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L'ivrogne, le fumeur et la victime |feat: Sora Lawrence
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Dante McArthur
Messages : 188 Date d'inscription : 01/10/2017 Age : 23 Localisation : Un garage à Brooklyn
Feuille de Personnage Arme(s): Une hallebarde en métaux hybride enchanté qui se camoufle en bracelet de force, Lames-cachées et une batte de baseball en bronze céleste se camouflant en gourmette Familier(s): // Objet(s): ceinture magique
Sujet: L'ivrogne, le fumeur et la victime |feat: Sora Lawrence Sam 21 Oct - 18:35
Le soleil déclinait rapidement dans le ciel azuré de Seattle, il allait bientôt faire nuit, il était à peine cinq heure de l’après-midi, mais en hiver, dans le froid hivernal du nord des USA, le soleil se couchait tôt et se levait tard. Mon sac balancé sur les épaules, j’attendais calmement le train qui allait me ramener à Long-Island. Il neigeait légèrement, mes cheveux étaient figé par le givre, ceux-ci n’étaient pas aussi brillant et jolie que durant l’été. Je lâchais un grognement, j’avais mes responsabilité à la colonie, sans compter la Résistance, j’avais été prévenu par lettre, qu’une mission m’attendrait ce week-end. Chaque semaine, je voyageais à travers tout le pays. Je suivais la semaine des cours d’ingénierie très poussé. Quant à la fin de semaine, je minais lentement mais surement les défenses de la colonie, je ne cessais de forger, je travaillais sur un projet d’équipement, mais bien sûr pour l’instant, ce n’étais qu’a l’état de simple prototype, je réfléchissais encore à l’idée et à tous ce que cela prenait en compte. Mais, le fil de mes pensées fut quitté par le bruit de train qui arrivait en gare. Je montais rapidement dedans. Puis, m’asseyant dans un siège, je m’endormis rapidement sur le siège.
Lorsque j’émergeais des bras de Morphée, la nuit était bien avancée, mais le temps était plutôt beau mais frais. Alors, en ce samedi matin de décembre, je me rendis à pieds à la colonie, avant de pouvoir attaquer les choses sérieuses. Je savais pertinemment, que j’allais semer la mort plus tard dans la journée. Mais, cela ne me gênais pas vraiment, pour abolir les dieux, rien de mieux que de vaincre leur isolateur. C’est donc dans la nuit, que je marchais, une grosse parka sur les épaules, un sac jeté au travers du dos, un clope au bec, des bottes militaires martelant le sol. Je me sentais bien, dans la solitude hivernale. C’était un bonheur, de ne pas avoir à vivre les petits problèmes de chacun : Dante, comment forge-t-on ? Dante, cette commande d’arme, elle arrive ? Il est vrai que maintenant, je me sentais vivant, seulement avec la Résistance. Entouré de personne partageant ma vision de la vie. Bref, il ne me fallut que seulement une petite heure pour apercevoir la combe entouré de forêt et de voir apparaître le champ de fraise de la colonie. Je sortis une nouvelle cigarette, l’alluma d’un coup de main expert avec un briquet, au passage, j’aperçu des esprits de la nature. J’éprouvais une réelle sympathie pour eux. Et j’étais sincèrement désolé par la tournure qu’allait prendre les évènements.
Bref, après une brève nuit de sommeil, parce que, dormir peu est souvent alors que j’étais en train de nager dans la rivière, une lettre apparus entre mes mains. Il y avait seulement d’écris : un lieu et une heure.
Lâchant un sourire glacial, je me dépêchais de sortie de l’eau gelée. Je n’avais passé que seulement quelque minute dans l’eau, mais je ressentais le froid. Je m’essuyais rapidement avant de prendre mes affaires et de me partir. J’arrivais peu de temps après au lieu de rendez-vous. Un bar, encastré dans le centre-ville de Brooklyn. M’asseyant sur un tabouret, sortis une cigarette, regarda autour de moi, il n’était pas très tard, mais déjà, des ivrognes s’étalait sur des tables, tenant des propos incohérent. Mais, ce dressait au fond de la salle, un homme, brun, la trentaine, un imperméable sur le dos. Ces mains se contractaient sur la table et celui-ci jouait amoureusement avec un couteau. Syndrome d’hyperactivité typique du demi-dieu. J’allais me fondre dans la masse en commandant un café, mais avant que je puisse déclarer quelque chose à commander, une voix à côté de moi déclara :
« Une bière s’il vous plaît. »
Invité
Sujet: Re: L'ivrogne, le fumeur et la victime |feat: Sora Lawrence Dim 22 Oct - 10:15
L'ivrogne, le fumeur et la victime
Dante & Sora
Après mon entretien avec l'autre abruti de fils d’Héphaïstos, je retourne dans ma cellule, tous mes faits et gestes sont épiés, et le moindre signe de faiblesse de ma part serait un signe de victoire de Warren, c'est une guerre des nerfs qui commence, je me demande si je pourrais tenir. Je laisse mon esprit divaguer. Je me remets à repenser à une mission que j'ai effectué il y a un an avec un camarade: Dante. Quand j'y repense, je me demande à quel moment la situation a dégénéré, on a bien rigolé quand même ! Je me dis que Dante et Warren sont vraiment deux personnes différentes même si ils ont le même paternel. Attendez, Dante, il n'est pas un espion à la Colonie ? Faudrait que j'arrive à le contacter pour lui donner des informations, la Résistance va être heureuse de savoir qu'il y a un nid de rats à Brocéliande ...
Comment est-ce que je devenue avec avec Danty ? Je crois qu'on est devenu ami lors de cette mission, justement.
***Une année auparavant, New-York City***
Je souffle dans mes cheveux, il commence vraiment à faire froid ici, pourquoi Cyril m'envoie battre la campagne ? J'ai autre chose à foutre que de jouer les aventurières ! J'aurais bien voulu continuer à m'entraîner, mes pouvoirs magiques commencent enfin à augmenter et je dois travailles mes postures de combat, je vais peut-être devenir une guerrière, une vraie. Je vais arrêter d'agiter mes épées dans tous les sens en espérant faire mouche.
Apparemment, j'ai rendez-vous dans un bar de Brooklyn, chouette ! Je suis trop heureuse ! Moi qui rêvait de me bourrer la gueule en mission, ce sera chose faite ! Je sens tellement qu'on va me taper sur les doigts, je suis comblée, tout simplement.
Je souffle sur mes doigts pour les réchauffer, d'après la mission, je dois assassiner un demi-dieu un peu trop curieux, un allié de la Colonie qui aurait réussi à avoir des informations sur nous. Du coup on doit l'éliminer le plus vite possible et récupérer les documents.
"On ?"
Comment on ? Je dois travailler avec quelqu'un ? Mais j'aime pas ça ! Punaise, je veux bien supporter Alice et ses crises de démences, mais si je dois travailler avec quelqu'un d'autre, remarque, je travaille bien avec Matt ou Damon ... Comment il s'appelle ? Dante ? Comme le dramaturge ? La divine Comédie il me semble, les sept cercles de l'Enfer de mémoire ? Pauvre cible, tu vas bien morfler avant de mourir, quel dommage ! En plus, je suis à peine sadique comme enfant !
Je me dirige vers le bar, plutôt sympa et surtout pas miteux, faut pas déconner non plus. Je rentre et me dirige vers le bar d'un pas assuré, j'ai misé le tout sur une robe chinoise qui laisse apprécier la forme de mes courbes, d'une couleur rouge pour attirer l'oeil, si la victime est un homme bien portant, je vais pouvoir le manger tout cru.
"Une bière s'il vous plaît."
Un homme se retourne vers moi, il sent la cigarette et il a une lueur de feu dans les yeux, je crois que j'ai trouvé mon partenaire de mission.
"Bonjour jeune homme, est-ce que vous vous allez bien ?"
Il est plus vieux que moi, plus musclé aussi et plus grand. Enfin c'est pas vraiment difficile vu que je suis une crevette. Je m'approche de lui avec mon verre à la main. J'en profite pour boire une gorgée, la bière est vraiment bonne, je la vide d'une traite.
"Une autre."
Je cherche dans l'assemblée notre cible. "As-tu fais du repérage mon cher Danty ?"
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Dante McArthur
Messages : 188 Date d'inscription : 01/10/2017 Age : 23 Localisation : Un garage à Brooklyn
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Sujet: Re: L'ivrogne, le fumeur et la victime |feat: Sora Lawrence Mar 24 Oct - 14:35
Je tournais le visage, la clope au bec, près au gueuler que c’était mon tour de commander, mais la robe chinoise rouge sur la jeune fille à côté de moi, ne fis qu'étrangler un vaste grognement de non satisfaction. Qui aurait crus, qu’une fille d’une telle classe, d’un telle impact, se trouverai dans ce rade miteux.
Je me demandais encore pourquoi, j’avais été envoyé ici, normalement, je donnais juste les informations, jamais un truc bien compliqué, forgé, mais là. Tuer ? Si moi j’étais un assassin, alors Hadès est clown dans une fête pour enfant, bref. Je sentis que le joli bout de fille me regardait d’un air intrigué. Me connaissait-elle ? Je n’vais en tout cas, moi pas l’impression de connaître cette fille. Car, fois de Dante, si je connaissais une telle personne, le Styx me prenne en témoin, je me souviendrai encore d’elle.
Puis, d’un coup, un détail de la lettre me revint en mémoire, j’allais avoir un partenaire. C’est vrai, je n’étais pas seul pour effectuer cette mission, on m’avait aussi donné une partenaire, et vu la manière dont cette jeune fille me regardais. De plus, l’odeur du vent omniprésent, éclipsait presque l’odeur de la nicotine. Elle sourit, puis déclara :
"Bonjour jeune homme, est-ce que vous vous allez bien ?"
Je répondis, l’esprit embrouillé par l’odeur douce du vent, et l’absolue beauté apparente de ma locutrice, un vaste :
« Ouais, ça passe, mais fait un peu frisquet. »
Ma coéquipière s’avança vers moi, vida sa bière d’une traite. Je lâche un grognement d’excitation. Nous étions tous les deux jeunes, moi j’étais fumeur, elle amatrice de bistro. Je repris toute ma contenance. Nous allions sans doute bien nous amuser. Puis celle-ci déclara :
"As-tu fais du repérage mon cher Danty ?"
J’haussais les épaules, sonda rapidement la salle, pour découvrir que notre bonne ami, avait un téléphone, remplis d’informations, informations, que je dérobais en à peine quelque seconde, en pénétrant l’objet. Je répondis donc
« Ouais, rapide, Karl Von Bremen, d’origine allemande, fils d’Hermès. Piètre combattant, mais espion véloce. Assuré chez Aramis auto, née 21 juin 1983 à Chicago, a fugué de 3 école durant sa jeunesse. En tout cas, son téléphone offre de nombreuse information. »
Je fis une pose, pris la nouvelle pinte de ma coéquipière, la vida d’un coup sec, me torcha la bouche d’un coup de manche, puis repris :
« Ma fois, la sécurité de son téléphone n’est pas au point. Si facile à entrer dedans. Tu sais ma chère Sora ? Il me paraît pas tellement bien dangereux, mais ma fois, si le boss à décider de faire ça. Il doit y avoir une raison. »
Je me tournai vers la télévision au fond du bar, la regarda d’un air absent, avant de la sentir, elle fessait désormais « partis » de moi, je la contrôlais, alors, pour m’amuser, je la fis déclarer une blague idiote :
« Qu’est ce qui est vert, qui monte et qui descend ? »
Pendant que les ivrognes, déjà en comas éthylique à 8 heure du matin rigolait lentement. Je me mis à construire, assemblée rouage, file, pour avoir, après quelque seconde, une lame rotative, je j’enfouissais dans la poche, pendant que mes mains s’activait rapidement, je lâchais un bâillement, puis demanda à mon allié : « T’as une idée de comment procédé, personnellement, l’assassinat, ce n’est pas mon trucs ? »
Mon arme nouvellement créé terminé, je l’améliorais, tandis que ma coéquipière me répondait.
Invité
Sujet: Re: L'ivrogne, le fumeur et la victime |feat: Sora Lawrence Jeu 26 Oct - 16:58
L'ivrogne, le fumeur et la victime
Dante et Sora
« Ouais, rapide, Karl Von Bremen, d’origine allemande, fils d’Hermès. Piètre combattant, mais espion véloce. Assuré chez Aramis auto, née 21 juin 1983 à Chicago, a fugué de 3 école durant sa jeunesse. En tout cas, son téléphone offre de nombreuse information. »
Je hausse un sourcil, comme Dante peut-il savoir autant de chose sur mec rien qu'en le regardant ? Dany est une sorte de détective ? Merde, si j'avais su que je baladais avec Sherlock Holmes, j'aurais préparé de l'opium pour qu'il puisse en fumer un coup, avec l'odeur de cigarette qu'il dégage, fumer un truc plus "exotique" ne le dérangerait pas. Je me demande qui est son parent pour avoir de tels pouvoirs, une super vision ? Quel dieu pourrait avoir une telle aptitude ? Avant que je puisse lui demander, Dany me vide ma pinte.
"Que ... ?!"
« Ma fois, la sécurité de son téléphone n’est pas au point. Si facile à entrer dedans. Tu sais ma chère Sora ? Il me paraît pas tellement bien dangereux, mais ma fois, si le boss à décider de faire ça. Il doit y avoir une raison. »
Je m'en fou de l'autre glandu ! Pourquoi t'as touché à ma bière, c'est ma bière merde ! Je ne bois pas au QG, du coup je me console en allant à New-York en dégustant une bonne bière belge, un bel arôme, les bulles qui chatouillent mon palais et cet enfoiré me vole ce bonheur ? Mais quel immonde encul... enflure ! Je vais lui péter les rotules !
« Qu’est ce qui est vert, qui monte et qui descend ? »
"Ma bière ...."
« T’as une idée de comment procédé, personnellement, l’assassinat, ce n’est pas mon trucs ? »
"Ma bière ..."
Je me retourne vers lui les yeux injectés de sang, je attrape une bouteille de Vin que je bois d'une traite.
"Espèce de petite merde, d'où tu te permets de toucher à MON VERRE ?!"
J'attrape mon poignard et le pointe sur Dante, l'air ultra menaçante, dommage pour le côté sexy mais il y a des choses qu'on respecte dans la vie ! Et ce type vient de briser tous mes espoirs de la journée, ce soir, le sang va couler, je le jure. "Jvais te péter la gueuuuuuuuuule !! Spèce de cheminée dégueulasse !"
Je lui saute dessus, j'en ai rien à faire de la mission, tout ce que je veux, c'est me venger de cette horrible affront que je viens de subir, oui, je ne peux le tolérer ! Un homme essaie de m'arrêter et avant qu'il ne puisse me toucher, je m'abaisse et lui brise une rotule. Personne ne sortira d'ici tant que on ne m'aura pas remboursé ma bière.
Je lance mon poignard sur la porte d'entrée, c'est moi qui décide qui sort ou non de ce bar miteux, je vous permets de vous rincer l'oeil avant de mourir, je suis sympa, mais maintenant, j'ai deux trois choses à régler avec l'autre abruti. Je bloque toutes les issues avec ma magie, personne ne peut sortir si je n'en donne pas l'autorisation. "Tu as commis une grave erreur, tu as pris mon verre, je vais te détruire, te massacrer et ce bar sera ta tombe !"
Et je me redresse et je hurle:
"Bagarre générale ! Celui qui gagne a le droit à une nuit d'amour avec moi ! "
Et l'engouement devient général, rien de mieux pour attiser les mâles en manque de chair que d'agiter un jarretière en dentelle. Si le gagnant savait ce qui l'attend, il serait un peu moins ravi, je compte lui péter chacune de ses dents avec une cuillère, c'est con, maintenant, j'ai envie de tout péter. Il avait l'air sympa pourtant ce bar.
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Dante McArthur
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Feuille de Personnage Arme(s): Une hallebarde en métaux hybride enchanté qui se camoufle en bracelet de force, Lames-cachées et une batte de baseball en bronze céleste se camouflant en gourmette Familier(s): // Objet(s): ceinture magique
Sujet: Re: L'ivrogne, le fumeur et la victime |feat: Sora Lawrence Dim 5 Nov - 15:13
Je dois dire, que la réaction de ma coéquipière était un peu excessive, même très excessive, dans un premier temps, le poignard pointé sur moi, je m’en foutais, une baston générale, pourquoi pas ? La jolie résistante venait de condamnée toute les issus. Alors, celle-ci n’était qu’une ivrogne de basse extraction ? Je lâchais un grognement. Moi qui pensais un minimum pouvoir me détendre, voici que l’autre pique sa crise. De plus, la jeune femme hurla dans le bar :
"Bagarre générale ! Celui qui gagne a le droit à une nuit d'amour avec moi ! "
Je dois dire, que j’eu été sur le moment, tenté de tuer tout le monde pour m’amuser un peu, mais, je n’étais pas un assassin, mais, l’idée de passé une nuit d’amour avec celle-ci était très tentant. Mais, je résistait à la tentation d’une nuit torride avec une telle canon était très tentante, mais, la voix de la sagesse en moi, ne fis que me dire, d’attendre, que elle ci se calmera.
Mais voilà, si je lui avais déplus, c’était un peu de ma faute, mais bref, je m’en foutais. Mais alors que je sortais une cigarette pour la fumer, un liquide tomba sur moi, de la bière ? Un bidon venait d’exploser, me mouillant complètement. Rendant inutilisable, toute mes cigarette, tachant ma veste en cuir, mouillant mes cheveux.
Je ne saurais dire ce qui c’est passer, je crois que dans un pic de colère, j’activai mes pouvoirs, mon esprits s’ouvris à tous les objets mécaniques présent dans la pièce, les fils électriques, le frigo, la tireuse à bière… Mon corps s’était étendu, je sentais chaque recoin de la salle, pour calmer le tout, j’allais devoir utiliser beaucoup d’énergie, j’allais sans doute tomber dans les pommes, mais soit. Dans un déferlement de haine, de colère. Je quittai complètement mon corps. Prenant possession des files électriques, je les fis sortir avec violence des murs, les rallonges se dressèrent, bientôt, une armada de files attaquèrent, emprisonnèrent tous les membres du bar dans un cocon de cuivre et de caoutchouc. Je fis griller le système d’alimentation, je ressentais juste, l’instinct, attaquer, balancer une cafetière. Puis, sentant la plupart des menaces disparu, une voiture passa dans la rue, j’en pris possession, l’envoya percuter la façade.
Je revins à moi, plus tard, dans un chaos ordonné, le soleil tombait en rayons éparse sur le sol, taché de file électrique, de bière, de débris de verre, de débris de plâtre, avec un grognement, et serrant ma tête, j’avais une horrible migraine, migraine très douloureuse. La majorité des ivrognes trainaient, enroulés dans le chaos que j’avais créé, je m’en voulais un peu, mais, la flemme l’emportait, je m’en foutais royalement d’eux, ce n’était que des mortels sans réelle importance, ceux-ci ne méritait pas de vivre, des âmes faibles.
L’espace de quelque instant, je me souvins que je n’étais pas seul, que nous attendions de tuer quelqu’un, je retrouvais ma coéquipière, roulé sur le sol, une bouteille de vin à la main, je lâchais un rire, puis la souleva d’une main avant de sortir, avec un peu de chance, nous échapperions aux flics qui ne tarderait pas de venir, nous créant d’intense problème. En sortant, la tête dans le cul, une migraine atroce, je remarquai que notre cible n’était nulle part. Je sortais, la démarche chancelante du bar, attrapa une bouteille de gin pour quand la résistante se réveillerait. Je marcha quelque minute, avant de m’écrouler sous un pont, la fatigue l’emportant, puis, je piqua du nez, lâchant la bouteille qui roula au pieds de la belle endormis, puis, la dernière pensé que j’eu avant de m’endormir fus : « Mais en fait, c’est moi le gagnant, je devrais avoir une nuit d’amour avec elle. »
Mais, sans plus approfondir, Morphée m’attrapa dans ses bras, pour m’endormir dans l’ombre du pont
Invité
Sujet: Re: L'ivrogne, le fumeur et la victime |feat: Sora Lawrence Lun 6 Nov - 18:44
L'ivrogne, le fumeur et la victime
Dante & Sora
L'anarchie.
Je crois que c'est le mot qui définie le mieux ce qui s'est passé. Un massacre sans précédant, avant que je ne puisse m'amuser avec mes nouveaux jouets, quelqu'un fait exploser un bidon et nous arrose tous. Je grimace, je veux boire, pas me baigner dans l'alcool ! Je jette un coup d'oeil à Danny qui change de couleur, sa cigarette tombe de ses doigts, son regard est vide et visiblement, il va commettre un massacre.
J'ai juste le temps de rouler et attraper une bouteille. Une explosion que dis-je ? Une symphonie ! Je vois des centaines de câbles s'enrouler autour des hommes, comme une araignée tissant un cocon autour de ses victimes. Je me mets à rigoler, ce type est un génie de la destruction ! Tout vole en éclat et je suis au milieu de cette dévastation et c'est le noir.
Je dors sans faire de rêve, comme une longue soirée de java. Je me relève finalement, Danny à mes côtés murmurant avec délice:
« Mais en fait, c’est moi le gagnant, je devrais avoir une nuit d’amour avec elle. »
Je lève les yeux au ciel, les hommes ! Mais au moins, il a détruit la menace ... en parlant de menace, elle est où ma petite victime chérie ? Elle s'est barrée. Je me mets à hurler, putain, c'est quoi cette soirée de merde ?! En plus, mon coéquipier dort à poings fermés ...
Je pousse un long soupir et claque finalement des doigts, un nuage apparait sous Sleepy Boy et je l'emmène, avec le grabuge qu'il a commis, les flics ne vont pas tarder et je n'ai pas envie de finir la nuit dans une cellule de dégrisement. Je sors du bar par la porte de derrière et nous fait voler sur le toit d'immeuble le plus proche.
Je tente de repérer la cible mais il doit être déjà loin ... quand me vient une idée. Avec les infos de Dante, je pourrais peut-être le repérer en utilisant le vent. Et ainsi, le traquer comme il se doit et à la fin, lui trancher sa jolie gorge.
Et avec les pouvoirs de Danny, on pourrait utiliser les caméras de surveillance ... sauf que princesse dort toujours. Il me veut ? Il va m'avoir, mais pas sûre que ça lui plaise. Je me mets à califourchon sur lui et lui titille la joue. Au bout d'un moment, il ouvre un oeil, puis un deuxième. Avant qu'il ne dise quoi que ce soit, je pose un doigt sur sa bouche. "Fallait bien que je trouve un moyen de te réveiller ... lève toi, Karl a disparu, il ne doit pas quitter la ville en vie."
Je m'écarte de lui et m'approche du bord du toit, il est de question que mon contrat s'échappe, si Cyril demande à Alice de s'en occuper, ça voudra dire que je ne suis pas à la hauteur ... je refuse, mon orgueil est plus fort que tout. Même si cela m'oblige à tenir ma promesse. "La proposition tient toujours si tu me le retrouves."
Je lève le bras et invoque un vent léger, où es-tu mon joli lapin ? Viens que je brise tes os entre mes mains.
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Sujet: Re: L'ivrogne, le fumeur et la victime |feat: Sora Lawrence Mer 15 Nov - 17:02
La grande salle remplis de rideau rouge, un énorme lit à baldaquin au milieu, et elle, là, dans les draps, un sourire qui en disais long, un sourire remplis d’attente, je ne pouvais pas la décevoir, en plus, ce n’était pas le moment d’avoir une panne, j’espérais que mon corps n’allais pas me lâcher J’étais mort, c’était sûr, de telle vison enchanteresse ne pouvais être du domaine du vivant. Si seulement j’étais mort, car si c’était le cas, c’est à cela que ressemblerais le paradis ? Pas sûr, je ne me souvenais de rien, seulement du canon qui semblait m’attendre. Et quelle attente, je retirais à la hâte mon manteau et tous mes vêtement a fortiori, et au moment où j’allais retirer les linges de la couche pour découvrir un spectacle enchanteur, je ressentis un poids sur le ventre, puis l’image devant moi disparu, des caresses sur la joue me forcèrent à ouvrir les yeux, l’un après l’autre, la vision, juste devant mon nez était quasiment aussi magnifique que les songes dont je venais de sortir. Tout me revins en tête en un instant, moi qui pétait un câble, niquait avec violence le bar, mais après, il n’était pas à moi, je m’en foutais assez. Et je dois dire, qu’entre essayer de me rappeler le tous des évènements, et la très jolie fille sur moi, je finis par essayer de jurer tout bas, en italien, mais la jeune femme posa son doigts sur mes lèvres, puis déclara :
"Fallait bien que je trouve un moyen de te réveiller ... lève toi, Karl a disparu, il ne doit pas quitter la ville en vie."
Je soupirai de tristesse, j’allais encore semer le chaos, je lâchai à voix basse, en italien :
« De dieu, c’est pas permis d’être aussi belle. »
Et en plus, elle veut de mon aide alors qu’elle a faillis me tuer pour une bière. Je m’avouais à moi-même que de voyager avec une bipolaire agressive alcoolique me refroidissait un peu. Mais, voyant mon air peu enthousiasmé, elle repris :
"La proposition tient toujours si tu me le retrouves."
Au premier coup d’œil, la jeune fille m’avais paru sympathique, aucun problème à ce que je l’aide, nous étions dans la même organisation, il faut s’aider entre amis. Moi, bipolaire, vous savez, nous le sommes tous, je comprends aisément que la jeune femme se soit énerver, il faut dire, que j’ai moi aussi fait un peu de la merde en m’énervant. Mais, c’est du passé, n’est-ce pas ? Je me relevai, puis retira mon manteau, ma chemise, j’étais désormais torse nues, dans la rue, en pleine hiver. Je n’arrivai pas vraiment à définir le regard de ma camarade, mais pour mettre fin à toute penser qui me ferait passé pour plus étrange que je l’étais à ces yeux,( ce n’étais pas mentir, en disant que j’étais sûr d’avoir fait une très mauvaise impression), je déclara, dans un nuage de fumée : « Me regarde pas comme ça, je ne suis pas un exhibitionniste, je vais le retrouver ce mec, et foi de Dante, son sang arrosera la terre, avant ce soir. »
Pendant que je déclarai ces paroles vides de sens, j’avais déjà commencé à créer une parabole, pour pouvoir le suivre. Quel demi-dieu débile oubliera de placer un traqueur sur sa cible ? Pas moi, si vous en doutiez. Je jaugeai rapidement l’heure, le chaos du bar, mon sommeil, tout cela s’était déroulé en quoi, 30 minute, 1 heure, c’était jouable, de plus, je venais déjà de me connecter à un satellite gouvernementale, et avec effroi, me rendis compte que celui-ci se dirigeai vers la colonie des sang-mêlé, nous devions l’intercepter. Celui-ci m’avais vus, il savait que j’étais un ennemis, il allait sans doute se rendre compte que j’étais un espion. Ma vie était en danger. Ce n’était plus que la résistance et sa victoire, mais aussi ma vie. Je ne pouvais pas le laisser tout faire foirer. Je mis les bouché double, je devais me dépêcher , en me déconnectant, mais en gardant contact avec le satellite, je le voyais avancer. Je lâchais un grognement rageur, celui-ci allait s’échapper, j’allais hurler à la mort, quand soudain, je tournai la tête, un bruit de retors ? Avec une joie non dissimulé et sans réfléchir, juste en écoutant mon instincts, sautai dans le vide. Je tombai et je suis mort.
Si vous y avez crus, vous êtes crédules, plus sérieusement, je venais de sauter dans le vide, je suis suicidaire vous dîtes ? Non, simplement j’avais entendus la chose la plus magnifique au monde, un retors d’hélicoptère, juste en dessous de moi. Je venais de sauter, avant de créer rapidement un grappin, à base de connerie, en à peine 3 seconde, je venais de sauter, m’accrocher à un hélicoptère en vol. Je commençai à monter à la corde, toujours torse nues, mon bras mécanique me permettant une force qui me fus bien utile, ma main droite était en sang, sur le contact du fil de fer, mais sans rien abandonner, je réussis à me hisser jusqu’à la cabine, avec force, j’ouvris la porte, d’une main, je soulevai le col du pilote, l’attrapa avant de balancer sur un toit voisin au notre. Puis une fois au commande, je plongeai mon esprits aussi profondément qu’il m’il m’était possible de le faire, puis insuffla la vie à l’appareil. J’étais en chute libre, mais la création de la vie à l’intérieur de l’hélicoptère, me permis de me poser en douceur sur le toit, puis, sortant de la machine, je m’écroula au sol, je respirai difficilement, l’adrénaline avait fait son travail, et encore mieux que je ne le pensais. Ma peau était trempée, de sueur, qui commença déjà à givrer, la douleur dans mon bras gauche, les machines avaient leur limite, et celle de mon bras gauche était arrivée. Mon cœur battait comme il n’avait jamais battus, mes jambes tremblait, c’était la première fois que je tirais autant sur moi-même, cela n’avait duré qu’une dizaine de seconde, mais cela m’avait vidé de mes forces de manière incommensurable, sur le dos, ma respiration était très difficile, mes jambes ne me portait plus, je réussis tant bien que mal, à reprendre mon manteau et ma chemise, puis, déclara à mon amie, qui semblait assez étonné de ce que je venais de faire, enfin , c’était l’effet qu’elle donnai, mais je n’avais jamais été bon pour décoder les émotions des autres. Ma voix, comme un simple filet siffla : « Si on se grouille, cet hélico nous emmènera là où on se trouve Karl, il se dirige en ce moment même vers la colonie. Désolé, je vais pas tellement pouvoir aider plus. »
Je soufflai difficilement, pus repris, mettant mon amour propre de côté : "Je vais avoir besoin d’aide pour monter là-dedans."
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Sujet: Re: L'ivrogne, le fumeur et la victime |feat: Sora Lawrence Dim 19 Nov - 21:54
L'ivrogne, le fumeur et la victime
Dante & Sora
Il se relève, tout fringuant, je pense que je l'ai assez motivé pour qu'il me détruise une armée, parfait ! J'adore quand on m'obéit au doigt et à l'oeil. Oui, j'adore ça. Et là, il fait tout ce qu'il faut.
Il s'éloigne de moi et il s'arrête, je suppose qu'il cherche Klaus avec ses pouvoirs, ils sont suffisamment intéressant pour que j'essaie d'en retenir le maximum, connaît tes amis et tes ennemis, si tu sais comment ils agissent, tu pourras les frapper dans leur angle mort. Je souris, mon cher Dante, montre moi.
Et il se déshabille.
Je reste interdite, je t'ai dit de me montrer tes pouvoirs, pas ton corps de .... ouh ! Pardon, je n'avais pas la musculature du bonhomme, quel dommage que je sois obligée de cligner des yeux, parce que je ne veux pas perdre une miette de ce spectacle plus que fascinant, décidément, les fils d'Héphaistos sont gâtés par la nature. Je ne peux pas m'empêcher de sourire avant de reprendre mon calme ...olympien.
Tu vas finir dans mes filets toi, je vais te cuisiner et te manger, hors de question qu'Alice te tombe dessus, je veux t'avoir d'abord. Je veux sentir ton souffle contre ma peau, je veux plonger mon regard dans le tien et ne faire qu'un. Je n'arrive pas à réfréner cette pulsion primaire, mon corps le veut, mon esprit est sceptique. L'amour n'importe que du malheur. Vous allez me dire qu'on n'a pas besoin d'être amoureux. Je tombe toujours amoureuse, je m'attache pour ne connaître le malheur, la noirceur. Mais je ne peux pas m'empêcher de le désirer en cet instant.
« Me regarde pas comme ça, je ne suis pas un exhibitionniste, je vais le retrouver ce mec, et foi de Dante, son sang arrosera la terre, avant ce soir. »
Ce mec ... a un don pour me faire passer d'une émotion à une autre. Je quitte la stupéfaction pour la sexualité pour retrouver le sérieux et le devoir. Je ne peux pas faire passer mes désirs avant la mission, j'ai donné ma parole que Klaus ne verrait jamais l'aube, et je ne reviens jamais sur une promesse.
"Je lui trancherais la gorge, on ne se moque pas d'un dragon."
Et je suis un dragon céleste, les plus purs et les plus puissants. J'ai abandonné mon nom japonais pour épouser celui de mon mari britannique. Même j'ai changé de nom, je reste toujours une Tenryu.
Et les Cieux viennent pour toi, Klaus. On ne se moque pas ainsi de moi, on se prosterne devant moi, je suis une princesse céleste, il est hors de question qu'un misérable demi-dieu puisse vivre après m'avoir humilier. Dante hurle, je sors de mes pensées, il l'a perdu ? Merde !
Et il saute dans le vide.
Avant que je puisse réagir, un hélicoptère apparaît, je suis surprise de ne pas avoir entendu les rotors de l'appareil, un engin de la police, remarque, avec tout le bordel qu'on a foutu, je suis étonnée que les forces fédérales n'arrivent que maintenant, Dante s'accroche d'un bras mais il ne tiendra pas. Il va tomber et mourir, disloqué par le sol. Il balance le pilote, et c'est qui va le piloter ?! Il disparait, l'appareil s'approche dangereusement de moi, je retiens un gémissement. Finalement, Mac Gyver sort de l'hélico au bout de sa vie, il s'écroule. Je m'approche en silence.
« Si on se grouille, cet hélico nous emmènera là où on se trouve Karl, il se dirige en ce moment même vers la colonie. Désolé, je vais pas tellement pouvoir aider plus. »
Je regarde l'helico, il se dirige vers la Colonie ? Merde, s'il y arrive, nous sommes foutus, et je ne parle pas des corvées, c'est le peloton d'éxecution qui nous attend. Je me mords les lèvres, on doit faire très vite. "Je vais avoir besoin d’aide pour monter là-dedans."
Je ne peux pas m'empêcher de répondre en japonais. "Les hommes ! Ils sont tous les mêmes ! Faut toujours que ce soit moi qui fasse tout le boulot !"
Et je claque des doigts et le fait léviter jusqu'à la cabine. Je regarde, tout est en place, je vais devoir utiliser mon pouvoir à pleine puissance. Je grimace.
"Tu vas devoir payer pour m'obliger à utiliser mes pouvoirs."
Je m'approche de lui et murmure à son oreille. "Ce genre de punition."
Et je lui embrasse le cou.
Je retourne à mes moutons aussi vite, je me désintéresse de lui, je veux Klaus, je vais l'avoir, tant pis pour les mortels, au pire, la Brume s'occupera d'eux. Je lève les bras au ciel et commence à incanter. Ma magie pulse dans mes veines, s'écoulant d'entre mes doigts pour prendre possession de l'hélicoptère, centimètre par centimètre.
Et j'envoie la sauce, putain, c'est lourd ! La machine commence à léviter et comme par magie, elle s'active, le pouvoir de Danny est encore à l'oeuvre, l'appareil est en pilotage automatique vers la cible. Je la fais accélérer, je serre les dents, l'effort est trop intense, je ne tiendrais pas longtemps ! Mais je tiens bon, nous quittons New York pour arriver vers la forêt, il va trop vite pour moi ! Finalement je le localise, il court très vite, c'est sûrement un de ses pouvoirs. "Accroche toi."
Et j'envoie l'hélico s'écraser contre le pauvre Klaus. J'attrape Dante pour l'extirper avant le crash. Nous roulons en boule sur plusieurs mètres avant de nous arrêter, le souffle court. Il est au-dessus de moi, un sourire qui s'étale sur son visage, je le repousse.
"Tu n'as pas encore gagné, que je sache. Attrape-le et nous verrons."
et je me laisse tomber au sol, je suis morte, j'ai trop pompé dans mes réserves, je n'arrive pas à bouger, je serre les dents. Je ne pourrais rien faire avant quelques minutes, au moins 5. Je sors mon katana. Je le tuerai. "A moins que je ne l'ai avant toi."
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Dante McArthur
Messages : 188 Date d'inscription : 01/10/2017 Age : 23 Localisation : Un garage à Brooklyn
Feuille de Personnage Arme(s): Une hallebarde en métaux hybride enchanté qui se camoufle en bracelet de force, Lames-cachées et une batte de baseball en bronze céleste se camouflant en gourmette Familier(s): // Objet(s): ceinture magique
Sujet: Re: L'ivrogne, le fumeur et la victime |feat: Sora Lawrence Mer 22 Nov - 18:39
Mon rythme cardiaque ne reprends son rythme normal, je tâtai rapidement ma jugulaire, mes deux doigts de ma main droite, mon index et mon majeur comprimèrent mon artère, je comptai le nombre de battement, en une minute, le compte était de deux-cent-quarante battement par minute, ceux-ci ne baissait pas, ceux-ci paraissait même augmenter. Une boule de salive se forma au fond de ma gorge. Je ne pouvais pas avoir un infarctus à dix-neuf ans, c’était impossible, bien que mon corps ai été beaucoup sollicité, je ne pouvais croire que j’allais faire un arrêt cardiaque.
Alors que j’étais en train de faire une crise d’angoisse, mon corps devin léger, si léger. Alors, mon cœur repris son rythme normal, non, celui-ci c’était arrêté ? Je lâchai une prière muette à Dieu, le dieu, celui de chrétiens, bien que jamais je n’ai crus en lui, sur le moment, ce fus la première chose qui me traversa l’esprit. En moi, de nombreuse question se bousculait, du genre. Pourquoi c’est moi qui meurt ? Je vais crever puceau ? Est-ce que Sora aurait tenu sa parole pour la nuit d’amour ?
Mais, alors que je tergiversais, mon corps retrouva ces sensations, lorsque celui-ci percuta, le siège. Je hoquetai et inspira une bouffée d’air. Le choc relança mon cœur. Je n’étais alors pas mort. L’enthousiasme était tel, je regardais mes mains avec satisfaction. J’avais peut être encore une chance d’avoir une réponse à toute mes question. A côté de moi, Sora grognait, elle parlait de punition, j’avalai un caillot de salive, si elle voulait me tuer, elle n’aurait aucun mal à s’éjecter avec le pouvoir d’Eole. Et pour moi, la course serait terminé, je n’avais aucune chance. Mais à ma grande surprise, celle-ci se tourna juste vers moi, et déposa un langoureux baiser sur mon coup, là ou sang battait si rapidement. Mon cœur s’emballa et, alors qu’il battait déjà assez rapidement, celui-ci fis un bon dans ma cage thoracique. Puis, un profond sentiment de bienêtre pénétra chacune de mes cellules. Une douce chaleur emplis ma poitrine. J’avais presque oublié le sentiment de plénitude et le bonheur qu’étais d’être aimé, le bonheur de compter pour quelqu’un. Peut-être n’étais-ce qu’un geste anodin. Mais, pour m’accrocher à la vie, je n’avais réellement qu’une solution, croire. Et croire en la jeune femme, qui l’air décidé dirigeais l’hélicoptère m’arrangeais. J’avais besoin de croire en quelqu’un. Je venais de dépasser mes limites. Jamais ne n’avais passé autant de temps à bourriné les machines. En à peine trois heures, j’étais tombé dans les pommes, démolis un bar, sauter d’un immeuble, prendre possession d’un hélicoptère en vol. C’était d’autant plus fatiguant pour moi. Mes réserves d’énergie n’étaient pas infinies. Loin de là. En soi, je n’étais pas plus fort des demi-dieux, ni le plus agiles, ni le plus débrouillard.
Mais, alors que j’étais plongé dans mes pensées, l’hélicoptère fis une embardée, je remarquai Klaus, celui-ci traçait dans la campagne. Ses foulées n’étaient pas humaines, celui-ci filait à plus de quatre-vingt-dix kilomètre dans la campagne de long-Island. Nous étions sortis de New-York sans encombre, c’était une bonne chose. L’hélicoptère se rapprochait dangereusement de Klaus, du sol aussi. Puis, la voix de Sora hurla dans mes oreilles. Avec le bruit du retors, je n’entendis rien, mais mon instinct m’hurla de sauter. Sora et moi ne formâmes une boule humaine, qui roula sur l’herbe gelée. Je rouvris les yeux, j’étais sûr Sora, j’étais encore vivant, elle était encore vivante, tout allait bien, je me permis un sourire, ma coéquipière me repoussa, et déclara :
"Tu n'as pas encore gagné, que je sache. Attrape-le et nous verrons."
Je lâchai un grognement, me leva, mon corps semblait à peu près reposé, mais mon bras gauche, ma prothèse ne répondait plus. Ce n’était pas bon signe. Mille chandelles tournaient autour de ma tête. Je plaque ma main dessus, pour essayer de garder un semblant d’équilibre. Mes vêtements étaient des loques. Là encore, je lâchai un grognement. Je fis rapidement l’inventaire de mes poches, seul la tronçonneuse dans ma poche, celle que j’avais construite dans le bar. Comme arme, on aurait fait mieux. J’aurais apprécié avoir quelque chose de plus conventionnelle. Une masse d’arme, même une épée m’aurait suffis. Mais non, j’avais une tronçonneuse, trop petite, pas assez perfectionné. Si jamais Klaus avait survécu au choc avec l’hélico, alors je ne ferais pas long-feu contre lui. Bien qu’il ne soit qu’un messager, celui-ci n’étais pas pour autant dénué de force physique ou d’habilité aux armes. Cette mission commençait réellement à devenir compliquée.
A côté de moi, ma coéquipière attrapa une lame fine, longue. Un katana japonais. Une jolie arme au corps à corps. Elle, elle était bien équipé, moi, je ne réussis à attraper que deux bar de fer déformé, seulement bonne à être utilisé comme arme de poing. Je sentais que l’affrontement arrivait. Et, fatigué comme j’étais, mes pouvoirs inutilisables. Je n’étais pas sûr de faire long-feu contre un homme entraîné au combat.
Ma coéquipière, sans doute pour la compétition, déclara avec un petit rire ;
"A moins que je ne l'ai avant toi."
Personnellement, je préférais survivre, que de mourir ici et maintenant. Bien que si j’attrape notre proie, la récompense serait sans aucun doute à la hauteur de mille-année de service. Mais, j’étais quand même septique. J’avais peur, il fallait bien se l’avouer. Avec seulement un bras, ce n’étais pas l’idéal. Je m’approchai de la carcasse de l’hélicoptère, la fumée me piquait la gorge, mais les heures passé dans les forges et fumée m’avait quasiment insensibilisé à la fumée. Je regardai la carcasse. Quelque chose semblait bougée. Je m’approchai d’un pas, puis un couteau arriva pile à l’interstice de ma prothèse, toute la partie en dessous de mon épaule tomba sur le sol. Le coup avait été tellement rapide, je n’avais rien vu venir. Je reculai précipitamment.
Je n’eus même pas le temps d’hurler que l’homme sortis de la fumée, l’air hagard, les cheveux à moitié brûlé, il était en mauvaise état, mais en meilleurs état que moi. Je pestai intérieurement, lorsque l’homme d’un coup de pommeau d’une longue épée un bronze me frappa violement la tête, mille étoiles dansèrent devant mes prunelles. Il m’attrapa le bras droit, le remonta jusqu’à me déboiter la clavicule. Je hoquetai de douleurs, mais n’hurla rien, la lame entravai ma gorge, un mot, un cri mal placé et je serais mort. Tant de douleur. Il me fit avancer. Je ne pouvais rien faire. L’hélico était mort, Sora de l’autre côté de l’hélico, mais qui ignorait tout de ma détresse. Ah mes oreilles, les instructions de Klaus fumait, mille mots sortait de ces lèvres. Il me poussa vers ou était Sora. Il me pressa de parler en appuyant la lame sur ma pomme d’Adam. Je poussai un grognement, puis d’une voix fluette grogna :
« Sora, tourne toi je t’en prie. »
Celle se retourna, je ne vis pas tellement son expression, je n’arrivais pas à la décoder.
Je commençai un monologue, sans faire fi des paroles de Klaus :
« J’vais sans doute clammser ici, alors autant sortir tous ce que j’ai dans le sac. Au moins fils d’Hermès, écoute les dernières paroles du pire espion de l’histoire de l’humanité. Sora, tu es quelqu’un de magnifique, je regrette ne pas avoir pu te connaître plus. Ma mort est enclenchée. Dire que je vais crever sans avoir pu te toucher un peu plus. N’est-ce pas ? Je crois que sincèrement, les quelque moment passé ensemble ont été super. Je crois que sincèrement, je t’aime. Désormais et à jamais. Mon cœur t’appartiendra. C’est donc cela l’amour. »
J’avais les larmes aux yeux. Je savais que j’allais mourir. Je n’avais pas de plan, juste mourir, je rageais. J’étais désespéré. Je ressentais une telle colère. Klaus commença un monologue sur les tourments qu’il allait infliger à ma camarade. Après chacun de ces mots, j’avais envie de vomir. Je ne pouvais tolérer un mot de plus. Je repris alors, coupant la parole au larbin des dieux :
« Jamais tu ne toucheras à un seul cheveux de cette femme ! »
J’hurlai, tandis que mon bras mécanique, qui était à une dizaine de pas de là, se projeta grâce à je ne sais quelle magie, le pouvoir de Sora mélangé à mon amour pour elle, à ma colère pour Klaus ? Simplement, mon bras percuta la crâne de Klaus, qui eut un instant d’inattention, j’en profitai pour tomber par, ma vision devint noir, lorsque la terre rentra dans mes yeux. Ma survie était désormais dans les mains de Sora.
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Sujet: Re: L'ivrogne, le fumeur et la victime |feat: Sora Lawrence Dim 3 Déc - 20:22
L'ivrogne, le fumeur et la victime
Dante et Sora
Je cherche l'autre pédale, je lui ai envoyé un hélico dans la gueule, il devrait avoir un peu de mal à marcher normalement ! Avec un peu de chance, je lui ai flingué sa rotule, du coup, il serait dans l'incapacité de marcher, le mieux, c'est que sa rotule se trouve en dehors de son corps, là il devrait vraiment avoir mal et du coup, il n'y a plus qu'à suivre les pleurs et lui planter un joli bout de métal dans la bouche, j'ai horreur des gens qui pleurent, c'est débile. Tu endures et tu la fermes, comme un homme avec des couilles. Quel dommage que je sois une femme, il semblerait que j'en sois dépourvue aux derniers dires de la science. Dommage, je ne vais pas pouvoir faire de blagues sexistes sur mon organe reproducteur ! Je rate vraiment quelque chose d'exquis, je le sens.
« Sora, tourne toi je t’en prie. »
Je me retourne. Et je ne sais pas si c'est la stupeur, l'inquiétude ou une profonde lassitude qui m'envahit. Non mais c'est pas vrai; l'autre couillon s'est fait avoir par la pédale ! On se fout de ma gueule aujourd'hui ! C'est pas possible ! Jvais péter un câble, je vous le dit, j'ai horreur de cette mise en scène avec un otage, c'est débile, le méchant se fait toujours planter, Klaus n'a jamais vu de films Hollywoodiens ? Non, encore un débile qui passe son temps à réviser sa mythologie parce qu'il ne comprend pas qu'il couche avec sa cousine, non mais sérieux, on est tous des incestueux quand on y pense !
« J’vais sans doute clammser ici, alors autant sortir tous ce que j’ai dans le sac. Au moins fils d’Hermès, écoute les dernières paroles du pire espion de l’histoire de l’humanité. Sora, tu es quelqu’un de magnifique, je regrette ne pas avoir pu te connaître plus. Ma mort est enclenchée. Dire que je vais crever sans avoir pu te toucher un peu plus. N’est-ce pas ? Je crois que sincèrement, les quelque moment passé ensemble ont été super. Je crois que sincèrement, je t’aime. Désormais et à jamais. Mon cœur t’appartiendra. C’est donc cela l’amour. »
J'ouvre grand les yeux. Oulah, le petit, il ne comprends pas le délire d'une bonne partie de jambes en l'air, va falloir que je lui fournisse un guide, sinon, il va se faire avoir par Alice, remarque, elle aime bien les petits innocents dans son genre. Mon étonnement se transforme en sourire, il est trop mignon ce petit, il utilises des mots qu'il ne comprends pas, et surtout, il ne sait pas ce que cela signifie d'être amoureux de moi, il va s'en mordre les doigts très fort, ou sinon, il va manger du macadam à plein dents. Et surtout, de magnifique ? Je tue des gens à longueur de journée ! J'ai du sang plein les mains, il y a vraiment plus mignon dans le genre, je ne surpasse pas Hero mais quand même.
« Jamais tu ne toucheras à un seul cheveux de cette femme ! »
Et avant que je fasse quelque chose, le bras de Dante vole et percute le crâne de Klaus, ce dernier lâche Dante qui s'effondre au sol, complétement sonné et mort, le pauvre a dû puiser dans la réserve extrême de sa magie pour me protéger. Je souris, le con. Il vient de se comporter comme un vrai héros, c'est pas vraiment ce que l'on est à la Résistance, c'est plutôt le boulot de la Colonie. Le camp de Klaus, qui n'a fait que fuir et qui s'est attaqué au plus faible, pas vraiment un héros, non, vraiment pas.
Je m'approche de lui, le katana toujours sorti, je ne suis pas assez bête pour m'approcher de lui en étant désarmée. Il respire toujours, mais ce con a combien de vie ? Il est increvable c'est pas possible ! Il s'est pris une bagarre, des fils électriques, un hélico et un bras métallique dans la gueule et il est toujours en vie ! Sérieusement, si on jouait à un jeu de rôle, ce mec ne ferait que des réussites critiques. Je m'approche de lui, il a un immense sourire planté sur son visage. Il a du mal à respirer et il saigne abondamment.
"Vous ne m'aurez pas, je suis le plus fort, ton Roméo est en train de mourir, tu devrais le sauver !"
Je me mets à rigoler, un rire bien mauvais, dépourvu de sympathie, non mais pour qui il se prend le pignouf ? Je suis une princesse qu'il faudrait aller sauver ? Mon cul oui ! Il y a longtemps que la princesse est morte bouffée par le dragon ! Hors, je suis un dragon, gros le dragon. Un qui crache des flammes. Et qui vole, c'est bien s'il vole parce que ça fait vraiment plus peur. "Dommage, je suis pas Juliette, moi je suis plutôt le gars qui plante tout le monde, je serai un peu Scar dans le Roi Lion, parce que bon, il est classe. Non, j'ai mieux ! Je suis la fille qui va te faire bouffer tes tripes ! Tu as osé me faire courir en talon et tu as vu ma robe ? Elle est MORTE ! Impossible à récupérer, j'ai dépensé une fortune et toi, t'es pas capable de mourir tranquille ! Sérieusement, je voulais être sympa avec toi, c'est pas cool de savoir qu'on va mourir, et encore moins quand on est jeune et beau ... je retire le beau, t'es un peu dégueulasse comme mec en vrai. Bon, cette conversation me saoule, bye bye !"
Et je lui tranche la tête avec mon katana. La tête vient taper un rotor de l'hélico, ah, c'est encore moins joli tout ça, ouh ! J'aurais pas dû faire ça, c'est sale, j'ai un peu honte quand même. Je ne m'intéresse pas à ça, je m'occupe du corps qui commence à être inondé par une carotide à l'air, où sont la clé USB ? Merde, s'il l'a balancé ou l'a planqué et qu'il a averti ses copains, on est encore dans la merde! Non, il n'aurait pas eu le temps, nous ne sommes pas loin de la Colonie. Je fouille dans ses vêtements, rien ! Je commence à paniquer, je refuse de décevoir Cyril, en tant que chef mais aussi parce que c'est mon père. Je me relève. Son portable, Dante m'a parle de son portable ! Il est dans sa poche de jean ! Je le sors précipitamment. La clé est accroché dessus ! Je cherche au cas où une deuxième clé mais il semblerait que Klaus n'est pas eu le temps de faire de copie. Je m'écarte un peu, c'est un champ de guerre, les rotors ne tournent plus mais il y a du feu et le kérosène s'échappe, tout va exploser !
Je fais léviter Dante avec mes dernières forces pour nous éloigner un maximum mais nous sommes pris dans le souffle de l'explosion qui vient de réveiller tout la région, nous sommes projetés sur plusieurs mètres, je me ramasse comme je peux, j'ai mal, très mal. Je saisis mon téléphone avec toutes les peines du monde, je souffre la martyre, ma hanche est brûlée et je pense que j'ai des bouts de ferrailles dans le corps, Dante est inerte à côté de moi, je ne peux plus marcher. Je compose le numéro d'Alice, qu'elle vienne nous chercher par vol d'ombre, on ne tiendra pas jusqu'à l'arrivée d'une voiture surtout que la Colonie va envoyer des éclaireurs.
Plusieurs jours plus tard
Je grimace de douleur, les bandages me font mal et mes plaies s'ouvrent sans arrêt, je fous du sang partout, c'est dégueulasse ! Sérieusement, va falloir recruter plus d'enfant d'Apollon, ça ne le fait pas cette histoire, je demande des guérisseurs capable moi !
Je m'approche du lit de Dante, il est en mauvais état lui aussi, je lui fais un grand sourire. "Bravo, tu as arrêté ce type. Mais c'est moi qui l'ai tué !"
Je vois sa mine qui s'assombrit, je lui murmure à l'oreille.
"Mais tu as gagné le pari. Quel dommage que tu sois blessé, je vais devoir attendre que tu sois de nouveau d'aplomb."
J'embrasse ses lèvres, comme pour lui donner un avant goût et lui glisse un paquet de cigarette dans la main. J'ouvre ma bière.
" A nous ! Les deux bipolaires et à notre victime !"
Et je bois avec délice, en espérant pouvoir partir de nouveau en mission avec Dante.
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Sujet: Re: L'ivrogne, le fumeur et la victime |feat: Sora Lawrence
L'ivrogne, le fumeur et la victime |feat: Sora Lawrence