’il avait mal jugé sa trajectoire. Il atterrit sur le matelas, mais malheureusement seulement la partie inférieure de son corps et le contrepoids entraine la chute. Ton bras va se fracasser violement sur le sol alors que tu ressens une vive douleur. L’os de ton avant-bras forme une bosse à travers la peau et nul doute que tu t’es fait une fracture. Le rouquin suit après Jayan et arrive tant bien que mal à se réceptionner, mais sans dommage. Il est blême et semble un peu retourné de l’expérience.
Quand viens ton tour Timothé, tu t’élances, toujours très très hésitant et c’était à bonne raison, tu atterris au centre du matelas, mais tu rebondis également et ton corps va glisser sur le sol plein de gravier comme un essuie-glace sur une vitre et tu sens ta peau s’arrachée et te bruler. Vous avez tous les deux mal et êtes en mauvais états mais vous êtes dehors. Cependant, vous n’avez pas pu empêcher un cri de douleur et le monstre vous a sûrement entendu.
Spoiler:
Jet d'Athlétisme de Jayan : 85 Jet d'Athlétisme de Timothé : 70
Dégâts de chute de Jayan : -11 Points de vie, restant : 11/22 Dégâts de chute de Timothé : -9 Points de vie, restants : 17/26
Si vous décidez de vous enfuir, je vous laisse faire vos derniers posts, je conclurais en dernier.
Heureusement que le garçon n'avait pas bêtement paniqué en inventant un mensonge plus gros que lui ou en nous trahissant tout simplement. C'était un bon atout pour lui et tant mieux, seulement, je pense que maintenant le surveillant va devenir plus prudent. Jayan parlait brièvement de son don et pour cause, nous avions bien d'autre chat à fouetter. Pour ma part, je cherchais une issue autre que la porte je ne voyais rien mis à part la fenêtre, et cette idée ne me plaisait guère. Je crois que j'aurais mieux fait de tourner sept fois ma langue dans ma bouche, car mon tact légendaire risquait d'inquiéter le rouquin. Quoi qu'il faudrait déjà s'y habituer car sa vie sera surtout constitué de cela. Jayan eut donc la bonne idée de jeter les matelas pour amortir la chute, mais je n'étais pas tout de même emballé. Enfin, c'était soit cela soit aller faire un câlin au monstre. Je l'aidais à bazarder un matelas par la fenêtre précédé par Jayan et finalement, je constatais une pile qui montait assez haut. Assez haut certes, mais avec un équilibre sans doute moins parfait.
Je regardais Jayan sauter en ravalant ma salive, autant le dire franchement, je flippais et c'est d'ailleurs pour cela que je ne répondais pas à son ironie. Je n'avais pas eu le courage de voir dans quel état avait attiré Jayan, car s'il s'était blessé même un petit peu, je n'aurais pas eu le courage de sauter. Je laissais ensuite notre petit rouquin sauté avant de m'élancer à mon tour, je fixais les matelas puis je soupirais, fermais mes yeux puis je me laissais tomber dans le vide. J'atterrissais bien sur les matelas, mais le rebond m'envoya voler plus loin sur le gravier. Je sentais le gravier brulé ma peau, non que dis-je l'arracher tout simplement comme lorsque j'étais petit et que j'avais volé de la balançoire ou lors de ma première vraie chute en skate. Je me relevais en constatant l'état de mes bras endommagé puis j'observais mes deux camarades. Notre sauvé n'avait pas de problème, mais Jayan semblait avoir un léger problème au bras qui enflait en plus d'avoir une bosse. Ni un ni deux, je prenais la décision d'aller vers lui et d'user de mon pouvoir de guérison, nous n'avions pas de temps à perdre, mais de toute façon avec le bras casser, il serait incapable de franchir le portail.
"Viens là, je te soigne.. Ton bras semble cassé..." Et pour mes bras très égratignés, je pourrais survivre le temps de nous barrer puis me soigner à ce moment-là, ma priorité était Jayan. Je m'agenouillais donc contre lui et posais mes mains juste au dessus de sa blessure, je plissais aussi les yeux, car mes bras endoloris ne me faisaient pas vraiment de bien. Puis je tentais de le soigner rapidement, une lumière verte pale apparaissant alors.
'impatience dont je fis preuve, fut une grave erreur. J'étais bien tombé sur les matelas, dans un premier temps, mais j'avais très vite basculé sur le sol, me cassant par la même occasion le bras. Une grosse bosse s'était formée sur ma peau, et la douleur venait s’amplifiant dans ma chair meurtrie. Je fermai les yeux, pensant contenir un peu plus la tempête de souffrance qui me menaçait. Je ne pus qu'entendre le bruit étouffé de matelas sur lesquels quelqu'un aurait sauté, certainement l'enfant de l'internat. Timothé ne sautait pas de suite, ce n'est qu'après plusieurs secondes, d'hésitation je supposais alors, qu'il sauta avec le bruit caractéristique des matelas. Mais un autre son succède à ce dernier, un crissement. J'ouvre les yeux un instant pour voir ce qu'il se passe, puis voie le pauvre demi-dieu au sol, éraflé par les graviers. Le monstre serait certainement bientôt à nos trousses, mais Jayan ne pouvait plus bouger. Timothé, lui, se releva sur ses deux jambes. Il titubait légèrement en s'approchant de moi, surpris. - Viens là, je te soigne.. Ton bras semble cassé...déclara-t-il. Je tentai de m'avancer vers lui, mais c'est lui qui me rejoignit, n'ayant fait qu'un bon mètre de distance. Je ne pouvais ni me relever, ni ramper, mon bras m'en empêchait. Mon camarade plaça ses mains au-dessus de mes blessures, et je sus à l'instant qu'il tentait de me soigner. L'effort sembla lui faire tirer une grimace de douleur, ses bras étaient également amochés. La lumière verte pale irradiait dans la nuit, de sorte que le monstre n'aurait eu aucune difficulté à nous repérer. Dès que j'eus le sentiment que la douleur était à un stade où elle ne me gênerait plus, j'arrêtais Timothé dans son élan. Il ne fallait pas non plus qu'il use de tout son pouvoir sur moi, il en avais besoin lui aussi. Je pris son bras et le retirait. La bonne nouvelle était que je pouvais enfin me remettre debout.
Timothé soigne le bras de Jayan. Au moment où son bras repris une forme normale, ce dernier arrêta son camarade d'un geste puis se releva non sans difficulté. Il fit quelques moulinets du bras pour vérifier si la douleur allait le gêner dans ses mouvements en cas de besoin lors d'un éventuel combat. Son bras lui faisais encore mal mais rien de comparable à ce qu'il avait ressentis quelques secondes plus tôt.
Vous percevez une lueur à la fenêtre de la pièce quittée à l'instant. Vous vous précipitez donc à l'abri des arbres en face de vous et courrez le plus silencieusement possible, loin du monstre interpellé par les cries de douleur.
Le monstre doit être à votre poursuite. Vous décidez donc de vous cacher dans un arbre très fournit en feuilles. Jayan aide le jeune garçon à monter puis son camarade blessé, avant de les suivre jusqu'à un point non visible depuis le sol.
Votre poursuivant s'approche sans chercher à dissimuler sa présence, éclairant le sol de sa lampe torche. Il passe sous votre perchoir, s'arrête, guette le moindre bruit pouvant vous trahir. Vous retenez votre respiration, n'osant plus ciller d'un millimètre. Une légère brise se lève, les feuilles couvrent tout éventuel bruit. Le monstre ne se doute de rien et poursuit sa course toujours plus profondément dans la forêt. La lumière disparaît, le bruit de ses pas s'éloigne de vous. Vous pouvez enfin respirer. Vous décidez de patienter encore un petit moment avant de descendre de votre perchoir et de vous diriger en direction du camp.
Une longue route vous attends...
PS > Je remplace Hadès. =)
Invité
Sujet: Re: Opération sauvetage [Timothé & Jayan ] Mer 1 Oct - 11:10
Opération sauvetage !
Jayan & Timothé
Je me redressais alors en essayant de passer outre à la douleur et j'observais mes deux camarades. Le rouquin semblait en un seul morceau mais Jayan lui semblait plus mal en points. Son bras, il était cassé. Je le savais car j'avais suivi les cours de premier soin à la colonie alors immédiatement j'allais vers lui pour le soigner. Je plaçais mes deux mains au-dessus de sa blessure et je me concentrais jusqu'à ce qu'une lueur verte en émane et débute ainsi le processus de guérison. J'aurais pu aller plus vite en chantant un chant d'incantation mais nous nous serions fait repérés encore plus vite donc je préférais m'abstenir. Jayan m'arrêta une fois que la douleur semblait disparue chez lui, mais si la guérison n'était pas totalement finie, son bras resterait très fragilisé et j'espérais donc qu'il ne reçoive pas de gros chocs dessus. Je voulais alors me guérir mais une silhouette apparut alors à la fenêtre de la chambre du roux et je décidais alors de passer outre à ma douleur et de guérir plus tard. Par pur réflexe, nous nous dirigions donc vers les arbres et buissons présents dans un coin de la cour pour nous y dissimuler. Jayan fut le premier à grimper sans difficulté puis je laissais à nouveau le rouquin passé avant moi qui ne semblait pas réellement habitué à ce genre d'acrobatie. Ce fut mon tour de grimper, habituellement je n'avais pas de mal à grimper aux arbres et j'étais même plutôt bon, mais là le contact de l'écorce et de mes bras amortie sans compte la douleur qui ne me permettait pas de forcer sur mes bras n'aidait pas. Heureusement, Jayan m'aida et je l'en remerciais silencieusement d'un regard gratifiant et d'un sourire.
Lorsque le monstre passait vers nous, nous retenions totalement notre respiration et par chance, le monstre repart roder je ne sais où et nous descendons de l'arbre soupirant de soulagement. Il ne semblait pas parti vers le portail, il devait sans doute se dire que nous n'avions pas eu le temps d'aller jusque-là et il avait raison. Je courais donc avec vigilance jusqu'au portail et nous laissions passer notre nouvelle recrue en premier . Une fois qu'il fut de l'autre côté je lui dis.
"Si jamais ton surveillant arrive, tu cours et tu ne t'arrêtes pas. Un de tes camarade t'attends, il te guidera. "
Je faisais référence au satyre qui nous avait appelés en renfort. Je préférais le prévenir car si le monstre venait à nous attaquer, déjà qu'à nous deux ça serait dur si en plus on devait le surveiller nous n'aurons pas fini. Seulement nous parvenions à franchir le grillage et il ne nous restait plus qu'à rejoindre un taxi le plus rapidement possible. Par chance j'avais prévu d'emmener de l'argent mortelle que ma mère continuait de m'envoyer de temps en temps parce qu'avec des drachmes d'or, le chauffeur ne comprendrait rien à la vie.
[HRP: Aphro je me suis permi de modifier le décor, car nos persos se trouvaient dans un internat à N-Y et non dans une forêt ]
EKKINOX
Invité
Sujet: Re: Opération sauvetage [Timothé & Jayan ] Sam 10 Jan - 17:18
Bonjour/Bonsoir,
Il n'y a eu aucun post au Rp depuis plus d'un mois et sommes donc sans nouvelle. Nous vous laissons un délai de deux semaines pour poster une réponse. Dans le cas où aucune réponse ne viendrait le sujet sera clôturé, bien sûr si vous avez des soucis de présence, vous pouvez toujours allez poster une absence pour la justifier et ainsi bénéficier du délai adéquat.Si toutefois le sujet venait à être verrouillé et que vous veniez à revenir, vous pourrez vous adresser à un de nos administrateurs.